Le chanteur s’est même amusé à taquiner sa communauté en leur lançant une fausse alerte, affirmant avoir décidé de tourner la page sur sa carrière musicale… pour se consacrer pleinement à la nage synchronisée.
«Grande nouvelle! Après mûre réflexion, j’ai décidé de tourner la page sur ma carrière de chanteur… pour me lancer à fond dans ma nouvelle passion: la nage synchronisée. Fini les micros, place aux maillots à paillettes, aux chorégraphies aquatiques et aux mouvements gracieux sous l’eau (ou presque). Prochaine étape: les Jeux olympiques… ou un bon bain chaud, on verra. (ça va être ça finalement!)», lance-t-il, profitant visiblement pleinement de l’été.
En accord avec les souhaits exprimés par la famille et les proches, Serge Fiori aura droit à des funérailles nationales sous forme de cérémonie d’hommage national. Le drapeau du Québec sera mis en berne, de l’aube au crépuscule, sur la tour principale de l’hôtel du Parlement le…
Il avait été annoncé que le drapeau du Québec serait mis en berne, du lever au coucher du soleil, sur la tour principale de l’Hôtel du Parlement, en signe d’hommage. Cependant, les détails entourant la cérémonie restaient encore inconnus.
François Legault a maintenant confirmé que l’hommage aura lieu le mardi 15 juillet à 15 h, à la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts.
«La cérémonie d’hommage national en l’honneur de Serge Fiori se tiendra le mardi 15 juillet à 15h, à la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts. Ce sera l’occasion de rendre un dernier hommage à un artiste qui a profondément marqué notre culture et qui a contribué à façonner notre paysage musical», dévoile-t-il.
De plus, un registre est désormais accessible au public pour permettre à chacun d’y laisser un message de condoléances.
Un dernier hommage tout en émotion, à la hauteur de l’artiste inoubliable qu’était Serge Fiori.
La cérémonie d’hommage national en l’honneur de Serge Fiori se tiendra le mardi 15 juillet à 15h, à la salle…
La douloureuse blessure a nécessité une opération, qui a récemment été réalisée. Après l’intervention, Jean-Michel a tenu à donner de ses nouvelles à sa communauté… et à présenter ses «nouvelles amies» pour le prochain mois.
«Voici mes amies pour le prochain mois. Opération au genou effectuée. Un gros merci à toute l’équipe de la Clinique Medical 10/30. Un personnel super attentionné. Tout s’est bien passé. Repos maintenant», lance-t-il, se montrant rassurant.
C’est sur sa page Instagram que la fille de Marie-Josée Taillefer et René Simard a partagé une photo d’elle et de sa douce moitié, prise lors d’un mariage. Elle y apparaît aux côtés de l’homme qui partage sa vie depuis maintenant 12 ans.
«Je suis chanceuse d’avoir Gabriel qui m’aime comme je suis. On est ensemble depuis 12 ans déjà… Incroyable. C’est simple et on s’encourage toujours. Je t’aime. On est au magnifique mariage de mon cousin Émile et Catherine que j’adore! Félicitations! Bonne semaine à tous», lance-t-elle visiblement comblée de bonheur.
Comme le veut le principe du balado, la journaliste de métier a dû répondre à des questions qui l’ont amenée à s’ouvrir en profondeur, avec authenticité et vulnérabilité.
«Parlant de courage (…) tu connais Julie Drolet, qui vient de se sortir de la chimiothérapie, qui a eu un grave cancer, pour moi, ça, c’est le vrai courage. Tu sais, écoute, c’est grave ce qu’elle a vécu, et tu sais, c’est une fille quand même jeune (…) une femme brillante. Moi, c’est une de mes meilleures au niveau de la lecture de nouvelles. Bref, si on veut parler de courage, je trouve que cette femme-là, Julie Drolet, c’est vraiment une femme courageuse, parce qu’elle a passé au travers de son cancer, et de façon extrêmement constructive, parce qu’elle a décidé, avec les capacités qu’elle avait (…) elle a fait des revues de presse sur son Facebook (…) Elle aussi, c’est une battante, c’est une battante qui a décidé de se dire: Ce n’est pas vrai que la maladie va prendre le dessus sur moi, et la preuve en est: elle est encore là aujourd’hui (…)», explique Jocelyne Cazin, avec une admiration manifeste dans la voix.
Capture YouTube @Marie-Claude Barrette
«Donc tu ne veux pas te comparer à Julie», renchérit Marie-Claude Barrette.
«Je ne veux pas me comparer à Julie (…)», lance-t-elle, même si elle se reconnaît elle aussi comme une femme courageuse pour avoir surmonté plusieurs épreuves dans sa vie, telles que l’intimidation, l’alcoolisme, et le fait d’avoir mené une carrière professionnelle malgré le sexisme.
Le courage ne se mesure peut-être pas, mais il se reconnaît. Jocelyne Cazin, femme forte, souligne celui d’une autre, avec justesse et admiration.
Première balade en vélo post chimio, post opération. Un pas vers la reconstruction et la santé. Après des mois d'…
Après avoir tenté elle-même de contacter l’un de ces faux comptes, Marie-Annick Lépine demande désormais l’aide du public pour les signaler.
«Quand une matante de 46 ans commence sa journée en téléchargeant l’application TikTok… Pourquoi? Simplement pour écrire à quelqu’un qui se nomme Marie Annick Lépine et qui n’est pas moi. Photo: mes deux messages un peu mal écrits, je ne suis pas très efficace le matin! Si vous avez deux minutes, vous pouvez facilement aller signaler ce compte. Merci pour votre soutien de tous les jours depuis si longtemps. Marie xx», lance-t-elle, en accompagnement d’une capture d’écran du faux compte et des messages qu’elle lui a adressés.
Dans un premier message, Marie-Annick exprime sa colère envers cet individu qui, selon ses dires, aurait publié une photo de sa fille sur le faux compte:
«Bonjour, je suis Marie-Annick Lépine et vous, vous êtes qui? Pouvez-vous enlever la photo de ma fille sur votre compte, svp? Je ne suis pas très contente de votre faux compte à mon nom»
Dans un deuxième message, elle adopte une nouvelle approche en avertissant l’individu qu’elle compte informer sa communauté.
Lors de notre échange, nous avons abordé l’influence de la téléréalité sur sa vie quotidienne, les relations qu’elle a nouées avec les autres participants, ainsi que l’évolution de sa vie sentimentale.
«Ç’a été un bon exercice (…) Ça aide à approfondir qu’est-ce qu’on veut vraiment, qu’est-ce qu’on ne veut pas, faire des choix. Et les ateliers, je trouve que ç’a aidé à se comprendre mieux. Puis de pouvoir partager ça avec d’autres femmes, et des hommes aussi, qui vivent la même chose, ça fait du bien, parce qu’on partage les mêmes réalités, les mêmes défis (…)», lance-t-elle, en soulignant que l’expérience lui a fait du bien, en lui permettant de s’ouvrir, même si elle ne l’a pas fondamentalement transformée.
Cette expérience, riche en émotions, a-t-elle permis à Judith de tisser des liens qui ont continué au-delà de l’émission, notamment avec certains hommes de l’aventure?
«Non (…) il n’y a rien qui est allé plus loin (…) non, il n’y a pas eu de mélange avec aucun des hommes (…)David, je l’aimais bien (…) je n’étais juste pas son type (…) mais on s’entendait vraiment bien (…) François, je l’aimais bien aussi. C’est quelqu’un qui est en affaires, j’aime ça jaser avec lui, mais au niveau autre qu’amical, l’intérêt n’était pas là pour approfondir (…)», témoigne-t-elle.
Et bien sûr, impossible de passer à côté de la grande question: Judith a-t-elle, oui ou non, trouvé l’amour auprès d’un autre homme?
«Non, malheureusement, pas encore. J’ai eu une couple de fréquentations (…) après l’aventure, j’ai été quand même beaucoup sollicitée (…) Je suis quand même assez sélective, et donc, tu sais, je veux quelqu’un, oui, qui est beau, tout ça, mais pour moi, c’est super important (…) tu sais, quelqu’un qui est bien établi, qui a réussi dans sa vie et qui est intelligent, qui a beaucoup de passions communes avec moi: le voyage, la randonnée (…) qu’on est capable d’échanger (…)», explique Judith, qui cherche un partenaire stimulant, mais qui se dit tout de même très heureuse seule. Elle préfère attendre d’être avec quelqu’un qui lui correspond réellement.
Si l’amour ne s’est pas présenté pendant ou après l’émission, Judith en retire malgré tout des liens sincères, dont une amitié particulièrement forte avec Isabelle.
Outre les histoires amoureuses, Ma mère, ton père reste un concept axé sur la famille, et de ce côté-là, Judith nage dans le bonheur.
«(…) Je suis grand-maman depuis l’automne dernier (…) j’ai une belle petite poupoune, elle est rendue à huit mois, donc ça, c’est super (…) Je voyage pas mal, je m’en vais avec mon fils aux Bahamas la semaine prochaine (…) J’ai voyagé avec Laura, qui était dans l’émission, je suis allée à Hawaï (…)», lance-t-elle, affirmant que voyager avec ses enfants, c’est de l’or en barre.
Durant cette entrevue, la chanteuse s’est confiée sur la préparation d’un projet d’une si grande envergure, l’ambiance électrisante dans la salle lors des représentations, ainsi que sur un autre projet qui occupe son été: Les Belles-Sœurs symphonique.
«C’est le fun, on a tellement une… on a une belle relation. On aime ça chanter ensemble, on s’entend bien (…) Je pense que le public est content, mais nous autres, on est vraiment contentes de faire ça aussi ensemble (…)», témoigne-t-elle.
Ne manquez pas l’occasion de découvrir ces deux projets hauts en couleur! Et d’ici l’achat de vos billets, laissez-vous charmer par Lunou et sa passion contagieuse.
Une magnifique occasion pour les Académiciens de se retrouver et de vivre une soirée empreinte de complicité, marquée par leur passion commune pour la musique.
«Petite soirée tapis rouge», lance Marc-Antoine Delage en marge d’une jolie photo.
«En accord avec les souhaits exprimés par la famille et les proches, Serge Fiori aura droit à des funérailles nationales sous forme de cérémonie d’hommage national. Le drapeau du Québec sera mis en berne, de l’aube au crépuscule, sur la tour principale de l’hôtel du Parlement le jour de la cérémonie, dont la date et le lieu seront annoncés dans les prochains jours», affirme celui qui, dès l’annonce de son décès, avait exprimé le souhait de lui offrir un hommage à la hauteur de son héritage.
En accord avec les souhaits exprimés par la famille et les proches, Serge Fiori aura droit à des funérailles nationales sous forme de cérémonie d’hommage national. Le drapeau du Québec sera mis en berne, de l’aube au crépuscule, sur la tour principale de l’hôtel du Parlement le…
En signe de respect, le drapeau du Québec flottera en berne, du lever au coucher du soleil, sur la tour principale de l’hôtel du Parlement lors de cette journée d’hommage.