C’est sur sa page Facebook qu’il a partagé une jolie photo du duo, qui a fait partie de la distribution de quelques mêmes projets télévisés, dont Mensonges.
«Je l’aime assez, elle», lance-t-il en marge du cliché.
Lorsque son coanimateur lui a demandé s’il avait toujours rêvé d’être designer, Daniel a confirmé que ce désir l’habitait depuis toujours. Alors qu’il commençait à en parler, Pierre-Olivier l’a interrompu pour lui demander si cette passion était liée à l’influence de sa famille ou de ses parents et lui a demandé d’où il venait.
C’est à ce moment que Daniel s’est livré sur sa famille.
«Famille dysfonctionnelle, euh… ma mère qui nous a élevés, qui était sur l’aide sociale toute sa vie, qui a fait du mieux qu’elle pouvait. Le bonhomme, lui, il n’était pas là, il était… ils se sont divorcés assez tôt. Le bonhomme n’était pas là et on ne l’a pas vu pendant bien des années, et c’était bien correct, tu sais, je pense que c’était son vouloir (…) Un moment donné, mon frère a quitté pour aller vivre chez mes grands-parents (…) j’ai onze ans, genre ish, et finalement on a fait un switch de chambres (…) On parle là, tu es dans une maison, euh… brick brack brouck (…) au lac Nominingue (…)», témoigne-t-il.
Capture YouTube @Parlons Réno
Daniel raconte qu’au moment du changement de chambre, il a trouvé des gallons de peinture, repeint les murs, déplacé les meubles et arrangé l’espace à son goût. Lorsque sa mère a découvert le résultat, elle n’en croyait pas ses yeux.
«C’est un peu elle (…) qui a révélé ça en moi, dans le sens de dire: Ok, si elle, elle dit que moi je suis bon, c’est que je dois être bon (…)», ajoute le designer d’intérieur.
Pierre-Olivier a alors commenté qu’à son avis, toutes les mères font des compliments à leur enfant.
«Ça dépend quelles mères (…) on n’est pas là», répond Daniel.
Une preuve que, malgré les défis, il est possible de se construire et de trouver sa voie.
Même si l’été tire à sa fin, il n’y a aucune raison de cesser d’explorer de nouvelles crèmeries ou de retourner à vos adresses préférées.
Parmi les crèmeries les plus en vogue de Montréal, on retrouve Iconoglace, récemment visitée par Sébastien Benoit.
Véritable terrain de jeu glacé, Iconoglace se distingue par son audace, sa créativité et son inclusion, proposant presque tout le menu en version végane (glaces molles, sandwiches glacés, sundaes, slushs).
Iconoglace, c’est l’assurance de redécouvrir la crème glacée à chaque passage: des saveurs inédites et des recettes éphémères!
Côté nouveautés, Sébastien s’est régalé avec le sundae «Des pêches mode», une création éphémère pensée pour célébrer le temps des pêches.
Une nouveauté qui confirme qu’à Iconoglace, chaque visite est une délicieuse surprise!
Est-ce que ce spot glacé fait déjà partie de vos incontournables?
Toujours en mouvement grâce à sa carrière de comédienne, Sophie Nélisse multiplie les voyages à l’étranger. Mais dès qu’elle retrouve Montréal, elle prend plaisir à s’arrêter et à savourer de bons repas dans les restaurants de la métropole.
Elle s’est récemment arrêtée au Phillips Bar, une buvette japonaise en plein cœur de Montréal, où l’ambiance rappelle celle des izakayas de Tokyo, conviviaux et chaleureux, parfaits pour partager de petites assiettes autour d’un verre.
Le menu propose de délicieuses petites assiettes comme des onigiris tempura, des chips de peau de saumon avec trempette ponzu ou encore des tartares raffinés de thon, de saumon ou de bœuf.
Un menu qui marie fraîcheur, originalité et élégance, parfait pour un repas entre amis ou une soirée raffinée au cœur de Montréal.
Une expérience culinaire qui nous transporte directement au Japon, sans quitter le cœur de Montréal.
De retour au Québec entre les tournages d’Occupation Double à Chypre, Alicia Moffet a récemment partagé de tendres clichés des beaux moments passés avec sa fille.
La maman a d’ailleurs initié sa fille à une activité incontournable chez les enfants: la fabrication de bracelets en fils colorés.
«Elle trippe», lance la maman en marge d’une vidéo de Billie en pleine action.
Une activité qui stimule la créativité et renforce les liens, puisque les enfants aiment souvent offrir un bracelet confectionné avec amour à leurs proches.
Vos enfants sont-ils initiés à la fabrication de bracelets?
Au micro de Rythme, Marie-Ève Janvier, maman de trois enfants, a lu une touchante lettre qu’elle avait écrite pour sa fille aînée à l’occasion de la rentrée scolaire.
C’est avec beaucoup d’émotion que l’animatrice a partagé avec les auditeurs un moment intime de sa vie, en lisant la lettre qu’elle avait écrite pour sa fille Léa, qui fait son entrée en 4e année.
La fière maman exprime toute son admiration pour sa fille qui grandit à vue d’œil, et lui confie qu’elle a remarqué chacun des efforts qu’elle a déployés pour l’aider dans le quotidien avec ses frères et sœurs.
«Je t’ai vu aussi me prendre les épaules la semaine passée et me rappeler de prendre soin de moi pour ne pas être trop stressée et ouf… ça, ça m’a rentré dedans, et merci pour ça», déclare-t-elle notamment.
Capture Instagram @enmoderythme
Émue aux larmes, sa coanimatrice Maripier Morin s’est laissée bouleverser par cette lecture, pensant peut-être aussi aux rentrées scolaires qu’elle vivra bientôt avec ses propres enfants et à la relation qu’elle entretient avec eux.
Capture Instagram @enmoderythme
L’animatrice conclut en souhaitant à sa fille une belle rentrée scolaire et en lui rappelant l’importance de toujours cultiver une relation empreinte de complicité et de communication.
Un moment d’une grande sincérité, à la fois touchant et profondément émouvant!
C’est avec beaucoup d’émotion que l’animatrice a partagé avec les auditeurs un moment intime de sa vie, en lisant la lettre qu’elle avait écrite pour sa fille Léa, qui fait son entrée en 4e année.
La fière maman exprime toute son admiration pour sa fille qui grandit à vue d’œil, et lui confie qu’elle a remarqué chacun des efforts qu’elle a déployés pour l’aider dans le quotidien avec ses frères et sœurs.
«Je t’ai vu aussi me prendre les épaules la semaine passée et me rappeler de prendre soin de moi pour ne pas être trop stressée et ouf… ça, ça m’a rentré dedans, et merci pour ça», déclare-t-elle notamment.
Capture Instagram @enmoderythme
Émue aux larmes, sa coanimatrice Maripier Morin s’est laissée bouleverser par cette lecture, pensant peut-être aussi aux rentrées scolaires qu’elle vivra bientôt avec ses propres enfants et à la relation qu’elle entretient avec eux.
Capture Instagram @enmoderythme
L’animatrice conclut en souhaitant à sa fille une belle rentrée scolaire et en lui rappelant l’importance de toujours cultiver une relation empreinte de complicité et de communication.
Un moment d’une grande sincérité, à la fois touchant et profondément émouvant!
C’est alors qu’il s’ouvrait sur la fête de l’amitié qu’il a confié s’être fait un nouvel ami, sujet qui l’a mené à s’ouvrir sur la place qu’a ce type de relation dans son coeur.
«Moi, l’amitié gars, c’est vraiment important, et j’ai eu des peines d’amitié avec des gars et j’ai vraiment eu plus de peine, quasiment, qu’en amour. J’exagère à peine (…)», affirme-t-il.
«J’ai déjà eu une peine d’amitié avec un gars que… j’adore. Je vais le nommer aujourd’hui parce que j’aimerais ça encore être son ami. C’est François Papineau, c’est un acteur. Mais bon, dans mon métier, on… souvent, on rencontre des gens et c’est eux qui deviennent nos amis (…)», confie Emmanuel, en toute franchise.
Bilodeau est ensuite rapidement revenu sur son nouvel ami, Pichette, qu’il décrit comme extraordinaire et qui n’a pas hésité à lui proposer un coup de main pour installer une fenêtre dans son chalet. Pour lui, c’est ça, une vraie déclaration d’amitié entre gars.
C’est en révélant avoir fait un petit burn-out avant la pandémie et en s’ouvrant sur sa santé mentale que les animateurs lui ont demandé comment il avait vécu cette épreuve en tant que papa.
«(…) C’est en 2015 que j’ai réalisé qu’il fallait que je prenne de la médication pour le TDAH, tu sais, parce que là, j’étais en train de scrapper tout… ma blonde, ma relation avec mes enfants, mes affaires (…) la charge de travail (…)», avoue-t-il, en expliquant qu’à ce moment-là, il était partout: il rodait son spectacle, Plus sexy que jamais, et animait en même temps à la radio.
Capture YouTube @Barbe à papa Podcast
«(…) Cette phase-là, elle a été vraiment où j’ai fait: Ok, il faut que je prenne de la médic pour me gérer plus et être plus capable de m’adapter aux enfants et tout ça, et de ne pas intervenir en innocent (…) C’était ça qui me dérangeait (…) J’étais très impulsif (…) Moi, je suis le genre de gars qui se contrôle jusqu’à un certain point (…)», ajoute Philippe.
Lui qui consulte un psy explique que, maintenant, il n’attend plus d’être au bout de sa patience ou de se fâcher avant d’exprimer clairement ses limites.
Les animateurs lui ont alors affirmé qu’ils ne l’imaginaient pas impulsif.
«C’est dans mes interventions que j’avais de la misère, c’est qu’à un moment donné, ça devenait trop et, en étant TDAH et hyperactif, tu sais, c’est sûr qu’à un moment donné, quand tu as une charge mentale pesante et que tu as les enfants qui sont déjà une charge mentale pesante, oublie ça, je me perdais (…)», témoigne l’humoriste.
Capture YouTube @Barbe à papa Podcast
Après un suivi et un travail sur lui-même, il affirme être aujourd’hui beaucoup plus zen et calme. Il prend désormais le temps de faire les choses et revient avec ses enfants sur les situations plus tendues.
Grandes foodies dans l’âme, Virginie Ranger-Beauregard et Catherine St-Laurent ont savouré une soirée italienne entre amis autour de bons plats de pâtes.
Sur leur page Instagram, les comédiennes ont dévoilé des clichés de leur soirée au Prezze Mollo, qui mettent l’eau à la bouche.
Situé au 5455, avenue de Gaspé à Montréal, le restaurant propose un menu varié de cuisine italienne, avec des plats savoureux tels que les rigatoni à la vodka épicée, les cappelletti aux artichauts et la focaccia maison.
Prezze Mollo s’impose désormais comme un incontournable du Mile End, alliant une cuisine italienne maison et généreuse, une sélection de boissons raffinées et une ambiance à la fois chaleureuse et branchée.
Une adresse où chaque bouchée donne envie de revenir encore et encore.