Lors de cet échange, les deux personnalités connues ont discuté de leur manière de gérer leurs émotions. D’un côté, Catherine F. adopte une approche beaucoup plus détachée, tandis que Kevins vit les choses de façon plus intense et émotionnelle.
Surnommée affectueusement Catastrophe, elle a révélé qu’elle ne comprenait pas pourquoi certaines personnes pleurent lorsqu’elles vivent une peine d’amour, une déclaration qui peut refléter son détachement face aux émotions.
«(…) C’est peut-être parce que ça ne m’est jamais vraiment arrivé, mais je ne comprends pas ça les peines d’amour. Pourquoi tu pleures pour quelqu’un qui ne te veut pas? Je ne comprends pas. (…)», lance-t-elle, provoquant une réaction de l’animatrice, qui avoue qu’elle aimerait être comme son invitée.
Capture YouTube @Entre Elle et Lui Podcast
Elle a ensuite donné l’exemple d’une fille qui pleure après avoir été trompée et a partagé ce qu’elle pense de ce genre de situation.
«(…) Bien oui, tu vas en trouver un qui va t’aimer et qui ne va pas te tromper, qu’est-ce que ça fait? Tu veux rester avec lui? (…)», ajoute-t-elle, se mettant dans la situation et reflétant comment elle réagirait si elle devait consoler quelqu’un dans ce contexte.
«(…) Passe à d’autres choses!», conclut l’ancienne candidate OD.
Capture YouTube @Entre Elle et Lui Podcast
Êtes-vous du genre à réagir comme Catherine dans ce type de situation?
«C’est qui que je fréquente? Bien, je ne vais pas dire son nom mais c’est quelqu’un d’intéressant. Il n’est pas connu, personne ne le connaît (…) il n’est pas actif sur les réseaux sociaux, c’est un beau monsieur qui fait du rodéo», a-t-elle révélé, mentionnant qu’elle ne donnerait pas plus d’informations sur le sujet.
«(…) normalement, ce n’est pas mon style, mais lui oui (…)», a-t-elle ensuite ajouté.
Mégane aurait donc trouvé quelqu’un qui, tout comme elle, partage une grande passion pour les chevaux.
Ce mercredi, Liliane et Coco étaient en mode survie à Big Brother Célébrités, discutant, entre deux puff de vapoteuse, des stratégies possibles pour échapper au bloc. Elles ont demandé à tous les joueurs de les sauver s’ils gagnaient le veto et, avec leur alliance, ont tenté de convaincre Emy de se joindre à leur équipe.
Capture Noovo
Pendant ce temps, chez les Fakirs, des désaccords ont éclaté concernant certains membres de l’alliance. Sinem a averti Jean-Thomas de se méfier de Fabiola, sa protégée, qui aurait laissé sous-entendre qu’il serait intelligent de l’éliminer.
Sinem, bien déterminée, a mis en place un plan visant à affaiblir l’alliance entre Jean-Thomas et Fabiola pour se rapprocher de lui et devenir sa nouvelle alliée de confiance.
Rusée comme une renarde…
Capture Noovo
Les candidats sélectionnés pour participer au challenge du veto aux côtés de Liliane et Coco étaient Fabiola, Jean-Thomas et Fred. En entrant dans la salle de jeu, ils ont découvert un défi emblématique: l’essuie-glace.
Chaque joueur devait faire fondre un énorme bloc de glace contenant le Véto, uniquement à l’aide de leur corps. Cette saison, une twist supplémentaire a été ajoutée: les joueurs devaient répondre à des questions tout au long du défi. Une bonne réponse leur permettait d’utiliser un souffleur à air chaud, tandis qu’une mauvaise réponse les forçait à quitter le jeu pendant deux minutes.
Ce défi a offert des moments inattendus: entre les coups de langue sur la glace et les stratégies dénudées, la compétition ressemblait à une version revisitée de Bleu Nuit.
Après plusieurs heures de lutte acharnée, une blessure digne d’une guerrière, et de nombreux efforts, Liliane a finalement décroché la victoire et remporté le véto.
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Maintenant, la question est sur toutes les lèvres: utilisera-t-elle le veto pour se retirer du bloc et sauver sa place dans la maison?
Ou commettra-t-elle un geste héroïque (ou suicidaire) en cédant son veto à Coco, dans un sacrifice digne de Jack pour Rose dans Titanic?
Julie Marcoux remplacera officiellement Sophie Thibault en tant que cheffe d’antenne à TVA Nouvelles au bulletin de 17h et 18h, après avoir assuré l’intérim pendant quelques semaines.
Mais une question demeure: qui reprendra le poste que Julie laissera vacant au bulletin de 12h?
La réponse est déjà connue!
TVA a récemment annoncé que le chroniqueur Philippe-Vincent Foisy quittera l’équipe de Salut Bonjour à la fin de la saison pour prendre la relève de Julie et devenir le nouveau visage du bulletin de midi.
DÉPART DE SOPHIE THIBAULT Un nouveau «trio de rêve» prendra la barre des bulletins d’information de TVA Nouvelles; découvrez qui sera aux commandes à 12h, 17h et 22h dès le 20 juin https://t.co/FecAmMbmg8
Le changement de poste entre Julie Marcoux et Sophie Thibault étant prévu pour le 20 juin prochain, on imagine que ce sera également à cette date que Philippe-Vincent Foisy prendra officiellement les rênes du bulletin de 12h.
Ce dernier aurait d’ailleurs confié à TVA Nouvelles qu’il était très fier de marcher dans les pas des grands et des grandes qui l’ont précédé.
Rappelons que Philippe-Vincent Foisy possède déjà de l’expérience dans ce rôle, ayant souvent quitté l’émission matinale temporairement pour remplacer sa collègue Julie Marcoux aux commandes du TVA Nouvelles Midi.
Félicitations à lui pour ce bel accomplissement, et nous lui souhaitons beaucoup de succès dans ce nouveau rôle!
Nous connaissons désormais l’identité de la personne qui prendra la relève, un visage déjà bien familier pour les fidèles téléspectateurs du réseau.
En effet, on apprend que c’est Julie Marcoux, qui assurait l’intérim de Sophie Thibault pendant les dernières semaines, qui prendra officiellement les rênes des bulletins du TVA Nouvelles de 17h et 18h, dès le 20 juin prochain.
«Je suis tellement, tellement contente! (…) Merci TVA réseaux pour la confiance!», a-t-elle partagé, visiblement comblée de bonheur de relever ce nouveau défi.
Nous lui souhaitons la meilleure des chances et la félicitons pour cet accomplissement.
Un moment où Maripier Morin a elle-même révélé avoir été en couple avec une femme.
«(…) Moi j’ai été en couple avec une… avec une fille, avec une femme, pendant presque un an (…)», a-t-elle lancé, étant aussitôt interrompue par sa collègue, qui a affirmé qu’elle ignorait cette partie de son histoire et qu’elle avait été surprise de l’apprendre.
Maripier a alors affirmé qu’elle n’avait pas souvent abordé ce sujet, car pour elle, cela semblait tout à fait naturel.
«(…) Cette fille-là, c’est Véro. Aujourd’hui, c’est ma meilleure amie, je suis la marraine de sa fille, c’est la marraine de la mienne. L’amour que j’ai pour cette fille-là est… à l’épreuve de tout (…)», explique-t-elle, précisant qu’elles étaient de grandes amies au début, mais que leur relation avait ensuite évolué vers quelque chose de plus intime et de différent.
«(…) C’était vraiment de l’amour, c’était plus que de l’amitié (…)», poursuit l’animatrice, racontant qu’elle s’était rendu compte qu’elle ne ressentait pas la même chose pour elle que pour ses autres amis, et qu’elle éprouvait le désir de partager une intimité avec elle.
Elle a ensuite expliqué que, pour elle, la sexualité était quelque chose de complexe et que sa relation avec son amoureuse du passé avait été très différente de tout ce qu’elle avait vécu auparavant avec les hommes de sa vie.
«(…) Je ne pense pas être une personne fondamentalement sexuée et avec Véro, il y avait beaucoup d’affection, il y avait beaucoup de chaleur humaine, il y avait beaucoup de tendresse (…)», témoigne-t-elle.
Elle a révélé qu’elle n’en avait jamais parlé à ses parents, mais elle pense qu’ils se doutaient de quelque chose.
«(…) Je pense que je ne suis pas bisexuelle, parce que ce n’est jamais remonté ce désir-là ou cette attirance-là envers d’autres femmes (…)», réfléchit-elle à haute voix, se demandant si elle est vraiment à l’abri de développer des sentiments amoureux pour d’autres femmes à l’avenir.
L’histoire d’Ève Landry lui a donc fait ressentir de nombreuses émotions.
Magazine Véro – Le mot de Louis : Le Québec et l’argent
L’animatrice lui a alors demandé quel était son propre rapport avec l’argent. Celui qui en gagne beaucoup a répondu qu’il s’agissait d’une question vaste, mais qu’il avait toujours souhaité en faire et en avait toujours fait un objectif.
«J’ai toujours voulu faire de l’argent, c’était un objectif dans ma vie (…)», répond-il, affirmant qu’en évoluant et en vieillissant, sa vision de l’argent change, puisqu’il réalise que même lorsqu’on atteint des objectifs financiers, il est toujours possible de ressentir un vide intérieur.
Un peu plus tard, l’animatrice est revenue sur les récents propos de Louis Morissette, où il mentionnait que le peuple québécois n’est pas dérangé par les émissions américaines qui mettent en avant le luxe et l’argent, mais que celles du Québec, en revanche, suscitent un malaise.
«(…) Moi, ça ne me rend pas bien et j’essaie de comprendre pourquoi je ne suis pas bien, parce que j’adore voir un ou une entrepreneur réussir (…)», affirme-t-il, en expliquant que cela est peut-être dû au fait qu’aux États-Unis, le luxe est associé à une société à laquelle il adhère moins et, puisque la distance crée un certain détachement, il perçoit cela comme une fiction.
En revanche, lorsqu’il voit cette démonstration de richesse au Québec, cela le trouble et l’exaspère davantage.
«(…) D’aller flasher ta richesse et tes chars de même, je trouve ça vulgaire!», soutient-il, en mentionnant que plusieurs personnes, ici, peinent à boucler leur budget et à faire l’épicerie.
Sentant probablement une porte s’ouvrir, Sophie a ensuite évoqué le cas d’IsabelleGauvin et de son mari Luc Poirier, qui participent à une téléréalité, et lui a demandé s’il trouvait vulgaire, dans le contexte économique actuel, que ce dernier ait exhibé ses grosses voitures lors du récent Salon de l’auto.
Après avoir expliqué qu’il se demande pourquoi, tout en précisant qu’il n’a rien contre les entrepreneurs qui réussissent et qu’il n’a aucune difficulté à les féliciter, il a lancé avec humour qu’il aimerait bien voir Luc Poirier s’impliquer dans la Fondation Véro et Louis, s’il possède tant d’argent.
«(…) Souvent ces grands entrepreneurs-là sont sur le spectre de toute façon», a-t-il répliqué après que Sophie ait précisé que Luc donnait toutefois à plusieurs fondations.
«(…) Pourquoi tu fais ça? Qu’est ce que ça donne (…) Est-ce que tu as réellement toujours le besoin de venir faire une entrevue avec le gros chandail (…) la grosse marque sur le devant qui veut dire qu’il vaut cher. Ce besoin-là d’en mettre plein la vue, moi je ne m’identifie pas à ça», est-il ensuite revenu, en lien avec la question de départ.
Cependant, il soutient que les gens sont libres de faire ce qu’ils veulent. Il a ensuite répété qu’il n’avait pas de réponse définitive, mais que, pour sa part, il ne se sentait pas à l’aise avec cette situation.
«(…) Moi, je ne suis pas bien (…)», affirme l’humoriste lui-même l’entrepreneur à succès.
«C’est arrivé qu’on a déjà vu notre maison, mais on fait bien attention, maison, chalet, auto, de ne juste pas écoeurer le peuple avec ça et ça m’agace quand d’autres le font, oui», a-t-il conclu.
Êtes-vous, vous aussi, mal à l’aise de voir des gens fortunés exhiber leur argent au Québec?
Après avoir expliqué que la partie la plus difficile de son parcours avait été de dépendre constamment des autres et avoir toutefois affirmé qu’elle avait adoré son aventure, elle s’est ouverte sur le départ de DanickMartineau.
«Ça m’a choquée (…) ça m’a choqué qu’il parte en disant: J’ai voulu. C’est comme s’il décidait de son départ (…) on joue, ou on ne joue pas (…) en tout cas, quand j’étais là, il jouait parce qu’il m’a mis à la porte. Alors là, tu ne peux pas choisir l’autre semaine de ne plus jouer sous le prétexte qu’il faut que tu laisses à une recrue toute la place (…) moi j’aurais aimé ça, à la première semaine, qu’une recrue ait toute la place. Ça m’a un peu choquée (…)», admet-elle.
Après avoir réaffirmé qu’elle n’avait vraiment pas aimé sa façon de réagir à la situation, elle a toutefois reconnu qu’elle devait se détacher du jeu.
C’est sur sa page TikTok qu’il a affirmé qu’il ne reviendrait pas au Québec, tout en expliquant les raisons qui l’ont poussé à partir et à s’établir si loin d’ici.
«(…) oui, j’ai quitté Montréal pour Dubaï et non, je ne reviens pas. La raison est la suivante: la situation au Canada, économique, n’est pas rassurante et beaucoup de mes investisseurs hésitaient à investir au Canada et prenaient plus en considération Dubaï.», dévoile-t-il, affirmant qu’il se trouve là-bas pour vérifier la réputation des entrepreneurs, les matériaux ainsi que les emplacements, dans le but de déterminer s’il y a réellement un potentiel de croissance.
De plus, il ajoute qu’il y règne une belle acceptation culturelle et que les priorités y sont bien établies.
En effet, un moment touchant et déchirant où elle revient sur le 4 février 2013, une date marquante où elle et sa famille ont appris qu’il n’y avait plus rien à faire contre le cancer de son frère Louis-Philippe, qu’il n’y avait plus d’espoir.
Elle raconte que lorsque le médecin a fait cette annonce, celle que personne ne voudrait jamais entendre, son frère, assis sur son lit d’hôpital, a simplement répondu qu’il comprenait, avant de s’éteindre trois jours plus tard.
«Tout le monde a une pire journée dans sa vie. Celle qu’on ne veut pas vivre, mais qu’on doit traverser.», s’ouvre l’animatrice, ajoutant que les raisons de chacun peuvent être bien différentes.
«Ce sont ces journées qui brisent quelque chose en nous et qui changent le cours de nos vies à jamais.», témoigne-t-elle.
Marie-Ève affirme que lorsqu’elle repense à ce moment, elle se demande ce que cela aurait changé s’il avait existé une pilule capable de faire disparaître la douleur, «pour ne pas vivre cet instant où tout bascule». Elle soutient ainsi, qu’elle l’aurait prise sans hésiter.
«La vie ne nous donne pas le choix, elle nous force à ressentir, à souffrir, à affronter ce qu’on voudrait fuir.», lance-t-elle, ajoutant que le temps passe et dépose une couche de douceur sur la douleur, sans pour autant l’effacer.
«(…) cette journée-là, elle ne disparaît pas, elle revient toujours (…)», livre Marie-Ève, expliquant que le 4 février est pour elle un rappel que certaines journées marquent à jamais.
Toutefois, avec le temps, elle a appris à accueillir cette épreuve différemment, en se rappelant de son frère d’une manière magnifique.
Elle a conclu sa lecture en affirmant que l’on ne choisit pas nos pires journées, mais que l’on choisit comment les vivre, et qu’elle avait envie de vivre celle-ci en partageant ce beau et doux message avec leurs auditeurs.
Le 4 février 2013, la pire journée de la vie de Marie-Eve. 🥺 🎙️Les filles du lunch 👯 Marie-Eve Janvier et @Maripier Morin 👂Lundi au jeudi dès 11h30 🎧 En ligne ou sur l’application mobile #radio#rythme#rythme1057#touchant#deuil