Ce mardi, le tribunal correctionnel de Paris a condamné Gérard Depardieu à 18 mois de prison avec sursis, pour des agressions sexuelles survenues en 2021 lors du tournage des Volets verts. Un procès sous haute tension, dont les débordements ont été dénoncés par la cour.
En complément de sa peine, l’acteur devra être inscrit au fichier des auteurs d’infractions sexuelles et sera inéligible pendant deux ans, tel que demandé par le parquet.
Le jugement, prononcé peu avant l’ouverture du Festival de Cannes 2025, repose sur la force des témoignages des deux plaignantes, que le tribunal a jugés d’une rare cohérence et d’une crédibilité sans faille.
Un verdict qui marque un tournant important, tant sur le plan judiciaire que par sa symbolique.
«(…) Je pense qu’il faut se regarder dans le miroir, tout le monde, et comprendre qu’on a un problème d’addiction collective au téléphone cellulaire, pas juste les jeunes (…) Ayons ensemble un débat de société sur la place des téléphones cellulaires dans nos vies, sans tomber dans l’intimidation. Parce que je vois beaucoup d’adultes partager des images comme ça. On enlève le téléphone des écoles pour éviter la cyberintimidation, et là, vous cyberintimidez un mineur (…)», lance-t-il, en montrant une image partagée par Richard Martineau sur sa page Facebook, se moquant du jeune qui a initié la grève contre l’interdiction.
Dès la rentrée 2025, les cellulaires, écouteurs et appareils mobiles seront bannis en tout temps sur le terrain des écoles publiques et privées, y compris pendant les pauses et l’heure du dîner.
Et vous, que pensez-vous de cette nouvelle mesure dans les écoles?
Simon-Olivier Fecteau a choisi ses réseaux sociaux pour évoquer la maladie d’Alzheimer dont souffre sa mère, et pour partager un moment touchant passé en sa compagnie
«(…) Je poste toujours des vidéos de mon père parce qu’il a 97 ans, et c’est exceptionnel. Il est en forme, ça n’a pas de sens. Et puis, je ne parle jamais de ma mère. Je ne parle pas de ma mère parce qu’elle est malade. Ma mère souffre de la maladie d’Alzheimer. Puis on n’affiche pas habituellement des vidéos de gens malades, parce qu’on veut voir des affaires positives, on veut voir des gens en forme. Mais probablement beaucoup de gens ont des membres de la famille qui souffrent d’Alzheimer, et peut-être que ça ferait du bien au monde de montrer qu’on n’est pas seul (…)», témoigne-t-il avant de raconter un souvenir bouleversant: sa mère, atteinte d’Alzheimer, a reconnu sa sœur après un court moment, et l’a couverte d’amour.
Dans son message, il tient à rappeler à ceux qui vivent la même réalité qu’ils ne sont pas seuls, et promet de s’engager plus activement pour la cause dans un avenir proche.
Un témoignage bouleversant qui serre le cœur et fait monter les larmes aux yeux.
On lui envoie tout notre amour et nos félicitations pour ce témoignage touchant, qui trouvera écho dans bien des cœurs.
«(…) Je n’ai pas été assez payé les huit, neuf, dix premières années de ma carrière, et j’ai été trop payé les cinq dernières de cette carrière en duo (…)», déclare l’invité.
«Ça se balance-tu ?», demande Hugo.
«Non (…) je suis encore perdant (…)», confirme José.
Hugo en a donc conclu que le duo avait été particulièrement lucratif.
«Aaahhhhahaha, *sti, dans les grosses années où ils vendaient de la pub, c’est malade! Je sais ce qu’ils m’ont donné pour revenir dans un contexte où la pub avait déjà commencé à se vendre moins. C’est malade, mais c’est correct, parce que je ne me suis jamais senti mal de mes cinq dernières années (…)», lance-t-il, avant d’être interrompu par Hugo, curieux de connaître un chiffre précis sur ce qu’on avait tiré de leur duo.
L’animateur a ensuite demandé combien ils leur donnaient par année, à cette époque-là.
«Mon premier contrat… Stéphane Rousseau, avant nous autres, avait gagné des centaines de milliers de dollars. Nous autres, on gagnait 35 000$ (…)», révèle-t-il, surprenant Hugo et jurant sur la tête de ses enfants pour confirmer la véracité de ses propos.
Après plusieurs efforts pour obtenir des hausses salariales et la création d’un spectacle stratégique qui a renforcé leur position, leur rémunération a connu une ascension fulgurante.
Plus tard dans la conversation, Hugo lui a demandé quel avait été son plus gros salaire durant ces années-là.
«(…) Je ne suis pas à l’aise de te le dire (…) Je ne suis pas à l’aise parce que les gens ne comprendraient pas comment ça peut arriver, et il y aurait du jugement. Et ils ne comprennent pas non plus tous les sacrifices, les impôts et les taxes qui viennent avec ça. Tu sais, je veux dire, les gens te regardent et ils ne réalisent pas ce que ça coûte en impôts (…)», explique-t-il, affirmant avoir fait sa part.
Pour conclure, José a évoqué l’idée que le gouvernement pourrait offrir des crédits d’impôt à la retraite, comme façon de rétablir un certain équilibre pour les artistes.
Une discussion franche autour d’un sujet encore tabou: l’argent. Un échange qui pousse à la réflexion.
«Dégueulasse (rires) oui, vraiment», lance-t-elle, avant de poursuivre.
«(…) On n’était pas obligés d’annoncer la séparation publiquement, mais en même temps, on avait tellement annoncé la relation publiquement qu’on a comme été cohérents là-dedans (…) Quand tu te sépares, tu es tellement à terre, tu as tellement le goût de te cacher. Là, tu n’en veux pas, de la lumière. C’était difficile de… dans une période où je voulais juste me cacher dans mon garde-robe, être sur le 7 Jours, les ruptures de l’année… on dirait que c’est un constat d’échec aussi. Et les commentaires peuvent être tellement… cruels (…)», témoigne-t-elle.
Capture YouTube @Marie-Claude Barrette
Marie-Claude a alors affirmé qu’elle ne comprend jamais pourquoi les ruptures deviennent des nouvelles, ajoutant qu’elle n’y voit rien de positif et qu’elle pense avant tout aux personnes concernées.
«Hey, nous, on était dans La Presse, c’était dans La Presse+. J’ai scrollé mon téléphone: Rupture Guillaume Pineault, Élisabeth Bossé, La Presse! Tu sais, je veux dire, HollywoodPQ, je veux bien là, ce n’est pas d’intérêt public tant que ça (…)», lance-t-elle, alors que Marie-Claude soutient que ce genre de nouvelles attire les lecteurs.
L’animatrice lui a alors demandé si tout cela était désormais derrière elle.
«Oui, et on est en bons termes, et c’est guéri. Et je m’étais dit que plus jamais je ne reparlerais d’un couple en public… et here we are (rires) (…)», affirme Anne-Élisabeth, en mentionnant son désir d’être authentique.
Nous lui souhaitons beaucoup de bonheur dans sa nouvelle relation, et de nombreuses années remplies d’amour!
Alors qu’elle avait pris les rênes de Bonsoir bonsoir! depuis quelques semaines, on apprend maintenant que Marie-Claude Barrette sera à son tour remplacée à l’animation.
Jean-Sébastien Girard assurera l’intérim à la barre des deux émissions de Jean-Philippe Wauthier jusqu’à son retour, à moins qu’un changement ne survienne d’ici là.
«Jean-Sébastien Girard prend le relais à l’animation temporaire de Bonsoir Bonsoir! dès le 2 juin», lance l’équipe.
Marie-Claude Barrette avait généreusement accepté de remplacer Jean-Philippe Wauthier en début de saison, mais ses engagements professionnels pour le reste de l’été ne lui permettent pas de poursuivre à l’animation.
Nous lui souhaitons bonne chance dans ses projets à venir, ainsi qu’à Jean-Sébastien dans ce nouveau défi!
Avec authenticité, Xavier Trudeau y partage sa réalité en tant que fils de l’ancien premier ministre et révèle ce qui l’a motivé à suivre sa propre voie dans la musique.
«(…) C’est différent, j’ai appris des choses que personne d’autre de mon âge n’apprenait à cette époque. J’ai rencontré à peu près toutes les célébrités de premier plan que tu peux imaginer. C’était toujours un bon sentiment jusqu’à ce que je devienne un peu plus vieux. C’est en fait une des raisons pour lesquelles je commence à faire tout ça, parce que ça m’a toujours donné une super bonne sensation, tu vois, être dans ces endroits, avec la sécurité autour de moi (…) peu importe… C’était toujours un truc de fou. Mais à l’intérieur, je me disais: Je ne me sens pas comblé, genre ce n’est pas moi, je ne suis pas celui qui crée cela pour moi-même. C’est justement pour ça que, en partie, je fais de la musique. Je veux me créer une identité à moi. Je veux être Xavier, je ne veux pas être le fils de Justin Trudeau. Je ne veux pas faire toutes ces choses cool juste à cause de mon père. Je veux les faire parce que ça vient de moi», répond-il après avoir été interrogé sur ce que c’était de grandir dans un environnement aussi unique.
Après que le canon ait projeté sa poussière bleue/mauve sur l’un des campeurs, le verdict est tombé: c’est Pascal qui a vu son aventure prendre fin. En danger aux côtés de Marc-Antoine et Sonia, c’est finalement lui qui a dû faire ses adieux à la jungle.
Capture TVA/Sortez-moi d’ici!
Lors de l’Estim-a-thon, les campeurs devaient replacer des événements marquants de la vie de Rosalie et de Guy en ordre chronologique.
Marc-Antoine et Pascal n’ont obtenu aucune bonne réponse, ce qui les a automatiquement placés en danger. Ils ont été rejoints par Sonia, arrivée ex æquo avec Gino. Toutefois, cette dernière a insisté pour que ce soit elle, et non Gino, qui prenne la place en danger.
Capture TVA/Sortez-moi d’ici!
Un geste de bravoure incroyable!
Main dans une boîte pleine de crapauds, les finalistes devaient deviner le bon nombre d’amphibiens en guise de défi ultime… un défi à la fois sensoriel et déstabilisant!
Capture TVA/Sortez-moi d’ici!
Malgré son sang-froid, Pascal a mal évalué le nombre de crapauds, scellant ainsi son départ de l’aventure.
Félicitations à lui pour cette belle aventure marquée par le courage.
La journaliste Jocelyne Cazin était récemment de passage au podcast Grains d’Espoir, animé par AngeloRubino, Julie Couture et Ève Salvail, où elle s’est ouverte avec franchise sur son combat contre l’alcoolisme.
C’est alors que Jocelyne et Julie échangeaient sur l’une de leurs rencontres passées, au cours de laquelle le sujet de l’alcool avait été abordé, que Jocelyne s’est ouverte sur sa consommation d’autrefois.
«(…) Je buvais à l’époque (…)», lance Jocelyne, suivie d’un commentaire de Julie qui mentionne qu’elle buvait même beaucoup.
«(…) Oui, mais pas le jour. Moi, je considère que je suis une alcoolique fonctionnelle: je n’ai jamais manqué une journée de travail, je ne bois pas le jour (…) je ne buvais pas le jour, je buvais à partir de 5 heures. Mais là, je peux vous dire que je buvais (…)», explique-t-elle.
Capture YouTube @grainsdespoir
Elle explique qu’elle optait pour des demi-bouteilles, en se disant qu’une seule serait suffisante… jusqu’à ce qu’une deuxième suive.
«Je ne me voyais pas arrêter de boire (…)», témoigne Jocelyne.
Julie, qui tentait de l’aider à l’époque, mentionne que Jocelyne se demandait pourquoi elle arrêterait, elle qui avait du plaisir à boire.
«(…) Je prétendais, moi, que je buvais pour le goût et non pas pour l’effet (…)», poursuit Jocelyne, expliquant qu’elle pensait qu’un alcoolique buvait pour ressentir un effet, ce qui, à ses yeux, ne correspondait pas à sa réalité.
«Le 22 septembre 2023, soirée bien arrosée chez moi avec des amis, et quand ils sont partis, ils m’ont dit que c’était autour de 10 h 30. Je dis «ils m’ont dit» parce que moi, je suis devenue complètement black-out et je me suis réveillée à 3 h du matin dans une grosse douleur. J’avais des gros maux dans le bas du dos, c’était épouvantable (…) À 7 h du matin, j’ai été obligée d’appeler l’ambulance (…) J’avais deux fractures lombaires, je me suis ramassée 32 jours à l’hôpital (…) et ç’a été le début de mon sevrage (…) C’était le deuxième accident en deux ans (…)», se remémore l’invitée.
«(…) Là, la vie m’a donné une autre chance, et vous savez quoi, j’estime que c’était peut-être ma dernière chance avant que ce soit trop tard (…) Parce que moi, je suis une fille chanceuse. Le nombre de fois où j’ai conduit en état d’ébriété, les nombres de gaffes que j’ai faites dans ma vie (…)», ajoute-t-elle, soutenant ne pas aller plus loin parce que c’est honteux.
Julie lui a alors demandé si elle est à l’aise d’en parler publiquement.
«(…) Savez-vous pourquoi je suis à l’aise? Parce que je suis sobre aujourd’hui (…)», affirme la journaliste.
«(…) Ça fait depuis le 23 septembre 2023. J’ai calculé tantôt: 500 quelques jours, presque deux ans. Je suis tellement contente (…)», souligne-t-elle.
Capture YouTube @grainsdespoir
Un témoignage vrai, touchant et rempli d’espoir, qui montre que même après les tempêtes, la lumière est toujours possible.