Il semblerait que de majeurs changements soient prévus au sein de BODi, une compagnie de type MLM (Multi Level Marketing), autrefois appelée Beachbody.
En effet, à partir du 1er novembre, la compagnie changerait drastiquement son modèle d’affaires de marketing multiniveaux pour un programme d’affiliation à un seul niveau.
Ce qui veut dire que la compagnie continuera d’exister, mais que plusieurs gestionnaires se retrouveront sans emploi étant donné que les équipes qu’elles dirigeaient… n’existeront tout simplement plus.
Une nouvelle qui fait énormément d’écho, surtout chez plusieurs influenceuses concernées, qui n’ont pas été prévenues au préalable de ces majeurs changements.
«Je me devais de prendre la parole ce matin concernant la décision que BODi a pris pour la compagnie (…) mon estomac est à l’envers depuis hier soir (…)», a témoigné Laurence Lanneville, une «partenaire» BODi.
«Je n’ai pas vraiment dormi de la nuit. J’ai eu mal au cœur toute la nuit (…) ça impacte précisément celles qui ont bâti des équipes (…). Il y a beaucoup de deuil en ce moment, grosse peine d’amour (…)», a déclaré Aurélie Dion, une autre «partenaire» BODi.
«(…) J’ai le cœur en miettes. Je suis une éternelle nostalgique et même si c’est loin d’être la fin pour BODi, nous allons vivre des changements qui vont «défaire» ce que plusieurs d’entre nous avons créé: nos équipes, notre modèle d’entreprise et bien plus (…)», a exprimé Marie-Philippe Desmarais alias Mme Coach, une autre «partenaire» BODi.
En marge de cette restructuration, BODi réduirait ses coûts, élargirait ses canaux de distribution et abaisserait considérablement son seuil de rentabilité.
Vous comprendrez donc que les programmes de récompenses tels que les sorties en équipe dans de beaux et luxueux chalets, ainsi que les voyages de groupes, seront eux aussi abolis.
Le grand gagnant d’OD Afrique du Sud, Adamo Marinacci, était de passage au podcast Hugo Girard Sans Limite animé par Hugo Girard.
Alors que nous avons l’habitude de voir un Adamo joyeux et drôle, voilà que l’on a pu découvrir une autre facette de lui puisqu’il s’est confié sur un sujet très personnel: son enfance.
C’est lorsque l’animateur lui a demandé s’il y avait des choses dont il ne parlait pas souvent qu’Adamo a confié avoir eu une enfance difficile.
«(…) J’ai eu une enfance quand même assez… assez rough. Rough émotionnellement plus que… mettons je ne me suis pas fait taper dans la face (…) mon père était très malade, ma mère 16 ans plus jeune (…). Elle a vécu des affaires vraiment, vraiment f*cked up quand elle était jeune, genre de l’inceste par son père (…)», s’ouvre-t-il.
Il a ensuite expliqué que sa maman était tombée enceinte de lui jeune, vers l’âge de 21 ans, alors que son papa avait autour de 37 ans et qu’il était déjà gravement atteint de la sclérose en plaques.
«(…) Il était déjà avancé quand il m’a eu (…) déjà la canne (…) ça n’a pas pris de temps que c’était la chaise roulante et après ça (…) tu ne bouges plus, là (…)», continue Adamo.
Adamo a ensuite expliqué que sa mère avait quitté le nid familial à 15 ans pour fuir les abus de son père et qu’environ six ans après, elle était tombée enceinte de lui.
Elle n’avait donc malheureusement pas eu le temps de régler ses traumas avant d’avoir un enfant et a, éventuellement, développé des troubles de dépendance.
Hugo a donc demandé à Adamo s’il avait souffert de ce contexte familial-là.
«(…) Ma mère, elle pensait que j’étais trop jeune pour le comprendre, mais je le comprenais bien plus qu’elle pensait (…)», lance Adamo.
L’invité explique alors qu’à un moment, sa mère n’était plus capable de subvenir à tous les besoins de son père malade et qu’ils avaient divorcé alors qu’il était âgé de cinq ans.
Un événement des plus marquants pour Adamo qui n’a presque plus parlé à sa mère après cela.
En effet, c’est alors que sa maman vivait une grosse déprime qu’elle a fait la rencontre d’un homme mauvais qui les a empêchés de se parler.
«(…) Tu sais, les trous du c*l, les bons cr*sse d’hommes possessifs, agressifs, manipulateurs and shit, bien ils arrivent et ne vont pas pogner une femme forte, en pleine capacité, ils pognent une victime qui est déjà à terre (…)», lance Marinacci, en expliquant que ce genre d’homme était entré dans la vie de sa mère et qu’il était jaloux de lui.
«(…) il était jaloux de son fils: moi. Il était jaloux, mais incroyable, elle ne pouvait pas me parler. Donc jusqu’à 12 ans, je n’ai pas parlé vraiment à ma mère et à la seconde où il était là je ne pouvais pas parler (…)», révèle Adamo, au grand découragement d’Hugo Girard.
Il explique que cette situation a duré de ses cinq ans jusqu’à ses 12 ans et que lui, en parallèle, il allait rendre visite à son père dans un centre et que celui-ci lui disait d’écouter sa mère malgré tout.
«(…) Moi, je ne parlais pas beaucoup quand j’étais jeune, ironiquement, j’ai l’air du gars qui ne ferme pas sa gueule (…) Quand j’étais jeune, je n’avais pas le droit de parler à ma mère, donc mon cerveau a fait: bon, bien, je ne parle pas (…)», explique-t-il, en mentionnant que les gens le percevaient comme étant doux et tranquille, mais que s’ils avaient creusé, ils auraient découvert qu’il y avait des raisons derrière ce comportement.
Adamo affirme avoir appris de tout ça, mais que ce n’est pas une situation amusante du tout.
L’ancien candidat d’OD a aussi révélé avoir surpris cet homme en train de frapper sa mère.
«(…) je me souviens encore de la fois… parce que j’entendais souvent du vacarme dans la chambre. Je ne rentrais jamais. À un moment donné, j’avais 11 ans et, là, j’avais pété une coche (…) j’avais ouvert la porte: Ah lâche ma mère! (…) et c’est là que j’ai vu tout ce qui se passe depuis toutes ces années-là, que j’entends crier et que j’entends bardasser, là, j’ai eu l’image sur le lit, claque, la main (…)», racontait-il en expliquant que sur le moment semblait irréel.
Hugo a alors demandé à Adamo s’il avait déjà été frappé par cet homme.
«Il m’a déjà squeezé mais, non, non, non, non, je ne pense pas que (…) bien, il y avait aussi ma grande sœur qui avait aussi des… qui avait des contacts (…)», lance Adamo, tentant de remettre de l’ordre dans ses souvenirs pour le moins troublant.
Toute cette expérience de vie a fait en sorte qu’Adamo a beaucoup d’admiration envers son père qui, malgré la maladie, était très positif.
La créatrice de contenu et entrepreneure, Lucie Rhéaume a dévoilé le montant que lui coûte son appartement et a fait une visite guidée de celui-ci.
C’est sur Instagram que le créateur de contenu Yannis Chaumard-Sevean a partagé une vidéo dans laquelle il s’adresse à Lucie dans la rue et lui demande combien lui coûte son appartement à Montréal.
«Excuse-moi, combien coute ton appartement à Montréal?», l’interroge-t-il.
«615 000 $», révèle-t-elle avant de le lui faire visiter.
Rappelons que c’est le 9 juin 2022 que Lucie a annoncé qu’elle avait fait l’acquisition de ce charmant condo situé dans le Vieux-Montréal.
«(…) Je suis saisie, comme on dit à Montréal!», lançait-elle en captant aussitôt notre attention.
Elle explique qu’en naviguant sur Marketplace, elle a découvert qu’une influenceuse y vend des produits qu’elle reçoit gratuitement de la part de compagnies.
«J’ai trouvé une influenceuse qui vend ses PR package pour de l’argent! (…)», peut-on l’entendre dire, visiblement très découragée.
«Ces compagnies-là prennent de leur argent et de leur temps pour t’envoyer un produit par la poste gratuitement et tu le vends», continuait-elle, poussant un petit cri d’incompréhension.
Elle a ajouté que l’influenceuse en question n’avait pas seulement fait cela une fois, mais bien à plusieurs reprises.
«Elle le disait literally elle était comme: J’ai reçu ceci dans un PR package et je n’en ai pas besoin et elle le vendait!», concluait-elle.
Dans les commentaires, quelques personnes affirment avoir vu, elles aussi, cette situation sur l’application de revente.
En faisant quelques recherches, nous avons découvert que l’influenceuse à laquelle fait référence Céline pourrait être une certaine Melissa A. Desmarais.
Celle qui compte plus de 200 000 abonnés sur la plateforme a partagé plusieurs annonces qui concordent avec ce que décrit Céline.
Que pensez-vous de cette situation? Est-ce acceptable de la part de cette influenceuse?
C’est sur Instagram que le créateur de contenu Yannis Chaumard-Sevean a partagé une vidéo dans laquelle il s’adresse à Lucie dans la rue et lui demande combien lui coûte son appartement à Montréal.
«Excuse-moi, combien coute ton appartement à Montréal?», l’interroge-t-il.
«615 000 $», révèle-t-elle avant de le lui faire visiter.
Rappelons que c’est le 9 juin 2022 que Lucie a annoncé qu’elle avait fait l’acquisition de ce charmant condo situé dans le Vieux-Montréal.
Alors qu’il s’ouvrait sur son enfance difficile, Hugo a demandé à Adamo, qui est marié, s’il désirait avoir des enfants.
«Oui. J’aimerais ça. Bien là, j’ai 36 ans, ma femme a 36, donc il faudrait qu’on fasse ça au plus cr*sse, mais chaque chose en son temps», avouait-il dans un premier temps.
Il semblerait d’ailleurs que ce ne soit pas seulement un projet prévu pour le futur mais que le couple soit présentement en tentative.
«On fait bing bing et je viens dedans et c’est good, là, mais on va voir… oups!», lançait-il, s’apercevant des mots qu’il avait employés pour parler du sujet.
Hugo a donc fait la même conclusion que nous et lui a demandé si ça allait arriver et s’ils travaillaient sur le projet.
«(…) Espérons-le (…) mais imagine que je suis… je ne sais pas moi (…)», lançait-il en voulant probablement parler d’infertilité.
Hugo lui a alors demandé si ça faisait longtemps qu’ils essayaient.
«Non, ça ne fait pas longtemps, donc je ne suis pas inquiet (…)», affirmait-il.
Nous souhaitons donc à Adamo et à sa conjointe que leur désir d’avoir un enfant se réalise si tel est le cas.
C’est sur Instagram que la créatrice de contenu a partagé plusieurs stories dans lesquelles elle partage son expérience à ce verger situé à Saint-Grégoire.
«C’est la saison des pommes!!», lançait-elle en marge d’une photo d’elle en pleine action.
«Les beignets aux pommes sont incroyables! Je comprends maintenant le hype», continuait-elle, nous faisant saliver.
«Pour les amateurs de cidre, on a même fait la dégustation de leurs produits (btw ils sont ouverts à l’année!). Agréablement surprise et fière de consommer des produits frais d’ici», lançait-elle, nous donnant envie de nous mettre au calendrier une petite visite.
«Et leur jus de pommes fait maison: 10/10», concluait Florence.
Lors de vos visites au Verger Charbonneau, vous pourrez découvrir une variété de délicieuses pommes à leur apogée de fraîcheur.
De la jaune transparente croquante dès fin juillet à l’Ambrosia sucrée en octobre, chaque variété offre une palette de saveurs à explorer.
De plus, sur place, on retrouve une crêperie, vous pourrez donc combiner votre cueillette de pommes à un petit déjeuner en famille.
Sébastien Benoît a passé du bon temps en présence de son père à l’occasion de son anniversaire et ensemble, ils ont choisi de célébrer cette journée dans un restaurant de Montréal.
L’animateur chouchou a partagé sur Instagram quelques photos de ce moment au Casavant, une brasserie française que l’on retrouve à Villeray.
«Bonne fête papa!», lançait-il en marge d’une photo de lui et son papa trinquant à l’aide d’un bon verre de vin!
Le restaurant propose de nombreux mets savoureux tels qu’une tartelette provençale, du tartare de bœuf et un flétan de la Gaspésie.
Pour accompagner ceux-ci, il vous est possible de commander une bonne bouteille de vin et si on se fie à la carte, vous aurez l’embarras du choix.
«(…) Je trouve que la vie va trop vite (…) j’ai le goût de bâtir une vie avec quelqu’un aussi, je suis encore célibataire, je trouve que ce côté-là de ma vie, qui est un autre de mes complexes, je ne sais pas ça va être quoi l’issue et là, je vois le temps avancer et je suis comme: C’est plate, c’est plein d’années que je n’aurai pas passées avec quelqu’un à avoir des projets (…)», explique-t-elle.
Un peu plus tard, Sabrina est revenue sur ce complexe, qu’elle estime en être un sur ses patterns amoureux… et elle a développé davantage sur le sujet.
«(…) En fait, mon complexe, c’est mon pattern amoureux d’attirer à moi, vraiment uniquement des garçons qui sont non disponibles émotionnellement (…)», affirmait-elle, en regardant tout droit vers la caméra, le sourire aux lèvres.
L’animatrice a alors dit qu’elle vivait la même chose qu’elle et on est certains qu’elles ne sont pas les seules!
«(…) Ce n’est pas des salauds, non. Ce n’est pas des pas fins. Je veux juste mettre ça au clair, ce n’est pas des pas fins, c’est (…) non disponible émotionnellement (…)», ajoute Sabrina Cournoyer.
«(…) Je cherche une validation extérieure et cette validation extérieure, on dirait que (…) j’ai l’impression qu’il faut se battre pour obtenir l’approbation des autres et qu’il faut se battre pour obtenir l’amour des autres (…)», lance-t-elle, en expliquant que, souvent, lorsqu’elle rencontre des hommes sur qui elle capote, quand les choses commencent à devenir sérieuses et profondes, ils se referment comme des huîtres.
«(…) C’est à ce moment-là que je vais me faire servir le: Hey, finalement, je ne suis pas prêt à offrir plus, je pense que je ne suis pas rendu-là, je pensais que j’étais prêt, finalement… je ne suis pas prêt, tu es une personne extraordinaire, mais je ne pourrai pas faire plus (…) et c’est comme s’il y a des fois où je me suis obstinée et tant mieux, j’ai changé, mais je me suis obstinée à faire: Ah ben non, c’est correct, je vais prendre ce que tu me donnes (…)», étant consciente que ce n’est pas bien d’accepter des «miettes de temps» et d’être dans des situations compliquées et peu claires.
Elle a ensuite affirmé qu’elle avait réalisé qu’elle avait longtemps accepté ça puisqu’elle pensait que c’était un combat et que c’est c’était ce qu’elle méritait.
Sabrina confie d’ailleurs que sa dernière année de fréquentations a été composée de situations compliquées, comme elle l’a décrit, et qu’elle avait ensuite récemment réalisé qu’il fallait quitter la relation lorsque l’autre personne donne des signaux de réticence à la place de se battre pour la convaincre d’être avec elle.
C’est toutefois un pattern duquel elle a de la misère à se défaire.