Pascale de Blois et Zoé Duval étaient de passage au 5 à 7 podcast, pour un épisode dans lequel ils ont abordé plusieurs sujets tels que le deuil, la popularité à un jeune âge, les difficultés relationnelles, la voyance et… les tensions entre les influenceurs et les autres artistes au Québec.
À un moment, l’une des animatrices a demandé à Pascale de lui parler du voyage à Mallorca qu’elle a offert à sa maman pour son 55e anniversaire.
Pascale a répondu que c’était très amusant et l’animatrice a renchéri en lui disant qu’elle s’était demandée d’où l’idée lui était venue de la surprendre et s’il s’agissait d’un partenariat caché.
Sans hésitation, la créatrice de contenu a affirmé que non, ce n’était pas un partenariat caché.
«Non, non, ça je ne ferais pas ça, mon Dieu. Ça me fait assez ch*er quand je vois des pubs… surtout en ce moment, là, les acteurs et les humoristes… ils ont toujours bashé les influenceurs (…) et ils se mettent à faire des pubs», déclarait Pascale, visiblement atteinte par la situation.
«En cachette!», ajoutait Zoé.
«En cachette! Et ils ne vont jamais dire que c’est une pub, sauf que si (rires) tu as un e*ti de gros logo en arrière de toi et que tu parles de la marque, même si elle est tournée professionnellement, il faut que tu le mettes ton #ad; faut que tu le dises que c’est une pub, mais jamais ils vont le dire, jamais ils vont l’avouer. Et quand c’est une pub qui est vraiment sortie, là c’est partout dans le Journal de Montréal et c’est les influenceurs qui font des pubs et qui vendent des produits, mais c’est la même affaire que telle personnalité qui porte du Prada et qui fait juste tagguer Prada, ou qui boit un grand, beau, verre de lait sans mettre un #ad (rires)», continuait-elle, en donnant des exemples assez précis et ayant visiblement des noms en tête.
Avez-vous, tout comme Pascale et Zoé, remarqué ce genre de situation?