La flamboyante Patsy Gallantétait de passage en tant qu’invitée au balado La vie sociale, un moment très divertissant où elle s’est ouverte sur plusieurs sujets plus intéressants les uns que les autres!
Dès les premières minutes, l’animateur a mentionné avoir de la difficulté à croire que la star est maintenant âgée de 76 ans, une remarque qu’elle semble souvent entendre puisqu’elle lui a répondu que les gens oublient souvent son âge.
Il a donc renchéri en lui demandant pourquoi, selon elle, les gens avaient tendance à oublier ce détail.
N’hésitant pas une seconde, Patsy a répondu qu’il s’agissait d’une question d’énergie et de passion du métier, deux choses qu’elle possède visiblement toujours.
Elle a enchaîné en mentionnant que certaines personnes vieillissent plus vite et que d’autres, comme elle, ne changent pratiquement pas d’année en année.
Voulant parler de l’impact qu’a la cigarette sur le vieillissement de la peau, la star a révélé une tout autre information bien cocasse!
«Je n’ai jamais fumé de ma vie, je ne prends pas de…de…», affirme-t-elle cherchant un peu ses mots.
«De drogue?», demande alors le coanimateur.
«(…) Oui j’ai pris de la drogue, dans les années 70… ah bien oui, ça, c’était à la grosse mode, la coke! J’ai tout, on a tout passé ça!», lançait-elle assumée comme à son habitude, en spécifiant tout de même qu’elle n’en fait plus aujourd’hui!
Cependant, celle qui affirme n’avoir jamais fumé de sa vie mentionne tout de même avoir gardé un petit vice: le verre de vin en mangeant!
«(…) je ne suis pas une grosse buveuse; moi j’ai besoin de mon vin en mangeant, c’est mon bonheur après un show! (…)», lance Patsy Gallant en s’assurant de mentionner que cependant, elle ne boit jamais avant un spectacle puisque l’alcool assèche les cordes vocales, explique-t-elle.
Même si la passion pour le métier et l’énergie sont deux choses qui la gardent jeune, elle avoue tout de même que la génétique joue un grand rôle en ce qui concerne son apparence et… un peu de skin care depuis l’âge de 18 ans!
Voilà, vous connaissez maintenant toutes les astuces de la chanteuse, qui vous permettront d’être aussi éclatante et ravissante qu’elle à son âge!
NIGHTLIFE souligne ses 25 ans et pour l’occasion nous nous sommes entretenu avec l’équipe du Café Campus, un endroit où plusieurs ont passé et passent des soirées inoubliables!
Ayant une grande réputation au près des étudiants, le Café Campus fait partie des bars les plus connus de la métropole! Piste de danse, ambiance incroyable et musique à faire danser toute la nuit, c’est l’endroit idéal pour lâcher son fou entre amis, un vendredi soir… ou n’importe quels autres soirs!
NIGHTLIFE: «Parlez-nous de l’histoire du bar et de sa création?»
Café Campus: «Le Café Campus a ouvert ses portes en 1967 et se présente depuis sa fondation comme «le carrefour de la jeunesse étudiante» avec son menu à bas prix, puis plus tard l’ajout de spectacles et d’une piste de danse. À ses débuts, il était principalement un lieu de rassemblement pour les étudiants des universités et d’enseignement supérieur de Montréal. Il offrait un espace convivial pour se détendre, discuter autour d’un café avec une musique de fond. Relocalisé sur le Plateau en 1993, aux frontières du Quartier des Spectacles, du Plateau Mont-Royal et du campus de l’Université McGill, la piste de danse du Café Campus est devenue au fil des ans, un haut lieu de la fête nocturne Montréalaise. Dans les années 70, en plus de son bar et sa salle à manger, le Café Campus s’est taillé très vite une solide réputation de boîte à chansons. Presque tous les grands noms de la chanson québécoise s’y sont produits. Pour perpétuer sa réputation, la salle de spectacle actuelle du Petit Campus est devenue un lieu de diffusion reconnu et primé, et continue de recevoir des artistes locaux et de renommée nationales et internationales (Pink, Queens of the Stone Age, Alanis Morissette, The Kills, Arkells, Daniel Boucher, James Blunt, Québec Redneck Bluegrass Project, Les Cowboys fringants, TameImpala, Les Colocs, Cord Lund, The Strombellas et bien d’autres! En 1981, l’entreprise du Café Campus est achetée à l’Association étudiante de l’Université de Montréal par ses employés. Les travailleurs et travailleuses du Café Campus ont depuis une mainmise directe et démocratique sur leurs conditions et la gestion. Le 3 mars 1993, les travailleurs et travailleuses du Café Campus se constituent en Coopérative de Travailleurs et démontrent depuis ce temps que le modèle coopératif est viable et inspirant. Développé par l’ingéniosité collective, inspiré par ses usagers et opérant selon une démarche d’égalité, de tolérance et de non-violence, le Café Campus opère quatre bars, sur trois étages, 364 jours par année avec sa boîte de nuit et une imposante diffusion de spectacles. Le Café Campus a été et est toujours un haut lieu de la fête nocturne et un centre de divertissement exemplaire dans le paysage culturel montréalais. Avec sa programmation diversifiée et son ambiance électrique, le Café Campus est devenu un pilier de la vie nocturne à Montréal. Il a contribué à façonner la culture musicale de la ville et reste un lieu incontournable pour les étudiants et les amateurs de musique de toutes générations. »
NL:«Quels sont les défis d’adaptation d’année en année?»
CC: «Pouvoir toujours proposer des tarifs abordables à nos clients malgré l’inflation. Nous sommes pour l’inclusivité au Café Campus et que tous et chacun puissent sortir indépendamment de ses moyens.»
NL: «Comment la pandémie a-t-elle affecté votre entreprise?»
CC: «Nous avons dû fermer pendant deux ans, de mars 2020 à mars 2022, n’étant pas un service essentiel aux yeux du gouvernement et ayant perdu un peu le bouche à oreilles qui circulent entre les étudiants sur notre boîte de nuit et nos soirées thématiques, la réouverture fut un vrai challenge, mais ensemble nous avons pu relever ce défi, malgré les obstacles et difficultés rencontrées. Notre salle de spectacle, le Petit Campus, s’est adapté en proposant des spectacles virtuels pour maintenir la diffusion de la scène musicale et promouvoir le milieu culturel. De plus, lorsque nous avons pu réouvrir avec les mesures sanitaires, le Petit Campus proposait des spectacles assis.»
NL: «Un plus beau souvenir de votre établissement?»
CC: «Tournage de l’émission culte Piment fort, jeu télévisé québécois animé par Normand Brathwaite diffusé quotidiennement en semaine entre 1993 et 2001. Piment fort réunissait chaque soir trois invités qui devaient jouer à différents jeux à saveur humoristique, dont Ça rime en crime, Striptease et Trouvez l’intrus. Puis les deux dernières saisons de 2016 et 2017 ont aussi été tournées au Café Campus à la demande de Normand Brathwaite, qui voulait rester dans le même lieu que 15 ans auparavant. C’était toute une organisation et ça brassait dans tout les sens, mais quelle expérience et quel beau souvenir!»
NL: «Quel est le cocktail le plus populaire chez vous?»
CC: «Shot de Tequila et le Pornstar! Difficile de savoir lequel des deux nos client.e.s apprécient le plus!»
NL: «Le secret pour une ambiance réussie?»
CC: «Meilleurs DJs en ville, qui s’adapte à sa clientèle et suis le move toute la soirée.»
Éclairagiste au top
Portiers aux aguets pour nous assurer une soirée en toute sécurité
Des barmaids/barmen d’une patience incroyable malgré le peu de tips
Et l’essentiel: des clients de bonne humeur et respectueux
NL: «Quelles sont les différences au niveau de la clientèle entre l’année de son arrivée en business et maintenant?»
CC: «La clientèle du Café Campus (le club) a toujours été très jeune et étudiante puisqu’il a été conçu par une association étudiante. Quand à la clientèle de la salle de spectacle du Petit Campus, elle est plus vieille que celle du club, mais elle a toujours été assez variée comme les show que l’on propose.»
NL: «Un mot pour inciter les gens à venir vous voir!»
CC: «Le Café Campus est le club le moins cher à Montréal avec une ambiance de feu! À chaque année, on vous prépare un festival de la rentrée étudiante, afin de faire découvrir aux nouveaux arrivants, le Café Campus et nos soirées hebdomadaires : Mardi Rétro, Jeudi 2000, La Boom et nos Week-ends X-Larges. Un festival à ne pas manquer, avec une thématique à chaque soir! Le Petit Campus est une salle de spectacle à taille humaine, conviviale avec une programmation variée. Parfait pour venir voir nos artistes préférés comme pour découvrir un nouveau band, puisque nous proposons également des lancements d’album, avec comme volonté de faire rayonner la scène musicale Montréalaise (et internationale)!»
On vous invite à encourager l’établissement iconique de la métropole et nous remercions l’équipe de nous avoir donné de leur temps et partagé avec nous leur belle histoire.
En effet, c’est dans une vidéo partagée sur TikTok, dans laquelle elle réagit aux photos des nouveaux candidats, qu’Ally a dévoilé qu’elle le connaissait très bien et qu’elle avait été à la même école secondaire que lui.
«Bon Étienne, comme on se retrouve! Donc potins, potins, potins, je suis allée au secondaire avec Étienne, c’est l’ex, ex, ex à une de mes amies de très longtemps (…) Étienne je le connais très personnellement, je sais c’est quel genre de personne… (…) vous irez voir sa vidéo de présentation, ça dit tout et quand même, ça ne ment pas! (…)», lançait-elle, ayant visiblement une opinion sur sa personne.
Il est difficile de savoir si la créatrice de contenu a de bons mots à dire au sujet d’Étienne…
C’est sur Instagram que la maman, créatrice de contenu et entrepreneuse a partagé un long message où elle fait une réflexion quant aux hommes avec qui elle a partagé sa vie et sur sa manière d’être, en relation.
Dans ce texte elle aborde le fait qu’elle est parfois aveugle lorsqu’elle est en amour, qu’elle a de la difficulté à faire face à ses émotions et qu’elle pardonne facilement lorsqu’on lui fait du mal, bref, elle se met complètement à nu.
«L’autre fille, tu sais CETTE fille avec qui il t’a trompée et qui devient ta nouvelle obsession.. et bien la fille n’est pas la vraie obsession, la vraie obsession c’est: essayer de savoir pourquoi? Qu’avait-elle que je n’ai pas? Qu’aurais-je pu faire différemment? Est-elle plutôt son type? Je me suis posé ces questions bien trop de fois dans ma vie et je me suis posé les mauvaises questions. Depuis que je suis une jeune adolescente (environ 14 ans), j’ai été trompée dans la plupart de mes relations (je ne vais pas dire de noms donc ça ne vaut pas la peine de spéculer, car on ne veut pas accuser les mauvaises personnes, je suis seulement ici pour parler de moi et de mes sentiments!). C’est presque devenu une habitude et j’en suis devenu désensibilisée, je pardonnais très facilement et à un moment donné, quand j’apprenais la nouvelle, ma première réaction était: C’est reparti. J’ai aussi commencé à croire à la théorie du c’est dans la nature des hommes, j’essayais de trouver une explication logique, je suppose, pour me sentir mieux parce que c’est toujours trop douloureux à vivre. Et le pire chez moi, c’est que quand je suis amoureuse, je suis légitimement l’humain le plus aveugle de cette planète, je suis tellement délirante, je ne peux pas croire que la personne que j’aime ferait ça sans explication raisonnable, je trouve des excuses pour eux tellement facilement parce que je ne veux pas avoir à subir toute cette douleur. Je veux juste m’en remettre et passer à autre chose, mais cela arrive encore et encore. On m’a souvent dit que c’était peut-être parce que je ne suis pas en sécurité, mais ce n’est vraiment pas ce que je ressens. Je pense que dans tous les aspects de ma vie, j’ai vraiment du mal à faire face à de mauvaises émotions intenses (…) En ce moment, je suis vraiment en pleine spirale, donc je suis désolée si la description va un peu dans tous les sens, j’écris littéralement en réfléchissant, mais ça me fait du bien de le sortir. Ça me manquait d’écrire ici mes émotions peu claires et d’entendre parler de votre point de vue féminin ou de vos propres histoires. Moi après m’être relue: *quand j’ai commencé à écrire, je pensais que je finirais par me demander pourquoi les hommes trichent, mais finalement je me rends compte que l’ensemble revient à moi qui refuse d’affronter l’horrible vérité dans la plupart des aspects de ma vie», lançait-elle ayant visiblement le besoin d’extérioriser ses pensées.
Dans les commentaires, plusieurs ont été touchés par ses mots et ont tenu à la rassurer en lui affirmant qu’elle n’est pas le problème.
Selon ce que rapporte le journal local, La nouvelle union, la jeune femme qui se trouvait au palais de justice de Victoriaville le 16 août 2024 aurait plaidé coupable à deux chefs d’accusation.
Dans un premier temps, l’accusée âgée de 24 ans aurait plaidé coupable d’avoir fraudé un montant d’une valeur de moins de 5000$ en septembre 2021.
Retour sur les événements
La jeune femme aurait mis une annonce en ligne sur Marketplace dans laquelle elle mentionnait vendre une piscine.
Après s’être entendu avec la «vendeuse», le plaignant lui aurait fait un premier versement d’une somme de 500$ dans le but d’obtenir la piscine en question.
Lalonde aurait ensuite déposé l’argent dans son compte bancaire et n’aurait plus donné aucune nouvelle au plaignant qui n’aurait plus jamais revu la couleur de son argent.
Celle qui était visée par un mandat d’arrestation pour ne pas s’être présentée en cour, dans le cadre d’un autre dossier de fraude, aurait menti sur son identité lorsque des policiers de Blainville ont procédé à son arrestation.
La vraie Megan
Ayant eu la possibilité de s’exprimer, Megan aurait affirmé à la cour que son séjour en prison lui aura été bénéfique puisqu’il lui aurait permis de «retrouver la vraie Megan».
Sortie de prison
Toujours selon La nouvelle union, une fois sortie de prison, la jeune femme sera en probation pendant une durée de 18 mois, dont 12 avec un suivi probatoire.
Elle aura d’ailleurs un an pour rembourser son vol d’une valeur de 500$ au plaignant et il lui sera interdit de communiquer avec celui-ci.
Lalonde n’aura pas, non plus, le droit posséder des cartes et documents bancaires qui ne sont pas libellés à son nom.
Mise en garde
Le juge Simon Ricard aurait tenu à la mettre en garde que si elle s’avisait de récidiver, la peine d’emprisonnement serait plus sévère!
Cependant, il semblerait qu’il ne soit pas le seul à entretenir une relation d’amitié avec un ex-OD, parce qu’Aleksa est lui aussi ami avec quelqu’un que vous connaissez, notamment grâce à sa participation à la téléréalité.
Le grand dévoilement est un moment que les fans attendaient avec impatience, très excités de découvrir les personnalités qui nous divertiront les soirs de semaine et le dimanche.
Cependant, plusieurs ont rapidement dénoncé une situation qui est soulevée pratiquement chaque année, soit le manque de diversité dans le choix des candidats.
L’ex-candidate d’OD dans l’Ouest, Jolie-Ann Brazeau, qui se décrit comme militante contre le racisme systémique, ne s’est d’ailleurs pas gênée pour partager le fond de sa pensée sur le sujet.
«C’est toujours un plaisant de voir à quel point vous intégrez la diversité dans vos choix», lançait-elle, visiblement sarcastique.
Plusieurs autres semblent être du même avis qu’elle.
L’âge des participants est un enjeu qui a aussi été souligné dans les sections commentaires sous les publications récemment faites par l’équipe.
Et vous, trouvez-vous qu’il manque de diversité et que les candidats sont trop jeunes?
Noémie Marleau d’OD chez noussouligne l’anniversaire de son amoureux rencontré lors de la populaire téléréalité, Vincent Beauregard.
En l’honneur de cette journée spéciale, la propriétaire de la compagnie Café Noma a partagé plusieurs stories sur sa page Instagram dans lesquelles elle se remémore les balbutiements de leur belle histoire d’amour dont vous avez pu être témoins lors de l’émission.
«Happy…. special day today», lançait-elle dans un premier temps.
«Birthday», continuait-elle en marge d’une adorable photo de Vincent et leur chat, se donnant de l’affection.
«Love you! My best friend, my partner. To many more years of blessings together», ajoutait Noémie, visiblement comblée de bonheur d’être celle avec qui il partage sa vie.
Noémie a ensuite partagé un adorable et cocasse souvenir de leur tout premier rendez-vous amoureux!
Les amoureux filent maintenant le parfait bonheur depuis quatre belles années!
Après avoir reçu un commentaire négatif à son égard, la reine du true crime a partagé des stories dans lesquelles elle témoigne qu’elle sent que les femmes sont toujours plus jugées que les hommes, sur les réseaux sociaux.
«Mon chum et moi, on regardait les commentaires du podcast de notre cher ami hier et on est tombés sur ce commentaire, qui semble innocent à première vue… Et je dois le dire, ça me fait CAPOTER la misogynie sur internet. Genre le commentaire est beau pour Bob, et j’adore qu’il soit apprécié à sa juste valeur», lançait-elle dans un premier temps, visiblement contrariée de vivre cette situation.
«Mais pour faire SOUVENT des podcasts avec Bob, autant à Trip de Bouffe que lorsqu’on est invités, c’est pas rare que je reçois ce type de commentaires: que je fais des commentaires «insipides» ou que je «parle comme une blonde». Aussi, que je coupe la parole à Bob… Hey! On est dans une discussion, on est en couple; c’est normal qu’on se coupe la parole des fois, autant l’un que l’autre! Bob, JAMAIS il reçoit ce type de commentaires, mais moi, toujours! Bref, je voulais vous partager ça, c’est incroyable comment les femmes on l’a plus « rough » sur l’internet», continuait-elle en témoignant aussi de ses expériences passées.
«Je veux juste dire, moi ça me fait capoter. C’est pour ça que j’en parle; ça me fait capoter la différence entre les commentaires que les hommes et les femmes vont recevoir… Bob ça fait 15 ans qu’il est sur internet et plus, et le seul mauvais commentaires qu’il va recevoir c’est que sa recette de brownies est pas bonne, tsé. Alors que moi, ça va être des commentaires, plusieurs par jour, sur mon poids, mon apparence, ma façon de m’exprimer, sur mes compétences. Chaque mot que je vais dire est observé à la loupe, mon accent (…) je ne suis pas la premières à le dire, toutes les femmes sur internet le vivent (…)», concluait-elle espérant fort probablement que le message sera passé.
Avez-vous déjà vécu une situation comme celle de Victoria?
L’une des candidates de la nouvelle télé-réalité Les Traîtres, Meriem,était de passageau 5 à 7 Podcast, durant lequel elle s’est confiée avec transparence sur divers sujets.
Celle qui a su créer de fortes réactions auprès des membres et des téléspectateurs de la télé-réalité pendant la saison s’est ouverte sur les trahisons qu’elle a vécues par le passé, sur le gros mensonge de Michel et sur ce qui la pousse à porter des lunettes de soleil en tout temps.
Les deux animatrices lui ont d’abord demandé quel genre de trahisons elle avait vécues dans sa vie.
«J’ai vu toutes les trahisons, je ne sais pas, on dirait que j’attire (…) le concept de trahison. Je l’attire, j’ai vu des trahisons de familles, des trahisons en amour, en amitié, tous les gens en qui j’ai fait confiance. Pourtant, j’étais là pour eux», a-t-elle expliqué en affirmant avoir participé à l’émission pour guérir ses traumatismes, de manière à combattre le mal par le mal.
Elle avoue avoir été intense avec les candidats, mais souligne avoir été avec elle-même et avoir fait un énorme travail personnel.
La conversation a ensuite dérivé sur la fameuse histoire des lunettes, qu’elle explique plus en profondeur.
«Je ne te connais pas, je ne te donnerai jamais mon eye contact, il te faut vraiment du temps avec moi pour que je puisse me sentir à l’aise avec toi (…). Je ne fais pas d’eye contact de peur que les gens utilisent la peine qui est dans mes yeux. Pour moi, c’est une faiblesse de me dévoiler parce que mon vécu, il est dans mes yeux (…). Pour moi, c’est ma sécurité, mes lunettes», s’ouvre-t-elle en affirmant que ce n’est pas une raison esthétique.
Meriem a raconté qu’un ex l’a même déjà quitté parce qu’elle ne désirait pas enlever ses lunettes de soleil en présence de sa mère, ce qui a mené à une chicane.
Elle admet même dévier du sujet lorsqu’elle est en date et qu’un prétendant lui demande pourquoi elle porte des lunettes en tout temps.
Questionnée sur le fonctionnement des rassemblements entre traîtres qui se produisent la nuit, l’une des animatrices a demandé à la candidate comment ça se pouvait que les fidèles n’entendent pas qui se lèvent au milieu de la nuit pour comploter:
«Ils font la danse des éléphants, il y a toute la prod qui tape sur des tambours, qui court partout, qui crie (…) C’est juste après la table ronde, mais ça pouvait aller jusqu’à 1 heure du matin (…) On ne dormait pas.»
Finalement, l’une des animatrices lui a demandé quelles étaient leurs réactions quand ils ont appris que Michel n’avait pas réellement une fille handicapée.
«En sortant, lui, il ne l’a pas annoncé. J’ai passé une nuit à pleurer avec les nounous dans ma chambre (…). Je demandais à tout le monde: S’il vous plait, s’il vous plait, je veux juste avoir cette réponse-là! Mais rien. (…) En sortant, ça a été la première chose que j’ai sue (…). Je pense que c’est Chris qui me l’a annoncé (…)J’ai dit: Ouais, normalement, je le savais (rires) théoriquement», a-t-elle relaté.
Dans cet épisode du podcast, on apprend à découvrir la femme rigolote, réfléchie et honnête qui se cache derrière le personnage présenté dans la télé-réalité. Et ça vaut franchement le coup!
Bonne continuité à elle et nous la remercions pour la grande dose de divertissement qu’elle nous a fournie durant son passage aux Traîtres.