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Elisabeth Rioux a fait la fête avec quelques vedettes bien connues!

Elisabeth Rioux a célébré Halloween à Los Angeles, où elle a eu l’occasion de côtoyer plusieurs célébrités!

C’est sur sa page Instagram que la star du web a partagé de nombreux clichés de son Halloweekend, qui semble avoir été particulièrement festif. 

On aperçoit nul autre que… Kid Laroi en plein prestation, notamment!

Il semblerait d’ailleurs que Kid Laroi ne soit pas la seule célébrité avec qui Elisabeth a eu la chance de faire la fête…

«It also means you’ll see real life Grinch», lance-t-elle accompagné d’une photo sur laquelle se trouve le célèbre DJ Diplo.

Ce n’est pas tout! Il semblerait que la créatrice de contenu ait également eu la chance de croiser le rappeur Tyga, qui était déguisé en Grinch

Wow!

Un week-end des plus incroyables pour la maman, qui a visiblement profité de ce moment sans enfant pour se laisser aller à la fête. 

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Julie Bélanger: «On a eu bien du plaisir et on s’est embrassés»

Julie Bélanger était l’invitée du récent épisode du podcast Ouvre ton jeu, animé par la talentueuse et charmante Marie-Claude Barrette. Lors de celui-ci, elles ont exploré divers sujets captivants, notamment la ménopause, leurs carrières et leurs relations amoureuses.

À un moment, Julie a dû répondre à une question lui demandant à quel moment dans sa vie elle avait du prendre des risques.

Après un moment de réflexion, l’animatrice a d’abord déclaré avoir pris davantage de risques sur le plan professionnel, tout en précisant que, sur le plan personnel, son histoire d’amour avec son conjoint n’en était pas un.

Capture YouTube @Marie-Claude Barrette

«(…) Je pense à mon chum, ce n’était pas risqué, dans le sens que je savais que c’était lui (…)», lance-t-elle.

Marie-Claude, intriguée, lui a alors demandé comment elle avait su que c’était lui.

«(…) En l’embrassant pour la première fois, on s’est embrassés et ça fait: Euh wooow! Qu’est-ce que je viens de ressentir là? Je n’ai pas senti ça de ma vie. Et lui c’est un gars de la Côte-Nord aussi, c’est un gars du même endroit que moi (…) Donc, lui, il se rappelle de moi à la maternelle. Sa grand-mère, c’était la meilleure amie de ma grand-mère (…)», raconte-elle, ajoutant avoir fait le lien entre son copain et la meilleure amie de sa grand-mère, lorsqu’ils se sont rendu compte qu’ils possédaient le même… ensemble de napperons tricotés par leurs grands-mères!

Capture YouTube @Marie-Claude Barrette

«(…) C’était tellement fort que je savais qu’il fallait que je suive ça», affirme Julie.

Marie-Claude, manifestement touchée par son histoire, lui a ensuite demandé comment ils s’étaient finalement rencontrés.

«(…) Je le connaissais depuis toujours, je me rappelle de lui vaguement, au primaire, au secondaire, ce n’était pas mon genre pantoute et vice versa, on ne se parlait pas. Rendu à Montréal, j’ai commencé à me tenir avec sa soeur par hasard, par d’autres amis en commun et elle, à moment donné, elle a invité son frère à un souper et c’est moi qui est allé ouvrir la porte et ça a fait: Wooow, Ken Shuglo tabarouette! (rires) Je trouvais dont qu’il avait bien vieillit, je trouvais que… mon Dieu, l’âge lui va bien! Il est dont bien cute!», se remémore-t-elle, spécifiant qu’à cette époque, elle était en couple et que son attirance était donc platonique.

Cependant, un beau jour, elle est revenue sur le marché du célibat, et la vie a opéré sa magie.

«(…) Un moment donné, je n’étais plus en couple et (…) hey on a eu bien du plaisir et on s’est embrassés un soir et ç’a fait: C’est l’homme de ma vie! Ç’a été simple de même (…)», continue Julie, affirmant que sept ou huit mois après, ils s’achetaient leur première maison ensemble.

Elle révèle avoir rencontré cet homme juste avant de traverser une période difficile, et qu’il est resté à ses côtés, devenant ainsi son refuge.

L’an prochain, Julie et son amoureux, Ken, célébreront 20 ans d’amour.

Wow!

Nous leur souhaitons de nombreuses autres années de bonheur!

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Thomas Bédard nous dévoile son nouveau projet!

HollywoodPQ a interviewé le jeune et passionné Thomas Bédard, un humoriste de la relève et un réalisateur «à temps partiel» (comme il se décrit) multidisciplinaire qui combine plusieurs de ses talents pour créer d’incroyables projets.

C’est à l’école secondaire que tout a commencé pour Thomas Bédard, qui a développé un fort intérêt pour l’humour et la scène en participant à des concours comme Secondaire en spectacle et en pratiquant l’improvisation.

«(…) J’ai fait des premières parties au secondaire quand des humoristes venaient faire leur première heure dans les shows d’école», lance-t-il.

Cependant, dès la fin de son secondaire, la pandémie a frappé et a donc arrêté toutes formes de spectacles en salles, un moment qui a permis à Thomas de se consacrer à une autre de ses passions: la réalisation de vidéos.

Pendant cette période, il a commencé à produire lui-même plusieurs projets avec son équipement personnel, tout en enchaînant les contrats coopératifs et des projets plus créatifs. 

C’est après la pandémie, lors de la réouverture des salles de spectacle, que Thomas a décidé de se lancer dans une grande aventure: intégrer l’École nationale de l’humour, où il a été accepté. 

Le jeune homme explique d’ailleurs que cette expérience scolaire a complètement changé le cours de sa carrière, puisqu’il y est entré en tant que «cinéaste souhaitant faire des blagues» et en est sorti en tant «qu’humoriste réalisant de beaux films». 

«(…) J’ai vraiment exploré, oui, en tant qu’humoriste, mais je me suis aussi exploré en tant qu’artiste de façon générale», constate-t-il.

Au cours de son parcours scolaire, Thomas avoue toutefois lors de notre entretien avoir vécu plusieurs incertitudes concernant son avenir en tant qu’artiste.

«(…) Moi, je finissais l’école et je partais en voyage un an (…) je venais essayer des affaires, je ne me trouvais pas super, j’étais vraiment en mode on essaie, il n’y a pas de gêne, on est entre nos amis et des profs, on s’amuse là-dedans. Mais, c’était un parcours quand même un peu rocailleux au début, parce que tant que tu n’as pas trouvé ton personnage, tant que tu n’as pas trouvé tu es qui sur scène, c’est beaucoup d’épreuves, donc une fois que tu l’as, là, ça part en flèche (…)», explique-t-il, affirmant donc que oui, les doutes étaient présents et que, selon lui, ils le seront probablement toujours!

À sa sortie de l’école, il a choisi l’autoproduction et nous a expliqué les raisons de cette décision.

«(…) comme en humour, quand tu arrêtes d’attendre après les autres, je pense que c’est là que tu vas le plus vite. Tu ne peux pas constamment attendre après la grosse machine, parce que oui, la grosse machine, elle est là et elle est accessible et on est un petit milieu, mais pour se rendre là et pour avoir des go rapidement, il faut faire ses preuves (…)», explique Thomas, ajoutant qu’il est beaucoup plus difficile de vendre un projet qui n’a pas été réalisé encore que d’essayer d’en vendre un qui l’a été.

«(…) Montre ce que tu es capable de faire avec rien et après ça, les gens vont se dire: OK, mais imagine si en plus on met de l’argent!», ajoute-t-il, visiblement fort déterminé.

Il est donc évident que Thomas possède une qualité qui le mènera probablement très loin: il est fonceur!

«(…) J’ai envie de faire ça, ça gruge en dedans, donc on va le faire, on va mettre le temps (…)», affirme le passionné.

Comme mentionné plus haut, Thomas jongle avec plusieurs de ses talents et passions dans ses projets. Nous lui avons donc demandé de nous parler de cette combinaison, qui s’avère visiblement gagnante pour lui.

«(…) C’est beaucoup de chapeaux à porter en même temps, que d’écrire quelque chose, de le diriger. De un, de le réaliser devant la caméra, il faut vraiment que tu aies une belle équipe qui t’accompagne quand tu réalises, mais que tu joues aussi devant la caméra (…) Je pense que la meilleure façon de porter plusieurs chapeaux, c’est de bien s’entourer», révèle-t-il.

D’ailleurs, Thomas combinera toutes ses passions pour en faire un nouveau projet de sketchs, qui sera accessible au public sous peu.

«(…) J’ai vraiment eu l’envie de commencer à écrire, produire, réaliser, jouer dans des sketchs, c’est quelque chose qui me parle depuis très longtemps, l’univers du sketch (…) j’ai tellement grandi avec les sketchs (…) maintenant que je pense que j’ai l’expérience, que j’ai acquise en cinéma et en humour, il y a quelque chose qui faisait que je me sentais quand même prêt, surtout avec le nouveau chapitre qui s’est ouvert sur ma carrière depuis que j’ai fini l’école. Ça m’est toujours resté dans la tête, de oui écrire du stand-up, mais de continuer à faire un peu du cinéma (…) et de venir mettre ma (…) couleur que j’ai dans tous les arts dans un seul projet (…)», met-il en contexte.

Dans son tout nouveau projet, actuellement simplement intitulé Les sketchs à Thomas, comme il nous le confirme d’ailleurs, l’humoriste de la relève a fait appel à plusieurs grands noms de la scène artistique québécoise. Des visages connus se joignent donc à lui pour vous divertir et vous faire rire à travers des capsules humoristiques.

«(…) Je peux dire que celui du 1er novembre c’est avec Danick Martineau et Stéphane Fallu!», annonce-t-il, nous révélant aussi du même coup la date de diffusion de premier sketch, que l’on attend désormais avec impatience!

«(…) C’est vraiment des sketchs à part entière, ce n’est pas une websérie, je vais vraiment jouer des personnages différents chaque fois, ça va être un style différent chaque fois, tant dans le scénario, dans l’ambiance générale que dans l’enveloppe cinématographique (…) ce n’a pas une continuité, il n’y a rien qui se suit, je voulais juste faire plein de sketchs avec plein de monde et m’amuser là-dedans!», précise-t-il.

Un projet qui, jusqu’à présent, se déroule à merveille, selon les dires de Thomas, qui s’éclate!

Le premier sketch de Thomas Bédard dans lequel nous retrouverons Danick Martineau ainsi que Stéphane Fallu sera disponible dès le 1er novembre sur YouTube, TikTok, Instagram et Facebook.

Merci à Thomas pour cet entretien très intéressant, et félicitations à lui pour son parcours et ses projets prometteurs à venir.

Pour l’entrevue complète, c’est juste ici! ⬇

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Bilal d’OD Mexique: «Je n’aurais pas été fâché d’avoir Sarah-Donia»

Bilal d’OD Mexique était de passage au podcast OneWay Pod animé par son grand ami, Stevens Dorcelus d’OD dans l’Ouest.

Entouré de trois anciens candidats, soit Vincent d’OD chez nous, Robin et Stevens d’OD dans l’Ouest, le controversé Bilal, ex-candidat d’OD Mexique, a partagé ses réflexions sur son expérience marquante dans la téléréalité.

C’est alors que les garçons se rappelaient l’une des plus grandes surprises des dernières années, c’est-à-dire, l’annonce de Marilou et de Sarah-Donia en tant que nouvelles candidates d’OD dans l’Ouest, que Bilal a fait une révélation choc dans le studio.

Capture YouTube @Agence One Way

«(…) J’aurais vraiment voulu avoir ce genre de twist moi», exprime Bilal, parlant de la scène où Robin apprend que son ancienne fréquention Marilou intègre l’aventure.

Cependant, Robin, qui était le sujet de la plus grande twist de sa saison, a affirmé à Bilal que non, il n’aurait pas voulu que cela se produise.

«(…) Malheureusement cette année, je trouve que les twists ont pas… ça n’a pas amené la surprise que je pensais qui allait arriver», continue Bilal, incitant une vive réaction de la part de Steven qui lui affirme une fois de plus, qu’il n’aurait pas voulu eu cela se produise.

«(…) Je ne vais pas mettre de commentaires plus que ça, mais je n’aurais pas été fâché d’avoir Sarah-Donia (rires)», lance Bilal, piquant la curiosité de ses amis et enflammant la pièce.

Capture YouTube @Agence One Way

«Tu drops ça comme ça, c’est une dinguerie, frère», s’exclame alors Stevens.

«(…) Je te donne un exemple, une femme comme Sarah-Donia qui arrive ou Marilou, c’est le fun (…)», affirme-t-il, insinuant qu’il avait été déçu de découvrir les nouvelles candidates de sa saison…

Tous d’accord, les autres ont alors convenu qu’il s’agissait effectivement d’une twist capable de bouleverser le cours de l’aventure et de susciter des réactions très fortes.

«(…) Moi, honnêtement, les nouveaux qui sont venus, ça n’a rien changé par rapport à moi, par rapport au type de personne qui m’attire et que j’ai un intérêt réel, il n’y a pas eu de femmes qui sont… quand j’ai vu les nouvelles, j’ai fait comme: Si avec Fanny ça ne marche pas, c’est fini, je pars (…) parce qu’il y avait… une Marilou, une Sarah-Donia, hey, je pense que j’aurais oublié beaucoup de choses (rires)»,

«Parce que c’est ton vibe direct!», lance Stevens, réaffirmant que Sarah-Donia est le genre de femme de Bilal

«Sarah-Donia est belle, là!», ajoute-t-il.

Rappelons que Sarah-Donia est désormais maman et mariée!

Désolé, Bilal!




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Rupture pour Patrice Godin

Patrice Grondin a annoncé sa séparation au micro d’Isabelle Maréchal sur les ondes du 99,5 FM Montréal.

En effet, alors qu’il se trouvait à l’émission d’Isabelle pour parler de sa carrière qui a pris un virage inattendu, le comédien a révélé que son histoire d’amour avec sa conjointe Nathalie est désormais terminée.

«(…) Nathalie et moi on s’aime énormément mais on a décidé de… faire chemin à part maintenant, même si on reste proches (…)», dévoile-t-il, affirmant être en plein déménagement vu les circonstances.

Malgré la fin de leur histoire amoureuse, un processus qu’ils abordent de manière saine et en harmonie, Patrice affirme qu’il souhaite maintenir un bon climat familial.

«(…) On va rester une famille, mais on n’est plus un couple d’amoureux!», continue-t-il.

Étant en bons termes, le duo vit très bien la séparation, selon les dires du nouveau pompier forestier!

Une année de grands changements pour le comédien…

Nous lui souhaitons le meilleur pour la suite.

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Mariée, Gabrielle Fontaine partage des images du grand jour!

La comédienne Gabrielle Fontaine dévoile pour la première fois de magnifiques images de son mariage!

C’est sur sa page Instagram que Gabrielle a partagé deux carrousels remplis de touchantes photos de l’une des journées les plus importantes de sa vie: son mariage.

«07-09-2024», lance-t-elle.

La jeune femme avait d’ailleurs laissé un indice indiquant que le grand moment était arrivé, car en septembre, elle a partagé de magnifiques photos d’elle et de son mari, sur lesquelles était inscrit : «L’Italie Ft Le Mari».

«07-09-2024», continue-t-elle en marge de magnifiques photos des tourtereaux s’épanouissant dans des décors à couper le souffle.

Rappelons que l’interprète de Passe-Carreau et son conjoint attendent aussi un petit bébé!

Nous souhaitons beaucoup de bonheur aux mariés et de nombreuses autres années d’amour.

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Une grosse nouvelle pour Jamie et Stacey d’OD

Jamie et Stacey d’OD chez nous franchissent une grande étape de leur vie de couple alors qu’ils annoncent être désormais… fiancés!

C’est sur sa page Instagram que l’ex-candidat a publié une adorable vidéo où l’on le voit demander la main de son amoureuse dans les superbes paysages automnaux.

«Sans toi je ne serais pas l’homme que je suis aujourd’hui, je suis tellement reconnaissant de t’avoir trouvé et de t’appeler bientôt ma femme», lance-t-il en marge des touchantes images.

Une demande en mariage qui a eu lieu alors que le duo est actuellement en Babymoon, un moment pour célébrer leurs derniers instants à deux.

Jamie a saisi cette belle occasion pour poser un genou par terre à Salem.

Une demande qui en a rendu quelques-uns très émotifs, si on se fie à la photo partagée par Noémie d’OD chez nous.

«I’m crying again. Congrats», partage-t-elle, en marge d’une photo d’elle très émue.

Rappelons que le couple formé lors de la populaire téléréalité attend un petit garçon, prévu pour dans quelques semaines.

Félicitations et bonheur aux tourtereaux!

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Jean-Philippe Perras: «Beaucoup de gens ont passé l’audition pour L’empereur»

Jean-Philippe Perras et Patrice Godin étaient récemment de passage au podcast Franchement, un épisode dans lequel ils se sont ouverts sur les répercussions suite à l’interprétation de rôles de méchants à la télévision!

Vers le milieu de l’épisode, l’animatrice demande à ses invités s’ils avaient déjà eu peur de se faire associer à leurs personnages qui, si on prend par exemple Christian Savard dans L’empereur, n’étaient pas de bonnes personnes.

C’est à ce moment que Jean-Philippe a révélé que quelques acteurs lui avaient confié qu’ils ne désiraient pas obtenir le rôle pour cette raison spécifique.

«(…) Il y a beaucoup de gens qui ont passé l’audition pour le rôle de L’empereur et il y en a aussi qui ont refusé d’y aller parce qu’ils ne voulaient pas ça (…)», affirme-t-il.

Capture YouTube @Franchement

L’acteur soutient qu’il respecte leur décision, mais qu’à son avis, ils ont passé à côté de quelque chose…

«(…) Tant qu’à moi, ils passent à côté de quelques chose, d’une opportunité de jouer quelque chose de tellement hot! (…)», lance-t-il, en expliquant cependant que chacun voit son métier et sa carrière comme il le veut.

Il continue en racontant que plusieurs personnes de l’industrie lui avaient dit qu’il s’agissait d’une belle opportunité, mais qu’ils se questionnaient sur les répercussions.

De son côté, J-P affirme qu’il n’avait jamais pensé à ça… jusqu’au milieu de la première saison.

De plus, il semblerait que pour le conjoint et père des enfants de Maripier Morin, il s’agissait aussi d’une opportunité de parler d’un mouvement important!

«(…) Je pense que l’opportunité avec ce rôle-là, pour moi, était vraiment plus grande et plus importante, aussi de parler de MeToo, d’une autre façon, de faire partie du discours sans être obligé de poster une opinion ou un commentaire sur les réseaux sociaux, mais de faire partie de piste de réflexion à travers notre métier, je trouve que c’est la plus belle affaire (…)», explique le comédien.

Capture YouTube @Franchement

Cependant, l’amoureux de Maripier Morin affirme qu’après L’empereur, lui et son équipe ont refusé d’autres rôles dans le même genre que celui de Christian Savard.

«Et là, on a fait non! Là, pour moi, là, c’est trop (…) On a donné, on a raconté ce qu’on avait à raconter et on l’a bien fait, je pense, mais là, de retourner là (…)», lance-t-il.

Avez-vous eu de la difficulté à faire la part entre Jean-Philippe et son personnage de Christian Savard dans L’empereur?

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Lysandre Nadeau: «Je comprends que le Québec est frileux»

Lysandre Nadeau est revenu une fois de plus sur la plus récente controverse la concernant, créée à cause d’une vidéo dans laquelle on la retrouvait en plein rendez-vous virtuel avec une professionnelle de la santé.

C’est sur TikTok que la créatrice de contenu a en fait partagé trois vidéos dans lesquelles elle fait un retour sur les résultats de son évolution, qui démontre qu’elle est… douée (HPI).

«(…) Je pensais que c’était une bonne idée de faire parler une professionnelle à la place de moi, m’adresser à vous. C’était certain que j’allais finir par vous le dire, par vous en parler, pour la seule et unique raison que je vous partage tout et que ça fait des années que je vous parle de mes struggles avec la santé mentale, que j’ai l’impression que j’ai quelque chose qui… mon cerveau a un petit f*ck quelque part et que je ne sais pas c’est quoi (…)», lance-t-elle avant de montrer des extraits d’anciennes vidéos d’elle étant plus jeune, dans lesquels elle se questionne sur sa santé mentale.

«(…) Je me suis dit que je voulais que le message passe de la meilleure façon possible. Ce n’était pas la bonne façon. (…)», avoue Lysandre, qui affirme qu’elle le passera donc d’une autre façon.

«(…) Je comprends que le Québec est frileux avec tout ce qui est de parler de capacités ou d’acquis ou de chose que les gens ont. Si tu as de l’argent, parle s’en pas. Si tu es beau, ne dis pas que tu le sais. Si tu as un bon cerveau, surtout n’en parle pas (…)», affirme-t-elle, en expliquant que son message était passé comme si elle se vantait de la douance alors qu’elle dit que ce n’est pas le cas.

Lysandre explique ensuite qu’elle est mal à l’aise avec le fait de parler de ce qu’elle a et de faire un écart entre elle et les autres. De plus, elle affirme qu’elle a construit sa vie en essayant d’être comme tout le monde.

Dans cette vidéo, elle tente une approche différente afin d’aborder le sujet, en faisant un retour en arrière jusqu’à sa tendre enfance.

«(…) J’étais une petite fille très hyperactive (…) mes parents se sont fait conseiller, par des professeurs, de me mettre sur le Ritalin alors que j’étais au primaire. Je finissais tous mes travaux la première journée de la semaine et, après ça, ils me donnaient des trucs pour ne pas que je dérange les autres élèves. (…) J’étais tout le temps très fière de lever ma main et dire que je savais des choses (…)», se remémore Lysandre, qui explique qu’elle a finalement compris que ça ne plaisait pas et qu’elle avait ensuite caché cet aspect d’elle.

Elle explique que son frère est extrêmement brillant et que, toute son enfance, la lumière était mise sur son intelligence à lui et que, vu la réussite de celui-ci, elle s’était dit qu’elle se concentrerait sur sa créativité et ses relations sociales.

«(…) malgré cette facilité, je me suis toujours sentie à l’écart. J’ai été beaucoup (…) intimidée parce que j’étais f*cking gossante; une mademoiselleje-sais-tout qui a de l’énergie (…) ça ne passe pas dans une école primaire ou secondaire (…)», explique Lysandre, qui raconte qu’à son école, il y avait seulement 26 élèves et que les 25 lui tapaient sur la tête.

«(…) Ma meilleure amie, c’était une fille qui avait une déficience intellectuelle (rires) je ne ris pas parce qu’elle a une déficience, je ris parce que c’est quand même drôle que les deux personnes finalement qui sont mises à l’écart (…) j’ai juste de la peine pour la petite fille que j’étais qui avait juste besoin de se faire valoriser et de se faire valider dans ce qu’elle était (…)», lance-t-elle, disant qu’elle s’imagine quels impacts ça lui aurait fait de savoir, à ce moment, que son cerveau allait super bien.

«(…) La fille que j’ai été n’a clairement pas toujours plu. Mon besoin d’attention extrême aussi qui est là depuis l’enfance et que des fois j’allais jusqu’à l’avoir de façon négative (…)», continue-t-elle.

Elle a ensuite donné l’exemple d’une situation qui s’est produite il y a quelques années où une professeure de son secondaire avait commenté, sous un article, que Lysandre avait toujours eu besoin d’attention.

«(…) Tu étais ma prof, de savoir que ma petite Lysandre de secondaire deux, qui se cherche, qui veut juste faire du mieux qu’elle peut avec les connaissances qu’elle a et de savoir que sa prof… ARK, ta cr*ss de job c’est d’être là pour tes élèves, peu importe comment ils sont (…) va chier!», s’adresse à elle, Lysandre, visiblement en colère.

Dans une deuxième vidéo sur le sujet, la créatrice de contenu explique sa démarche et le processus qu’elle a fait pour avoir l’évaluation qui a mené au diagnostic et la saga de la douance.

Elle exprime que ce résultat de douance ne la fait pas mieux se sentir puisqu’elle se sent plus intelligente, mais bien parce que son sentiment de différence est maintenant expliqué.

«(…) Ça me fait du bien d’entendre ça, pas parce que je me sens plus brillante qu’une autre, non, parce que je suis capable de faire: *st* il y a de quoi pour vrai (…) il y a quelque chose que je ne savais pas que, maintenant je sais, qui va m’aider à être plus douce avec moi», lance-t-elle.

Celle qui exprime savoir qu’elle n’a pas toujours raison ira d’ailleurs de l’avant dans ses démarches pour aller mieux, puisqu’elle affirme avoir pris un rendez-vous de neurofeedback, une évaluation qui lui permettra de connaître les lacunes de son cerveau pour ensuite les corriger.

Affirmant qu’elle avait les sous pour se permettre de l’essayer, Lysandre a aussi révélé que son évaluation neuropsychologique lui avait coûté 2380$.

«(…) Parlant de sous, mon évaluation neuropsychologique, ça a été 2380$, si je me souviens bien, pour les deux séances de trois heures et l’évaluation (…)», dévoile-t-elle, en spécifiant qu’elle est courant que ce n’est pas tout le monde qui peut se le permettre.

Dans sa troisième vidéo, la star du web explique alors qu’elle a laissé dans le montage que son QI est à 130, parce que la douance est à partir de 130.

«(…) Je ne voulais surtout pas que vous vous imaginiez que mon QI est à 145 (…)», lance-t-elle, en expliquant que, pour elle, il était important de faire comprendre qu’elle passe, mais sur la ligne.

Lysandre conclut en mentionnant qu’elle continuera ses recherches sur la douance et sur sa santé mentale.

Comprenez-vous mieux sa démarche?

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Elisabeth Rioux: «Il ne me laissait pas m’habiller comme je voulais»

Dans le dernier épisode du podcast Ouvre ton jeu animé par Marie-Claude Barrette, Elisabeth Rioux partage son parcours personnel en évoquant ses relations amoureuses passées. L’épisode est marqué par la douceur et la bienveillance de l’animation de Barrette, créant un espace propice aux confidences et à la vulnérabilité.

Dans le segment de la carte jaune, Elisabeth Rioux évoque son expérience avec la violence conjugale et les répercussions profondes sur sa vie. Elle partage avec courage les conséquences émotionnelles et psychologiques qu’elle a dû affronter, dont une perte de mémoire.

Alors qu’elle se confiait sur les circonstances de sa dénonciation dans les médias, Marie-Claude a demandé à son invitée dans quel état elle se trouvait à ce moment-là.

«J’ai fait de la thérapie et tout et j’ai beaucoup de blancs de mémoire (…) le monde me demande: Comment c’était d’être enceinte? Je suis comme: Je ne m’en rappelle pas, je ne le sais pas (…)», explique-t-elle, sanglotant.

L’animatrice explique qu’elle pense que sa mémoire a bloqué quelque chose qui était en souffrance à ce moment-là, puisque c’est lorsque Élisabeth a annoncé qu’elle était enceinte que son partenaire a commencé à avoir des comportements violents.

Capture YouTube @Marie-Claude Barrette

Elle revient d’ailleurs sur une phase de sa relation avec le père de sa fille qu’elle n’a pas vraiment montré sur les réseaux sociaux.

«(…) Au début (…) il était aussi allé à l’hôpital de Saint-Jérôme, hôpital psychiatrique, pendant un mois, à peu près (…) avant ça, moi c’était comme: OK, je le laisse, le gars il est violent, je le laisse! Et après ça, j’étais comme: OK, mais ce n’est pas de sa faute! (…)», lance-t-elle, expliquant avoir eu le désir de l’aider par amour et pour garder sa famille.

«(…) Les docteurs me disaient: S’il prend des médicaments, il va redevenir normal et ça va être correct (…)», se remémore-t-elle, affirmant qu’à ce moment elle avait de l’espoir que tout redevienne beau.

Elisabeth précise toutefois qu’à ce moment, personne n’était au courant de ce qu’elle vivait, parce qu’elle ne désirait pas que les gens autour d’elle ne l’aiment plus, elle voulait le protéger.

«(…) C’était le père de ma fille, je ne veux pas qu’après ça, mes amis… je ne veux pas que tout le monde se mettent contre lui (…) pour moi, c’était l’amour de ma vie que j’allais être avec toute ma vie, je ne voulais pas que mes parents ne l’aiment plus», explique-t-elle.

La femme d’affaires explique avoir été ensuite fortement interpellée par une scène dans une émission diffusée sur Netflix.

«Il y a la série Maid sur Netflix (…) un truc qui m’avait interpellé, c’est (…) je pense la seule scène abstraite de la série au complet, c’est quand on la voit dans son sofa et il y a comme un trou qui se creuse (…) c’est exactement comme ça que tu te sens, tu es dans un trou et c’est tout le temps de plus en plus creux. Tu ne dis rien, mais tout continue autour (…)», compare-t-elle, disant s’être perdue et avoir même encore à ce jour de la difficulté à savoir ce qu’elle aime.

Capture YouTube @Marie-Claude Barrette

Plus tard, Elisabeth, qui raconte avoir fait des tables rondes en compagnie de femmes ayant vécu de la violence psychologique et physique, explique qu’elle a fait une constatation à ce sujet.

«Une chose qui est ressortie, mais que je n’avais jamais entendue ailleurs avant, c’est que les femmes qui avaient vécu de la violence physique, c’était plus facile pour eux de passer à autre chose après (…) versus celles que c’est de la violence seulement psychologique, et je l’ai vécu après, j’ai eu une relation… que là c’était vraiment juste psychologique et j’ai vraiment vu la différence (…)», affirme-t-elle en expliquant que la violence psychologique est beaucoup plus subtile.

«Quelqu’un qui a eu juste de la violence psychologique, c’est tough de passer à autre chose, parce que tu te demandes tout le temps: Est-ce que c’est moi le problème? Et tout le monde continue tout le temps à douter de toi, parce qu’il n’a rien d’illégal (…), continue Elisabeth.

Dans une explication précédente, la jeune femme avait confié avoir subi de la violence psychologique par un autre partenaire.

Elle est revenue sur le sujet avec Marie-Claude Barrette.

«(…) J’ai eu une autre relation après que ça s’est fait vraiment plus progressivement…», explique-t-elle.

«J’étais rendu l’ombre de moi-même. À ce moment-là, tous les trucs que j’aimais, je ne les aimais plus, je n’aimais plus rien (…) moi, j’ai toujours eu les cheveux longs (…) je m’étais coupé les cheveux (…) j’avais trois outfits que… parce qu’il ne me laissait pas m’habiller comme je voulais, donc j’avais trois outfits que je mettais tout le temps (…)», affirme Elisabeth, en expliquant qu’il ne l’avait jamais empêché directement de mettre d’autres vêtements, mais que si elle le faisait, il allait la faire sentir mal de s’être habillée comme elle le désirait.

Elle explique qu’elle était en évitement. Donc, qu’elle ne faisait plus rien.

«(…) Je ne sortais plus de la maison parce que sortir, c’était… j’avais peur de la réaction. Je n’allais plus en voyage parce que, quand j’allais en voyage, il y avait tout le temps une réaction (…) tout faisait peur. Donc, c’était comme si je marchais sur des oeufs (…)», se remémore-t-elle, expliquant qu’à la fin de cette relation, elle ne savait plus qui elle était.

«(…) Moi, je dors avec un oreiller entre mes genoux (…) il ne voulait plus que je fasse ça, parce que ça le gossait (…)», raconte-t-elle, expliquant qu’avec du recul, elle a compris que ce n’était pas normal.

Elle mentionne qu’elle faisait juste dormir pour que le temps passe plus rapidement et que même à ça, il trouvait tout de même le moyen de chialer sur quelque chose.

«Il n’aimait pas mes amis (…) c’était la première étape que j’aurais dû voir (…)», affirme-t-elle.

Un témoignage touchant et vulnérable livré par l’influenceuse.