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Lysandre Nadeau: «Je comprends que le Québec est frileux»

Lysandre Nadeau est revenu une fois de plus sur la plus récente controverse la concernant, créée à cause d’une vidéo dans laquelle on la retrouvait en plein rendez-vous virtuel avec une professionnelle de la santé.

C’est sur TikTok que la créatrice de contenu a en fait partagé trois vidéos dans lesquelles elle fait un retour sur les résultats de son évolution, qui démontre qu’elle est… douée (HPI).

«(…) Je pensais que c’était une bonne idée de faire parler une professionnelle à la place de moi, m’adresser à vous. C’était certain que j’allais finir par vous le dire, par vous en parler, pour la seule et unique raison que je vous partage tout et que ça fait des années que je vous parle de mes struggles avec la santé mentale, que j’ai l’impression que j’ai quelque chose qui… mon cerveau a un petit f*ck quelque part et que je ne sais pas c’est quoi (…)», lance-t-elle avant de montrer des extraits d’anciennes vidéos d’elle étant plus jeune, dans lesquels elle se questionne sur sa santé mentale.

«(…) Je me suis dit que je voulais que le message passe de la meilleure façon possible. Ce n’était pas la bonne façon. (…)», avoue Lysandre, qui affirme qu’elle le passera donc d’une autre façon.

«(…) Je comprends que le Québec est frileux avec tout ce qui est de parler de capacités ou d’acquis ou de chose que les gens ont. Si tu as de l’argent, parle s’en pas. Si tu es beau, ne dis pas que tu le sais. Si tu as un bon cerveau, surtout n’en parle pas (…)», affirme-t-elle, en expliquant que son message était passé comme si elle se vantait de la douance alors qu’elle dit que ce n’est pas le cas.

Lysandre explique ensuite qu’elle est mal à l’aise avec le fait de parler de ce qu’elle a et de faire un écart entre elle et les autres. De plus, elle affirme qu’elle a construit sa vie en essayant d’être comme tout le monde.

Dans cette vidéo, elle tente une approche différente afin d’aborder le sujet, en faisant un retour en arrière jusqu’à sa tendre enfance.

«(…) J’étais une petite fille très hyperactive (…) mes parents se sont fait conseiller, par des professeurs, de me mettre sur le Ritalin alors que j’étais au primaire. Je finissais tous mes travaux la première journée de la semaine et, après ça, ils me donnaient des trucs pour ne pas que je dérange les autres élèves. (…) J’étais tout le temps très fière de lever ma main et dire que je savais des choses (…)», se remémore Lysandre, qui explique qu’elle a finalement compris que ça ne plaisait pas et qu’elle avait ensuite caché cet aspect d’elle.

Elle explique que son frère est extrêmement brillant et que, toute son enfance, la lumière était mise sur son intelligence à lui et que, vu la réussite de celui-ci, elle s’était dit qu’elle se concentrerait sur sa créativité et ses relations sociales.

«(…) malgré cette facilité, je me suis toujours sentie à l’écart. J’ai été beaucoup (…) intimidée parce que j’étais f*cking gossante; une mademoiselleje-sais-tout qui a de l’énergie (…) ça ne passe pas dans une école primaire ou secondaire (…)», explique Lysandre, qui raconte qu’à son école, il y avait seulement 26 élèves et que les 25 lui tapaient sur la tête.

«(…) Ma meilleure amie, c’était une fille qui avait une déficience intellectuelle (rires) je ne ris pas parce qu’elle a une déficience, je ris parce que c’est quand même drôle que les deux personnes finalement qui sont mises à l’écart (…) j’ai juste de la peine pour la petite fille que j’étais qui avait juste besoin de se faire valoriser et de se faire valider dans ce qu’elle était (…)», lance-t-elle, disant qu’elle s’imagine quels impacts ça lui aurait fait de savoir, à ce moment, que son cerveau allait super bien.

«(…) La fille que j’ai été n’a clairement pas toujours plu. Mon besoin d’attention extrême aussi qui est là depuis l’enfance et que des fois j’allais jusqu’à l’avoir de façon négative (…)», continue-t-elle.

Elle a ensuite donné l’exemple d’une situation qui s’est produite il y a quelques années où une professeure de son secondaire avait commenté, sous un article, que Lysandre avait toujours eu besoin d’attention.

«(…) Tu étais ma prof, de savoir que ma petite Lysandre de secondaire deux, qui se cherche, qui veut juste faire du mieux qu’elle peut avec les connaissances qu’elle a et de savoir que sa prof… ARK, ta cr*ss de job c’est d’être là pour tes élèves, peu importe comment ils sont (…) va chier!», s’adresse à elle, Lysandre, visiblement en colère.

Dans une deuxième vidéo sur le sujet, la créatrice de contenu explique sa démarche et le processus qu’elle a fait pour avoir l’évaluation qui a mené au diagnostic et la saga de la douance.

Elle exprime que ce résultat de douance ne la fait pas mieux se sentir puisqu’elle se sent plus intelligente, mais bien parce que son sentiment de différence est maintenant expliqué.

«(…) Ça me fait du bien d’entendre ça, pas parce que je me sens plus brillante qu’une autre, non, parce que je suis capable de faire: *st* il y a de quoi pour vrai (…) il y a quelque chose que je ne savais pas que, maintenant je sais, qui va m’aider à être plus douce avec moi», lance-t-elle.

Celle qui exprime savoir qu’elle n’a pas toujours raison ira d’ailleurs de l’avant dans ses démarches pour aller mieux, puisqu’elle affirme avoir pris un rendez-vous de neurofeedback, une évaluation qui lui permettra de connaître les lacunes de son cerveau pour ensuite les corriger.

Affirmant qu’elle avait les sous pour se permettre de l’essayer, Lysandre a aussi révélé que son évaluation neuropsychologique lui avait coûté 2380$.

«(…) Parlant de sous, mon évaluation neuropsychologique, ça a été 2380$, si je me souviens bien, pour les deux séances de trois heures et l’évaluation (…)», dévoile-t-elle, en spécifiant qu’elle est courant que ce n’est pas tout le monde qui peut se le permettre.

Dans sa troisième vidéo, la star du web explique alors qu’elle a laissé dans le montage que son QI est à 130, parce que la douance est à partir de 130.

«(…) Je ne voulais surtout pas que vous vous imaginiez que mon QI est à 145 (…)», lance-t-elle, en expliquant que, pour elle, il était important de faire comprendre qu’elle passe, mais sur la ligne.

Lysandre conclut en mentionnant qu’elle continuera ses recherches sur la douance et sur sa santé mentale.

Comprenez-vous mieux sa démarche?

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Hollywood PQ Style de star

Elisabeth Rioux: «Il ne me laissait pas m’habiller comme je voulais»

Dans le dernier épisode du podcast Ouvre ton jeu animé par Marie-Claude Barrette, Elisabeth Rioux partage son parcours personnel en évoquant ses relations amoureuses passées. L’épisode est marqué par la douceur et la bienveillance de l’animation de Barrette, créant un espace propice aux confidences et à la vulnérabilité.

Dans le segment de la carte jaune, Elisabeth Rioux évoque son expérience avec la violence conjugale et les répercussions profondes sur sa vie. Elle partage avec courage les conséquences émotionnelles et psychologiques qu’elle a dû affronter, dont une perte de mémoire.

Alors qu’elle se confiait sur les circonstances de sa dénonciation dans les médias, Marie-Claude a demandé à son invitée dans quel état elle se trouvait à ce moment-là.

«J’ai fait de la thérapie et tout et j’ai beaucoup de blancs de mémoire (…) le monde me demande: Comment c’était d’être enceinte? Je suis comme: Je ne m’en rappelle pas, je ne le sais pas (…)», explique-t-elle, sanglotant.

L’animatrice explique qu’elle pense que sa mémoire a bloqué quelque chose qui était en souffrance à ce moment-là, puisque c’est lorsque Élisabeth a annoncé qu’elle était enceinte que son partenaire a commencé à avoir des comportements violents.

Capture YouTube @Marie-Claude Barrette

Elle revient d’ailleurs sur une phase de sa relation avec le père de sa fille qu’elle n’a pas vraiment montré sur les réseaux sociaux.

«(…) Au début (…) il était aussi allé à l’hôpital de Saint-Jérôme, hôpital psychiatrique, pendant un mois, à peu près (…) avant ça, moi c’était comme: OK, je le laisse, le gars il est violent, je le laisse! Et après ça, j’étais comme: OK, mais ce n’est pas de sa faute! (…)», lance-t-elle, expliquant avoir eu le désir de l’aider par amour et pour garder sa famille.

«(…) Les docteurs me disaient: S’il prend des médicaments, il va redevenir normal et ça va être correct (…)», se remémore-t-elle, affirmant qu’à ce moment elle avait de l’espoir que tout redevienne beau.

Elisabeth précise toutefois qu’à ce moment, personne n’était au courant de ce qu’elle vivait, parce qu’elle ne désirait pas que les gens autour d’elle ne l’aiment plus, elle voulait le protéger.

«(…) C’était le père de ma fille, je ne veux pas qu’après ça, mes amis… je ne veux pas que tout le monde se mettent contre lui (…) pour moi, c’était l’amour de ma vie que j’allais être avec toute ma vie, je ne voulais pas que mes parents ne l’aiment plus», explique-t-elle.

La femme d’affaires explique avoir été ensuite fortement interpellée par une scène dans une émission diffusée sur Netflix.

«Il y a la série Maid sur Netflix (…) un truc qui m’avait interpellé, c’est (…) je pense la seule scène abstraite de la série au complet, c’est quand on la voit dans son sofa et il y a comme un trou qui se creuse (…) c’est exactement comme ça que tu te sens, tu es dans un trou et c’est tout le temps de plus en plus creux. Tu ne dis rien, mais tout continue autour (…)», compare-t-elle, disant s’être perdue et avoir même encore à ce jour de la difficulté à savoir ce qu’elle aime.

Capture YouTube @Marie-Claude Barrette

Plus tard, Elisabeth, qui raconte avoir fait des tables rondes en compagnie de femmes ayant vécu de la violence psychologique et physique, explique qu’elle a fait une constatation à ce sujet.

«Une chose qui est ressortie, mais que je n’avais jamais entendue ailleurs avant, c’est que les femmes qui avaient vécu de la violence physique, c’était plus facile pour eux de passer à autre chose après (…) versus celles que c’est de la violence seulement psychologique, et je l’ai vécu après, j’ai eu une relation… que là c’était vraiment juste psychologique et j’ai vraiment vu la différence (…)», affirme-t-elle en expliquant que la violence psychologique est beaucoup plus subtile.

«Quelqu’un qui a eu juste de la violence psychologique, c’est tough de passer à autre chose, parce que tu te demandes tout le temps: Est-ce que c’est moi le problème? Et tout le monde continue tout le temps à douter de toi, parce qu’il n’a rien d’illégal (…), continue Elisabeth.

Dans une explication précédente, la jeune femme avait confié avoir subi de la violence psychologique par un autre partenaire.

Elle est revenue sur le sujet avec Marie-Claude Barrette.

«(…) J’ai eu une autre relation après que ça s’est fait vraiment plus progressivement…», explique-t-elle.

«J’étais rendu l’ombre de moi-même. À ce moment-là, tous les trucs que j’aimais, je ne les aimais plus, je n’aimais plus rien (…) moi, j’ai toujours eu les cheveux longs (…) je m’étais coupé les cheveux (…) j’avais trois outfits que… parce qu’il ne me laissait pas m’habiller comme je voulais, donc j’avais trois outfits que je mettais tout le temps (…)», affirme Elisabeth, en expliquant qu’il ne l’avait jamais empêché directement de mettre d’autres vêtements, mais que si elle le faisait, il allait la faire sentir mal de s’être habillée comme elle le désirait.

Elle explique qu’elle était en évitement. Donc, qu’elle ne faisait plus rien.

«(…) Je ne sortais plus de la maison parce que sortir, c’était… j’avais peur de la réaction. Je n’allais plus en voyage parce que, quand j’allais en voyage, il y avait tout le temps une réaction (…) tout faisait peur. Donc, c’était comme si je marchais sur des oeufs (…)», se remémore-t-elle, expliquant qu’à la fin de cette relation, elle ne savait plus qui elle était.

«(…) Moi, je dors avec un oreiller entre mes genoux (…) il ne voulait plus que je fasse ça, parce que ça le gossait (…)», raconte-t-elle, expliquant qu’avec du recul, elle a compris que ce n’était pas normal.

Elle mentionne qu’elle faisait juste dormir pour que le temps passe plus rapidement et que même à ça, il trouvait tout de même le moyen de chialer sur quelque chose.

«Il n’aimait pas mes amis (…) c’était la première étape que j’aurais dû voir (…)», affirme-t-elle.

Un témoignage touchant et vulnérable livré par l’influenceuse.

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Claudie Mercier: «Je suis trop une cr*sse de folle»

La star du web, et ex-candidate d’OD Afrique du Sud, Claudie Mercier était de passage au podcast Si Belles Si Bêtes tout récemment, un épisode dans laquelle elle s’est prêtée à un petit jeu proposant des questions bien croustillantes.

À un moment, Claudie a dû répondre à une question lui demandant quel est son plus grand regret concernant son conjoint Mathieu Pellerin ou leur relation.

«Ah! Mon plus grand regret: d’être une e*ti de folle!», a-t-elle lancé, après avoir réfléchi à sa réponse.

Elle a ensuite rectifié ses propos en expliquant qu’elle a beaucoup de difficulté à faire confiance dans la vie. Cet aspect d’elle a d’ailleurs des répercussions sur sa vie, puisqu’elle affirme être constamment en train de s’imaginer des scénarios.

«(…) Je pense que mon plus grand regret c’est tout le temps de peut-être remettre en question, de ne jamais être capable de faire confiance à 100% (…)», explique-t-elle, affirmant toutefois que la situation est beaucoup moins pire qu’au début de sa relation avec Mathieu.

Claudie s’ouvre sur le fait qu’elle n’est pas capable de vivre paisiblement sans connaître des catastrophes et qu’elle se cherche parfois même des problèmes.

«(…) J’aime ça être comme: Qu’est-ce qui va mal?»

Capture YouTube @Si Belles Si Bêtes

Elle est d’ailleurs énormément affectée par les histoires que racontent les internautes sur les réseaux sociaux. 

«Il y a plein d’histoires autour de moi, de mes amis, ou que j’entends sur TikTok, et je suis comme: T*barnak! Et moi, je m’imagine que c’est moi dans ce scénario-là (…)», lance-t-elle, réitérant que son plus grand regret pourrait être de ne pas être capable de vivre le moment présent, puisqu’elle appréhende le futur.

Claudie donne ensuite un exemple des scénarios qu’elle imagine:

«Mon chum s’en va au bar. Il ne va jamais au bar! Mais, mettons, il va au bar. Je vais déjà être en train d’appréhender, de dire: Mon Dieu, peut-être qu’il va croiser genre une fille f*cking chaude et que finalement ça va vraiment cliquer (…)», lance Claudie.

Une situation qui amuse beaucoup Mathieu, d’ailleurs, lui qui blague souvent sur le sujet.

«(…) Il n’a comme pas le temps de… il ne répond même pas aux textos de ses parents (…) je le sais que ce n’est pas ce gars-là, c’est juste que je suis trop une cr*sse de folle, genre vraiment, c’est vrai ce que je dis là!», affirme-t-elle.

Capture YouTube @Si Belles Si Bêtes

Malgré qu’elle se fasse beaucoup de soucis à ce sujet, elle affirme que beaucoup de femmes ne s’en font pas assez.

«(…) On s’entend-tu pour dire que des fois, il y a des filles qui se font tromper et elles sont vraiment delulu (délusionnelles) ou des gars, là! (…)», lance-t-elle.

Elle donne ensuite l’exemple que si ton conjoint arrive souvent en retard du travail parce qu’il a dû travailler tard, certaines personnes devraient s’inquiéter davantage.

Un peu plus tard, les animatrices ont affirmé qu’il n’y a pas que des mauvais côtés d’être «une cr*sse de folle», parce que ça permet à certaines de se rendre compte de la tromperie!

Claudie affirme que, pour sa part, il serait impossible qu’elle ne se rende pas compte d’une grosse histoire de tromperie.

«(…) Tu connais la personne avec qui tu es, je ne peux pas croire que tu ne le sens pas, un peu (…)», lance-t-elle, en guise de conclusion.

Claudie affirme que de son côté, Mathieu n’est pas du tout jaloux et n’a aucune inquiétude à ce sujet!

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Alexandre Aussant alias Mona de Grenoble: «Être en drag, je n’aime pas beaucoup ça»

Alexandre Aussant alias Mona de Grenoble a partagé un ramen en compagnie de l’animateur Étienne Marcoux dans le cadre de ses petites capsules intitulées Étienne te ramène.

Après que l’animateur ait expliqué qu’Alexandre Aussant ne s’était pas présenté en Mona en raison de la longue préparation derrière le personnage, ce dernier a fait une révélation pour le moins… inattendue !

«(…) et accessoirement, je t’ai demandé de venir en gars, parce que moi être en drag, je n’aime pas beaucoup ça (rires)», lance-t-il, surprenant l’animateur qui s’assure ensuite de savoir s’il est sérieux.

Capture Instagram @eomarcoux

«J’haïs ça (rires)», confirme Alexandre.

«Quel échec, ta carrière!», laisse alors échapper Étienne.

«Oui. (rires) Une suite de mauvaises décisions qui a mené à être en madame tout le temps! (…) J’haïs ça», réitère Alexandre.

Étonné, Étienne a comparé la situation en affirmant que ce qu’Alexandre vit est semblable à si Sidney Crosby n’aimait pas le hockey.

Capture Instagram @eomarcoux

«C’est comme nos parents, ils faisaient ça (…) nos parents, des fois, ils ont une job qu’ils haïssent, mais ils la gardent 40 ans pour sacrifier pour les enfants», compare à son tour l’invité.

Étienne s’est ensuite adressé aux jeunes, leur disant de vivre de leur passion et de ne pas faire ce qu’ils n’aiment pas.

«L’art, ce n’est pas un vrai métier», a ensuite conclut Alexandre, on imagine avec beaucoup de second degré.

Capture Instagram @eomarcoux

Êtes-vous surpris de l’apprendre?

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Antoine Pilon révèle comment c’est de jouer avec sa blonde

Antoine Pilon était invité au 5 à 7 Podcast, où il a discuté de plusieurs sujets, notamment de son lien spécial avec l’émission Le Chalet, un projet dans lequel il a joué aux côtés de son ex-copine Catherine Brunet.

À un moment, l’une des animatrices lui a demandé s’il est lassant pour un couple de travailler ensemble.

«C’est quelque chose qui a beaucoup aidé notre couple parce qu’on se connaissait beaucoup dans notre travail et on est bons ensemble… on s’est vus grandir comme acteurs… on se connaît très bien dans le jeu et professionnellement aussi, mais artistiquement, aussi (…) on a fait Le Chalet ensemble, on a fait Marche à l’ombre ensemble, on a fait Faux départ ensemble, on a fait un film qui s’appelle Wolf ensemble, on a fait Entre deux draps ensemble (…)», explique-t-il.

Bien sûr, malgré les aspects positifs, Antoine reconnaît qu’il y a des moments où travailler avec sa partenaire de vie peut être plus compliqué.

«(…) Quand que ça ne va pas comme tu veux et qu’en plus il y a du… picossage entre collègues (…) et que là c’est ta blonde c’est comme: Arghhh, non!», lance-t-il.

«(…) Cath était particulièrement bonne pour se tanner quand moi, mettons, j’avais des fous rires (…)», affirme-t-il, ajoutant que cela lui arrive fréquemment en comédie, précisant que de tels moments peuvent considérablement retarder un tournage!

«(…) Cath des fois, sur Le Chalet ou sur Entre deux draps, j’avais des fous rires et elle était comme: Antoine, pour vrai là! Elle me reprenait et ça me mettait en t*barnak (rires)», raconte le comédien.

Capture YouTube @Le 5 à 7 Podcast

«(…) À un moment donné (…) sur Le Chalet, c’était une scène où elle n’était même pas dans la scène, elle attendait quelque part (…) elle n’est pas dans la scène, elle fait juste chiller sur le plateau (…) Moi, j’étais crampé, assis sur un divan à faire une scène (…) et j’ai juste entendu Catherine du fin fond de la pièce genre: Antoine, pour vrai, sérieux, là! et j’étais comme: De quoi tu te mêles, toi cr*sse (…)», se remémore-t-il, en admettant tout de même que ça avait fonctionné… parce que ça avait coupé son fou rire drastiquement!

Rappelons que Catherine et Antoine ont été ensemble pendant de nombreuses années et qu’ils sont désormais amis.

Catherine est d’ailleurs désormais en couple avec l’acteur Émile Ouellette.

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Antoine Pilon: «Ça me mettait en t*barnak»

Antoine Pilon était invité au 5 à 7 Podcast, où il a discuté de plusieurs sujets, notamment de son lien spécial avec l’émission Le Chalet, un projet dans lequel il a joué aux côtés de son ex-copine Catherine Brunet.

À un moment, l’une des animatrices lui a demandé s’il est lassant pour un couple de travailler ensemble.

«C’est quelque chose qui a beaucoup aidé notre couple parce qu’on se connaissait beaucoup dans notre travail et on est bons ensemble… on s’est vus grandir comme acteurs… on se connaît très bien dans le jeu et professionnellement aussi, mais artistiquement, aussi (…) on a fait Le Chalet ensemble, on a fait Marche à l’ombre ensemble, on a fait Faux départ ensemble, on a fait un film qui s’appelle Wolf ensemble, on a fait Entre deux draps ensemble (…)», explique-t-il.

Bien sûr, malgré les aspects positifs, Antoine reconnaît qu’il y a des moments où travailler avec sa partenaire de vie peut être plus compliqué.

«(…) Quand que ça ne va pas comme tu veux et qu’en plus il y a du… picossage entre collègues (…) et que là c’est ta blonde c’est comme: Arghhh, non!», lance-t-il.

«(…) Cath était particulièrement bonne pour se tanner quand moi, mettons, j’avais des fous rires (…)», affirme-t-il, ajoutant que cela lui arrive fréquemment en comédie, précisant que de tels moments peuvent considérablement retarder un tournage!

«(…) Cath des fois, sur Le Chalet ou sur Entre deux draps, j’avais des fous rires et elle était comme: Antoine, pour vrai là! Elle me reprenait et ça me mettait en t*barnak (rires)», raconte le comédien.

Capture YouTube @Le 5 à 7 Podcast

«(…) À un moment donné (…) sur Le Chalet, c’était une scène où elle n’était même pas dans la scène, elle attendait quelque part (…) elle n’est pas dans la scène, elle fait juste chiller sur le plateau (…) Moi, j’étais crampé, assis sur un divan à faire une scène (…) et j’ai juste entendu Catherine du fin fond de la pièce genre: Antoine, pour vrai, sérieux, là! et j’étais comme: De quoi tu te mêles, toi cr*sse (…)», se remémore-t-il, en admettant tout de même que ça avait fonctionné… parce que ça avait coupé son fou rire drastiquement!

Rappelons que Catherine et Antoine ont été ensemble pendant de nombreuses années et qu’ils sont désormais amis.

Catherine est d’ailleurs désormais en couple avec l’acteur Émile Ouellette.

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Anik Jean est en deuil

Anik Jean a annoncé récemment une triste nouvelle sur ses réseaux sociaux: elle a perdu un être cher.

C’est sur sa page Instagram que la vedette a partagé un touchant message dans lequel elle annonce que son deuxième père, son oncle préféré, est parti rejoindre son papa au ciel.

«Mon oncle préféré, mon deuxième père, est parti rejoindre mon papa aujourd’hui. Que ça va être tough sans toi. Tu me manqueras énormément. Repose en paix pour ton dernier voyage. Je t’aime tonton», témoigne-t-elle.

Un triste moment pour Anik

Rappelons que le papa d’Anik est décédé en 2020 d’un accident cardiaque alors qu’il était âgé de 74 ans.

Nos plus sincères condoléances.

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Marie-Mai: «Je suis-tu si sexuelle que ça?»

Marie-Mai, qui célèbre ses 20 ans de carrière, a passé une heure avec les animateurs du balado La vie sociale. Dans cet épisode, la chanteuse parle de sa manière de vivre avec le regard des autres, ayant été populaire dès son jeune âge et ayant été l’objet de plusieurs critiques.

Connue grâce à sa participation à Star Académie en 2003, les animateurs ont demandé à la star si cette folle aventure avait laissé une trace traumatique en elle.

Elle a expliqué que, de son côté, c’était l’après-aventure qui avait été très difficile, car elle devait faire face au regard des autres du jour au lendemain.

«(…) En sortant de là (…) c’était la première fois de ma vie de ma vie de jeune adulte où j’étais confrontée à ce que les autres pensent de moi (…) à 18 ans, je n’étais pas préparée (…), se remémore-t-elle, expliquant qu’aujourd’hui, les participants de téléréalité ont accès à plusieurs ressources, mais que ce n’était pas le cas dans son temps.

Marie-Mai affirme avoir vécu un choc lorsqu’elle s’était aperçue que ce n’était pas tout le monde qui l’aimait!

«(…) Oh, mon Dieu. Les gens, ils ne m’aiment pas tous! (rires) (…)», lance-t-elle, ajoutant qu’à l’époque, son seul désir était de se faire aimer.

Un passage qu’elle considère nécessaire dans la vie d’un artiste, car ils sont confrontés à l’opinion des gens chaque jour.

Au fil des années, elle en a même constaté les bénéfices.

«(…) Ce regard-là, extérieur, c’est la première fois… en sortant de Star Académie où j’y ai fait face et oui, ça fait mal. Ça fait mal!», témoigne-t-elle.

Capture YouTube @La vie sociale

Intéressés par le sujet, les animateurs ont ensuite demandé à Marie-Mai, maintenant âgée de 40 ans, comment elle vit avec l’opinion publique désormais.

Elle explique alors qu’aujourd’hui, elle n’est plus affectée par les commentaires négatifs du public:

«(…) Je suis dans l’énergie bring it on, dans le sens où, câline, après 20 ans, les gens devraient savoir que je ne changerai pas! (rires)»

Capture YouTube @La vie sociale

«(…) En 2003 à Star Académie, le décolleté jusqu’au nombril, c’était mon premier scandale, à 18, et les gens agissent aujourd’hui comme si je n’avais jamais mis de décolleté, jamais de ma vie et je suis comme: Bien, mon Dieu, ma carrière a commencé avec ça!», lance-t-elle, affirmant qu’elle n’arrêtera pas de porter les vêtements qu’elle porte parce que certaines personnes n’aiment pas ça, faisant référence aux commentaires suscités par ses looks dans Big Brother.

Elle explique toutefois que c’est correct que les gens n’aiment pas ça et qu’elle trouve même cela drôle, car pour elle, la mode est quelque chose qu’elle ne prend pas au sérieux: elle s’amuse à travers cela.

«(…) On peut-tu arrêter d’être outré d’un décolleté, d’une (…) jupe, d’un talon haut, d’une coupe de cheveux (…)», demande-t-elle, visiblement découragée.

«(…) J’ai toujours été polarisante (…)», affirme-t-elle, intrigant les animateurs, qui ne comprennent pas pourquoi il en est ainsi.

«(…) Je dis un mot et les gens peuvent être outrés, je mets un vêtement et ils peuvent être outrés, rendu-là, c’est quoi qui choque? Je ne le sais pas. C’est moi! (rires) C’est ma face, c’est mes cheveux, c’est mes seins, je ne sais pas c’est quoi (…)», répond-elle, faisant réfléchir les animateurs sur le pourquoi du comment.

Capture YouTube @La vie sociale

L’animatrice a expliqué que les gens réagissent peut-être ainsi parce qu’au Québec, nous ne sommes pas tant habitués à voir des artistes être sexuels.

«(…) Ouin, mais je suis-tu si sexuelle que ça? (…)», questionne alors Marie-Mai.

«(…) (…) Taylor Swift porte ce qu’elle porte sur scène, pas vu beaucoup de commentaires comme quoi c’est très révélateur (…) tu prends ce kit-là, tu le mets sur moi, on ne s’en remet jamais!», estime-t-elle.

«(…) J’ai 40 ans et on me parle encore comme si j’avais 18 ans! (…) Oh, mon Dieu, mais quel mauvais exemple! Je suis comme: J’ai quarante ans! Laissez-moi vivre! (rires)», s’exclame-t-elle.

Capture YouTube @La vie sociale

La star a conclu en affirmant qu’au final… elle fait ce qu’elle veut!

Trouvez-vous la star si polarisante?

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Pierre Brassard est en deuil

Pierre Brassard a tout récemment partagé un poignant message pour annoncer la perte de sa chienne Kyara, qu’il considérait comme un être très cher.

Dans un premier temps, le comédien a partagé un texte rédigé par sa maitresse ainsi que par sa vétérinaire et il est possible de sentir de l’attachement profond qu’ils avaient pour l’animal.

«On voit passer ce genre de publications et on se dit un jour ce sera mon tour. Ton odeur et ton regard à jamais dans mon coeur», lance-t-il.

«De ton vivant, je te disais «merci d’être là Kyara». Jusqu’à ma fin, je le penserai encore. 12 septembre 2014- 21 octobre 2024. 11h57», continue-t-il, visiblement très triste du départ de celle-ci.

La perte d’un animal de compagnie peut être une expérience profondément dévastatrice…

Les animaux occupent une place unique dans nos vies, offrant amour, fidélité et réconfort, nous souhaitons donc toutes nos sympathies à Pierre, ainsi qu’à ceux qui sont touchés par le départ de Kyara.

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Mélissa Bédard dévoile le sexe de son enfant à venir!

Mélissa Bédard, qui a récemment annoncé une merveilleuse nouvelle, soit qu’elle et son conjoint attendent un quatrième enfant pour 2025, révèle maintenant le sexe du petit bout de chou qui agrandira la famille.

«Karl et moi venons de vivre une dernière fois une des plus belles journées de notre vie! Il y a des choses que l’on espère mais que l’on ne peut contrôler. En 2025, nous accueillerons un ange qui viendra compléter un chapitre!», annonçait-elle.

C’est sur sa page Instagram que la chanteuse a partagé une adorable vidéo de son gender reveal, un moment émouvant et significatif pour les parents et leur famille.

Et… il s’agit d’un garçon!

«Tant que nous avons des enfants en santé, c’est le principal. Mais, je vous mentirais si je vous disais qu’au fond de mon cœur, j’espérais avoir cette belle surprise! Merci encore à tous ceux qui étaient présents pour vivre ce moment inoubliable avec nous. Nous fermerons cette boucle avec un beau petit garçon en 2025», dévoile-t-elle, visiblement comblée de bonheur.

C’est une heureuse nouvelle pour la maman, qui avait exprimé à plusieurs reprises son désir de revivre cette expérience extraordinaire.

Félicitations et bonheur à la petite famille de cinq, qui accueillera son sixième membre.