Auteur : Mon Fric

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Les prix de l’alcool vont subir une forte hausse dans les restaurants

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La plus forte hausse de taxe en 40 sur l’alcool risque de faire mal à l’industrie des bars et de la restauration, rapporte le site web Les Affaires. 

« Toute augmentation en cette période très vulnérable pour notre secteur n’est qu’un autre coup dur, alors que nous sommes déjà en panne », se désole Brenda O’Reilly, qui possède plusieurs restaurants et une brasserie à Saint-Jean de Terre-Neuve, en entrevue avec la Presse canadienne.

Après avoir dû affronter les fermetures durant la pandémie, la pénurie de main-d’oeuvre et l’inflation, l’industrie devra bientôt composer avec la hausse de la taxe d’accise, qui grimpera de 6,3 % dès le 1er avril prochain.

« Plusieurs d’entre nous ne se sont pas remis de la pandémie, et maintenant ils veulent augmenter cette taxe. Il est difficile d’extraire du sang d’un navet. Nous allons voir plus de fermetures de restaurants si cela continue », croit Mme O’Reilly. 

La taxe d’accise va forcément se traduire par une hausse de prix pour les consommateurs, estime le président de Bière Canada, CJ Hélie.

« Il est imposé au point de production et payé par le fabricant, ce qui signifie qu’il est intégré au prix du produit et amplifié tout au long de la chaîne d’approvisionnement, du distributeur au détaillant », a-t-il fait savoir à La Presse canadienne.

Cette hausse annuelle n’était généralement pas bien accueillie par l’industrie, mais était « plus digeste » quand l’inflation était de 2 %, ajoute M. Hélie. 

Dans la vente au détail, les consommateurs pourraient remarquer que les prix seront plus élevés. 

« Chaque fournisseur d’alcool décidera d’augmenter ou non son prix de gros pour tenir compte de l’augmentation qu’il doit payer en droits d’accise. Ensuite, les détaillants prendront la décision d’ajuster ou non les prix pour les consommateurs de ces produits. Il appartient à chaque détaillant de déterminer s’il veut augmenter ses prix, et dans quelle mesure », a fait savoir par courriel à la Presse canadienne Robin Fraser, porte-parole de la BC Liquor Distribution Branch en Colombie-Britannique. 

D’après Statistique Canada, les prix des boisons alcoolisées ont connu une hausse de 5,7 % en février 2023 par rapport à la même période un an plus tôt. 

L’inflation de l’alcool pourrait être plus élevée que celle du reste des biens et services ce printemps. 

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On sait maintenant à quoi va ressembler votre augmentation de salaire cette année

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Alors que la hausse des salaires a explosé avec une moyenne de 6,9 % de plus en 2022, à quoi faut-il s’attendre cette année ? TVA Nouvelles s’est penché sur la question, au moment où de nombreux employés vont négocier leur salaire. 

« On anticipe entre 4 et 4,4 % d’augmentation salariale », évalue la présidente de Réseau Annie RH, Annie Boilard, en entrevue avec TVA Nouvelles. 

En janvier dernier, la hausse envisagée était plutôt de 4,4 %.

Mais à quoi est due cette baisse des prévisions ? « L’augmentation de l’inflation diminue », ajoute Mme Boilard pour justifier ces chiffres.

Toutefois, les prévisions ne concernent pas les travailleurs protégés par une convention collective. Ces derniers vont probablement avoir droit à une hausse qui varie entre 2 et 3 % cette année. 

Rappelons qu’au Québec, le salaire minimum passera à 15,25 $, une hausse d’un dollar, dès le 1er mai prochain. Les employés rémunérés aux pourboires toucheront quant à eux un minimum de 12,20 $ l’heure. 

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Une jeune Québécoise révèle comment elle fait son épicerie complète pour seulement 68 $

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Alors que l’inflation touche de plein fouet le panier d’épicerie, de plus en plus de jeunes se tournent vers les réseaux sociaux afin de trouver des astuces pour économiser. Et une créatrice de contenu de 25 ans sur Instagram leur a donné le moyen d’avoir une épicerie complète pour 68 $, rapporte le Journal de Montréal. 

« Je sens qu’en ce moment il y a un intérêt pour cette tendance [à vouloir économiser]. Avec les prix des aliments de base qui ont tellement augmenté, les gens cherchent à économiser », raconte au Journal de Montréal Mila Taillefer, qui a plus de 56 000 abonnés sur son compte Instagram, dont 80 % sont composés de jeunes de 18 à 34 ans.

La jeune femme donne des conseils aux jeunes pour la gestion de leurs finances, mais également des trucs pour économiser sur la facture d’épicerie. Ainsi, une vidéo qui a été vue plus de 38 000 fois montre comment avoir de la viande, des produits laitiers, des fruits et légumes pour un total de 68 $.

« Les gens dans la vingtaine sont curieux et je remarque qu’ils veulent économiser de plus en plus tôt », poursuit la jeune femme. 

Elle n’est pas la seule. Une autre influenceuse, Marilyne Gagné, connue comme « Miss économe » sur les réseaux sociaux, a observé que les jeunes cherchent à réaliser des économies. La jeune femme fait du couponnage et des achats au rabais depuis huit ans. 

« Depuis janvier, je reçois énormément de messages de gens qui ont fait le pas [vers les astuces pour économiser] », explique-t-elle au Journal de Montréal.

Avec près de 21 000 abonnés, elle observe que les gens sont de plus en plus nombreux à demander aux caisses d’égaler le prix de certains articles et constate une plus grande ouverture sur la question.  

 « Avant, je n’avais pas autant de gens qui identifiaient leurs amis en commentaires », poursuit-elle.

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Un facteur pourrait faire exploser le prix de l’essence au Québec

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Le prix de l’essence pourrait connaître une autre hausse fulgurante à la fin du printemps, rapporte TVA Nouvelles. C’est que l’Arabie saoudite a annoncé dimanche réduire sa production de pétrole. 

Cette baisse de production qui commencera en mai et qui se poursuivra jusqu’à la fin de 2023 pourrait donc causer la montée des prix de l’essence. 

L’Arabie saoudite baissera sa production de 500 000 barils par jour, soit une baisse de production de 5 %, a annoncé le ministère saoudien de l’Énergie dans un communiqué. D’ordinaire, le pays produit quotidiennement autour de 11,5 millions de barils de pétrole.

Plusieurs experts estiment que cette annonce aura pour effet d’entraîner une hausse des prix de l’essence. Rappelons que le président des États-Unis, Joe Biden, avait aussi demandé à l’Arabie saoudite de hausser sa production de pétrole. 

L’Arabie saoudite n’est pas le seul pays à avoir annoncé une baisse de sa production. C’est également le cas de la Russie et des Émirats arabes unis. 

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McDonald’s annonce un nouveau produit qui va plaire à bien des Québécois

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Alors que le printemps est arrivé, McDonald’s a décidé de sortir plusieurs boissons froides afin de souligner le retour des beaux jours, rapporte Narcity.

Ainsi, trois nouvelles boissons aux fruits seront disponibles à travers le Canada dès le 4 avril prochain.

Les limonadesSplash fraîcheur viennent en trois saveurs : la classique au citron, celle aux fraises et aux fruits de la passion, et celle à la pêche et à la mangue.

Photo : Courtoisie – McDonald’s Canada

Du concentré de jus de citron avec pulpe a servi à élaborer la saveur de citron. Les deux autres saveurs sont plus sucrées.

Les trois nouvelles boissons sont servies avec de la glace.

Mais ce n’est pas tout. McDonald’s a également annoncé une nouvelle saveur de smoothie en vue du retour du printemps. Si vous avez envie de goûter le smoothie aux kiwis, ananas et bananes, vous pourrez le faire pour un temps limité dès le 11 avril prochain. 

Les saveurs classiques seront encore au menu : soit fraises et bananes, mangue et ananas, et grenade et bleuet.

Toutes ces boissons peuvent être commandées sur place, sur l’application de McDonald’s et en service de livraison.

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Un pourboire de 10 cents fait beaucoup jaser les Québécois

Capture d'écran photo Facebook

Alors que le pourboire est un sujet qui déchaîne les passions depuis plusieurs mois au Québec, un pourboire de 10 cents fait beaucoup jaser la population depuis quelques jours, rapporte TVA Nouvelles.

C’est la page Facebook Spotted Lachute qui a mis en lumière ce pourboire très léger.

« Triste de voir qu’on est rendu dans une société comme ça… Laisser ce genre de pourboire surtout en livraison », a-t-il été écrit pour accompagner la photo d’une facture de 29,90 $ où l’on peut voir qu’un pourboire de 10 cents a été ajouté pour que le montant total de la facture soit de 30 $.

Cette publication a généré de nombreuses réactions. Au moment d’écrire ces lignes, elle a suscité plus de 1600 commentaires.

« Un pourboire reste a la discrétion du client et qu’il sois facultatif dans les circonstances le restaurateur n as qu a augmenter l’assiette livrer ou payer mieux ces employé cette obligation n est que le fruit des. Gouvernement pour imposer les pourboires donc les pressions doivent être mise sur les gouvernements afin de modifier la loi de l’Impot au lieu d imposer a la clientèle que déjà sont taxer au maximum alors peut être entamer des pour parler avec le gouvernement syndicat et les livreurs et les travaillants en restauration », a commenté un internaute.

Crédit photo: Capture d’écran Facebook Spotted Lachute

« Un serveuse dans un restaurant est payé au salaire minimum des serveuses et doivent déclarer leurs pourboire. J’aimerais savoir, est-ce la même chose pour les livreurs?? Au dernière nouvelle, non. Alors c’est à la discrétion du client point! Pour ma part, je donne toujours 5$ de pourboire quand je fais livrer du resto peu importe le montant de la facture puisque le travail ne change pas selon le total de la facture au contraire des serveuses », a écrit une autre internaute.

Crédit photo: Capture d’écran Facebook Spotted Lachute

« Le pourboire est toujours optionnel et les dépenses reliées au travail de livreur, comme le gaz, les assurances, les plaques, les intérêts sur le prêt auto, etc. sont déductibles d’impôt. Je ne dis pas que c’est moralement correct, mais ça fait malheureusement parti des risques lorsqu’on travaille à pourboire », a ajouté une autre internaute.

Crédit photo: Capture d’écran Facebook Spotted Lachute

« Le pourboire nest pas obligatoire. A la base.. si vous voullez absolument quil le soit batter vous pour quil soit inclu dans les prix. Ou bien pour etre payer en conséquence. En attendant chialer comme vous voulez moi mas donner ce que jai envie a qui jai envie… Celon le service recu point a la ligne », a écrit une autre internaute.

Crédit photo: Capture d’écran Facebook Spotted Lachute

« Moi je pense franchement que les restaurateurs n’ont rien a voir avec les clients qui ne tips pas où peu c’est le monde en général qui ne comprennent et ne comprendront peut être jamais que le service qui demandent se doit d’être récompense. TU AS DE L’ARGENT POUR LE RESTO TU EN AS POUR LAISSER UN POURBOIRE.Sinon reste chez vous et fais toi a manger tu n’auras pas a déboursé et écœuré le monde!!! », a écrit une autre internaute.

Crédit photo: Capture d’écran Facebook Spotted Lachute

TVA Nouvelles rappelle qu’à partir du 1er mai prochain, le taux minimum du salaire au pourboire sera de 12,20 $ l’heure. Pour le moment, il est de 11,40 $ l’heure.

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Deux jumelles influenceuses québécoises populaires sur Onlyfans rattrapées par l’impôt

@twinsjess0 Tik Tok

Les jumelles Sarah et Jessica Massie, deux influenceuses québécoises actives sur OnlyFans, sont dans de beaux draps alors que l’impôt est actuellement sur leurs cas. En entrevue avec TVA Nouvelles, elles ont accepté de raconter leur histoire. 

Triste nouvelle pour les jumelles Sarah et Jessica Massie alors qu’elles doivent maintenant composer avec la réalité des travailleurs autonomes. Actives particulièrement sur OnlyFans, elles ignoraient qu’elles devraient payer de l’impôt à la fin de l’année en lien avec leurs gains. 


Jessica Massie a appris une bien mauvaise nouvelle que son compte bancaire a été saisi, tout comme sa sœur Sarah. 

Comme elles ne s’attendaient pas à payer de l’impôt, les jeunes créatrices de contenu ont fait faire des rénovations dans leur résidence.

En prenant connaissance du montant qu’elles devaient à Revenu Canada par la suite, les deux influenceuses n’avaient malheureusement pas suffisamment d’argent pour payer leurs dettes. 


Elles affirment que Revenu Canada a même menacé de leur saisir leur compte OnlyFans. 

Jessica a répondu que s’ils faisaient une telle chose, ils allaient lui voler son travail et ruiner sa vie.

Voyez les publications plus bas : 

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Annonce majeure concernant le travail des enfants au Québec

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Le gouvernement Legault vient de faire une annonce majeure concernant le travail des enfants au Québec, rapporte La Presse. 

En effet, le ministre du Travail, Jean Boulet, a présenté aujourd’hui le projet de loi 19 qui a pour objectif d’encadrer le travail des enfants.

Information majeure de ce projet de loi: les enfants qui n’ont pas 14 ans n’auront pas le droit de travailler.

Il y aura tout de même des exceptions, précise La Presse.

En effet, les activités en lien « à une prolongation de la vie scolaire, familiale, et qui comportent peu de risques pour leur santé » seront autorisées. Aider l’entreprise familiale et faire du gardiennage font partie des exceptions tout comme travailler dans des colonies de vacances.

Crédit photo: Capture d’écran vidéo Facebook

La Presse souligne que le projet de loi 19 prévoit également de réglementer la quantité d’heures travaillées par les enfants âgés entre 14 et 16 ans. 

En effet, ils ne pourront travailler pas plus de 17 heures par semaine pendant l’année scolaire et pas plus de 10 heures entre le lundi et le vendredi. Une nouvelle réglementation qui devrait être appliquée dès la rentrée scolaire du mois de septembre prochain.

Pour justifier le contenu du projet de loi 19, Jean Boulet explique s’être appuyé notamment sur les recommandations du Comité consultatif du travail et de la main-d’œuvre.

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C’est à partir de juillet que vous allez commencer à économiser sur vos impôts

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Après que la Coalition avenir Québec (CAQ) eut déposé son budget mardi, plusieurs choses vont changer, rapporte Narcity, qui a recensé huit mesures différentes qui vont changer le quotidien de bien des Québécois. 

Des baisses d’impôt

Mesure phare du budget du ministre des Finances, Eric Caire, c’est aussi le point qui fait le plus jaser dans l’actualité cette semaine. Ainsi, les Québécois qui gagnent 49 275 $ ou moins vont payer 14 % d’impôt et ceux qui touchent entre 49275 et 98 540 $ seront imposés à un taux de 19 %. Une personne seule peut économiser jusqu’à 814 $ en impôts. 

Des hélicoptères médicaux

Le gouvernement a prévu 125 M $ sur cinq ans pour transporter les patients qui habitent à plus de 275 km d’un établissement par hélicoptère. Ainsi, les gens vivant dans des zones rurales pourront être transportés vers des établissements de Montréal et de Québec.

Investissements dans les infrastructures sportives

Le gouvernement a octroyé 88,4 M$ d’ici 2027-2028 en vue d’encourager les Québécois à faire du sport.

Un nouveau passeport culturel

Le gouvernement a décidé de prendre 4,2 M $ des coffres de l’État pour mettre sur pied un passeport culturel pour les jeunes, qui pourront avoir accès à la culture québécoise de façon avantageuse.

Bonification du crédit d’impôt pour la solidarité

Cette mesure vise les personnes à faible et moyen revenu et sera bonifiée dès le 1er juillet. Ainsi, elle sera haussée de 78 $. 

Une vaccination contre le zona

Ceux qui ont déjà attrapé la varicelle courent le risquent de développer un zona et d’avoir plusieurs complications. Le gouvernement a donc décidé de lancer une campagne de vaccination gratuite pour tous. 

Plus de cliniques

Le gouvernement veut ajouter des « nouvelles cliniques d’accès à la première ligne et ajouter des infirmières praticiennes spécialisées et d’autres professionnels en première ligne » afin de faciliter l’accès des Québécois à un professionnel de la santé. 

Hausse de la taxe sur les pneus neufs

Dès le 1er juillet, la taxe sur les pneus neufs sera de 4,40 $ plutôt que de 3 $pour les voitures et de 6 $ pour les camions.

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La SAAQ veut faire payer les conducteurs pour des plaques d’immatriculation défectueuses

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Quelques semaines avant de lancer son système SAAQclic, la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ) a suspendu son programme qui offrait gratuitement le remplacement des plaques d’immatriculation défectueuses, rapporte La Tribune.

Le chroniqueur Paul-Robert Raymond avait il y a quelques semaines écrit que les automobilistes pouvaient le faire gratuitement, si la pellicule réfléchissante décollait et que la plaque devenait impossible à lire. 

Mais « maintenant, il en coûte 12 $, peu importe si la plaque est défectueuse ou endommagée par négligence ou par accident. Dans ces deux derniers cas, la gratuité du programme maintenant suspendu ne s’appliquait pas », écrit le chroniqueur. 

Ainsi, si le produit est défectueux, il en revient désormais à l’automobiliste de payer pour le remplacer.

Le programme de gratuité avait été mis sur pied en 2020, quand la SAAQ et son fournisseur ont admis un vice de fabrication dans les plaques d’immatriculation. Si la porte-parole de la société d’État a répondu à la Tribune que « le problème était réglé depuis le temps que le programme a été lancé », le chroniqueur n’est pas de cet avis. Il affirme plutôt voir plusieurs plaques d’immatriculation de la sorte sur la route. Depuis l’instauration du programme, la SAAQ a remplacé 151 623 plaques d’immatriculation.

« Je crois qu’il serait pertinent de réactiver le programme de remplacement et de l’ajouter au « bouquet infini de services » dont la SAAQ se targue de vouloir offrir dans SAAQclic », résume-t-il.

Un autre service « disparu » avec SAAQclic

Mais la gratuité du remplacement de plaques d’immatriculation endommagées n’est pas la seule chose à avoir changé avec l’avènement de SAAQclic. M. Raymond estime que les véhicules en copropriétés n’apparaissent plus dans le nouveau système de la société d’État. « Il faut dorénavant désigner un responsable et cela n’est possible qu’en se présentant à un centre de service de la SAAQ. Impossible de faire ceci en ligne », dit-il. 

Mais selon la SAAQ, la nouvelle procédure offre « plus de liberté aux usagers » et justifie sa décision par le fait que « l’immatriculation n’est pas un contrat de vente ».

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