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La prestation pour les soins dentaires va coûter deux fois plus cher que prévu

Après avoir été annoncé l’année dernière en alliance avec le NPD, le Régime canadien de soins dentaires va coûter deux fois plus cher que ce qui avait été annoncé au départ, rapporte TVA Nouvelles

C’est ce qui est précisé dans le budget 2023 de la ministre des Finances, Chrystia Freeland, dévoilé mardi. 

Sur cinq ans, la mesure va coûter 13 G$ au lieu des 6 G$ prévus il y a un an. 

« La gamme de services couverts » sera plus importante que ce qui était originalement prévu et l’inflation a fait augmenter les tarifs des services, a précisé un haut fonctionnaire de Finances Canada dans des propos repris par TVA Nouvelles.

« Depuis décembre, nos investissements aident plus de 240 000 enfants canadiens à recevoir les soins dentaires dont ils ont besoin », a souligné la ministre Freeland. Selon elle, la mesure, une fois arrivée à terme, profitera à 9 millions de Canadiens.

Rappelons que le tiers des gens au pays ne possèdent pas d’assurance dentaire. Ainsi, le gouvernement libéral a décidé de couvrir ces soins pour tous ceux non assurés qui ont un revenu familial de moins de 90 000 $, avec, au départ, les enfants de moins de 12 ans.

Au Québec, une mesure similaire existe déjà pour les enfants de moins de 12 ans. 

L’entente avait originalement été faite avec le NPD afin que garantir le soutien du parti à la formation libérale jusqu’en 2025.

Cette alliance prévoit également un régime d’assurance-médicaments, qui n’était pas à l’ordre du jour au budget.

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Les travailleurs québécois sont plus heureux que les employés ailleurs au Canada

Une nouvelle étude couronne les Québécois comme étant les travailleurs les plus heureux au pays, rapporte l’Agence QMI

C’est du moins ce que conclut l’Indice de bonheur au travail d’ADP Canada, réalisé en partenariat avec Maru Public Opinion. 

Sur une note de 10, le Québec a eu la plus haute note, avec un score de 7. La moyenne nationale pour le mois de mars est de 6,7 sur 10.

La Colombie-Britannique et l’Alberta suivent en deuxième et troisième place avec des scores respectifs de 6,9 et 6,8 sur 10. Les provinces de l’Atlantique, la Saskatchewan et le Manitoba sont ensuite à égalité avec une note de 6,7. L’Ontario est bonne dernière avec un pointage de 6,5. 

« Nous passons une grande partie de notre vie au travail ou à penser au travail, de sorte que le bonheur au travail est primordial pour notre bien-être général », a fait savoir Holger Kormann, président d’ADP Canada dans un communiqué.

« Non seulement les travailleurs heureux sont généralement plus productifs, engagés et performants, mais un environnement de travail propice au bonheur peut également avoir des répercussions positives sur d’autres aspects importants de notre vie », a-t-il poursuivi.

Pour établir son score, l’Indice s’est basé notamment sur le sentiment de bonheur que les travailleurs éprouvent dans leurs tâches actuelles, mais aussi sur l’équilibre travail— famille, la flexibilité, le salaire et les avantages sociaux, le sentiment de reconnaissance et les options d’avancement de carrière.

Les plus heureux au travail sont les baby-boomers. La génération Z vient en deuxième, les millénariaux, en troisième, et finalement la génération X. 

Les informations ont été recueillies au début du mois. Un total de 1 200 Canadiens ont participé à l’enquête. 

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Ticketmaster à nouveau dans l’eau chaude

Ticketmaster se retrouve une fois de plus dans l’eau chaude avec une deuxième demande d’action collective déposée contre elle mardi. L’entreprise qui vend des billets de spectacles est accusée de pratiques illégales dans la mise en vente et de volontairement induire ses clients en erreur avec ses « billets platine », rapporte La Presse.

Le géant de la vente de billet fait régulièrement les manchettes avec des pratiques critiquées de vente de billets. 

Cette semaine, la firme d’avocats montréalaise LPC a déposé une nouvelle demande d’action collective à la Cour supérieure de Laval. Elle estime que Ticketmaster a des pratiques « en claire violation » avec la Loi sur la protection du consommateur, notamment par le fait de ne pas annoncer directement qu’un deuxième concert a été programmé au moment de la mise en vente du premier concert. Cette pratique viserait donc à « soutirer autant d’argent que possible aux vrais fans ». 

Ainsi, comme les clients ignorent qu’il y a en fait d’autres billets disponibles, un effet de rareté est créé et les billets voient leur prix augmenter. Les clients achètent donc massivement les billets du premier concert en ignorant qu’il y aura un deuxième spectacle et que les billets seront moins chers au moment de leur mise en vente. 

L’action collective réclame des dommages et intérêts compensatoires versés à ses membres et des dommages et intérêts punitifs de 300 $ par membre, en plus du remboursement de la différence entre le prix « régulier » et le prix payé par chambre membre. Le document déposé devant la justice demande également une injonction pour que Ticketmaster modifie ses plateformes et cesse « ses pratiques commerciales interdites ».

À titre d’exemple, le document cite le cas d’une cliente qui avait acheté des billets pour le spectacle de P!nk au Centre Bell, qui aura lieu cet automne. Elle aurait acheté à la fin du mois de février trois billets pour le concert du 1er novembre. Ensuite, on lui a offert des « sièges platine officiels », qui seraient les meilleures places, à un prix plus élevé en raison de la tarification dynamique, qui fait monter les tarifs avec la demande. 

Mais les billets qui ont coûté près de 350 $ chacun se retrouvent 14 rangées avant la dernière, dans la section à l’opposé de la scène. Plus tard, la cliente s’est rendu compte que d’autres billets « platine » à côté étaient vendus à un tarif moindre. 

Au moment de la mise en vente du spectacle suivant, la cliente a réalisé que de meilleurs billets étaient vendus à seulement 6,89 $ de plus. 

Ticketmaster n’avait pas répondu aux demandes d’entrevue de La Presse. 

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Soyez vigilants car les policiers vous auront particulièrement à l’oeil dans les prochains jours

Les conducteurs qui bloquent les intersections achalandées seront dans la mire de la police de Montréal au cours de la prochaine semaine.

Le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) a annoncé qu’il mènerait une opération qui vise à protéger les cyclistes et les piétons en empêchant les voitures d’avancer prématurément aux intersections.

Les policiers mèneront cette opération aux heures de pointe du matin et de l’après-midi près du pont Jacques-Cartier.

Les automobilistes qui seront surpris à bloquer les intersections en s’avançant trop tôt pourraient recevoir un billet d’infraction pouvant aller de 110 $ à 175 $. En ce qui concerne les conducteurs qui traversent aux feux rouges, ceux-ci perdront également trois points d’inaptitude.

Bien que le but principal de l’opération soit d’empêcher les voitures de bloquer la circulation, les autorités souhaitent aussi empêcher les collisions entre piétons, cyclistes et voitures.

Comme l’a indiqué Krisztina Baloch du SPVM, de plus en plus de personnes se rendent au travail à pied ou en vélo: «Le problème est persistant, donc nous avons fait beaucoup d’interventions ici et donné quelques contraventions. Mais malheureusement, il y a encore des intersections bloquées par les voitures. On veut changer les comportements, car le printemps est déjà là, et on va avoir plus de piétons et de cyclistes dans la rue.»

Le SPVM a rappelé qu’il y avait une campagne de sensibilisation au sujet de cette opération, dont des publicités qui sont diffusées à la radio.

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Important retard dans la migration des données sensibles des québécois

Le gouvernement du Québec a annoncé un retard de deux ans dans son projet de transférer les données des Québécois vers les nuages d’Amazon et de Microsoft, malgré les économies annuelles prévues de 100 millions $.

Ce report est dû à une résistance au changement dans les organisations gouvernementales. Ce projet avait été initié en 2019 par l’ex-président du Conseil du trésor, Christian Dubé, et l’ancien ministre délégué à la Transformation numérique, Éric Caire, qui avaient affirmé qu’en trois ans, ces économies pourraient être réalisées en consolidant les centres de données.

Cependant, seulement cinq organisations ont effectué leur transition numérique jusqu’à présent, alors qu’il y a plus de 120 organismes et ministères.

Le ministre de la Cybersécurité et du Numérique (MCN), Éric Caire, a souligné que les centres de données actuels sont désuets et mettent les informations des Québécois à risque, et que le Québec devrait éliminer rapidement les 457 centres de traitement informatique où sont hébergées nos données.

Nouveau décret

En pleine pandémie de COVID-19 et sans faire de bruit, le gouvernement du Québec a publié en juin 2020 un deuxième décret pour élargir la portée de son projet de transfert de données vers les nuages d’Amazon et de Microsoft.

Les réseaux de la santé et de l’éducation ont été inclus, faisant grimper le budget initial de 155,9 M$ à 324,3 M$. Cette enveloppe comprend également la création d’un nuage québécois pour héberger 40 % des données les plus sensibles. Conscient que le délai initial de trois ans ne serait pas respecté, Québec a accordé une prolongation jusqu’au 31 décembre 2025 à toutes les organisations concernées pour achever leur transition numérique.

David contre Goliath 

Le Ministère de la Cybersécurité et du Numérique (MCN) a justifié la prolongation de la période de transition vers les nuages d’Amazon et Microsoft en expliquant que la gestion du changement et la capacité des organisations à effectuer les travaux nécessitaient plus de temps.

Selon le MCN, la pénurie de main-d’œuvre dans le domaine des technologies de l’information avait également un impact sur la livraison du projet. Des sources du Bureau parlementaire ont révélé que plusieurs organismes étaient très réticents aux changements et risquaient de ne pas respecter le nouveau décret. Une source proche du dossier a déploré que le roulement et le manque de personnel retardent l’implantation.

Nathalie St-Pierre, la porte-parole du ministre Caire, a souligné qu’il s’agissait de changements importants qui devaient être faits dans l’ordre pour susciter l’adhésion de tous.

CONSOLIDATION DE CENTRES DE DONNÉES 

57 % des travaux auraient été réalisés auprès des ministères et organismes

42 % en éducation

Seulement 11,4 % dans le réseau de la santé

organisations sur plus de 120 ont complété la transformation

  • Ministère du Tourisme
  • Bureau des audiences publiques sur l’environnement
  • Institut national des mines  
  • Conservatoire de musique et d’art dramatique du Québec
  • Société du Grand Théâtre de Québec
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On sait maintenant le montant qu’il vous restera de plus dans vos poches suite aux nouveaux impôts

C’était une promesse électorale, c’est devenu une réalité : le gouvernement de François Legault a annoncé mardi des baisses d’impôt dans son plus récent budget, rapporte Les Affaires

La mesure offrira des baisses d’impôt d’ici 2028 et ce sont 4,6 millions de personnes qui devraient en bénéficier.

Ainsi, les deux premiers paliers d’imposition vont être imposés d’un point de pourcentage en moins, a précisé le ministre des Finances, Eric Girard. Tous ceux qui touchent un salaire de 49 275 $ et moins vont ainsi payer 14 % d’impôt. Ceux qui touchent entre 49 276 $ et 98 540 $ paieront un taux de 19 % d’impôt. 

Ainsi, une personne seule pourrait économiser jusqu’à 814 $. Ce montant grimpe à 1 627 $ pour un couple. Mais ces retenues à la source n’entreront en vigueur que dès le 1er juillet 2023. La baisse d’impôt pour la première moitié de l’année sera incluse dans la déclaration de revenus, l’année prochaine. 

Ainsi, tous ceux et celles qui gagnent plus de 14 398 $ vont voir leurs impôts réduits d’un point de pourcentage au minimum. Eric Girard se targue comme quoi la mesure va profiter à 90 % des contribuables qui touchent moins de 100 000 $ en salaire annuellement. 

« On réduit l’impôt là où le Québec est le moins compétitif avec les autres provinces », poursuit le ministre. D’ailleurs, tous ceux et celles qui versent des acomptes provisionnels pourront ajuster leur montant après le 15 mars prochain. 

Encore de l’inflation

« Nous prévoyons une inflation de 3,5 % en 2023. L’année 2023 sera économiquement difficile, mais le Québec possède des avantages indéniables, notamment le plein emploi et un plan budgétaire solide. Nous pensons que le stimulus fiscal, introduit en juillet, arrivera au bon moment. C’est au deuxième ou au troisième trimestre que le ralentissement économique se fera sentir », a ensuite avancé M. Girard. 

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C’est à partir de demain qu’entre en fonction une nouvelle mesure pour acheter sa propriété

Le budget annoncé mardi par la ministre fédérale des Finances, Chrystia Freeland, continue de faire parler de lui. Radio-Canada a recensé 9 mesures qui risquent d’avoir des conséquences dans la vie des Canadiens.

Des soins dentaires

Sur cinq ans, la mesure coûtera 13 milliards de dollars. Le Régime canadien de soins dentaires va couvrir les soins dentaires des Canadiens qui n’ont pas d’assurance et dont le revenu familial annuel est de moins de 90 000 $. Et toute personne qui touche moins de 70 000 $ n’aura pas non plus à payer de quote-part. 

Un meilleur service à la clientèle

Ottawa vise ici à ne pas répéter le chaos dans les aéroports et dans les bureaux de passeport. Une somme de 1,8 G$ est octroyée sur cinq ans à l’Administration canadienne de la sûreté du transport aérien (ACSTA).

Un rabais épicerie

Un total de 11 millions de Canadiens vont profiter d’une mesure. Une famille avec deux enfants recevra jusqu’à 467 $ tandis qu’une personne seule pourra toucher 234 $, et une personne âgée, 225 $. Le calcul se fait sur le remboursement doublé de la TPS. 

Plus de bourses d’études

Les bourses d’études vont être augmentées de 40 % et un étudiant à temps plein pourra donc avoir jusqu’à 4 200 $. Les prêts d’études canadiens sans intérêt voient maintenant leur plafond est haussé à 300 $ par semaine d’études. 

Une limite sur la taxe d’accise sur l’alcool

Alors que ces taxes sont augmentée annuellement selon l’Indice des prix à la consommation, cette année, dès le 1er avril, les hausses seront plafonnées à 2 %.

Le CELIAPP

Dès le 1er avril, les particuliers pourront mettre jusqu’à 40 000 $ dans ce compte en vue de faire une mise de fond pour acheter une première propriété. 

Déclarer ses impôts de manière automatisée

Jusqu’à 12 % des Canadiens omettent de produire leur déclaration de revenus, passant à côté de plusieurs crédits et mesures. L’Agence de revenu du Canada (ARC) va tester dès l’an prochain un service de production automatique de déclaration de revenu en vue de soutenir les personnes vulnérables.

Moins de frais de cartes de crédit pour les PME

Visa et MasterCard ont promis de faire baisser leurs frais pour les petites entreprises et protègent les points de récompense pour les consommateurs des grandes banques au Canada. Plus de 90 % des entreprises vont maintenant voir leurs frais d’interchange diminuer jusqu’à 27 %.

Une seule façon de recharger les appareils

Comme en Europe, le Canada veut un seul port de recharge afin de diminuer les déchets électroniques. Ainsi, téléphones cellulaires, tablettes, et autres appareils électroniques utiliseront le même format. 

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Les ultrariches devront payer plus cher d’impôt

Ottawa a décidé d’apporter des modifications au régime d’impôt minimum de remplacement (IMR) pour les Canadiens qui touchent un salaire élevé, rapporte La Presse

Cette mesure vise à ce que les particuliers qui touchent un important revenu ne soient pas en mesure de réduire leur revenu imposable à zéro avec l’optimisation des réductions. 

Avec son budget, la ministre des Finances, Chrystia Freeland, fait passer le taux d’imposition de l’IMR passe de 15 % à 20,5 %. L’exemption de base passe maintenant de 40 000 $ à 173 000 $

L’IMR existait avant. Le budget propose des modifications majeures. Par exemple, le taux d’imposition de l’IMR passe de 15 % à 20,5 %. En revanche, l’exemption de base passe de 40 000 $ à 173 000 $.

Ottawa prévoit aussi considérer 100 $ du gain en capital au lieu de 80 % comme c’est le cas actuellement.

La Presse rapporte également d’autres modifications à l’IMR. Ainsi, 50 % de la majorité des déductions, sauf celles pour les REER), vont être calculées dans le revenu aux fins d’impôt minimum. Cette façon de faire va également être appliquée aux crédits d’impôt non remboursables. 

Les nouvelles règles seront appliquées dès 2024. La Presse précise que 99 % de l’IMR sera payé par des Canadiens qui touchent plus de 300 000 $ par année et 80 % par ceux qui touchent plus de 1 M$ par année. 

Si ce sont 67 000 Canadiens qui paient actuellement de l’IMR, ils ne seront plus que 30 000 avec les nouvelles mesures, mais ces personnes paieront des sommes plus importantes. 

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Des millions de personnes vont bénéficier d’une mesure pour les aider à payer l’épicerie

C’est mardi que la ministre fédérale des Finances, Chrystia Freeland, a annoncé son budget pour 2023. Le Journal de Montréal a recensé sept mesures phares. 

Un « boulevard urbain » à Montréal

Une somme de 275 M$ sur 9 ans sera déployée afin de transformer une partie de l’autoroute Bonaventure en boulevard urbain : la partie entre le pont Champlain et le boulevard Robert-Bourassa. Toutefois, le budget ne prévoit rien pour les infrastructures à Québec.

Lutter contre l’ingérence étrangère

Un total de 13,5 M$ sur cinq ans servira à la création d’un Bureau national de lutte contre l’ingérence étrangère par le ministère de la Sécurité publique. « Les dictatures, comme la Russie, la Chine et l’Iran, pensent qu’elles peuvent agir en toute impunité et s’ingérer dans les affaires des démocraties – et les démocraties doivent prendre les mesures nécessaires pour se défendre », est-il écrit dans le budget consulté par le Journal de Montréal. Sur trois ans, une somme de 50 M$ sera déployée afin d’assurer la protection de citoyens victimes d’intimidation par des influences étrangères.

Lutter contre les abus dans le monde du sport.

Une somme de 13,8 M$ va être investie afin d’« accroître la responsabilisation et soutenir les efforts visant à bâtir un système sportif sûr et responsable », en vue de mettre les athlètes « à l’abri de l’exploitation, du harcèlement et des mauvais traitements », est-il écrit dans le  budget consulté par le quotidien montréalais. 

Un rabais épicerie

Afin de pallier l’inflation galopante, le gouvernement fédéral déploie 2,5 G$ via le crédit pour la taxe sur les produits et services (TPS). Un total de 11 millions de personnes va bénéficier de la mesure. Une personne seule ou en couple avec deux enfants touchera jusqu’à 234 $. Le montant variera selon les revenus et les personnes dans le ménage. 

Ainsi, une personne seule sans enfant pourrait toucher jusqu’à 234 $ en un seul versement. Les couples avec deux enfants pourraient recevoir jusqu’à 467 $ et les personnes âgées, 225 $. 

Mettre fin à la crise migratoire

C’est une somme de 1 G$ de plus qui sera investie aux demandeurs d’asile et aux réfugiés pour leur donner accès à des soins de santé et à un logement temporaire. La mesure inclut les gens qui sont passés par le chemin Roxham. Une somme distincte de 44 M$ va être octroyée afin de s’assurer que le « processus d’octroi de l’asile du Canada est équitable » pour tout le monde. 

Une ligne téléphonique de prévention du suicide

Dès le 30 novembre 2023, les Canadiens de partout au pays pourront composer le 9-8-8 afin d’obtenir des services en aide en prévention du suicide. C’est l’Agence de la santé publique du Canada qui va s’assurer de l’administrer, au coût de 160 M$ sur trois ans.

Un chargeur unique pour les câbles électroniques

À l’instar des lois européennes, le Canada compte forcer les entreprises à fabriquer des produits électroniques avec un seul chargeur. Ainsi, le chargeur sera le même pour les cellulaires, les tablettes et les ordinateurs. Et ce, dans le but de réduire les déchets électroniques.

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