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Seulement 600 produits sont certifiés Produits du Québec sur plus de 100 000 produits offerts sur le Panier bleu

Sur 100 000 produits offerts sur le site du Panier bleu, seuls 600 sont certifiés Produits du Québec, rapporte Radio-Canada, qui cite les propos du ministre de l’Économie du Québec, Pierre Fitzgibbon. 

Ainsi, en date du 31 mars dernier, sur les 250 marchands qui proposent des produits, seulement 600 produits sur 100 000 ont cette certification, a fait savoir le ministre lorsqu’interrogé sur le sujet par l’opposition officielle.

Mardi, une étude des crédits de son ministère a révélé que moins de 1 % des produits vendus sur la plateforme sont certifiés québécois. 

« Ce n’est pas beaucoup. On va continuer à vouloir performer plus. J’espère que ça va augmenter », a concédé le ministre Fitzgibbon. 

D’ailleurs, le ministre a ajouté que des marchands qui vendent des produits québécois sur la plateforme n’ont pas encore fait certifier leurs produits parce que la certification ne les intéresse pas. 

«On va travailler sur ça. Ce n’est pas encore assez puissant pour que les gens veuillent adhérer », a-t-il admis. 

« Il y a 220 000 entreprises au Québec, en tout et partout. Est-ce que 246 sur 220 000 c’était l’objectif? Est-ce que ça en valait la peine? », a a demandé le porte-parole libéral en matière d’Économie, Frédéric Beauchemin. 

Rappelons que c’est au début de la première vague de la crise sanitaire que François Legault avait annoncé la création de la plateforme pour « regrouper, sur la même plateforme numérique, les produits québécois ». Toutefois, on y retrouve des milliers de produits qui viennent de Chine. 

« Il y a des commerçants québécois qui ne sont pas certains que cette plateforme soit la plus optimale possible », a souligné M. Beauchemin.

D’ailleurs, le site a affiché récemment une publicité pour des pâtes… italiennes. Paradoxalement, des vendeurs de pâtes québécoises ont fait savoir qu’ils avaient de la difficulté à se faire une place sur la plateforme. 

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Elle continue d’aller chez Dollarama même si elle a remporté 55 millions à la loterie

Si plusieurs imaginent déjà les dépenses folles qu’ils feraient s’ils gagnaient le gros lot, une femme qui a remporté 55 millions de dollars a décidé de continuer à faire ses achats chez Dollarama et Costco, rapporte le Journal de Montréal

Gagner une telle somme est « la chose la plus terrifiante qu’on puisse imaginer », estime Linda Phillips, qui est devenue multimillionnaire en décembre 2020, en entrevue avec le quotidien montréalais. 

« Chaque fois que j’en parlais à quelqu’un, j’éclatais en sanglots parce que je ne savais pas quoi faire [avec mon argent] », ajoute celle qui vit en Outaouais.

Elle n’a d’ailleurs pas changé ses habitudes sitôt le gros lot remporté. « Je magasinais [des bijoux] chez Costco et [mon fils] m’a dit: “Maman, tu as gagné à la loto. Agis comme tel! Allons dans les boutiques, dans une vraie bijouterie. Arrête d’avoir peur.” Et là je me suis dit: “C’est vrai, je peux me le permettre” », se souvient-elle. 

D’ailleurs, elle estime qu’elle avait « peur de faire les mauvais choix » au cours des semaines qui ont suivi son gain et que « les gens croient qu’elle gaspillait son argent ».

« Je dois vous dire que de gagner à la loterie n’est pas facile. À moins d’avoir grandi avec autant d’argent, recevoir un tel montant d’un seul coup fait vraiment très peur », dit-elle.

Une situation « horrible, mais on si fait », dit-elle, en trouvant aujourd’hui « formidable » d’être aussi riche.  

« Ma vie a changé drastiquement. Je suis très heureuse. J’adore ça », ajoute-t-elle aujourd’hui. 

Des dépenses calculées

Avec son argent, Mme Phillips a pu réaliser son rêve d’enfance d’acheter un ranch

« J’ai grandi en Angleterre et nous avions des chevaux. Sauf qu’en venant ici [au Canada], nous n’avions pas autant d’argent. Mais gagner à la loterie signifiait que je pouvais obtenir une propriété assez grande pour y avoir des chevaux », explique la millionnaire.


« Mes petites filles font de l’équitation. J’en fais aussi. Nous avons trois chevaux dans le pré. C’est génial », ajoute-t-elle. 

Elle a également payé le voyage à sa famille qui vit au Royaume-Uni afin que ces personnes puissent venir la visiter.

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Mauvaise nouvelle pour les utilisateurs de transport en commun

Ceux et celles qui prennent les transports en commun régulièrement vont bientôt être à leur tour victimes de l’inflation. Dès le 1er juillet, les tarifs des autobus et métros partout dans le territoire de l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) vont augmenter, rapporte Narcity.

L’agence de transport a fait l’annonce de sa nouvelle grille tarifaire mercredi.

Ainsi, les trajets des réseaux exo, du Réseau express métropolitain (REM), du Réseau de transports de Longueuil (RTL), de la la Société de transports de Laval (STL) et  de la Société de transports de Montréal (STM) vont connaître une hausse moyenne de 3 %. 

Ainsi, les titres unitaires coûteront 25 cents de plus. Sur l’île de Montréal, il en coûtera donc dorénavant 3,75 $ pour un aller simple. Les déplacements entre les zones ABC coûteront de leur côté 6,75 $. 

« L’augmentation par tranche de 0,25 $ permet de faciliter les transactions au comptant », justifie l’ARTM dans un communiqué. 

Deux passages coûteront 6,50 $, soit une hausse de 50 cents. Toutefois, pour les titres d’un, deux et 10 passages des zones A et B, qui incluent Montréal, Longueuil et Laval, le gel des tarifs sera appliqué. Ainsi, il en coûtera toujours respectivement 4,50 $, 9,00 $ et 42,50 $.

Autre nouveauté : les titres de 24 heures et de trois jours disponibles sur tout le Grand Montréal, alors qu’ils étaient auparavant réservés à la zone A.

« Ainsi, les usagers profiteront d’une plus grande flexibilité dans leurs déplacements, notamment pour répondre à leurs nouvelles habitudes quotidiennes ainsi que pour prendre part aux nombreuses activités estivales », ajoute l’ARTM.

Quant aux personnes de 65 ans et plus qui vivent à Montréal, le transport sera gratuit pour elles dans la zone A.

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Les Québécois veulent travailler un maximum de 36 heures sur 4 jours

Un récent sondage révèle que la grande majorité des Québécois aimeraient travailler 4 jours par semaine pour un maximum de 36 heures, rapporte l’Agence QMI

L’enquête menée par la firme de recherche d’emploi Talent.com a été publiée mardi. Elle conclut que 95 % des Québécois souhaitent travailler 4 jours par semaine, et 67 % des sondés veulent un maximum de 36 heures hebdomadaires. 

À l’ère de la pénurie de main-d’oeuvre, la semaine de 4 jours est de plus en plus demandée, avec 60 % des sondés qui ont répondu demander une telle chose à leur employeur. La flexibilité des choix de travail arrive ex aequo, devant les prestations d’assurance, avec un taux de 50 %. 

Le Québec est la seule province où la semaine de travail et la question des horaires ont été préférées dans la liste des avantages proposés.

D’ailleurs, 36 % des Québécois estiment que la semaine de 4 jours est la suite logique au travail hybride et au télétravail.

Les Québécois en faveur d’une telle mesure plaident pour un meilleur équilibre travail/famille, une meilleure santé mentale, la prévention des burn out, la réduction du stress. 

« Des programmes pilotes réussis pour une semaine de travail de quatre jours ont été mis en place dans plusieurs pays, ce qui a entraîné une amélioration de la productivité. Les Québécois se montrent eux aussi de plus en plus intéressés par ce concept, mais ils expriment de nombreuses inquiétudes », a fait savoir le directeur des ventes chez Talent.com, Yannick Paradis, dans des propos repris par l’Agence QMI. 

Et même s’ils souhaitent travailler 4 jours seulement, près des trois quarts des sondés craignent qu’une telle mesure fasse baisser leur salaire ou les force à travailler durant de plus longues journées. 

L’enquête a été faite entre le 30 mars et le 6 avril dernier auprès de 1 003 Canadiens de la population active. 

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Un Québécois se fait frauder de 10 000$ chez BMO et la banque refuse de l’indemniser.

Un ancien banquier a lui-même été victime de fraude pour une somme de 10 000 $ chez BMO, rapporte le Journal de Montréal

Son personnel a déjà alerté le client d’une possible fraude, mais BMO refuse catégoriquement de rembourser en totalité la somme volée à Philippe Simoneau

« Je me sens floué ! J’ai l’impression d’être volé des deux côtés. Par le fraudeur et par la banque, qui croit que c’est moi qui ai fait les transactions », s’indigne le père monoparental de trois enfants, en entrevue au quotidien montréalais. 

Cet argent était prévu comme mise de fonds pour l’achat d’un chalet et la transaction est prévue pour le 4 mai. M. Simoneau craint depuis que le reste de son argent soit volé de la même façon. 

« Je suis un peu pris, je dois laisser l’argent dans le compte pour la transaction, mais dès que c’est réglé je sors de chez BMO, je n’ai plus aucune confiance en cette institution », explique celui qui a déjà travaillé comme banquier pour la Financière agricole du Canada et qui travaille maintenant comme chef des finances dans une entreprise privée. 

« J’ai été banquier pendant 15 ans. En matière de sécurité de l’information, je sais qu’on ne transmet rien à personne ! Je mets mon argent à la banque pour être sûr que personne ne vienne piger dedans », ajoute-t-il. 

Il aurait reçu un appel le 29 mars dernier d’un employé de la BMO qui lui demandait s’il avait viré 2 700 $ depuis son compte d’épargne à une femme qui est la conjointe d’un de ses amis. Comme ce n’était pas le cas, l’employé a fait savoir qu’il tenterait de bloquer la transaction en apparence frauduleuse.

L’employé de l’institution financière lui aurait ensuite conseillé de changer son mot de passe et de venir chercher une nouvelle carte de débit en succursale, d’après la déclaration à la police consultée par le quotidien montréalais. 

Mais le lendemain, la situation avait empiré. Il manquait désormais 10 000 $ dans son compte d’épargne. Non seulement le virement de 2 700 $ avait été accepté, mais un autre virement, de 7 495 $, avait été fait par virement Global vers le compte d’un inconnu, Nounou Touré, à l’étranger. 

D’ailleurs, M. Simoneau affirme qu’il n’a jamais utilisé l’option de virer des sous à l’international. C’est également le cas d’autres clients de BMO qui se sont confiés au Journal de Montréal et qui n’ont jamais été remboursés par l’institution financière.

M. Simoneau a déclaré la fraude en succursale, et a finalement reçu 2 700 $ dans son compte. Toutefois, la directrice de la succursale l’a informé quelques jours plus tard que le département des fraudes n’était pas capable de prouver qu’il n’était pas l’auteur du second virement et que l’argent ne lui serait pas remboursé. 

L’ancien banquier a donc porté plainte aux autorités policières, tout en poursuivant ses démarches auprès de BMO. 

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Ils s’achètent une grosse maison, mais leurs amis sont mal à l’aise quand ils les visitent

Plusieurs rêvent de s’acheter une immense maison s’ils gagnent le gros lot à la loterie. Mais pour un couple à qui s’est arrivé, cela n’est pas une aussi bonne idée qu’il y paraît, rapporte le Journal de Montréal

« On trouvait ça trop grand. Les gens nous disaient: “Ah! On aime mieux aller au chalet. On est plus à l’aise » », explique Sylvie Boily en entrevue au quotidien montréalais.

La femme originaire du Bas-Saint-Laurent est devenue multimillionnaire en décembre 2014, après avoir gagné 25 millions de dollars avec son conjoint, Rénald Dumont. 

D’ailleurs, la taille imposante de la maison faisait en sorte que Mme Boily était épuisée à force de la nettoyer. « Parce que moi, je n’ai pas de femme de ménage. Je n’engage personne et je fais tout moi-même », précise-t-elle.

Le couple a également acheté un « gros chalet sur le bord de l’eau » qu’il rénove « sans flafla ». 

« Ce n’est pas du haut de gamme, parce que le monde est plus à l’aise de venir dans des endroits qui ne sont pas chics », ajoute Mme Boily. 

D’ailleurs, la dame aurait aimé pouvoir davantage gâter sa mère, qui est morte peu de temps après qu’elle eut gagné le gros lot. 

« Je n’ai pas pu la gâter comme j’aurais voulu, après tout ce qu’elle a fait pour nous autres », explique-t-elle.

« Mes grands-parents avaient une ferme, ma mère a élevé seule cinq enfants. On a été habitué d’arriver juste. Ma mère n’était pas riche, elle gagnait des petits salaires », se souvient Mme Boily. 

Elle et son conjoint ont toutefois pu offrir des choses à leurs enfants.

« Moi, j’aime ça, faire des surprises. T’as besoin d’une télé ? J’arrive et je t’ai acheté une télé et tu vas être bien pour longtemps. On a gâté bien du monde », illustre-t-elle.. 

« Même avant de gagner, je n’étais pas riche, mais je gâtais mon monde autour de moi. Les gâteries sont juste plus grosses, c’est tout ! », dit-elle. 

D’ailleurs, Mme Boily estime qu’elle est restée la même personne qu’elle était avant de remporter le gros lot. 

« Tout le monde nous dit: “vous êtes comme vous étiez avant”. Ils me disent que je n’ai pas changé et en effet, moi, je suis ben ordinaire, je suis sociable et je jase avec tout le monde. On était heureux pareil avant [de gagner]. Ça donne un bon coup de pouce, mais, sans s’énerver avec ça », dit-elle

« On ne se tient pas avec du monde qui ont de l’argent parce que nous on en a », conclut-elle. 

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Des aînés vulnérables voient leur loyer augmenté à à 7448$ par mois

Des aînés vivant dans un CHSLD privé de Québec ont failli voir leur loyer être augmenté à 7 448 $ par mois, rapporte TVA Nouvelles. Heureusement, cette hausse a été suspendue après que plusieurs locataires se soient confiés à la chaîne appartenant à Québecor et à La Presse.

Ce sont les enfants d’une femme de 92 ans qui réside au CHSLD qui ont dénoncé la situation. 

Jean et Carole Bédard avaient renouvelé le bail de leur mère à 3 488 $ par mois l’an dernier. En septembre, on les avait avertis que le loyer grimperait à 5 475 $. En janvier, le prix était plutôt de 7 448 $ par mois pour un total de 89 000 $ par année.

Une autre famille a de son côté raconté à La Presse que le prix d’une chambre en coûtera 97 000 $ par an. Les hausses auxquelles font face les résidents varient entre 30 et 50 %.

« C’est scandaleux, épouvantable, je ne connais personne qui pourrait tolérer une hausse comme ça sans rien dire sans rien faire. Je trouve ça encore pire qu’on le fasse à des personnes âgées, qui elles n’ont plus d’augmentation de revenus. Ce sont des victimes qui ne peuvent même pas se défendre », s’est indignée Carole Bédard, la fille d’une résidente, à TVA Nouvelles.

Mais la famille était incapable de changer la résidente d’endroit, faute de place.

La hausse des prix est due au fait que le gouvernement veut transformer l’endroit en CHSLD conventionné, a fait savoir à TVA Nouvelles la direction de l’établissement Domaine Saint-Dominique, qui fait actuellement l’objet d’une tutelle. 

La direction affirme également que le nouveau statut crée une hausse des coûts étant donné une augmentation des soins et que les frais ne sont pas absorbés par le gouvernement.

« Le ministère de la Santé et des Services sociaux travaille actuellement à trouver une voie de passage, en collaboration avec la direction du CHSLD Saint-Dominique, à la situation vécue par notre établissement et surtout, par nos résidents et résidentes. Ainsi, dans l’attention d’une solution viable, nous mettons un moratoire temporaire sur la hausse des tarifs en date d’aujourd’hui », a déclaré le président du CHSLD, Patrick Gilbert, en entrevue avec TVA Nouvelles. 

Mais la ministre déléguée à la Santé et aux Aînés, Sonia Bélanger, est intervenue dans le dossier. 

« La hausse de loyer envoyée à plusieurs résidents sous la base du conventionnement est complètement inacceptable ! J’ai demandé au CIUSSS-CN d’intervenir », a-t-elle annoncé sur Twitter.

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Voici de quoi auront l’air les 4 villages geoLAGON qui seront construits au Québec

C’est un projet attendu par bien des gens depuis son annonce en 2022. Des villages géoLAGON verront bientôt le jour au Québec, rapporte Narcity

Ces stations thermales seront au nombre de quatre dans la province. 

Cette semaine, la Réserve de la biosphère de Charlevoix (RBC) a annoncé qu’un investisseur privé avait octroyé un milliard de dollars pour aller de l’avant avec les villages géoLAGON. Ces installations entièrements alimentées à l’énergie solaire et géothermique sont censés être entièrement autosuffisants en énergie. 

« Ce financement dédié à des projets favorisant la transition énergétique pourra atteindre jusqu’à 250 millions de dollars canadiens par village géoLAGON », explique l’entreprise dans un communiqué. 

Photo : Courtoisie geoLagon

Ces villages sont des complexes hôteliers avec des chalets locatifs. Chaque village comptera un total de 306 habitations doubles installées autour d’un grand bassin d’eau thermale.

Ces chalets de style scandinave seront loués sur des plateformes d’hébergement à court terme. 

« Selon les estimations, ces habitations solaires doubles, hyper isolées, qui produiront jusqu’à 103 392 kWh annuellement, seront exceptionnellement économes en énergie puisqu’elles consommeront environ 22 000 kWh chacune (11 000 kWh par unité) par année, ce qui permet d’envisager d’importants surplus d’électricité qui alimenteront le village », affirme l’entreprise. 

On ignore encore où les villages seront installés, mais des discussions sont en cours avec des représentants des Laurentides, de l’Estrie, de Québec, de Charlevoix, de Lanaudière et de l’Outaouais. 

On a déjà bien hâte de pouvoir y tremper l’orteil !

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Importante opération policière de la Sûreté du Québec dès ce vendredi

La Sûreté du Québec (SQ) aura les automobilistes à l’oeil dès vendredi, dans une opération de prévention et de répression. 

Dans un communiqué, le corps policier québécois a annoncé que les automobilistes, de même que les piétons et les cyclistes, seront surveillés entre le 28 avril et le 4 mai par les policiers de la SQ, mais également ceux des polices municipales et nationales. L’opération Sur la route, on se conduit bien a pour objectif de « rappeler à l’ensemble des usagers de la route, quel qu’il soit, l’importance de respecter non seulement les lois en vigueur, mais aussi d’adopter des comportements favorisant leur propre sécurité et celle des autres ». 

Les comportements attendus des piétons seront ceux-ci 

  • Traverser à l’intersection ou au passage pour piétons le plus près;
  • Respecter les feux pour piétons;
  • Marcher sur le trottoir ou, s’il n’y en a pas, au bord de la chaussée, face à la circulation;
  • Vérifier la circulation avant de traverser (à gauche, à droite, de nouveau à gauche et à l’arrière);
  • Établir un contact visuel avec les conducteurs, sinon présumer qu’ils ne les ont pas vus;
  • Éviter les objets de distraction (écouteurs, cellulaire, texto, etc.) lorsqu’ils marchent et surtout en traversant une intersection;
  • Être visible en tout temps (vêtements voyants, bandes réfléchissantes, etc.);
  • Être vigilant en présence de véhicules lourds.

« En 2021, un peu plus de 2000 piétons ont été victimes de collisions sur le réseau routier », rappelle la SQ dans un communiqué. 

Et voici ce qui est attendu des cyclistes sur la route :

  • Être prévisible et signaler ses intentions;
  • Être visible;
  • Porter un casque;
  • Respecter la signalisation et les priorités de passage.

Les piétons qui contreviennent aux règles risquent une amende variant entre 15 et 30 $, d’après la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ).

Soyez prudents sur les routes !

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Important avertissement aux automobilistes québécois qui prendront la route ce week-end

La Sûreté du Québec (SQ) aura les automobilistes à l’oeil dès vendredi, dans une opération de prévention et de répression. 

Dans un communiqué, le corps policier québécois a annoncé que les automobilistes, de même que les piétons et les cyclistes, seront surveillés entre le 28 avril et le 4 mai par les policiers de la SQ, mais également ceux des polices municipales et nationales. L’opération Sur la route, on se conduit bien a pour objectif de « rappeler à l’ensemble des usagers de la route, quel qu’il soit, l’importance de respecter non seulement les lois en vigueur, mais aussi d’adopter des comportements favorisant leur propre sécurité et celle des autres ». 

Les comportements attendus des piétons seront ceux-ci 

  • Traverser à l’intersection ou au passage pour piétons le plus près;
  • Respecter les feux pour piétons;
  • Marcher sur le trottoir ou, s’il n’y en a pas, au bord de la chaussée, face à la circulation;
  • Vérifier la circulation avant de traverser (à gauche, à droite, de nouveau à gauche et à l’arrière);
  • Établir un contact visuel avec les conducteurs, sinon présumer qu’ils ne les ont pas vus;
  • Éviter les objets de distraction (écouteurs, cellulaire, texto, etc.) lorsqu’ils marchent et surtout en traversant une intersection;
  • Être visible en tout temps (vêtements voyants, bandes réfléchissantes, etc.);
  • Être vigilant en présence de véhicules lourds.

« En 2021, un peu plus de 2000 piétons ont été victimes de collisions sur le réseau routier », rappelle la SQ dans un communiqué. 

Et voici ce qui est attendu des cyclistes sur la route :

  • Être prévisible et signaler ses intentions;
  • Être visible;
  • Porter un casque;
  • Respecter la signalisation et les priorités de passage.

Les piétons qui contreviennent aux règles risquent une amende variant entre 15 et 30 $, d’après la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ).

Soyez prudents sur les routes !