Depuis longtemps, je suis sur instagram @JadeLachine, une dessinatrice pop et hors pair qui s’amuse à tirer le portrait de plusieurs personnalités et influenceurs québécois, en plus de nous offrir ses propres dessins, des portraits de famille et depuis peu : des stickers colorés!
J’ai décidé de lui poser quelques questions pour apprendre à mieux la connaître.
Qu’est-ce qui t’a poussé à devenir illustratrice professionnellement?
Mon plus grand rêve a toujours été de faire de ma passion une profession. C’est en illustrant, pour le plaisir, une famille qui m’inspire beaucoup, que j’ai débuté ma carrière d’illustratrice sans le savoir. J’aime beaucoup suivre les vidéos »vlogs » de Marie-Hélène de la chaîne de Tellement Mom. J’ai eu envie de lui faire un petit cadeau en la dessinant entourée de sa famille! Elle a apprécié mon portrait et l’a même partagé à sa communauté.
J’ai commencé à recevoir des demandes pour illustrer d’autres familles. Les gens ont tellement accroché sur le style enfantin et minimaliste de mes portraits que je consacrais plus d’heures à faire mes commandes de portraits de famille que de temps passer en studio, en animation 3D (domaine dans lequel j’ai étudié). La transition s’est faite graduellement pour finalement ne plus travailler en cinéma et seulement à mon compte avec mes portraits personnalisés!
Pourquoi t’être lancé dans les portraits majoritairement?
Les portraits c’est le »fun » parce que c’est vraiment personnel à chacun! Je fonctionne avec des photos de références. Souvent, je rassemble plusieurs photos qui ont été prises à différents moments. Il m’arrive d’illustrer des gens ou des animaux qui nous ont quittés. Je fais des portraits, car j’aime créer des souvenirs qui représentent quelque chose d’important pour la famille et la plupart du temps, j’ai une histoire qui vient avec la commande. Je suis reconnaissante que les gens s’ouvrent à moi et que mes illustrations puissent leur amener du bonheur.
Les gens passionnés m’inspirent. Le monde positif. Les gens qui sont de bonne humeur! Ceux qui foncent et qui ne laisse pas les épreuves les affaisser. Je pense notamment à Josée Boudreault, énergique et resplendissante femme! Welling, souriante et pétillante !!! C’est un peu ce que je veux dégager à travers mon travail et mon compte Instagram.
C’est certain que c’est devenu un outil! Un outil que j’ai dû apprivoiser. J’ai longtemps détesté le sentiment que me procurait cette plateforme. J’en ai déjà parlé sur mon compte; Instagram était pour moi une galerie parfaite pour me créer des complexes, me comparer, me trouver dont laide!
C’est mon copain qui m’a ouvert les yeux face à la façon dont j’utilisais cette application. En faisant un GROS ménage, j’ai décidé de suivre les gens qui m’inspirent. À ce jour, je »follow » majoritairement des artistes, des comptes de dessins ou des amis. Ça me fait plus de bien et ça me rejoint davantage comme contenu. Maintenant que j’utilise mieux cet outil, il est primordial dans mon processus de création, car l’ensemble de mes oeuvres et projets passe par là!
Hier, en fin d’après-midi, la Société québécoise du cannabis (SQDC) a annoncé l’ouverture de quatre nouvelles succursales dès cet automne au Québec.
La société a annoncé la nouvelle via une publication Facebook, au grand bonheur des abonné.e.s.
Capture d’écran Facebook
Parmi les nouvelles succursales, deux seront situés dans la région de Montréal, soit dans l’arrondissement de Saint-Hubert, à Longueuil, ainsi que dans le Centre-Sud, à Montréal. Les deux autres seront aménagés en Estrie, soit à Coaticook et à Sherbrooke.
La SQDC a aussi indiqué que plusieurs autres villes pourraient accueillir une succursale de la SQDC « au fil du temps ».
Pour connaître les nouvelles adresses qui ouvriront cet automne, c’est juste ici.
Avouez que le cinéma, ça nous manque tous un peu ?
Avec la pandémie actuelle, les cinémas on du fermer leur porte temporairement – et pour relancer leurs affaires – les Cinémas Cineplex ont baissé leurs tarifs.
Ils annoncent donc que les superproductions sont à petit prix!
«Profitez des billets d’entrée à 5$, y compris pour les représentations dans les salles IMAX, D-BOX, UltraAVX, et bien plus encore! Offre à durée limitée» a écrit Cineplex sur leur page Facebook, en plus d’annoncer que les mardis, les entrées sont à 2,99$, du jamais vu!
L’été, on aime tous aller se perdre dans le bois, soit dans une tente ou un chalet.
Tant qu’à séjourner au coeur d’une nature magnifique, autant en profiter annonce la SEPAQ. Pour cette raison, l’organisme présente les tout nouveaux chalets Horizon qui font leur apparition cette année dans les réserves fauniques du Québec.
Ils risquent de faire plaisir à beaucoup de vacanciers!
«Le design moderne du chalet Horizon, qui se déclinera en version deux ou trois chambres, s’harmonise parfaitement à son environnement. Son immense fenestration en devanture optimise la vue sur le lac et laisse pénétrer la lumière naturelle dans les pièces» nous assure-t-on.
«L’aménagement a été réfléchi afin de maximiser l’utilisation de l’espace disponible. Une aire de vie avec de hauts plafonds, deux à trois divans, un poêle à bois, un hall d’entrée fermé pratique pour ranger son équipement et faire sécher ses vêtements, des lits doubles et suffisamment de place pour un parc pour bébé dans au moins une des chambres. Encore plus d’espace pour la famille à la pêche, à la chasse ou en villégiature?!»
De plus, chose remarquable et admirable, les chalets sont faits presque entièrement de bois du Québec et privilégient l’utilisation d’énergie solaire.
Non seulement ils sont confortables et écolos, mais très stylés et design!
Pour cette saison, la réserve faunique du Saint-Maurice est la première à offrir ce nouveau modèle d’hébergement avec quatre chalets Horizon.
Les sorties au restaurant telles que nous les connaissons ont drastiquement changé! La clientèle et les restaurateurs cherchent tous deux à s’adapter aux nouvelles réalités.
Sysco Grand Montréal, chef de file en distribution alimentaire, est à l’affût de l’industrie dans son ensemble et souhaite partager ses connaissances et encourager les gens à manger à l’extérieur afin de soutenir les restaurants locaux et remettre sur pied l’industrie gastronomique à laquelle nous sommes habitués.
Leur message aux Québécois ? Allez, soutenez les restaurants locaux !
Mais d’abord, voici quelques conseils à se souvenir au moment de regagner vos endroits favoris:
1. Appréciez la distance
Rappelez-vous les repas en tête-à-tête ou entre amis proches brimés par une table voisine bruyante qui semble vouloir à tout prix enterrer vos voix. Voilà le moment d’apprécier la distanciation physique entre les tables; ça donne l’impression de manger en privé!
2. Parlez au personnel
Puisqu’ils ont moins de clients à servir, il est probable que votre serveur/serveuse ait plus de temps pour faire la conversation. Saluez le chef et n’oubliez pas à quel point ils ont travaillé fort afin de vous offrir une expérience agréable et sécuritaire.
3. Passez le mot
Témoignez de votre appréciation et votre appui sur les médias sociaux alors qu’ils reprennent les affaires. Après un moment, on retrouvera l »habitude.
4. Faites une réservation
Afin d’aider à la planification, réservez votre table. Ceci permettra au restaurant d’anticiper l’achalandage et de prévoir en conséquence.
5. Soyez raisonnable
« Extra mayo s’il vous plaît, sans relish et est-ce que je peux substituer la… » – Ca vous dit quelque chose? Soyez conscients que les restaurants doivent se conformer à de nouvelles réalités en matière d’inventaire et d’approvisionnement et que votre item favori ne sera peut-être pas au menu. Pourquoi ne pas en profiter pour essayer quelque chose de nouveau?
6. Ralentissez et soyez patient(e)
La sécurité d’abord. Votre repas pourrait prendre un peu plus de temps que la normale alors que le personnel s’adapte aux nouvelles opérations quotidiennes. Savourez le moment.
7. Préparez votre téléphone
Plusieurs restaurants ont opté pour le code QR afin de présenter leurs menus. Soyez prêt à utiliser cette excellente solution sans contact!
8. Une dernière chose, chers Québécois(es) – n’oubliez pas vos masques!
Plusieurs Québécois.e.s se sont tourné.e.s vers la Gaspésie cet été pour leurs vacances par faute de ne pas pouvoir quitter la province. Cependant, certains vacanciers n’ont absolument aucun savoir-vivre et ne se ramassent pas une fois leur séjour terminé.
Selon Daniel Côté, le maire de Gaspé, les visiteurs sont arrivés en très grand nombre de façon déstructurée, désorganisée, sans réserver d’espace et en accaparant le territoire. Il ajoute même qu’ils sont partout.
Des centaines de personnes se sont installées sur les plages de Gaspé, parfois avec leurs véhicules récréatifs au milieu de la végétation fragile, laissant derrière eux des bouteilles vides et des sacs dans lesquels ils ont fait leurs besoins. Selon le maire, ces visiteurs désagréables seraient une minorité très dérangeante.
Selon Cathy Poirier, mairesse de Percé, il y a beaucoup trop de monde dans sa municipalité cet été. Elle s’inquiète notamment pour la résistance de son réseau de distribution d’eau, mais aussi pour le système de santé gaspésien si une éclosion de COVID-19 devait survenir.
Plusieurs municipalités gaspésiennes ont d’ailleurs décidé de faire venir la SQ en renfort. Ceux-ci veilleront à ce que les vacanciers ne fassent pas de camping dans les lieux publics et les plages.
Julien Lacroix vient d’être largué lundi par le Groupe Phaneuf et Télé-Québec à la suite d’allégations.
L’humoriste est la dernière vedette en liste à tomber à la suite d’allégations d’inconduites et d’agressions sexuelles révélées par le quotidien Le Devoir.
Malgré tout, à la lecture de l’article du quotidien montréalais, le Groupe Phaneuf a fait savoir qu’il rompait sa relation d’affaires avec l’humoriste. Cette société est celle qui gérait sa carrière florissante.
Ce n’est pas tout. Télé-Québec a aussi décidé de se dissocier de Julien Lacroix. Ce dernier collaborait à la websérie éducative On parle de sexe. Tous les épisodes de la saison 1 de la websérie ont été retirés du site de la société d’État.
Selon le quotidien Le Devoir, neuf femmes reprocheraient des relations sexuelles non consentantes, des baisers non consensuels et des gestes déplacés.
Ce lundi 27 juillet, une autre personnalité québécoise est éclaboussée par des allégations d’inconduites sexuelles. Cette fois, c’est l’humoriste Julien Lacroix qui est sous le feu des projecteurs après que Le Devoir ait publié un reportage dans lequel on accuse le jeune homme de «relations sexuelles non consentantes, baisers non consensuels».
Ce sont neuf femmes qui ont été rejointes par LeDevoir et qui affirment avoir été victimes d’agressions ou d’inconduites sexuelles de la part de l’humoriste et comédien Julien Lacroix.
L’humoriste n’a pas attendu que la poussière retombe avant d’écrire un statut Facebook dans lequel il se défend «d’avoir fait des conneries dans [sa] courte vie», qu’il n’est « pas un ange, mais pas un démon non plus, et certainement pas le prédateur sexuel qui sévit depuis une décennie comme Le Devoir [le] décrit ce matin.» Il renchérit en affirmant que « la plupart des événements qu’on [lui] reproche seraient survenus quand [il était] mineur.»
Sans s’excuser ni donner de détails sur les faits qui lui sont reprochés, il s’en prend au journal Le Devoir et explique qu’il n’a pas pus se défendre. «Comment voulez-vous que je réponde sans connaître les détails précis et sans savoir de qui on parle ni de qui elles viennent ?» écrit l’humoriste.
Il termine son texte en disant ne pas avoir « le choix de prendre un moment de recul par rapport à tous les projets auxquels [il est] associé» puis de réfléchir aux recours qui s’offrent à lui dans ce contexte.
Voyez son texte au complet juste ici.
«Ça fait des semaines que le débat dure : est-ce que le mouvement de dénonciation se fait de la bonne façon ? Qu’est-ce qui distingue les vraies dénonciations des allégations non-fondées ? À la fin, espérons que cette prise de conscience aura fait avancer les choses pour le mieux. Et je suis bien sûr désolé si j’ai déjà blessé quelqu’un, ça n’a jamais été dans mes intentions.
J’ai 27 ans, j’en ai fait des conneries dans ma courte vie, par contre ce matin, Le Devoir va trop loin.
Je commence à être habitué aux ragots et aux potins dans ma courte carrière. Par contre, détruire le travail d’une vie ? Dans un seul article ? Où je n’ai même pas pu donner ma version des faits ?
Aujourd’hui franchement on vient d’entrer dans une autre dimension.
Je ne suis pas un ange, mais pas un démon non plus, et certainement pas le prédateur sexuel qui sévit depuis une décennie comme Le Devoir me décrit ce matin. De plus, la plupart des événements qu’on me reproche seraient survenus quand j’étais mineur.
On devrait normalement pouvoir se défendre devant de telles allégations, mais pas selon Le Devoir. La journaliste m’a lancé des ultimatums durant plusieurs jours sans jamais accepter de me dire ce qu’on me reprochait précisément et de qui venaient les allégations. Comment voulez-vous que je réponde sans connaître les détails précis et sans savoir de qui on parle ni de qui elles viennent ?
Personnellement, je suis favorable à tout processus juste et efficace pour soutenir toute victime d’une infraction criminelle. Mais si l’objectif est d’attirer l’attention du public en portant atteinte à la réputation et à la crédibilité d’une personne, là c’est autre chose.
Entre temps, je n’ai pas le choix de prendre un moment de recul par rapport à tous les projets auxquels je suis associé, ainsi que de mon équipe de gérance et de production, puis de réfléchir aux recours qui s’offrent à moi dans ce contexte.»
Si vous avez toujours votre coeur d’enfant et rêviez d’un endroit où vivre le parfait conte de fées: ne cherchez plus, la Route des gerbes d’Angelica est l’endroit idéal pour cela.
Situés sur une route champêtre à Mirabel, dans les Basses-Laurentides, les jardins se trouvent à moins d’une heure de route de Montréal, ce qui les rend hyper accessibles à tous les citoyens de la métropole qui ont envie de remplacer leur décor de béton par des sentiers floraux enchanteurs, le temps d’une escapade d’une journée.
Reconnue notamment pour son village du temps des fêtes durant la saison hivernale, la Route des Gerbes d’Angelica offre 14 grands jardins thématiques, visuels et musicaux, ouverts au public de juin à octobre. À eux seuls, les jardins occupent près de 7 acres et demi sur un vaste terrain de 94 acres, dont une grande partie est dédiée à l’agriculture. Elle propose également une cuisine de transformation de plantes comestibles, une boutique de produits du terroir, un bistro et pavillon 4 saisons ainsi qu’une petite cuisine mobile (food truck).
Dirigée par une vingtaine d’ami(e)s retraité(e)s, la Route des gerbes d’Angelica est un OBNL (organisme à but non lucratif), dont les membres ont jadis travaillé dans les domaines de l’enseignement, de la santé et du marketing.
Grâce à leur expertise acquise d’anciens emplois, ces gestionnaires ont pu faire un retour à la terre, tout en gérant tous les aspects d’une compagnie de floriculture et d’agro-tourisme, qui, en tant qu’OBNL, redirige une partie de ses profits aux banques alimentaires locales et à l’éducation d’enfants en Indonésie.
Bien évidemment, lors de votre visite, vous devrez respecter toutes les mesures et consignes mises en place pour la santé et la sécurité de tous, alors que nous sommes encore en temps de pandémie.
Cependant, qui a dit qu’on ne pouvait pas s’évader et rêver un peu au coeur d’un décor aussi enchanteur!?
Le groupe de musique La Compagnie créole a adapté l’un de ses bons vieux classiques au contexte actuel qui entoure le coronavirus en transformant Au bal masqué pour Sortons masqués. Une vraie idée de génie de la part du groupe!
Sortons masqués est une reprise qui a vu le jour sous forme de vidéoclip est est disponible sur YouTube. Elle a été réalisé en partenariat avec l’Association française de normalisation (AFNOR). Cet organisme a un place très importante dans le contexte de la COVID puisqu’elle attribue le label « Mesures sanitaires COVID-19 » en France aux entreprises qui appliquent les mesures de précaution.
Les paroles originales ont donc été changé pour les suivantes :
On sort masqués ohé ohé, sortons masqués […], il ne faut pas mettre les autres en danger!
Aujourd’hui, on peut aller danser, danser, oui, danser, pas collés-collés, oui danser, mais bien masqués.
En espérant que cette nouvelle version pourra faire passer le message à certain!
