Selon le Beat 92.5, le laitier ferait un retour en force sur le West Island.
Ainsi, Joël Lefebvre, laitier local de Pincourt et de Les Distributions de Lait Lefebvre inc., se voit ravi de voir récemment la demande au particulier prendre le relais des écoles, restaurants et garderie en ces temps de pandémie.
Prêt à livrer du lait directement à la maison, monsieur Lefebvre dessert entre autres les villes et secteurs de Pincourt, Île-Perrot, Notre Dame, Vaudreuil-Dorion, West Island, Saint-Lazare Hudson.
Déjà plus de 100 commandes en ligne ? Merci! Vous demeurez à La Prairie ou Boucherville? Vous avez jusqu’à 16h pour commander afin de recevoir votre commande demain, à votre porte. Bonne journée! ??
De plus, nous apprenions également via la page Facebook de Laitiers qu’il était également possible de vous faire livrer du lait de producteurs laitiers québécois, presque partout sur la Rive-Sud, directement à votre porte!
Alors, envie de recevoir une visite (à deux mètres, bien sûr) du laitier, comme dans les films des années 1950?
En plus d’encourager local, on trouve qu’il s’agit d’une initiative tout à fait charmante!
On n’avait plus entendu parler de la série Pirate des Caraïbes depuis le flop de La Vengeance de Salazar en 2017.
On croyait le navire coulé, mais comme le Hollandais volant ou la Perle noire : ils sont increvables.
En effet, Disney a décidé de ressusciter la franchise pour un 6e opus, cette fois, sans le célèbre Jack Sparrow.
Il semblerait que Johnny Depp n’ait plus la cote…
Selon les rumeurs, Rhett Reese et Paul Wernick, le célèbre duo derrière Deadpool et Zombieland, seraient engagés pour écrire le reboot.
De plus, Disney ait décidé de mettre de l’avant un personnage féminin fort. Ce personnage serait Redd, qui serait déjà un personnage dans l’attraction du parc de Disney.
Les rumeurs mentionnent que l’actrice Karen Gillan, rapporte aussi comicbook.com, aperçue dans Avengers: Endgame et Jumanji, pourrait avoir le rôle.
S’il fallait quelque chose pour mettre un peu de baume sur vos coeurs en cette semaine semi-grise de confinement, c’est la nouvelle chanson «Grow Into Love» de Half Moon Run.
Lancée sur toutes les plateformes de streaming, Grow Into Love avait été dévoilée plus tôt ce mois-ci au public de Half Moon Run. En effet, le groupe avait déjà partagé la nouvelle pièce sur Facebook et Instagram et l’engouement fut tel que le quatuor a décidé de la rendre accessible au public.
Prenant part à la série de « covidéos » du groupe, la vidéo a été enregistrée par les membres du groupe alors qu’ils étaient isolés les uns des autres, distanciation sociale oblige.
Devon Portielje décrit le processus d’écriture comme « le résultat d’un cumule de diverses expériences sentimentales. L’essentiel de la chanson a pris forme en Australie un premier janvier. Le groupe alors en fuite du soleil brûlant s’était réfugié dans les fraîches montagnes australiennes amenant avec eux, tentes, victuailles et instruments» explique le communiqué.
Toujours entre valse, amour et déchirement, cette chanson incroyable pose de grands questionnements « Je ne sais pas si je pourrais devenir amoureux de toi » et on a le goût d’y croire.
Alors que nous sommes tou.te.s confiné.e.s à la maison depuis maintenant plusieurs semaines, certain.e.s d’entre nous sont temporairement en arrêt de travail et/ou d’études, et trouvent diverses façons plus originales les unes que les autres de se divertir (voir même, de nous divertir) et de passer le temps.
Mais c’est le passe-temps inusité de Maxence Garneau, jeune montréalais, qui a récemment capté notre attention.
En plus d’avoir pris part hier au #MetGalaChallenge (qui consiste à recréer les looks de tapis rouge du Met Gala des éditions passées), avec ses deux ensembles inspirés des apparitions à l’événement de Céline Dion, Maxence a élevé le jeu à un tout autre niveau en recréant plus d’une dizaine de looks de la chanteuse québécoise.
Ayant commencé ce hobby de confinement il y a quelques semaines déjà, le recherchiste télé a commencé par le look signature de la tournée Courage de Céline, presque par accident.
C’est en pliant de la literie qu’il s’est amusé à draper la housse blanche sur lui, ce qui lui a rappelé l’ensemble arboré par Céline sur scène, confiait-il en entrevue à CTV.
Suite à l’engouement presque instantané de ses abonné.e.s sur Instagram, il a continué d’imiter les styles les plus iconiques de notre fierté nationale, réussissant presque immanquablement à chaque fois à les reproduire pile-poil, avec des items du quotidien ? comme des draps, des rideaux, du papier d’aluminium, des sacs-poubelle et du duct tape.
Netflix annonçait dans une publication sur son compte Twitter qu’un dernier épisode, formule réunion, de Too Hot To Handle allait paraître cette semaine.
Can you handle this?
A Too Hot To Handle reunion episode premieres this Friday and features brand-new joint cast interviews conducted by our beloved narrator, Desiree Burch!
En effet, c’est ce vendredi, 8 mai 2020, que sera diffusée sur la plateforme de visionnement sur demande cette émission bien spéciale, tournée entièrement depuis la maison de chacun.e: alors que tout le monde est encore en confinement.
Animé par Desiree Burch, les ancien.ne.s concurrent.e.s répondront à plusieurs questions et raconteront comment la série et l’expérience Too Hot To Handle à impacté leurs vies.
De plus, dans les aperçus de l’épisode publiés en photos hier, on peut apercevoir Harry qui tient dans ses mains une bague en bonbon, laissant croire qu’une grosse blague (ou une grosse déclaration faite de façon humoristique, qui sait!?) est à prévoir.
Crédit: Netflix via Twitter
Selon l’ancien candidat, nous devrions «nous préparer», ce qui promet beaucoup de divertissement et de rebondissements!
Bien évidemment, nous retrouverons notre couple chouchou (ou peut-être «couple détesté», dépendamment des opinions) Francesca et Harry, qui en laisseront savoir davantage sur leur relation actuelle.
On a bien hâte de savoir où en sont rendu.e.s tou.te.s les ex-candidat.e.s!
Selon le New York Times, 2020 n’en aurait pas fini avec nous. Après quelques tremblements de terre ressentis ici même à Montréal, et la vague de Coronavirus (COVID-19), un autre malheur serait en préparation… L’arrivée de «frelons géants meurtriers» (giant murder hornets).
D’après l’article publié par le NY Times il y a quelques jours, deux spécimens de frelons tueurs (aussi appelés frelons géants asiatiques ou frelons japonais) auraient été aperçus récemment aux États-Unis.
Caractérisés par leurs rayures noires et orangées/brunâtres, ces frelons sont craints des apiculteurs alors qu’ils dévorent des colonies entières d’abeilles ? en leur arrachant la tête, laissant derrière des dizaines de corps de petits insectes mutilés et sans vie ? et peuvent transpercer des habits de protection sans aucun problème.
Pouvant mesurer jusqu’à plusieurs pouces ? un des deux spécimens recensés dans les dernières semaines mesurait d’ailleurs ~ 2 pouces (5,08 cm) de longueur ?, cette espèce de frelon est plutôt agressive et imposante.
«Avec des reines qui peuvent atteindre deux pouces de long, les frelons géants asiatiques peuvent utiliser leurs mandibules pointues en forme d’ailerons de requin pour éliminer une ruche d’abeilles en quelques heures, décapiter les abeilles et s’envoler avec les thorax pour nourrir leurs petits. Pour les cibles plus grandes, le venin puissant et le dard du frelon ? suffisamment longs pour percer un costume d’apiculture ? constituent une combinaison atroce, que les victimes ont comparée à une sensation de métal chaud pénétrant dans leur peau. Au Japon, les frelons tuent jusqu’à 50 personnes par an» pouvait-on lire dans l’article du NY Times.
Selon Chris Looney, entomologiste au Département de l’agriculture de l’État de Washington, il faudrait agir dès maintenant, avant qu’ils ne s’établissent pour de bon. «C’est notre fenêtre pour les empêcher de s’établir […] Si nous ne pouvons pas le faire dans les deux prochaines années, cela ne sera probablement pas possible.» Déclarait-il au NY Times.
En novembre dernier, un spécimen de frelon géant asiatique aurait également été découvert de notre côté de la frontière, à White Rock, en Colombie-Britannique. Plus tôt l’an passé, une ruche apparente à l’espèce aurait également été découverte (et exterminée) à Vancouver.
Ces apparitions rapprochées des frelons meurtriers inquiètent les experts, qui craignent que l’insecte s’installe peu à peu partout en Amérique du Nord.
Selon Radio-Canada, c’est dans le cadre du déploiement de dépistage massif, instigué par le gouvernement du Québec et la Direction de la santé publique, que les 6 bus de la STM (Société des transports de Montréal) auraient été transformés en cliniques de dépistage mobiles.
Comme l’expliquait la mairesse de Montréal, madame Valérie Plante, lors de son point de presse, accompagnée par monsieur Philippe Schnobb, président du conseil administratif de la STM, et de Dre Mylène Drouin, directrice régionale de la santé publique de Montréal:
«Au cours des prochains jours, sur notre site Internet, on va être en mesure de diffuser les horaires de ces premières unités mobiles et par la suite, on va évidemment en ajouter d’autres», en référence aux 6 unités de transports déjà en processus de transformation.
Grâce à ces cliniques mobiles, il sera possible de se rendre rapidement aux foyers d’éclosion du virus, soit dans des quartiers, écoles et/ou lieux de travail, et de tester jusqu’à une centaine de personnes de plus par jour.
Ainsi, l’aménagement et la transformation des premiers bus en ce genre avaient lieu, alors que la série de tests pour voir leur viabilité et efficacité commençait dès aujourd’hui. Si tout va bien, ils seront déployés au cours de la semaine un peu partout sur l’île.
Madame Drouin précisait également qu’une cartographie répertoriant les endroits ciblés et destinations plus urgentes pour ces bus a déjà été établie, en se basant sur le bilan des deux dernières semaines.
Les quartiers les plus touchés à ce jour seraient Côte-des-Neiges?Notre-Dame-de-Grâce, Ahuntsic-Cartierville, Villeray?Saint-Michel?Parc-Extension, Montréal-Nord, Mercier?Hochelaga-Maisonneuve et Rivière-des-Prairies?Pointe-aux-Trembles, comme on pouvait le lire dans l’article de Radio-Canada.
On se demande tou.te.s impatiemment ce qui adviendra de l’avenir des voyages, transports, commerces et divers milieux de plusieurs industries, dans un monde «post-Covid».
Une des sphères qui en sera changée ? et ce, sur le long terme, voire même à jamais ? pour sûr, est le domaine de l’aviation et des voyages. Essayant de limiter la propagation du virus de toutes les façons possibles, il est tout de même non-envisageable de fermer les frontières encore pour très longtemps.
C’est bien pour ça les compagnies aériennes ont cogité sur différents moyens de réduire les risques de contamination, tout en permettant ? éventuellement, lorsque les aéroports seront totalement rouverts ? à leur clientèle de continuer de voyager.
C’est aujourd’hui qu’on découvrait donc le plan SoinPropre+ d’Air Canada, établissant et expliquant de façon détaillée toutes les mesures sanitaires qui seront mises en place pour les mois futurs, quand les vols reviendront «à la normale».
Dans ce plan exhaustif, on peut lire que des mesures seront prises à l’enregistrement, à l’embarquement et à bord des avions.
Ainsi, la température des voyageurs et voyageuses sera prise à leur arrivée, le port du masque sera obligatoire, et plusieurs dispositifs pour distribuer du désinfectant pour les mains seront installés.
Un gros lot d’actions et de consignes sont donc à prévoir pour les futur.e.s voyageurs et voyageuses qui se déplaceront avec Air Canada! Le tout, bien entendu, pour la sécurité et la santé de tou.te.s!
On a bien hâte de voir comment le tout prendra forme et de connaître enfin la réalité «post-Covid»!
Depuis le début du confinement, plusieurs séries et films ont été mis en ligne et dévoilés (certains même prématurément) afin de fournir le plus de divertissement possible aux gens «coincés» à la maison.
Parmi eux, on compte entre autres Too Hot To Handle, la série de télé-réalité et dating nouveau genre de Netflix, et, bien évidemment, la courte série documentaire Tiger King (Au Royaume des fauves) mettant en vedette Joe Exotic et sa némésis, Carole Baskin.
— X Christmas Gifts (@XChristmasGifts) May 2, 2020
Avec une foule de memes ayant envahi «les internets» suite à l’engouement du public face à cette dernière, il n’est pas étonnant que les gens voulaient en savoir plus sur Baskin.
Dépeinte comme l’excentrique femme amoureuse des «gros chats», et qui aurait un mari ayant disparu dans de nébuleuses circonstances, les théories et histoires sur elle parcourent les réseaux sociaux; rendant presque impossible de ne pas savoir qui est Carole Baskin.
Essayant de tirer parti de l’intérêt des internautes envers elle et de créer du contenu hyper divertissant, les deux youtubers Josh Pieters et Archie Manners ont décidé de mettre sur pieds une grosse supercherie, afin de passer en entrevue la propriétaire et fondatrice de Big Cat Rescue.
Déjà maîtres des mauvais coups et amateurs de bonnes blagues, Josh et Archie ont déjà dupé plusieurs vedettes et influencers dans le passé, toujours dans le but de créer du contenu drôle et divertissant.
Cette fois, il y a quelques semaines, les deux créateurs de contenu ont réussi à faire croire à Carole Baskin qu’elle serait passée en entrevue par Jimmy Fallon ? de façon virtuelle en respectant le confinement, bien sûr ?, pour une diffusion sur son talk-show.
Ils ont pensé à tout: allant de plates excuses qui justifiaient pourquoi Jimmy Fallon n’apparaissait pas à l’écran, à de fausses communications entre équipes de tournage. Les deux jeunes hommes avaient même sélectionné et enregistré sur leur iPad des clips d’émissions passées de Fallon, où le sujet des félins était abordé, prétexte initial de l’entrevue bidon.
Le plus étonnant dans tout ça? Elle n’y aurait vu que du feu!
Eh oui, c’est d’une immense tromperie que serait née la première entrevue de Carole Baskin post Tiger King.
Pour savoir comment Baskin vit son confinement et revoir l’un de personnages clés du populaire documentaire, il vous suffit de visionner l’entrevue.
Publiée hier soir sur la page Facebook de TVA Saguenay-Lac-St-Jean, la vidéo a rapidement fait le tour des internets, avec une histoire très touchante d’un couple d’aînés de Jonquière, au Saguenay.
Alors que nous sommes en pleine crise de la pandémie du coronavirus (COVID-19), plusieurs mesures sanitaires de prévention de propagation du virus ont été mises en place.
Entre autres, afin de protéger les personnes les plus à risque, nos aîné.e.s, les CHSLD et résidences du Québec ont dû fermer leurs portes aux visiteurs et visiteuse afin de converser les contacts à un strict minimum avec les résident.e.s, pour préserver leur santé le plus possible.
Cependant, ces restrictions n’ont pas eu raison de monsieur Ghislain Racine, 81 ans, qui a eu l’idée de demander l’aide d’une entreprise de monte-charges, afin d’aller voir sa bien-aimée à travers sa fenêtre de CHSLD.
Séparés en temps de confinement, lui et sa femme, âgée de 74 ans, sont comparables à Roméo et Juliette, alors que monsieur Racine se refuse à ne pas la voir durant plusieurs semaines, par peur qu’elle ne l’oublie ? puisqu’elle est atteinte d’Alzheimer.
Finalement, après plusieurs «visites» en nacelle, la direction de l’établissement a cédé et lui a enfin permis d’aller visiter sa douce moitié.
«C’est mon premier amour, c’est mon dernier amour. Puis je ne lâche pas.» Déclare monsieur Racine lors de la vidéo d’entrevue.
