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Lou-Pascal Tremblay: «Je vais m’en ennuyer profondément»

Je ne veux pas qu’on me l’enlève.

C’est en marge du visionnement de presse de la toute nouvelle émission Karaoké Club, animée par Stéphane Rousseau, que nous avons pu nous entretenir avec le comédien Lou-Pascal Tremblay.

Durant les trois jours de tournage de cette compétition musicale télévisée, Lou-Pascal a été reçu par celui qu’il appelle à la fois son collègue de travail et «son boy», soit Stéphane Rousseau.

Une amitié complice… et l’aventure STAT

«Il est sans faute, Steph. Il a toujours une répartie (…) Je suis fier de lui, je suis fier de dire que c’est mon ami dans la vie. Puis, de pouvoir faire d’autres types de projets comme ça avec lui, c’est un privilège», louange Lou-Pascal.

En effet, les deux acteurs partagent l’écran de la populaire série télévisée STAT. Profitant de leur proximité sur le plateau, Lou-Pascal avoue avoir tenté d’obtenir quelques scoops sur Karaoké Club… en vain.

«Des fois, je le voyais répéter ses textes pour Karaoké Club. J’essayais de voir c’est quoi les tounes qui allaient y être, mais il n’a jamais voulu rien me dire, donc il a été très bon pour garder tout ça secret», raconte-t-il.

STAT se poursuit dans une 4ᵉ saison avec un tout nouveau format: des épisodes hebdomadaires d’une heure, plutôt qu’une quotidienne de 30 minutes. L’équipe de l’émission dispose ainsi de plus de temps, un atout que la nouvelle réalisatrice, Julie Perrault, sait très bien exploiter, souligne Lou-Pascal.

«Elle est excessivement talentueuse, elle nous amène ailleurs. On va plus loin dans les émotions», nous rapporte Lou-Pascal sur celle qui est également la conjointe de Stéphane Rousseau.

Avec Julie, elle-même actrice, il dit devoir jouer «dans la vérité» en tout temps:

«Il y a des fois où je fais semblant, où ça ne me tente pas nécessairement d’aller là, de vivre telle émotion en ce moment dans ma vie. Il y a des fois où je fake des affaires, mais je sais qu’elle voit que ce n’est pas vrai. Je ne peux plus me cacher derrière mes réflexes. (…) C’est challengeant au boute, mais c’est vraiment formateur.»

D’après le comédien, les ouï-dire d’une 5e saison semblent d’ailleurs se concrétiser:

«Moi, je me suis toujours dit: Si on fait cinq ans avec ça, je suis f*cking content. Ça s’enligne pour ça.»

Très attaché à son personnage, le docteur Jacob Faubert, Lou-Pascal confie:

«Le jour où je vais perdre ce personnage-là, je vais m’en ennuyer profondément. J’aime Jacob, j’aime ce qu’il m’amène dans ma vie, j’aime sa dégaine, sa confiance en lui. Je le respecte et j’apprends de lui.»

«STAT, c’est quelque chose que j’ai vraiment tatoué sous le cœur. Je ne veux pas qu’on me l’enlève», conclut l’artiste.

Affronter ses peurs, micro à la main

Retrouvez Lou-Pascal sur Prime Vidéo, dans Karaoké Club, aux côtés de l’actrice et animatrice Karine Vanasse, la comédienne Debbie Lynch-White, l’animateur Pierre-Yves Lord et de la créatrice de contenu et animatrice Chloée Deblois!

Le projet l’a poussé à affronter l’une de ses plus grandes peurs, et il nous en parle dans cet article, juste ici.

Merci à Lou-Pascal pour sa grande générosité. Nous lui souhaitons une excellente continuation!

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De la gêne à la libération: Karine Vanasse se confie

On peut vite être intimidé.

Nous nous sommes récemment rendus au visionnement de presse de la toute nouvelle émission animée par Stéphane RousseauKaraoké Club

On vous avertit: impossible de ne pas sourire en voyant certains de nos artistes québécois préférés se lâcher lousse et pousser la note à fond.

HollywoodPQ a profité de l’occasion pour s’entretenir avec certains participants, dont l’actrice et animatrice Karine Vanasse.

Une activité qui fait du bien

Elle nous a d’abord confié à quel point on peut se sentir vulnérable, et étonnamment libéré, lorsqu’on fait du karaoké.

«On peut vite être intimidé, mais en même temps, le karaoké, ce qui est le fun, c’est qu’on se laisse aller. On n’est pas là pour faire une performance parfaite», nous confie-t-elle.

Serge Cloutier

Comme le tournage s’est déroulé sur trois jours, elle a vu le groupe se dégêner progressivement, plus ça avançait, «plus le party pognait».

«À un moment donné, il n’y a plus de honte (…) Il n’y a plus de gêne», témoigne-t-elle.

Elle nous a d’ailleurs raconté qu’elle fait souvent du karaoké lorsqu’elle est en tournage hors du Québec, notamment dans le nord de l’Ontario: «C’est vraiment libérateur. Je veux dire, on peut aller exprimer des émotions. Ce n’est pas juste en allant chez le psychologue!»

Une voix qui en met plein la vue malgré tout!

Karine s’estime chanceuse d’avoir pu partager la scène avec de grandes voix, dont celle de Debbie Lynch-White. Malgré une grippe lors du tournage, Debbie aurait toutefois livré de sublimes performances.

Serge Cloutier

Une performance marquante

Elle nous confie également son coup de cœur parmi les performances, soit celle de Lou-Pascal Tremblay, qu’elle connaissait peu et qu’elle a adoré découvrir dans ce contexte.

«Il est arrivé très préparé», affirme l’actrice en riant, faisant référence à son costume de badboy et à sa performance très assumée de Femme Like You, de K. Maro.

Serge Cloutier

Mots de la fin

L’artiste trouve que collectivement, «on boude trop notre plaisir du karaoké». Elle espère donc que l’émission pourra en inspirer plusieurs à brancher leur machine de karaoké pendant le temps des Fêtes qui approche à grands pas.

Un grand merci à Karine pour son temps et sa générosité!

Retrouvez-la aux côtés de Lou-Pascal Tremblay, Debbie Lynch-White, Pierre-Yves Lord et Chloée Deblois à Karaoké Club, disponible depuis le 21 novembre sur Prime Vidéo.

Le tout se déroule dans une ambiance festive, ponctuée de rires, de taquineries, de costumes et de surprises!

Avez-vous écouté les épisodes déjà disponibles? Si oui, qu’en avez-vous pensé?

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Peur et anxiété: Lou-Pascal Tremblay avait refusé ce projet

J’ai fait tellement d’anxiété.

Nous nous sommes récemment rendus au visionnement de presse de la toute nouvelle émission Karaoké Club, animée par Stéphane Rousseau.

HollywoodPQ a évidemment profité de l’occasion pour s’entretenir avec les vedettes de l’événement, dont Lou-Pascal Tremblay, qui participe à cette nouvelle émission maintenant disponible sur Prime.

Entre plus grande peur et anxiété

Il nous a confié s’être lancé dans cette aventure avec un certain recul, mais surtout avec beaucoup de crainte.

«Moi, j’ai attaqué ce projet-là avec tellement de peur. Quand on m’a appelé pour me l’offrir, j’ai refusé. J’ai regardé après ça mon téléphone, puis ça a duré 30 secondes. Puis là, j’ai rappelé (…) Je l’ai vu comme une belle opportunité de me mettre en danger, quelque chose que je ne fais pas souvent. Puis ça n’arrive pas souvent aussi que la vie t’offre des projets qui te permettent de montrer une autre facette de toi», nous confie-t-il.

«(…) Je suis quelqu’un qui pense beaucoup à ce que les gens vont penser en général, qui ne se laisse pas beaucoup aller. Puis là, ça, c’était tout l’inverse. Fait que j’allais affronter toutes mes peurs, non seulement le fait que je ne chante vraiment pas bien dans la vie, et que ma peur première, c’est de faire du karaoké», poursuit le comédien.

«Vraiment, si tu m’avais demandé, ma plus grande peur, c’est de faire ça (…) jusqu’à ce que je commence à tourner, j’ai fait tellement d’anxiété», avoue Lou-Pascal, ajoutant s’être demandé pourquoi il avait accepté et s’être dit que ça n’avait «pas d’*sti de bon sens».

Finalement, lorsque le tournage a débuté, il s’est placé dans un tout autre état d’esprit, se rappelant qu’il était là avant tout pour avoir du plaisir. Il ne voulait surtout pas que les gens sentent qu’il était pris dans sa tête et souhaitait plutôt être entièrement présent au moment:

«Puis c’est ça que je pense qui en est ressorti, puis je suis vraiment agréablement surpris de tout ça.»

L’épreuve du visionnement

Étant donné que ce projet avait été pour lui une importante source d’angoisse, nous lui avons demandé comment il avait accueilli le visionnement.

«Je suis content que ce soit derrière. Je ne sais pas, même, si j’aurais la folie encore aujourd’hui de me dire: Ok, go, je le refais, je me rembarque là-dedans. Je l’ai fait, c’est fermé derrière moi, c’est accompli dans ma tête», affirme-t-il.

«Mais là, je suis content de le découvrir, puis c’est de bon goût, c’est drôle. Il y a des moments aussi culturels (…) On reçoit des entités, des *sti de monuments québécois, donc il y a des moments que c’est touchant (…) Il y a vraiment des beaux moments qui valent la peine d’être vus», soutient Lou-Pascal.

Un projet qui a finalement dépassé ses craintes:

«C’est ludique, c’est le fun, mais il y a quand même une dimension vraiment intéressante. Je suis content de faire partie de ça.»

Travailler avec Stéphane Rousseau

Ce n’est d’ailleurs pas le seul projet dans lequel on retrouve Lou-Pascal aux côtés de son ami Stéphane Rousseau, puisqu’il est aussi son collègue dans la populaire série STAT.

Mais comment était-ce de l’avoir comme animateur:

«Il est sans faute là, Steph, il a toujours une répartie. Il a été bon parce que tout le long des tournages de STAT, j’essayais d’aller soutirer de l’information dans sa loge.»

«Des fois, je le voyais répéter ses textes, j’essayais de voir c’est quoi les tounes qu’il allait être, mais il n’a jamais voulu rien me dire, donc il a été très bon pour garder tout ça secret. Mais non, il a fait une super bonne job, je suis fier de lui, je suis fier de dire que c’est mon ami dans la vie, puis de pouvoir faire d’autres types de projets comme ça avec lui, c’est un privilège», conclut la personnalité à ce sujet.

Mot de la fin

Merci à Lou-Pascal Tremblay pour ce moment privilégié. Nous le félicitons d’avoir surmonté sa peur et nous vous invitons à découvrir ce nouveau projet, dans lequel le comédien dévoile une facette de lui que l’on voit trop rarement.

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Grosse révélation sur sa vie amoureuse: Karine Vanasse se confie

Ça a été fait tout sainement. Je suis contente de ça.

En novembre 2024, Karine Vanasse, habituellement très discrète sur sa vie privée, avait surpris tout le monde en révélant avoir trouvé l’amour avec le globe-trotteur Guillaume Duranceau-Thibert.

«Nos cheveux ont eu le temps d’être longs, courts et longs encore, les saisons ont eu le temps de se succéder et de revenir nous envelopper… pendant que nous on prenait soin de laisser nos coeurs s’ouvrir et se lier, protégés: Dans la plus belle des rivières. Dans le plus grand des remous», avait-elle écrit en marge de l’annonce.

Mais un an après cette annonce, comment se sent-elle aujourd’hui par rapport à sa relation et à la grande révélation?

HollywoodPQ a récemment eu l’occasion de s’entretenir avec cette actrice et animatrice de grand talent, en marge du visionnement de presse de la toute nouvelle émission Karaoké Club, animée par Stéphane Rousseau et à laquelle elle prend part. Nous en avons alors profité pour aborder le sujet avec elle.

Serge Cloutier

«Ça a été fait tout sainement. Je suis contente de ça», a-t-elle déclaré à HollywoodPQ au sujet de l’annonce.

L’artiste nous a expliqué que cette sortie publique lui «a juste permis de se libérer de la réflexion de: On le dit-tu?, On ne le dit pas?».

«Bien là, regarde, à un moment donné, ça fait tellement longtemps, tu sais», ajoute-t-elle, laissant ainsi sous-entendre que c’était enfin le bon moment pour l’annoncer après tout ce temps.

Une belle histoire d’amour… et la réaction du public

Karine confie avoir été touchée de l’accueil de la nouvelle par le public:

«C’était beau et c’était touchant de voir comment les gens réagissaient. En fait, je me rends compte (…) qu’on a envie de voir des belles histoires.»

«En même temps, je veux dire, on ne se met pas de la pression que ce soit parfait, ce n’est pas ça, mais juste de voir que: Ah bien, ah oui, on peut se trouver plus tard dans la vie aussi. Ce genre d’histoire-là, ça se peut», témoigne-t-elle, visiblement toujours très en amour.

Serge Cloutier

Une première apparition publique

Les deux amoureux se sont affichés publiquement pour la première fois en septembre dernier sur le tapis rouge de la 40e édition des prix Gémeaux:

«Guillaume m’a accompagnée l’autre fois au gala, puis c’était super de l’avoir avec moi (…) C’est le fun de l’avoir avec moi présent dans certains moments, autant que moi aussi d’être fière de ses réalisations», explique Karine.

La comédienne avoue toutefois préférer rester «discrète» sur le sujet.

«Mais en même temps, à un moment donné, je pense que c’était le désir de ne pas garder de mystère pour rien quand, dans le fond, nous autres, on sait que c’est bien installé», conclut-elle.

Nos vœux de bonheur et nos remerciements

Nous souhaitons une belle continuation aux deux amoureux et remercions chaleureusement Karine pour ce moment très agréable et sa grande générosité!

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Honte et blessures: Lou-Adriane Cassidy se confie à nous

C’est un événement dont j’ai longtemps eu honte dans ma vie.

Lou-Adriane Cassidy a incontestablement été la reine du 47ᵉ Gala de l’ADISQ, tenu le 9 novembre 2025 à la Place des Arts de Montréal.

Lors de ses nombreux passages sur scène, l’autrice-compositrice-interprète de 28 ans a mis en lumière ceux qui l’ont accompagnée vers la victoire et a tenu à remercier chaleureusement son équipe.

«La musique pour moi, c’est le partage. Tout ce que j’ai vécu, ça a pris de la valeur à cause de toutes les personnes avec qui je l’ai construit, je l’ai partagé.»

Courtoisie – Julien Faugere

Après avoir posé devant les médias, les bras débordant de Félix, elle s’est confiée en coulisses à HollywoodPQ au sujet d’un membre clé de son équipe artistique: Alexandre Martel, son amoureux, qui a réalisé son projet Journal d’un loup-garou. Elle partage d’ailleurs avec lui le prix d’Auteur et compositeur de l’année.

Son pilier, autant personnel que professionnel

«C’est comment de partager autant avec une seule personne, autant artistiquement que personnellement?»

«C’est vulnérabilisant, c’est intense, c’est parfois difficile. C’est surtout vraiment gratifiant parce qu’on se comprend comme personnes. Depuis le début, on a une vision commune qu’on a suivie», nous explique Lou-Adriane. 

Elle confie que, quand elle «perd confiance ou prend peur, Alex reste toujours droit», et qu’il l’a toujours guidée en lui laissant beaucoup d’espace.

«Je me sens très chanceuse de partager sa vie», affirme la jeune femme.

Courtoisie – Jean-François LeBlanc

Nous lui avons ensuite demandé si elle se souvenait d’un moment où elle avait ressenti un véritable coup de foudre artistique entre eux.

Selon l’artiste, leur synergie s’est construite progressivement. À l’époque où Alex Martel avait réalisé son deuxième album, Lou-Adriane Cassidy vous dit: Bonsoir, elle avait encore «du mal à comprendre la place que l’un et l’autre devaient prendre». Or, Journal d’un loup-garou a marqué un point tournant pour trouver leur équilibre créatif, «chacun comprenant sa place dans le processus».

La honte qu’elle a portée… et qu’elle a transformée en mélodie

En recevant le Félix de la chanson de l’année pour Dis-moi dis-moi dis-moi aux côtés d’Alexandre Martel, Lou-Adriane Cassidy a déclaré: «C’est une chanson qui parle de l’abandon de mon père. Alex m’a aidé à l’écrire. Il a eu ce regard extérieur avec moi. Sans lui, je n’aurais pas pu écrire cette chanson-là.»

«C’est un événement dont j’ai longtemps eu honte dans ma vie. Là, je suis fière de ce que j’ai construit avec», a-t-elle ajouté.

Courtoisie – Jean-François LeBlanc

La star montante explique que le déclic pour aborder des sujets plus personnels dans Journal d’un loup-garou est venu à elle en écrivant cette chanson, la première qu’elle a composée pour cet album:

«Ça m’est apparu quand même rapidement que je voulais parler de mon père (…) Ça faisait longtemps que j’aurais voulu, mais je n’arrivais pas à trouver le bon angle, la bonne façon d’en parler», témoigne l’artiste à notre équipe.

«C’est comme bébé lala», affirme-t-elle, tout en riant.

«On dirait que c’était trop proche de moi», ajoute Cassidy.

Or, elle affirme qu’écrire ce texte plus «ardu», au vocabulaire varié, l’a aidée à s’ouvrir sur ce sujet, mais aussi pour le reste de l’album.

Elle souligne aussi avoir aimé explorer «la dualité entre le cru, le vulnérable» et l’esprit des contes de fées dans Journal d’un loup-garou.

«Je pense que ça m’aidait à mieux nommer mes blessures. Ces grandes figures de conte nous aident parfois à mieux nous représenter», conclut-elle.

Mot de la fin

C’est un total de 12 victoires que l’artiste montante a récoltées lors de cette remise de prix qu’elle n’est pas près d’oublier.

Nous la remercions pour son temps et sa grande générosité, et lui offrons toutes nos félicitations ainsi que nos vœux de pleine réussite pour la suite de sa carrière prometteuse!

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Julie Snyder sous le charme de cette personnalité d’OD

Depuis que je produis OD…

En marge du tapis rouge du 47e Gala de l’ADISQ, tenu le 9 novembre 2025 à la Place des Arts de Montréal, HollywoodPQ a eu l’occasion de s’entretenir avec plusieurs personnalités venues assister à cet événement phare qui célèbre et fait rayonner la musique d’ici et ses artistes.

Parmi elles se trouvait la productrice Julie Snyder, avec qui nous avons eu la chance de discuter au passage, notamment d’Occupation Double. Impossible, bien sûr, de passer sous silence la saison actuelle à Chypre, aussi rocambolesque soit-elle.

Elle nous a confié une information que plusieurs se demandent sans doute… qui est son ou sa candidat(e) coup de cœur d’Occupation Double Chypre!

Serge Cloutier

Et son coup de coeur est…

C’est de loin la candidate qui m’a fait le plus rire…

La productrice de la populaire téléréalité a avoué être charmée par le «sens du comique» de la candidate… Julie-Pier Letarte:

«Chaque fois qu’elle parle dans Occupation Double, elle me fait rire. Donc, pour moi, c’est plus «candidate», c’est une humoriste», s’exclame-t-elle, rappelant au passage que c’est d’ailleurs le métier de formation de la jeune femme.

Ce n’est pas tout: il semblerait que Julie-Pier ait même davantage charmé Julie que plusieurs candidats des saisons précédentes.

«C’est de loin la candidate qui m’a fait le plus rire depuis que je produis OD», ajoute-t-elle.

Ce qui attend les téléspectateurs d’OD Chypre

Rappelons que Julie-Pier et le candidat Maxime forment l’un des cinq derniers couples encore dans l’aventure et qu’ils s’apprêtent à se lancer dans une série d’épreuves pour accéder à la grande finale.

En effet, dans le plus récent épisode d’Occupation Double, on a appris qu’à la suite d’un jeu opposant les couples encore en lice, c’est finalement le couple formé d’Arnaud et de Lauriane qui a décroché sa place pour le Chili, la destination de rêve où se déroulera le grand voyage final.

Nous connaissons désormais les dates des trois grands moments à venir: le début du voyage, la fin et le couronnement du couple gagnant, ainsi que le moment tant attendu où les candidats seront confrontés à leur parcours, L’heure de vérité.

Pour en savoir plus sur ce qui vous attend d’ici la fin de la saison, consultez notre article complet sur le sujet, juste ici.

Et vous, partagez-vous l’avis de Julie concernant son coup de cœur? Sinon, dites-nous: quel est le vôtre?

 

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Le coup de coeur de Marie-Mai à Quel Talent!

De jouer la b*tch, c’est iconic quand même.

En marge du tapis rouge du 47e gala de l’ADISQ, HollywoodPQ a eu l’occasion de s’entretenir avec Marie-Mai afin de discuter de deux projets excitants auxquels elle a récemment pris part: ses aventures télévisuelles dans Quel Talent! et Big Brother: Le piège.

Serge Cloutier

Le 9 novembre 2025 se tenait la grande célébration du meilleur de la musique québécoise. Marie-Mai était en lice dans la catégorie «Artiste féminine de l’année», un Félix qui est finalement revenu à Lou-Adriane Cassidy, véritable star de l’année!

Sa participation à Quel Talent!

Alors qu’elle se dirigeait vers la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts, vêtue d’une élégante robe rouge en velours et le sourire aux lèvres, Marie-Mai s’est arrêtée quelques instants pour nous glisser un mot sur la deuxième saison de Quel Talent!, émission dans laquelle elle agit comme juge aux côtés de Rachid Badouri, Serge Denoncourt et Anne Dorval:

«Quelle expérience c’est de voir tous ces talents, que ce soit en humour, en musique, en théâtre (…) C’est un privilège.»

Marie-Mai a d’ailleurs mentionné son coup de cœur pour Jerry, un personnage aussi maladroit qu’attachant incarné par Maxime Poulin, «qui a fait un numéro qui est complètement viral». Et il va sans dire que la chanteuse a vu juste, car, grâce à son humour sarcastique et son talent à vélo, ce dernier a été élu grand gagnant de Quel Talent! lors de la finale qui se tenait le 10 novembre sur les ondes de Noovo

La reine du bluff dans Big Brother: Le piège

La popstar québécoise nous a également confié avoir aimé jouer le rôle de la «b*tch» dans la téléréalité Big Brother: Le piège, dont elle est l’animatrice.

En plus, d’enfiler des tenues encore plus excentriques que celles de Big Brother Célébrités, elle joue à la diva avec les techniciens et se plaint quand de faux pépins la forcent à reprendre ses interventions. 

«De jouer la b*tch, c’est iconic quand même», nous lance Marie-Mai en riant.

Le but: embarquer dans le concept novateur de cette nouvelle émission, qui est en fait le plus grand «prank» de l’histoire de la télé québécoise. On y découvre Jacob, le «piégé», qui croit participer à la première saison de Big Brother Québec. Or, le principal intéressé ignore que les onze autres participants, avec qui il habitera pendant près d’un mois, sont tous des comédiens-improvisateurs professionnels. Ces derniers suivent un scénario très précis pour rendre le séjour de Jacob rocambolesque et surprenant.

Les sept épisodes de Big Brother: Le piège sont disponibles sur la plateforme Crave

Un grand merci à Marie-Mai pour ce moment privilégié! On lui souhaite de poursuivre sur sa belle lancée et de continuer à rayonner, autant à la télé que sur scène.

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Ấm: l’amour et la différence se mêlent sur scène

Ấm – la première pièce de théâtre de la romancière Kim Thúy – a lancé la saison du Théâtre du Nouveau Monde. Présenté jusqu’au 8 octobre, ce spectacle à saveur autobiographique est une ode à l’amour et à l’humanité qui peut se déployer à travers la différence, à travers l’acceptation d’autrui.

Screenshot

Dès que le rideau se lève, l’intention de Kim Thúy résonne clairement : honorer sa terre natale, le Vietnam, tout comme sa terre d’accueil, le Québec. La pièce débute avec deux récits contés en parallèle : l’un d’Anh, incarné par Cynthia Wu-Maheux, l’autre de Jacques, joué par Jean-Philippe Perras. L’un témoignant d’une enfance difficile dans un Vietnam déchiré par la guerre, l’autre décrivant sa jeunesse dans un Québec en pleine Révolution tranquille.

La différence des deux personnages – la Vietnamienne et le Québécois, l’artiste et l’homme d’affaires – est le catalyseur de leurs conflits comme de la force de leur union, ainsi qu’un fil rouge de l’intrigue. Leurs échanges de mots doux, dans lesquels on ressentait bien leur tendresse et leur admiration l’un pour l’autre, étaient touchants.

Site web officiel du Théâtre du Nouveau Monde

Le jeu des acteurs était clair et juste, sans artifices matériels pour l’amplifier : ils étaient vêtus de costumes sobres, aux teintes neutres, et habitaient un décor moderne et épuré. 

En ce qui concerne le décor, il était notamment composé de plateformes flottant dans l’espace. Ces dernières bougeaient entre les scènes, ce qui ajoutait une touche de dynamisme à la pièce.

Les comédiens jouaient parfois dans un bassin d’eau, ce qui accentuait l’impact dramatique de certaines scènes. Le troisième personnage de la pièce, Noé, y dansait souvent.

Site web officiel du Théâtre du Nouveau Monde

C’est le danseur contemporain Jimmy Trieu Phong Chung qui donnait vie au rôle muet de Noé, un jeune aux prises avec un trouble du spectre de l’autisme.

À travers le mouvement, il nous ouvrait les portes du monde intérieur singulier de ce personnage neuro-atypique.

En définitive, Ấm est une pièce qui émeut par sa sincérité et sa poésie visuelle, et nous la recommandons vivement!

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Art, musique et bien-être avec Royalmount x Mural!

Jusqu’au 31 août, le complexe commercial Royalmount et le festival Mural s’associent pour vous offrir une série d’événements immersifs alliant art, musique et bien-être. Et psst… toutes les activités sont gratuites, tant que vous vous inscrivez au préalable!

Facebook Royalmount

Le tout aura lieu dans le charmant Parc urbain de Royalmount, orné d’œuvres gonflables géantes et colorées signées Melissa Mathieson! Ces installations inédites explorent le thème du retour au «chez soi» et à «l’enfance lointaine», a souligné l’artiste montréalaise lors de la soirée de lancement de l’événement, le 15 août.

Perlina Rossi-Brown

«Inspirée par la nostalgie et la nature californienne, elle imagine des univers colorés et fantaisistes peuplés de personnages décalés et de formes abstraites», a expliqué Mural via Instagram.

En ce qui concerne la programmation, sachez que les plus fêtards trouveront certainement leur bonheur aux Block Parties enflammés de RoyalMount x Mural. Ils auront lieu les samedis, de 16h à 22h, en compagnie de DJ et collectifs locaux.

Rendez-vous pour la première soirée dansante le 16 août! Ce sera le collectif de DJ Frikiton qui ouvrira le bal avec des rythmes reggaeton, afrobeats et global bass.

Perlina Rossi-Brown

Le 23 août ce sera au tour de Bonne Famille d’enflammer la piste de danse à ciel ouvert de RoyalMount. Les DJ Ms Baby, Taima, Jokege, Fanella, Po et Kreezy seront de la partie.

Enfin, le 30 août, Terrasse Season – le fameux collectif de DJ qui ambiance la Place Ville Marie aux 5 à 7 de Ciel Ouvert – débarquera à Royalmount pour une soirée déchainée.

Perlina Rossi-Brown

Et ce n’est pas tout! Un Block Party bien spécial aura lieu lors du 1er anniversaire de Royalmount… Plus de détails à venir!

Or, pour ceux qui cherchent plutôt à se ressourcer, ne ratez pas les «dimanches bien-être» de la programmation! Le 17, 24 et 31 août, vous pourrez notamment allier brunchs avec pilates. En effet, les équipes de Glow by Pilo et de Studio Sage vous guideront à travers des cours pensés pour recharger vos batteries et cultiver la pleine conscience.

Facebook Royalmount

Restez à l’affût du dévoilement de la programmation complète sur le site web de Royalmount!

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La foire d’art contemporain Plural de retour du 11 au 13 avril!

Du 11 au 13 avril prochains, rendez-vous au Grand Quai du Port de Montréal afin de prendre part à Plural, la foire d’art contemporain la plus importante au Québec. 

Perlina Rossi-Brown

Les visiteurs auront l’occasion de découvrir, admirer et acquérir les créations de plus de 500 talentueux artistes. Le tout dans un cadre enchanteur: les teintes éclatantes des œuvres animent la galerie, vaste et épurée. Grâce à ses grandes vitrines, le Grand Quai est baigné de lumière naturelle. D’un côté, vous aurez une vue imprenable sur le fleuve; de l’autre, les gratte-ciels qui s’élèvent vers le ciel.

Perlina Rossi-Brown

Au premier étage du Grand Quai, se trouveront les kiosques de 37 galeries commerciales, provenant de Montréal, Toronto, Ottawa, Vancouver, Regina et Halifax. Vous pourrez y rencontrer leurs porte-paroles et échanger avec eux dans une ambiance conviviale.

Au deuxième étage, au Pavillon, sept espaces projet seront présentés par des galeries émergentes ou alternatives, chacune présentant le travail d’un ou deux artistes. Les exposants du Pavillon, originaires de sept villes canadiennes, ont été choisis par un comité de sélection pour leur travail remarquable et leur apport significatif au paysage de l’art contemporain canadien.

Le Pavillon de Plural accueillera également Le témoignage des matérialités sensibles. Cette exposition, regroupant les œuvres de 11 artistes, explore la fluidité de la mémoire; comment elle se tisse, se fragmente et se réinvente sans cesse. 

De plus, de belles surprises vous attendent à l’occasion du 40e anniversaire de l’Association des galeries d’art contemporain (AGAC), l’ONG à l’origine de Plural. Un kiosque spécial sera dédié aux 40 ans de l’AGAC à la foire. À travers une sélection d’archives inédites, cette présentation relate l’histoire de cet organisme qui contribue à la prospérité du marché de l’art contemporain au Canada depuis 1985!

En plus des œuvres, la foire Plural vous offre une riche programmation de conférences, visites guidées et ateliers en cette troisième édition! Ces activités traitent de diverses questions qui façonnent le paysage de l’art contemporain aujourd’hui: techniques de mise en place d’un projet d’exposition, initiation au collectionnement de l’art contemporain, abstraction décoloniale, démarches artistiques actuelles autochtones, cripistémologies et plus encore! 

Et, nouveauté cette année: les tables rondes en français seront accompagnées d’une interprétation en langue des signes québécoise (LSQ), et celles en anglais, en langue des signes américaine (ASL). 

Soulignons qu’il s’agit de la troisième édition de la foire Plural. Anciennement Papier, la foire s’est réinventée sous un nouveau nom en 2021 afin de refléter la diversité des médiums qu’elle présente, ainsi que le pluralisme de voix auxquelles elle fait place.

Perlina Rossi-Brown

Pour participer à l’événement, vous avez le choix entre un laissez-passer de trois jours pour 60 $ ou une admission générale pour 25$. Les tarifs pour les personnes âgées et les étudiants sont réduits, respectivement à 23$ et 20$. 

Une rencontre à ne pas manquer pour les passionnés d’art et de culture!