Catégories
Uncategorized

Neil Young soutient Mark Carney et s’en prend à Trump

Dans une lettre ouverte publiée sur son site web et adressée à Mark Carney, candidat du Parti libéral et actuel premier ministre du Canada, le musicien Neil Young ne tarit pas d’éloges à son égard, le présentant comme la personne idéale pour diriger un pays confronté à des menaces existentielles.

Il en profite aussi pour critiquer au passage le président des États-Unis.

Thank you, Neil, for your support. Keep on Rockin’ in the Free World. tinyurl.com/yzmj52yj

Mark Carney (@mark-carney.bsky.social) 2025-04-16T03:35:39.653Z

Dans sa lettre, Neil Young évoque avec émotion son enfance au Canada: né à Toronto, il a grandi en Ontario, surmonté la polio, découvert la guitare, avant de devenir musicien.

Getty Images

Il se dit reconnaissant d’avoir eu le privilège d’une tribune lui permettant de mettre en lumière des causes importantes, de défendre la justice et de «dire la vérité au pouvoir».

Young affirme que le Canada est aujourd’hui confronté à une menace pour sa propre existence venant de ceux que l’on croyait être des alliés, mais qui convoitent nos ressources, nos terres, nos pêches, notre eau, notre Arctique et peut-être même nos âmes.

Getty Images

Il ajoute: «Je sais que le président américain aurait besoin d’une âme.»

Le musicien poursuit en affirmant que pour faire face à ce type de menace, il faut bien plus que du simple «bravado». Il insiste sur l’importance d’avoir de l’intelligence, une solide compréhension de l’économie, ainsi que la capacité de reconnaître et de saisir les occasions avec des stratégies fortes et réfléchies afin d’apporter un nouveau niveau de prospérité et de sécurité aux Canadiens.

Getty Images

Le musicien affirme croire fermement que Mark Carney est celui qui a les capacités nécessaires pour relever ce défi et guider le pays à travers cette situation.

Selon lui, Carney est l’homme qu’il faut pour bâtir un Canada plus fort, plus intelligent et plus résilient, tout en préservant nos valeurs fondamentales de compassion, d’équité et de générosité et Young est convaincu que Carney a les compétences pour y parvenir.

Getty Images

Young conclut en reconnaissant que le défi qui attend le prochain premier ministre dans les années à venir sera immense, mais affirme qu’il soutient Carney jusqu’au bout.

Catégories
Uncategorized

Avec Bernie Sanders, AOC attire les foules et engrange des millions pour les démocrates

L’alliance entre Bernie Sanders et Alexandria Ocasio-Cortez semble porter ses fruits: cette dernière aurait presque doublé ses récoltes des trois derniers mois, établissant un record de financement trimestriel avec près de 10 millions de dollars amassés.

I cannot convey enough how grateful I am to the millions of you all supporting us with your time, resources, and energy.Your support has allowed us to rally people together at record scale to organize their communities.All with an average donation of $21.THANK YOU & Pa’lante 🙏🏽♥️

Alexandria Ocasio-Cortez (@aoc.bsky.social) 2025-04-15T17:47:47.123Z

Alors qu’AOC est au cœur de la tournée «Fighting Oligarchy» aux côtés de son collègue démocrate Bernie Sanders, un événement qui attire des milliers de personnes à travers plusieurs États, sa popularité semble atteindre un sommet.

Getty Images

Cela se reflète dans ses résultats de financement, alors que plus de la moitié de ses donateurs seraient de nouveaux contributeurs, selon les données qu’elle a partagées sur les réseaux sociaux.

En repartageant avec fierté sur les réseaux sociaux les données publiées par son directeur de campagne et conseiller principal Olivier Hidalgo-Wohlleben, AOC s’est dite reconnaissante et a souligné que les contributions de 266 000 donateurs avaient été faites avec un don moyen de 21$.

Getty Images

Hidalgo-Wohlleben a confirmé sur les réseaux sociaux qu’AOC venait de connaître son «meilleur quart depuis toujours», ayant levé plus de 9,5 millions de dollars.

Certains avancent qu’AOC pourrait se préparer à défier Chuck Schumer lors des primaires de 2028. Le chef de la minorité au Sénat est vivement critiqué pour son inaction, jugée responsable d’avoir permis l’adoption du budget de l’administration Trump, marqué par des coupes majeures dans tous les secteurs de l’État, dont l’aide aux vétérans, la santé publique, l’éducation, l’IRS et la sécurité sociale.

Getty Images

AOC et Bernie Sanders attirent des foules massives à travers les États-Unis, tant dans les États bleus que rouges, témoignant d’un fort appui populaire.

Ils ont parlé devant plus de 36000 personnes à Los Angeles en Californie, près de 34 000 à Denver au Colorado, 20000 à Salt Lake City en Utah et à plus de 12000 personnes à Nampa en Idaho.

20,000 in ruby red Utah on their feet, in community, and ready to organize for a better world.A better world is possible.

Alexandria Ocasio-Cortez (@aoc.bsky.social) 2025-04-14T01:25:04.285Z

Leur message, qui dénonce l’influence démesurée des ultra-riches sur la politique américaine et appelle à une mobilisation populaire pour défendre la démocratie, insiste sur une idée forte: le pouvoir appartient au peuple, pas aux milliardaires.

Getty Images

Une déclaration qui trouve un large écho auprès des électeurs.

Catégories
Uncategorized

Agacé par ses questions sur Kilmar Abrego Garcia, Trump devient agressif avec Kaitlan Collins de CNN

Alors que Trump répondait aux questions des journalistes présents dans le bureau ovale, lors de la visite du président du Salvador, il s’est emporté contre la journaliste de CNN Kaitlan Collins.

CNN anchor Kaitlan Collins was forced to re-live her Monday afternoon dressing-down at the hands of President Donald Trump just hours later on her own show.

The Daily Beast (@thedailybeast.bsky.social) 2025-04-15T03:38:12.447Z

Collins cherchait à obtenir des explications claires sur les décisions prises à propos de Kilmar Abrego Garcia, un homme expulsé par erreur par l’administration Trump vers une super-prison au Salvador.

Getty Images

Alors que la journaliste interrogeait Trump sur son intention d’aider à rapatrier l’homme que son administration admettait avoir expulsé par erreur au Salvador, il a d’abord délégué la réponse à Pam Bondi. Bondi a affirmé que Garcia faisait partie d’un gang criminel, une déclaration contredite par plusieurs sources. Trump l’a ensuite complimentée pour son bon travail.

Puis, interrompant Kaitlan Collins en pleine question, il a sollicité Stephen Miller pour répondre à celle de CNN, justifiant son geste en déclarant que «Ils demandent toujours avec un biais parce qu’ils sont biaisés parce qu’ils ne savent pas ce qui se passe», ajoutant que c’était précisément pour cela que plus «personne ne les écoutait».

Getty Images

La journaliste a reformulé sa question en rappelant que Trump aurait déclaré, à bord de l’Air Force One, qu’il se conformerait à une décision de la Cour suprême ordonnant le retour de la personne concernée, une remarque à laquelle Kaitlan Collins faisait référence, citant les propos tenus par Trump quelques jours plus tôt:

«Si la Cour suprême disait de ramener quelqu’un, je le ferais, je respecte la Cour suprême.»

Plutôt que de répondre à la question, Trump s’est moqué de Kaitlan Collins en lui lançant:

«Pourquoi ne dis-tu pas simplement que c’est merveilleux que nous empêchions les criminels d’entrer dans notre pays, pourquoi ne peux-tu pas simplement dire cela?»

Getty Images

Trump a reproché à Collins et à CNN de revenir sans cesse sur «les mêmes choses», ajoutant que c’était précisément pour cela que plus personne ne les écoutait et qu’ils avaient perdu toute crédibilité.

L’échange s’est encore envenimé lorsque Trump a invité Stephen Miller à répondre à la question adressée au président du Salvador. Ce dernier avait déjà réagi en demandant à la journaliste de CNN si, à l’inverse, elle s’attendrait à ce qu’il fasse passer un «criminel» clandestinement aux États-Unis, une allusion directe à Garcia, qualifiant la question de complètement absurde, alors qu’il était question d’une éventuelle aide au retour du migrant expulsé par erreur.

Miller a soutenu que Garcia était un citoyen salvadorien et a qualifié d’arrogante l’idée qu’un média américain puisse suggérer comment le Salvador devrait gérer ses propres ressortissants.

Ce n’est pas la seule attaque qu’ont essuyée CNN et Kaitlan Collins lors de la visite du président salvadorien. Alors que celui-ci posait une question à Donald Trump en s’interrogeant sur le silence des médias, Trump a rétorqué en pointant la journaliste de CNN, affirmant que c’était parce que les médias étaient des «fake news» comme CNN et qu’ils n’aimaient pas diffuser de bonnes nouvelles, ajoutant: «Je pense qu’ils détestent notre pays».

Getty Images

De retour en studio, Dana Bash de CNN a tenu à rétablir les faits face à la déclaration choquante de Trump, en précisant que cela devrait aller de soi, mais qu’il fallait le dire clairement:

«Nous avons entendu le président Trump déclarer dans le Bureau ovale que CNN détestait notre pays. CNN ne déteste pas notre pays.»

Getty Images

Dana Bash a conclu sur le sujet en rappelant qu’elle travaillait pour CNN depuis 32 ans, et en interprétant les propos de Trump comme une stratégie rhétorique, déclarant: «Je vois un procédé rhétorique dans sa tentative de dire une telle chose.»

Catégories
Uncategorized

C’est la guerre entre Trump, Harvard et Obama

Quelques heures après qu’Harvard a annoncé son refus de se conformer à une série de demandes de l’administration Trump, Donald Trump a répliqué en annonçant le gel de plus de deux milliards de dollars de fonds fédéraux et contrats destinés à l’université.

Obama's criticism of Trump's "ham-handed" demands could encourage other universities to follow Harvard's example.

The Daily Beast (@thedailybeast.bsky.social) 2025-04-15T14:22:55.271Z

Selon une lettre de l’administration Trump adressée à Harvard, obtenue par le New York Times, la Maison-Blanche exigeait que l’université se conforme à une série de mesures, sous peine de perdre son financement, notamment destiné à la recherche.

Getty Images

Harvard accuse le gouvernement de dissimuler, derrière certaines de ces exigences liées à la lutte contre l’antisémitisme, une tentative de régulation directe des conditions intellectuelles au sein de l’université.

Le message du président de l’université d’Harvard à l’administration Trump est sans équivoque:

«L’Université ne renoncera ni à son indépendance ni à ses droits constitutionnels.»

Getty Images

Il a également déclaré: «Aucun gouvernement, quel que soit le parti au pouvoir, ne devrait dicter ce que les universités privées peuvent enseigner, qui elles peuvent admettre ou recruter, ni les domaines de recherche qu’elles peuvent explorer.»

Cette déclaration ferme a été rapidement applaudie par l’ancien président Barack Obama, lui-même diplômé de la réputée faculté de droit de Harvard. Il a qualifié les tentatives de l’administration Trump de contrôler la liberté académique d’«illégales et maladroites».

Getty Images

Obama a exprimé l’espoir que la décision prise par Harvard serve d’exemple et encourage d’autres universités et institutions à suivre la même voie.

Les universités américaines sont confrontées à des pressions de l’administration Trump, accusée de s’en prendre aux principes fondamentaux d’une société démocratique, tels que la liberté d’expression, d’association et la liberté académique. Cette tentative a été dénoncée dans une lettre signée par près de 900 institutions, dont des membres du corps professoral de Yale, selon The Guardian.

Getty Images

Les exigences de Trump incluaient notamment que l’université supprime ses programmes de diversité, d’équité et d’inclusion (DEI), modifie ses politiques d’admission pour les baser uniquement sur le mérite, restreigne l’admission des étudiants internationaux jugés hostiles aux valeurs américaines, interdise les groupes étudiants pro-palestiniens, collabore avec les autorités d’immigration et impose une interdiction du port de masques lors des manifestations sur le campus.

Catégories
Uncategorized

Tentative de meurtre sur le Gouverneur de la Pennsylvanie: le suspect avoue avoir eu l’intention de tuer Josh Shapiro

La résidence du gouverneur de Pennsylvanie, Josh Shapiro, a été visée par une attaque violente dans la nuit du samedi 12 au dimanche 13 avril, alors que le gouverneur, son épouse, leurs quatre enfants, leurs deux chiens et une famille invitée se trouvaient à l’intérieur, endormis au moment des faits.

L’incident est survenu à l’occasion de la première nuit de Pessa’h, une fête juive célébrée plus tôt dans la soirée.

Police have arrested a Harrisburg man in connection with what they call a “targeted attack” that caused a fire that heavily damaged the Pennsylvania governor’s residence early Sunday morning as Gov. Josh Shapiro and his family slept inside.

Pennsylvania Capital-Star (@penncapital-star.com) 2025-04-13T23:10:19.935Z

Cody A. Balmer, un homme de 38 ans, a récemment été arrêté et inculpé pour avoir planifié et mené cette attaque.

Getty Images

Selon les autorités, l’individu aurait reconnu avoir été motivé par une haine profonde envers le gouverneur. Il aurait escaladé la clôture entourant la résidence officielle, brisé deux fenêtres à l’aide d’un marteau, puis lancé deux cocktails Molotov à l’intérieur.

Le feu s’est rapidement propagé, provoquant d’importants dégâts dans une section de la maison, heureusement éloignée de la zone où dormaient les occupants.

Getty Images

L’attaque, survenue vers 2h du matin, a eu lieu alors que tous les occupants de la résidence dormaient. Grâce à la présence de policiers de l’État chargés de la sécurité du gouverneur, une opération d’évacuation a pu être lancée rapidement, permettant de mettre en sécurité l’ensemble des résidents. Dans le même temps, des recherches ont été entamées pour retrouver l’auteur de l’attaque, qui était parvenu à échapper à la surveillance.

Getty Images

L’intervention rapide des forces de l’ordre a permis de prévenir de justesse une tragédie. Bien qu’aucune blessure n’ait été rapportée, une partie de la résidence a subi d’importants dommages matériels, et les circonstances de l’attaque témoignent clairement de la gravité des intentions de l’auteur.

Selon les forces de l’ordre, Balmer serait resté quelques minutes à l’intérieur de la propriété avant d’y déclencher l’incendie. Quelques heures après l’attaque, il s’est présenté de lui-même aux autorités, livrant lors de son interrogatoire des détails précis sur la planification de son geste, corroborés par les images de vidéosurveillance. Il n’a toutefois fourni aucune explication quant à ses motivations.

Getty Images

Selon les enquêteurs, les images de vidéosurveillance montrent Balmer escaladant la clôture, puis se dirigeant vers les fenêtres situées sur le côté sud de la résidence, qu’il brise à l’aide d’un marteau. Lors de son interrogatoire, il aurait également admis que, s’il avait trouvé Josh Shapiro à l’intérieur, il l’aurait agressé avec son marteau dans le but de le tuer.

Lors d’une conférence de presse tenue devant sa résidence endommagée par l’incendie, le gouverneur Josh Shapiro a réagi avec fermeté, affirmant que cette attaque ne ferait que renforcer sa détermination à accomplir son travail. Il a déclaré que si l’auteur de l’agression cherchait à l’intimider, il avait échoué.

Getty Images

Balmer fait désormais face à de multiples chefs d’accusation, dont tentative d’homicide criminel, incendie criminel aggravé, cambriolage et terrorisme.

Catégories
Uncategorized

L’homme déporté par erreur ne sera pas rapatrié, affirment le président du Salvador et Trump à la Maison-Blanche

Lors de la visite du président salvadorien Nayib Bukele à la Maison-Blanche le 14 avril, lui et Donald Trump se sont renvoyé la responsabilité concernant le renvoi, par erreur, d’un migrant dans une prison controversée au Salvador.

President Donald Trump and El Salvador’s president, Nayib Bukele, made it clear in a joint meeting that the Maryland man who was wrongly deported won't be returned to the US

CNN (@cnn.com) 2025-04-14T17:34:56.264Z

Kilmar Abrego Garcia, un résident du Maryland, a été déporté par erreur dans une prison controversée au Salvador, en dépit d’une décision de la Cour suprême qui exigeait de l’administration Trump qu’elle facilite son retour, un jugement ayant interdit son expulsion pour des raisons de sécurité.

Getty Images

La rencontre entre Donald Trump et le président salvadorien aurait pu être l’occasion idéale de corriger l’erreur commise par l’administration Trump dans le dossier de Garcia. Cependant, les deux dirigeants ont plutôt choisi de se renvoyer la responsabilité quant à qui détient le pouvoir de statuer sur la liberté de cet homme. Pire, ils semblaient amusés de la situation.

Getty Images

Donald Trump a admis qu’une erreur administrative avait été commise dans l’expulsion de Garcia, mais a affirmé que son administration avait respecté la décision de la Cour suprême en supprimant les barrières juridiques ou logistiques du côté américain.

Selon lui, le retour de Garcia dépend désormais exclusivement des autorités salvadoriennes, écartant toute démarche diplomatique pour le rapatrier.

Getty Images

Le président salvadorien Nayib Bukele a déclaré qu’il ne faciliterait pas le retour de Kilmar Abrego Garcia aux États-Unis, malgré l’injonction de la Cour suprême américaine.

Il a même affirmé «ne pas avoir le pouvoir» légal de le renvoyer, qualifiant Garcia de «terroriste» et rejetant toute opération de retour clandestin.

Getty Images

Les accusations de terrorisme portées contre Kilmar Abrego Garcia par l’administration Trump et le président salvadorien Nayib Bukele ne reposent sur aucune preuve concrète. Bien que des allégations de liens avec le gang MS-13 aient été avancées, aucune charge criminelle n’a jamais été retenue contre lui aux États-Unis ni au Salvador.

Getty Images

Rappelons que la Cour suprême a récemment ordonné à l’administration Trump de faciliter le retour de Kilmar Abrego Garcia, expulsé illégalement vers le Salvador, estimant que cette expulsion violait une décision antérieure le protégeant.

Depuis, l’administration cherche à se soustraire à cette obligation, en jouant notamment sur l’interprétation du mot «faciliter».

Getty Images

Rappelons qu’Abrego Garcia, entré illégalement aux États-Unis vers 2011, avait obtenu une exception à son expulsion vers un pays précis en raison des dangers pesant sur sa vie, une décision rendue en 2019 après examen des preuves par un juge de l’immigration. Ce dernier avait conclu que Garcia ne pouvait pas être expulsé, car il était la cible d’un gang dans son pays d’origine, le Salvador.

Getty Images

L’avenir de Garcia demeure incertain, et il reste à voir comment la Cour suprême réagira face à l’inaction persistante de l’administration Trump dans cette affaire.

Catégories
Uncategorized

Katy Perry revient de l’espace et embrasse le sol à son retour

La chanteuse Katy Perry a réalisé avec succès un rêve qu’elle nourrissait depuis 15 ans, en participant à son tout premier voyage dans l’espace aux côtés d’un équipage entièrement féminin de Blue Origin.

Katy Perry kisses the floor after returning from Space.

Pop Base (@popbase.tv) 2025-04-14T15:06:34.721Z

La star a partagé son expérience sur Instagram, offrant à ses fans un aperçu des installations et de la capsule à bord de laquelle elle allait embarquer.

Perry a exprimé sa grande fierté de vivre cette aventure aux côtés de cinq femmes exceptionnelles et inspirantes, dont Lauren Sánchez, la fiancée du milliardaire Jeff Bezos, soulignant qu’elles formaient ensemble le tout premier équipage spatial entièrement féminin.

Une heure avant son décollage à bord de la fusée Blue Origin, Katy Perry a partagé une vidéo dans laquelle elle exprimait une profonde émotion, affirmant qu’elle n’avait jamais ressenti un tel mélange d’excitation et d’amour intérieur.

Getty Images

Dans son message, elle explique qu’on ne prend pleinement conscience de l’amour et des émotions que l’on porte en soi qu’au moment où l’on s’apprête à vivre une expérience aussi marquante que le décollage.

La star a également qualifié cette expérience d’historique, soulignant qu’il s’agissait de la toute première fois qu’un équipage entièrement féminin se rendait ensemble dans l’espace, à bord de la mission New Shepard NS-31, lancée le 14 avril.

Perry a également partagé une vidéo dans laquelle elle présente la capsule d’entraînement utilisée par elle et les autres membres de l’équipage avant le vol. On y aperçoit un siège avec son nom brodé, et la chanteuse y exprime son désir de chanter dans l’espace.

Quelques heures après cet événement exceptionnel, la chanteuse n’avait toujours rien publié sur Instagram au sujet de son expérience.

CaptureVideoFromSpace

Toutefois, on a pu l’entendre lors de la retransmission en direct de la mission, à son retour sur Terre.

Visiblement émue, elle est apparue sortant de la capsule, embrassant le sol avec une fleur marguerite à la main. Sa fille de 4 ans, Daisy Dove Bloom, était présente sur place pour assister à la fois au décollage et à l’atterrissage.

CaptureVideofromspace

La chanteuse a expliqué avoir choisi d’interpréter What a Wonderful World dans l’espace plutôt qu’une de ses propres chansons, estimant que ce moment ne devait pas être centré sur elle, mais sur une énergie collective, sur l’humanité dans son ensemble, et sur la beauté du monde.

Catégories
Uncategorized

Vers un gouvernement majoritaire de Mark Carney?

Les plus récentes projections de 338Canada indiquent que Mark Carney est en voie de former un gouvernement majoritaire.

338Canada🍁federal update | April 8, 2025Details here → 338canada.com/federal.htmFind your riding here → 338canada.com/districts.htm

Philippe J. Fournier (@338canada.bsky.social) 2025-04-08T11:52:36.767Z

Ce revirement spectaculaire survient après des mois de déclin pour les Libéraux sous Justin Trudeau, qui ont vu leur popularité chuter face aux conservateurs.

Selon les plus récentes projections de 338Canada en date d’avril 2025, le Parti Libéral de Mark Carney est en voie de remporter une majorité à la Chambre des communes avec 196 sièges, dépassant largement le seuil de 172 requis.

Getty Images

Le Parti Conservateur et Pierre Poilievre obtiendrait 120 sièges, tandis que le Bloc Québécois en récolterait 17. Le NPD serait relégué à 8 sièges, et le Parti Vert n’en conserverait que 2.

Ces chiffres confirment un renversement spectaculaire du paysage politique en quelques mois, alors que les libéraux étaient donnés perdants en début d’année.

Getty Images

L’arrivée de Carney, ancien gouverneur de la Banque du Canada et de la Banque d’Angleterre, a redonné un élan au Parti Libéral, qui atteint désormais 44% des intentions de vote.

Capture338canada.com

Cette progression s’explique en partie par la réaction des Canadiens aux menaces tarifaires et aux déclarations agressives de Donald Trump à l’égard de la souveraineté du Canada.

Face à cette situation, la réponse ferme de Mark Carney semble avoir davantage convaincu l’électorat que la tentative hésitante de Pierre Poilievre de prendre ses distances avec l’ancien président américain.

Getty Images

Face à Carney, le chef conservateur Pierre Poilievre éprouve des difficultés à conserver l’élan de son parti, qui jouissait encore tout récemment d’une avance confortable dans les intentions de vote. Son image reste ternie par des déclarations controversées et une ligne politique souvent perçue comme calquée sur celle de Donald Trump, ce qui freine sa capacité à élargir son électorat.

Selon Philippe J. Fournier de 338Canada, les libéraux ont désormais 55% de chances de remporter une majorité, contre moins de 1% en janvier.

Getty Images

Les Canadiens sont appelés aux urnes le 28 avril prochain.

Catégories
Uncategorized

Xi affirme que la Chine n’a pas peur, pendant que Tesla bloque des commandes chinoises

La guerre commerciale déclenchée par l’administration Trump contre la Chine a franchi une nouvelle étape, avec une prise de parole directe de Xi Jinping sur le sujet et l’entrée en jeu de Tesla.

Trump Tariffs Live: China hits back at US by increasing tariffs to 125%. Follow our live coverage here reut.rs/3G33Ea6

Reuters (@reuters.com) 2025-04-11T11:20:26.432Z

Pour la première fois depuis le début de l’escalade tarifaire entre la Chine et les États-Unis, le président Xi s’est exprimé, affirmant que la Chine «n’a pas peur», alors que Pékin porte ses droits de douane sur les produits américains à 125% dans un nouvel épisode de la guerre commerciale.

Getty Images

La Chine a déclaré ne pas vouloir dépasser 125%, estimant qu’une nouvelle escalade serait inutile. Elle a également critiqué la stratégie de Trump, fondée exclusivement sur la pression tarifaire, y voyant la preuve d’une tactique d’intimidation menée par un tyran pour forcer la main à ses partenaires commerciaux.

«Il n’y a pas de gagnants dans une guerre commerciale, et s’opposer au reste du monde ne mène qu’à l’isolement», a déclaré Xi dans ses premiers commentaires publics sur la situation.

Getty Images

En estimant qu’il n’était pas nécessaire de poursuivre l’escalade tarifaire, Xi a déclaré qu’il préférait «se concentrer sur la bonne gestion des affaires intérieures».

Du côté des États-Unis, l’entreprise Tesla, dirigée par le milliardaire Elon Musk, allié de Trump, semble directement touchée par la guerre tarifaire.

Getty Images

En réaction, la société a cessé de prendre des commandes en Chine pour deux de ses modèles importés, soit le SUV Model X et la berline Model S.

Selon Reuters, Tesla aurait même retiré les boutons «commander maintenant» de son site chinois, ainsi que les fonctionnalités de commande sur son mini-programme accessible via l’application chinoise WeChat.

Getty Images

Bien qu’Elon Musk affirme fièrement que Tesla est le véhicule le plus «American-made», l’entreprise reste fortement dépendante de fournisseurs étrangers, en particulier chinois, pour des composants essentiels comme les matériaux de batteries.

Cette dépendance, combinée aux tensions commerciales et aux controverses entourant Musk, rend l’avenir de Tesla incertain, notamment face aux décisions imprévisibles que pourrait prendre Donald Trump.

Catégories
Uncategorized

Retour sur le discours bizarre et inquiétant de Trump cette semaine

À quelques heures de l’entrée en vigueur de nouveaux tarifs douaniers visant la quasi-totalité des pays du monde, à l’exception de la Russie et de la Corée du Nord, Donald Trump a prononcé un discours de 1h30 devant le National Republican Congressional Committee.

President Trump said negotiating countries are "kissing my ass," hours before sweeping global tariffs went into effect.

NBC News (@nbcnews.com) 2025-04-09T13:15:38Z

Se vantant que plusieurs pays l’appelaient pour «lui embrasser le derrière», le président américain a tenu ces propos alors même que les principaux alliés et partenaires commerciaux des États-Unis ripostaient en imposant d’importantes mesures de représailles tarifaires, sans montrer le moindre signe de recul.

/CaptureLiveNowfromFox

Lors de son long discours au traditionnel dîner de levée de fonds à Washington D.C., Donald Trump a multiplié les déclarations triomphalistes, assurant: «Je sais ce que je fais» et se félicitant d’avoir connu les «les 100 jours les plus réussis de l’histoire de ce pays».

Trump a également repris ses propos étranges au sujet du personnage de Hannibal Lecter, tiré du film The Silence of the Lambs. Faisant référence au célèbre tueur fictif, il a déclaré que le monde se demande pourquoi il parle de lui, alors que c’est un personnage de fiction, avant d’ajouter: «Il ne l’est pas» , affirmant que «beaucoup d’entre eux» ont traversé la frontière.

Getty Images

Trump s’est également moqué des pays qui, selon lui, l’appelleraient pour le supplier de conclure un accord. «Je ferai n’importe quoi, Monsieur», mime le président, se moquant des autres pays du monde.

Pourtant, les principaux partenaires commerciaux et alliés des États-Unis contredisent ouvertement le discours de Donald Trump, en imposant à leur tour des mesures de rétorsion et en montrant aucun signe de vouloir plier devant ses pressions.

Getty Images

Le Canada a été le premier pays à répliquer à la guerre commerciale lancée par Donald Trump, en imposant des contre-tarifs et en affirmant que: «Le Canada continue de répondre fermement à tous les tarifs injustifiés et déraisonnables imposés par les États-Unis sur les produits canadiens».

Getty Images

Après l’imposition de tarifs de 104% par l’administration Trump sur les produits chinois, Pékin a répliqué en lançant des contre-tarifs de 84%, promettant de «se battre jusqu’au bout» dans cette escalade commerciale.

Dans un mouvement d’unité, les pays membres de l’Union européenne ont riposté en adoptant une série de mesures, dénonçant des tarifs américains qu’ils jugent injustifiés et dommageables, affirmant: «L’Union européenne considère que les tarifs américains sont injustifiés et préjudiciables, causant des dommages économiques aux deux parties, ainsi qu’à l’économie mondiale».

Quelques heures après son discours, Trump reculait pourtant, plaçant ses plus récents tarifs sur pause pour une durée de 90 jours, à l’exception de la Chine.