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Tim Cook d’Apple prévoir près de 1G$ en coûts supplémentaires liés aux tarifs de Trump

Apple a dévoilé ses résultats pour le premier trimestre 2025, avec des ventes d’iPhone atteignant de justesse les 46 milliards de dollars prévus.

Apple CEO Tim Cook said that planned US tariffs on foreign imports will add $900 million in costs in the current period

Bloomberg News (@bloomberg.com) 2025-05-01T21:35:24Z

Les ventes d’Apple ont généré plus de 95 milliards de dollars de revenus au premier trimestre 2025, dépassant légèrement les prévisions d’un peu plus de 94 milliards.

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Cependant, certains indicateurs révèlent déjà des tensions, notamment une baisse des ventes en Chine d’un milliard de dollars en dessous des projections.

Selon Forbes, les ventes d’Apple au premier trimestre dans la grande région de la Chine, actuellement au centre d’un conflit tarifaire majeur avec les États-Unis, se sont révélées inférieures aux attentes.

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Alors que les projections misaient sur 17 milliards de dollars, les ventes ont atteint seulement 16 milliards.

Le PDG Tim Cook prévoit un deuxième trimestre difficile en raison des tarifs douaniers instaurés par l’administration Trump, qui entraîneraient, selon l’entreprise, des coûts supplémentaires estimés à 900 millions de dollars.

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Rappelons que si le conflit commercial avec la Chine devait se prolonger, Apple en subirait inévitablement les conséquences, la Chine ayant représenté 17% de ses revenus en 2024.

De plus, au-delà de l’impact sur les ventes, la majorité des iPhone sont assemblés dans ce pays, ce qui accentue la vulnérabilité de l’entreprise.

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Jeff Bezos veut vendre 5G$ d’actions d’Amazon

Le fondateur d’Amazon, Jeff Bezos, a fait part de son intention de céder 25 millions de ses actions Amazon, dont la valeur actuelle avoisinerait les cinq milliards de dollars américains.

Jeff Bezos to sell up to $4.75bn in Amazon stockhttps://www.ft.com/content/bc4465d2-59ae-41fd-8b1a-8c39a9091cd4

Financial Times (@financialtimes.com) 2025-05-02T13:07:25.017Z

Conformément aux exigences légales visant à prévenir les délits d’initiés, Amazon a divulgué que les ventes prévues par Jeff Bezos s’inscrivent dans un calendrier préétabli et sont exécutées de manière automatique.

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Avec cette annonce, Bezos disposerait d’un délai d’un an pour réaliser la vente de ses 25 millions d’actions, qu’il devrait donc avoir finalisée d’ici le 29 mai 2026.

Rappelons que le milliardaire a, au cours des dernières années, déjà cédé une partie de ses actions Amazon afin de financer d’autres projets, notamment lors de l’acquisition du Washington Post.

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Il a également utilisé ses actions pour financer ses projets spatiaux avec Blue Origin, qui a récemment envoyé Katy Perry dans l’espace.

Les cinq milliards issus de cette vente pourraient maintenant servir à accélérer le développement du projet Kuiper, une initiative destinée à concurrencer Elon Musk et SpaceX, en particulier en devenant un rival de taille pour Starlink.

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Cette vente d’actions survient toutefois à un moment particulier pour Amazon, qui devra composer dans les mois à venir avec les tarifs annoncés par l’administration Trump.

L’entreprise affiche néanmoins de solides résultats pour le premier trimestre de 2025, avec une croissance de 19%.

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La Russie acheminerait ses troupes en Ukraine en Ladas, karts de golf et autobus scolaires

La Russie ferait face à une pénurie de véhicules de transport pour ses troupes en zone de combat.

Russian Troops Rolled Into Battle In A Yellow School Bus

Forbes (@forbes.com) 2025-04-30T12:53:31.805Z

Pour pallier ce manque, elle recourrait à toutes sortes de moyens inhabituels pour déplacer ses soldats, notamment des Lada, des voiturettes de golf et des autobus scolaires.

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En plus de ces moyens de transport inhabituels, on signalerait également l’utilisation de motos, de trottinettes électriques, d’une locomotive et de véhicules antiques des années 1950.

L’ensemble de ces équipements serait utilisé depuis un certain temps déjà, et certains proviendraient de sources extérieures à la Russie, notamment de Chine et du Bélarus.

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Dernier ajout à la gamme de véhicules civils réquisitionnés par les forces russes, un autobus scolaire jaune aurait récemment été repéré par un drone ukrainien.

Le véhicule, abandonné dans un champ près de la ligne de front dans l’oblast de Donetsk, à l’est de l’Ukraine, illustre l’improvisation croissante des moyens de transport russes.

Getty Images/UkrainianDefensMinistryCapture

Selon Forbes, depuis le début de l’invasion de l’Ukraine, les pertes de véhicules militaires russes seraient estimées à plus de 17 000 unités.

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Face à un inventaire au plus bas, la Russie serait contrainte de modifier des véhicules civils pour assurer le déplacement de ses troupes en zone de combat, malgré leur faible capacité à franchir des terrains préparés pour les affrontements, comme les tranchées.

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Le trône de Musk n’est pas vacant, affirme Tesla

Le conseil d’administration de Tesla a rapidement réfuté un article du Wall Street Journal, assurant qu’Elon Musk conserve la pleine confiance des investisseurs pour diriger l’entreprise et qu’aucune recherche de successeur n’est en cours.

Exclusive: About a month ago, with Tesla’s profits sinking and some investors worried about Elon Musk’s White House focus, the company’s board got serious about looking for a CEO to succeed him.

The Wall Street Journal (@wsj.com) 2025-05-01T14:00:27.400Z

C’est sur X, le réseau social du milliardaire, que les défenseurs d’Elon Musk, dont Robyn Denholm, présidente du conseil d’administration de Tesla, ont dénoncé le reportage erroné du Wall Street Journal.

Selon elle, l’affirmation selon laquelle Tesla aurait mandaté des cabinets de recrutement pour trouver un successeur à Musk est infondée.

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Sur X, Robyn Denholm affirme même que le Wall Street Journal avait été informé par le conseil d’administration que ces rumeurs étaient infondées, avant de prendre la décision de publier l’article évoquant des plans pour remplacer Elon Musk.

Rappelons que l’action de Tesla a chuté d’environ 30% depuis le début de l’année.

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Ce recul s’explique par la baisse des ventes, une concurrence grandissante, en particulier des constructeurs chinois, ainsi que par les préoccupations liées à l’implication politique controversée d’Elon Musk, qui ont clairement nui à l’image de la marque.

Elon Musk et certains membres de Tesla ont publiquement critiqué le Wall Street Journal à la suite de cette publication, le milliardaire reprochant au journal d’avoir omis d’inclure dans l’article un «déni catégorique» formulé par Tesla.

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Rappelons que le Wall Street Journal appartient depuis 2007 à News Corp, le groupe médiatique contrôlé par Rupert Murdoch, également propriétaire de Fox News.

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Musk et Zuckerberg perdent des milliards, alors que Gates et Buffett s’enrichissent, selon Forbes

Selon Forbes, les milliardaires subiraient les effets de la gestion économique de l’administration Trump de diverses manières.

The Biggest Billionaire Winners And Losers Of Trump’s First 100 Days

Forbes (@forbes.com) 2025-04-30T12:55:03.741Z

Si certains parviennent pour l’instant à tirer profit de la situation malgré les obstacles financiers liés à la guerre tarifaire lancée par le président, d’autres, y compris plusieurs présents à son investiture en janvier, auraient déjà perdu des milliards depuis son retour à la Maison-Blanche.

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Ces fluctuations marquées dans la fortune des milliardaires sont détaillées dans un article de Forbes publié à l’occasion des 100 premiers jours du second mandat de Trump à la Maison-Blanche.

Alors que les marchés ont brutalement chuté, notamment après l’annonce chaotique des tarifs le 2 avril, lors du «Liberation Day», certains milliardaires ayant soutenu publiquement Trump pourraient déjà commencer à regretter leur choix, après avoir perdu des milliards en seulement quelques semaines.

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Certains milliardaires qui ont gardé une certaine distance dans leur soutien à Trump semblent mieux s’en tirer.

C’est le cas de Bill Gates, qui, tout en exprimant des inquiétudes face aux coupes budgétaires de l’administration Trump, notamment à l’USAID, aurait vu sa fortune augmenter de 2,5 milliards depuis l’entrée en fonction du président.

Le milliardaire Warren Buffett, qui avait notamment qualifié les tarifs de Trump de véritable d’acte de guerre, a vu sa fortune grimper de près de 20 milliards.

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Pour d’autres, moins chanceux, les milliards se sont envolés en seulement quelques mois depuis le retour de Trump au Bureau ovale, alors qu’ils assistaient fièrement à son investiture il y a à peine quelques semaines.

Le PDG de Meta, Mark Zuckerberg, aurait perdu près de 22 milliards, tandis que Jeff Bezos, fondateur d’Amazon, aurait vu sa fortune diminuer d’environ 35 milliards.

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Larry Ellison, d’Oracle, aurait perdu plus de 28 milliards, tandis que Larry Page et Sergey Brin, cofondateurs de Google, auraient vu leur fortune chuter respectivement de plus de 27 et 26 milliards.

De son côté, Jensen Huang, PDG de Nvidia, aurait perdu près de 25 milliards.

Le plus grand perdant de ce début de présidence chaotique reste Elon Musk.

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Son implication directe dans les coupes budgétaires gouvernementales, qui ont déclenché d’importantes vagues de protestation, lui aurait coûté plus de 45 milliards de dollars.

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Donald Trump panique et blâme Joe Biden

Alors que les bilans des 100 premiers jours de la présidence Trump s’accumulent, en grande partie négatifs, notamment sur le plan économique, où ses tarifs ont provoqué le chaos en raison d’une mauvaise évaluation de leurs conséquences, et que l’économie s’est contractée de 0,3%, le président tente de fuir ses responsabilités.

JUST IN: The U.S. economy contracted 0.3% in the first quarter of 2025, the first negative reading since the Covid pandemic.

NBC News (@nbcnews.com) 2025-04-30T12:53:55Z

Sur Truth Social, il a de nouveau trouvé le coupable idéal à pointer du doigt, publiant un message accusant Joe Biden d’être responsable de ce désastre.

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«C’est le marché boursier de Biden, pas celui de Trump», a écrit le président sur son réseau social, accusant Joe Biden d’être à l’origine de la chute spectaculaire des marchés, y compris, semble-t-il, celle déclenchée par sa propre annonce tarifaire du 2 avril, qui a provoqué un effondrement boursier inédit depuis la Grande Dépression.

En rappelant qu’il n’a repris la présidence que le 20 janvier dernier, Trump tente de rassurer en affirmant que les tarifs «commenceront bientôt à produire leurs effets», car selon lui, les entreprises vont s’installer aux États-Unis en nombre record.

Pendant ce temps, les données du premier trimestre 2025 révèlent une baisse de 0,3% du produit intérieur brut (PIB) des États-Unis, signe de la première contraction économique depuis près de trois ans.

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Trump rejette la faute non pas sur les tarifs, mais sur Biden. Selon lui, cette première contraction économique «n’a RIEN À VOIR AVEC LES TARIFS», et serait uniquement due au fait que Biden aurait «laissé de mauvais chiffres derrière lui».

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Rappelons que sous Joe Biden, l’économie américaine post-pandémie a progressé à un rythme annuel moyen de 3,2%, contre 1,8% sous Trump, avec 16,2 millions d’emplois créés entre 2021 et 2024 (+11%).

Le chômage est passé de 6,4% à un minimum de 3,4%, puis à 4,1%, et l’inflation a reculé de 9,1% à 2,7%.

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Jeff Bezos s’attaque à Elon Musk

Le milliardaire et CEO d’Amazon, Jeff Bezos, vient de franchir une étape historique avec le lancement de ses 27 premiers satellites du projet Kuiper, d’Amazon, marquant le début d’une offensive directe contre le géant Starlink d’Elon Musk.

A batch of Amazon satellites is hitching a ride to low-Earth orbit, marking the biggest stride yet in the tech giant’s efforts to join a race to blanket the planet in connectivity beamed from space.

CNN (@cnn.com) 2025-04-29T00:51:30.984Z

Ce projet colossal vise à établir une collection de plus de 3 200 satellites en orbite terrestre basse, avec pour ambition de rivaliser dans le secteur stratégique de l’Internet mondial par satellite.

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Le fondateur d’Amazon souhaite s’imposer sur un marché jusqu’ici largement dominé par Musk et son réseau Starlink, fort de plusieurs millions d’abonnés à travers le globe.

Bien que SpaceX ait creusé un écart considérable, Amazon entend prouver qu’il est encore temps de redistribuer les cartes d’un marché en pleine explosion.

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Évalué à plus de 10 milliards de dollars, le projet Kuiper s’affirme comme une véritable déclaration de guerre économique et stratégique à l’encontre d’Elon Musk.

En positionnant ses satellites légèrement plus bas que ceux de Starlink, Jeff Bezos ambitionne d’offrir des vitesses de connexion accrues et une latence réduite, deux atouts majeurs pour conquérir de nouveaux clients.

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Pour mener à bien ce pari, Amazon a sécurisé 83 lancements de fusées auprès de plusieurs partenaires, dont United Launch Alliance, Arianespace et Blue Origin, la propre société spatiale de Bezos.

Amazon fait face à un défi de grande envergure: Elon Musk et SpaceX bénéficient d’une avance de plusieurs années en déploiement, en expérience opérationnelle et en rentabilité.

Pour tenter de déstabiliser l’empire que Musk a consolidé avec des milliers de satellites, Bezos devra miser sur l’innovation, une exécution sans faille et une politique tarifaire offensive.

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La confrontation entre Bezos et Musk pour la domination de l’Internet spatial ne fait que commencer, mais aussi les équilibres de pouvoir entre deux des milliardaires les plus puissant de notre époque.

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C’est la guerre entre Jeff Bezos et Donald Trump

Les tensions autour des tarifs ont progressivement brisé la relation fondée sur les intérêts économiques de Jeff Bezos, PDG d’Amazon, avec le président américain Donald Trump, surtout depuis le début de son second mandat.

White House accuses Amazon of "hostile and political act" after reported plan to display the additional cost of tariffs next to the price of items cnn.it/42AIysC

CNN (@cnn.com) 2025-04-29T13:55:44.619Z

Trump a accusé Jeff Bezos d’être «hostile et politique» envers son administration après l’annonce par Amazon de son intention d’afficher de manière transparente les hausses tarifaires imposées par le gouvernement Trump.

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La plateforme prévoit de détailler les montants, permettant aux consommateurs de constater directement que la hausse des prix sur leur facture Amazon est en majorité causée par les tarifs imposés par l’administration Trump.

Lorsque l’administration Trump a été interrogée sur le fait que l’initiative d’Amazon semblait démontrer que les tarifs étaient bel et bien assumés par les consommateurs américains, une affirmation répétée depuis des semaines par les démocrates et les pays visés par ces taxes, la question a visiblement provoqué la colère de la Maison-Blanche.

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La porte-parole Karoline Leavitt a réagi vivement, accusant Jeff Bezos et Amazon d’être hostiles et de mener une manœuvre politique: «Il s’agit d’un acte hostile et politique de la part d’Amazon».

Affirmant sortir d’un appel téléphonique avec le président à ce sujet, Karoline Leavitt a déclaré que l’administration s’interrogeait sur les motivations d’Amazon derrière cette initiative.

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Elle a ajouté que cela n’était guère surprenant, s’appuyant sur un article de Reuters pour appuyer ses propos.

Bien que l’administration Trump accuse fréquemment Reuters et d’autres médias de propager de fausses informations, elle s’est cette fois réjouie de pouvoir citer un article de 2021 affirmant qu’Amazon s’était associé à un organe de propagande chinois.

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Une publication incendiaire de Trump pour tenter d’influencer l’élection au Canada

Après plusieurs semaines de silence, Donald Trump est revenu à l’attaque contre le Canada en publiant, le jour même de l’élection fédérale, un message percutant sur Truth Social, attaquant à nouveau le pays et appelant à l’élection de l’homme qui le transformerait, tout en insinuant que le Canada deviendrait le 51e État des États-Unis.

«Élisez l’homme qui a la force et la sagesse de réduire vos impôts de moitié, d’augmenter votre puissance militaire, gratuitement, au plus haut niveau mondial, de faire quadrupler votre voiture, votre acier, votre aluminium, votre bois, votre énergie et toutes les autres entreprises, SANS TARIFS NI TAXES, si le Canada devient le 51e chéri». «Elect the man who has the strength and wisdom to cut your taxes in half, increase your military power, for free, to the highest level in the World, have your Car, Steel, Aluminum, Lumber, Energy, and all other businesses, QUADRUPLE in size, WITH ZERO TARIFFS OR TAXES, if Canada becomes the cherished 51st».

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Bien que Trump ne désigne aucun candidat directement, son message suggérant de voter pour lui est perçu par plusieurs comme une tentative manifeste d’ingérence destinée à influencer l’issue d’une élection démocratique au Canada.

Cette nouvelle sortie survient après plusieurs mois durant lesquels Donald Trump avait multiplié les menaces à l’égard du Canada, ébranlant profondément l’opinion publique en affirmant que le pays deviendrait le 51ᵉ État américain et en suggérant que Justin Trudeau, alors premier ministre, serait relégué au rôle de gouverneur du Canada.

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La vague de choc avait déjà provoqué une chute spectaculaire du Parti conservateur de Pierre Poilievre, autrefois en tête des sondages, mais désormais largement distancé en raison de son alignement direct sur les positions politiques de Donald Trump.

Marc Carney, le nouveau chef du Parti libéral succédant à Justin Trudeau, a profité de ce revirement pour prendre une avance considérable dans les sondages.

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L’intervention de Trump, publiée le jour même du scrutin, est dénoncée comme une tentative d’ingérence étrangère directe dans le processus démocratique canadien.

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Trump trouve «plus difficile que prévu» de finir la guerre en Ukraine

Alors que Trump avait promis de mettre fin à la guerre en Ukraine dès son premier jour à la présidence, les semaines se sont écoulées sans qu’aucune issue claire ne se dessine.

Five days before his 100th day in office, President Trump is frustrated his efforts to broker a peace deal between Russia and Ukraine have so far fallen short, and has privately told advisers that mediating a deal has been more difficult than he anticipated, sources told CNN.

CNN (@cnn.com) 2025-04-24T23:54:21.589Z

Selon une source de CNN, la frustration commencerait à se faire sentir chez le président, qui admettrait désormais en privé qu’un accord de paix en Ukraine «a été plus difficile que prévu» «has been more difficult than he anticipated».

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Lors de discussions privées, Trump exprimerait sa frustration et reconnaîtrait avoir sous-estimé la profondeur de l’animosité entre Poutine et Zelensky, ce qui, selon lui, expliquerait la lenteur des négociations.

Trump se montrerait étonné du refus de l’Ukraine face au plan de paix proposé par son administration, un plan qui ne prévoit aucune concession de la part de la Russie, tout en exigeant que Kyiv renonce aux territoires occupés ainsi qu’à son projet d’adhésion à l’OTAN.

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Pendant ce temps, les bombardements russes se poursuivent, dont une frappe récente sur Kyiv qui a poussé Trump à publier sur TruthSocial: «Très mauvais timing» «Very bad timing», avant d’ajouter: «Vladimir, Stop!».

Récemment interrogé par un journaliste au sujet des concessions accordées par Poutine, laissant entendre que le plan de Trump favorisait la Russie, Trump a répondu que la véritable concession de Poutine était de «mettre fin à la guerre» «Stopping the war» et de ne pas s’emparer de l’Ukraine dans son intégralité.

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Rapellons que depuis le lancement des efforts de médiation par le président Trump, le président ukrainien Volodymyr Zelensky s’est montré disposé à envisager un accord de paix, à condition que la souveraineté de l’Ukraine soit respectée.

Cependant, la Russie a répondu de manière évasive, rejetant plusieurs propositions américaines et continuant ses attaques, notamment sur Kyiv, ce qui complique les négociations.