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«Silence»: Trump s’emporte (encore) contre un journaliste

Alors que Donald Trump quittait la Maison-Blanche pour une visite d’État au Royaume-Uni, une interaction tendue avec le journaliste John Lyons de l’ABC a attiré l’attention, marquant une fois de plus sa relation conflictuelle avec les médias.

Trump lashed out at a reporter who asked him whether it was “appropriate” that the president is enriching himself while in office.

The Daily Beast (@thedailybeast.bsky.social) 2025-09-16T15:07:06.604397Z

Peu avant de monter à bord de Marine One pour son voyage officiel vers le Royaume-Uni, Donald Trump a été interpellé par des journalistes dans l’allée de la Maison-Blanche.

«Silence»

-Donald Trump

Depuis son retour à la présidence

Parmi eux se trouvait John Lyons, chef du bureau Amériques de l’Australian Broadcasting Corporation (ABC), qui préparait un reportage pour l’émission Four Corners. Lyons a posé une question à Trump concernant l’évolution de sa richesse depuis qu’il est revenu à la présidence en janvier 2025.

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«Si notre rôle en tant que journalistes est de demander des comptes aux puissants, alors il devrait être parfaitement acceptable de poser des questions légitimes, poliment, au président des États-Unis.»

La réponse de Trump a été rapide et incisive. Le ton est monté lorsqu’il a accusé le journaliste de nuire aux relations entre les États-Unis et l’Australie. Trump a affirmé que la question était malvenue et a prévenu que cela pourrait avoir des répercussions diplomatiques, notamment dans le contexte de la visite à venir entre lui et le Premier ministre australien Anthony Albanese.

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Puis, dans un geste brusque, il a lancé «silence» au journaliste, lui ordonnant de se taire, avant de poursuivre vers son hélicoptère pour le départ.

Le rôle d’un journaliste

John Lyons, chef du bureau Amériques de l’ABC, a défendu sa démarche après l’échange tendu.

Il a expliqué: «Si notre rôle en tant que journalistes est de demander des comptes aux puissants, alors il devrait être parfaitement acceptable de poser des questions légitimes, poliment, au président des États-Unis.»

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Il a ajouté: «Pour moi, c’était une chose tout à fait normale de poser des questions que je ne considère pas comme provocatrices. Je pense qu’elles sont justes, basées sur des recherches. Elles n’ont pas été posées de manière agressive.»

Du côté australien, cette scène a suscité des réactions de soutien à la presse. Plusieurs responsables politiques et médias ont dénoncé l’attitude de Trump comme une tentative d’intimidation, voire une atteinte à la liberté de la presse.

La liberté d’expression

Rappelons que Donald Trump est dans l’eau chaude alors que la suspension de Jimmy Kimmel par ABC provoque une vive indignation. Le talk-show a été retiré de l’antenne après des propos de l’animateur critiquant la gestion par l’administration Trump de l’assassinat de l’activiste de droite Charlie Kirk. La décision a immédiatement été interprétée comme une atteinte à la liberté d’expression, alimentée par les attaques publiques du président et les pressions du président de la FCC, Brendan Carr.

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Dans le paysage médiatique, la réaction a été immédiate. Stephen Colbert, Jon Stewart et Seth Meyers ont dénoncé ce qu’ils considèrent comme une censure directe, soulignant que sanctionner un animateur pour ses critiques gouvernementales crée un précédent dangereux. Plusieurs élus démocrates, mais aussi certains républicains, ont exprimé leurs inquiétudes, estimant que l’État ne devrait pas peser sur la programmation des chaînes de télévision.

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Au-delà du cas Kimmel, l’affaire ravive le débat sur la relation fragile entre pouvoir exécutif et médias aux États-Unis. Combinée aux injonctions de Trump demandant aux journalistes de rester «silencieux», elle est perçue par beaucoup comme une tentative de réduire au silence les voix dissidentes, une démarche qui, selon eux, met en péril le principe constitutionnel de la liberté de la presse.

In @nytopinion.nytimes.comThe silencing of Jimmy Kimmel, following an explicit threat by Brendan Carr, the head of ABC’s regulator, the F.C.C., “is the mask of ‘free speech’ coming off for good,” Michael Hirschorn writes.

The New York Times (@nytimes.com) 2025-09-19T17:30:04.577824Z
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Un autre fiasco pour Zuckerberg et Meta

Une présentation des capacités de ses nouvelles lunettes «intelligentes» est rapidement virée au cauchemar pour le PDG de Meta, Mark Zuckerberg, lors de la conférence Meta Connect ayant lieu le 17 septembre dernier.

Meta spent billions on AI-powered smart glasses so that its CEO could be humiliated onstage not once, but twice, by the tech's dismal failures.

The Daily Beast (@thedailybeast.bsky.social) 2025-09-18T13:47:03.925871Z

Le PDG de Meta a vécu un moment embarrassant lors de la conférence annuelle Meta Connect.

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Alors qu’il présentait les nouvelles lunettes «intelligentes» «smart» assistées par intelligence artificielle, la démonstration a tourné au cauchemar.

«Je pense qu’à l’avenir, si vous n’avez pas de lunettes dotées d’IA, ou un moyen d’interagir avec l’IA, je pense que vous serez probablement également désavantagé sur le plan cognitif par rapport aux autres.»

Un moment embarrassant

L’appareil, censé guider un chef invité dans la préparation d’une sauce «d’inspiration coréenne», a multiplié les erreurs, donnant des instructions incohérentes. Le cuisinier a dû répéter plusieurs fois ses questions, sans succès.

Zuckerberg a ensuite tenté de montrer un appel vidéo via les lunettes et un bracelet neural, mais la connexion a échoué, l’obligeant à des gestes maladroits sur scène.

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Pour expliquer ces déboires, Meta a évoqué une mauvaise connexion Wi-Fi. Zuckerberg a tenté de détendre l’atmosphère en plaisantant, tandis que le CTO Andrew Bosworth a promis de vérifier l’origine des problèmes.

Cet incident, largement moqué sur les réseaux sociaux, souligne les défis persistants de Meta dans sa course à l’IA et met en lumière la fragilité de technologies encore loin d’être infaillibles.

Un désavantage cognitif important?

Mark Zuckerberg a récemment déclaré, selon CNN, que les personnes qui ne porteront pas de lunettes intelligentes intégrant l’intelligence artificielle pourraient, dans un avenir proche, se retrouver en situation de «désavantage cognitif important»: «Je pense qu’à l’avenir, si vous n’avez pas de lunettes dotées d’IA, ou un moyen d’interagir avec l’IA, je pense que vous serez probablement également désavantagé sur le plan cognitif par rapport aux autres.»

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Selon lui, ces appareils deviendront la passerelle idéale entre le monde physique et le numérique, capables de voir, d’entendre et de raisonner aux côtés de leur utilisateur.

La démonstration aux nombreuses ratés techniques offre Un contraste saisissant entre la promesse d’un futur «indispensable» et la réalité encore fragile de la technologie, qui place Meta dans une position inconfortable.

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Zuckerberg travaille sur ses lunettes connectées depuis la fin des années 2017, avec un premier modèle lancé en 2021 et une ambition affichée depuis plus de 7 ans d’en faire l’appareil incontournable de l’IA.

Mais si Zuckerberg voulait prouver que les lunettes «intelligentes» seront bientôt indispensables… pour l’instant, elles lui ont surtout prouvé qu’elles pouvaient le mettre dans l’embarras.

Meta CEO Mark Zuckerberg has told analysts that people without smart glasses may one day be at a "significant cognitive disadvantage" compared to those who do use the tech: https://cnn.it/47L2Y5a

CNN (@cnn.com) 2025-09-15T12:00:32.858914716Z
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Kimmel suspendu: Trump jubile

Dans la foulée de l’annonce choc de la mise à l’arrêt du talk-show de Jimmy Kimmel, Donald Trump s’est précipité sur Truth Social pour s’extasier de la nouvelle.

The late-night host’s show is suddenly off the air after years of complaints.

The Daily Beast (@thedailybeast.bsky.social) 2025-09-18T02:31:06.315817Z

Trump ne voit pas dans l’annulation de Jimmy Kimmel une conséquence de ses attaques contre Charlie Kirk, mais une victoire personnelle pour faire taire un adversaire, qu’il a mise en scène dans un véritable «tour d’honneur» sur Truth Social.

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«Excellente nouvelle pour l’Amérique», a lancé Donald Trump en ouverture de son message, avant d’ajouter:

«L’émission de Jimmy Kimmel, en difficulté d’audience, est ANNULÉE.»

Colbert avait ouvert la voie avant Kimmel

Trump enchaîne en affirmant que «Kimmel n’a AUCUN talent, et des audiences pires que celles de Colbert, si c’est possible», une pique lancée en référence à l’annulation du talk-show de Stephen Colbert quelques semaines plus tôt, qu’il avait déjà célébrée sur Truth Social.

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«J’adore le licenciement de Colbert. Son talent était encore inférieur à son audience. J’ai entendu dire que Jimmy Kimmel serait le suivant. Il a encore moins de talent que Colbert!»

Jimmy Kimmel a vu son émission Jimmy Kimmel Live! suspendue indéfiniment par ABC le 17 septembre dernier. Cette décision fait suite à des propos controversés qu’il a tenus lors de ses monologues concernant la mort de l’activiste conservateur Charlie Kirk. Il avait notamment accusé certains membres du mouvement MAGA de profiter politiquement de cet assassinat, affirmations rejetées par les autorités comme inexactes.

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Les médias sous pression

Selon diverses sources médiatiques, ABC s’est retrouvé sous pression, plusieurs de ses affiliés, notamment Nexstar, ayant refusé de programmer l’émission, estimant que les déclarations étaient «offensantes et insensibles». Brendan Carr, président de la FCC, a de surcroît menacé le réseau de sanctions en cas d’inaction.

«Les commentaires de M. Kimmel sur la mort de M. Kirk sont offensants et insensibles à un moment critique de notre discours politique national», a déclaré Andrew Alford, président de la division Broadcasting de Nexstar.

«Il ne reste plus que Jimmy et Seth, deux ratés, sur Fake News NBC. Leurs audiences sont également exécrables. Allez, NBC!»

Ses prochaines cibles

En plus de se réjouir de la nouvelle sur Truth Social, Trump a désigné Seth Meyers et Jimmy Fallon comme ses prochaines cibles, montrant ainsi que les propos jugés offensants de Kimmel n’étaient pas la véritable raison de cette annulation.

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«Il ne reste plus que Jimmy et Seth, deux ratés, sur Fake News NBC. Leurs audiences sont également exécrables. Allez, NBC!», a écrit Trump, exigeant que ces animateurs subissent le même sort que Colbert et Kimmel.

«Punir un artiste pour ses opinions est incompatible avec une démocratie libre.»

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De nombreuses personnalités ont exprimé leur indignation suite à la suspension indéfinie de Jimmy Kimmel Live! par ABC.

Dangereux pour la liberté d’expression

L’ancien président Barack Obama a dénoncé une dérive inquiétante:

«Ce type de coercition gouvernementale est précisément ce que le Premier Amendement vise à empêcher.»

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L’acteur Ben Stiller a vivement réagi:

«C’est injuste et dangereux pour notre liberté d’expression.»

L’actrice Sophia Bush a ajouté sur X:

«La liberté d’expression est menacée.»

Enfin, Rosie O’Donnell, dont la guerre avec l’ancien président est bien documentée, a exprimé son indignation:

«C’est de la censure.»

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Le SAG-AFTRA (syndicat des acteurs) a publié un communiqué:

«Punir un artiste pour ses opinions est incompatible avec une démocratie libre.»

Disney's ABC is taking Jimmy Kimmel's late-night talk show off the air indefinitely amid a controversy over his recent comments about Charlie Kirk's suspected killer.Read more: https://cnn.it/46HBPyT

CNN (@cnn.com) 2025-09-18T00:55:32.739875002Z
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La réaction de Trump devant Kate fait le tour du monde

La seconde visite royale de Trump au Royaume-Uni a pris une tournure inattendue.

The president told the Princess of Wales that she was “so beautiful” the moment he stepped off his helicopter.

The Daily Beast (@thedailybeast.bsky.social) 2025-09-17T17:14:02.889802Z

Si la famille royale lui a déroulé le tapis rouge sous toutes ses formes, c’est pourtant sa réaction face à sa rencontre avec la princesse Kate Middleton, qui l’accueillait aux côtés du prince William, qui a retenu toute l’attention.

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«Tu es belle, si belle»

Une seconde visite d’État historique

Accompagné de son épouse Melania, lors d’une rare sortie publique, Donald Trump effectue une visite d’État historique de deux jours.

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Cette invitation, remise en personne par le premier ministre britannique au nom du roi, avait été qualifiée de «vraiment spéciale, jamais vue» et «sans précédent».

Sitôt descendu de l’hélicoptère, Trump a salué le prince William puis complimenté Kate Middleton, des propos aussitôt qualifiés de maladroits, qui ont fait réagir massivement sur les réseaux sociaux.

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En lui serrant la main, Trump aurait lancé à la princesse de Galles:

«Tu es belle, si belle.»

Un rôle central

Lors de cette visite d’État historique, Kate Middleton a joué un rôle central aux côtés de la famille royale. Elle a accueilli Donald et Melania Trump à leur arrivée à Windsor, aux côtés du prince William, avant de participer à la procession en carrosse et aux cérémonies officielles.

Kate Middleton doit également partager un moment officiel avec Melania Trump dans le cadre de cette visite d’État.

Leur apparition conjointe est prévue à Frogmore Gardens, lors d’un événement avec les Scouts et le programme «Squirrels».

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Cette activité, inscrite au programme de la visite, mettra en avant l’éducation et l’engagement communautaire, et sera l’une des rares occasions où la princesse de Galles et la Première dame des États-Unis apparaîtront côte à côte dans un cadre public.

Un accueil en grande pompe

Après l’échange remarqué avec Kate Middleton, Donald Trump a été accueilli en grande pompe à Windsor par le roi Charles III et la reine Camilla, accompagnés du prince William.

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Une cérémonie solennelle a suivi: salut royal, inspection de la garde, puis un trajet en carrosse sur le domaine. Le président et la Première dame Melania ont participé à une exposition de la Royal Collection dans la Green Drawing Room, puis se sont rendus à la chapelle Saint-Georges pour déposer une gerbe sur la tombe de la reine Elizabeth II.

La première journée s’est terminée par un déjeuner officiel, des entretiens diplomatiques et un banquet d’État en soirée. Mais l’atmosphère est restée tendue en raison d’un autre fait marquant: le déploiement d’une immense banderole représentant Trump aux côtés d’Epstein près du château, ainsi que des projections d’images sur les murs mêmes de Windsor, rappelant leurs liens controversés.

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Ces actions spectaculaires ont conduit à l’arrestation de quatre personnes.

President Trump gushes over ‘so beautiful’ Kate Middleton in touching exchange during state visit with royals

New York Post (@nypost.com) 2025-09-17T15:00:45.633Z
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«Divorce national»: Une séparation des USA?

Dans une Amérique secouée par l’assassinat de Charlie Kirk et traversée par une polarisation politique extrême, la députée républicaine Marjorie Taylor Greene a remis sur la table une idée incendiaire: un «divorce national».

MTG made it clear that she wants nothing to do with the left, but prays for them.

The Daily Beast (@thedailybeast.bsky.social) 2025-09-15T18:52:37.858264Z

L’assassinat de Charlie Kirk, figure médiatique conservatrice, a provoqué un véritable séisme dans la politique américaine.

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Ce drame perpétré lors d’un rassemblement universitaire, a renforcé les divisions politiques déjà béantes entre républicains et démocrates.

Il n’y a plus rien à discuter avec la gauche… Pour être honnête, je veux un divorce national pacifique.

-Marjorie Taylor Greene

C’est dans ce climat de deuil et de colère, où la polarisation atteint un point critique, que la représentante républicaine controversée Marjorie Taylor Greene voit une seule issue: un divorce national.

En évoquant le cas de Charlie Kirk, elle a voulu démontrer que, selon elle, cette démarche est la seule solution envisageable.

En prônant une séparation entre États rouges et États bleus, Marjorie Taylor Greene réactive le spectre d’une fracture nationale.

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Ses propos, jugés provocateurs et dangereux par nombre d’élus, résonnent pourtant auprès d’une partie de la base conservatrice, galvanisée par un climat de tension inédit après l’assassinat de l’un de ses héros.

La députée reprend son idée

C’est dans ce contexte que Marjorie Taylor Greene, élue républicaine de Géorgie, a ravivé un concept qu’elle martèle depuis plusieurs années. Elle présente cette rupture comme la seule issue à une cohabitation devenue, selon elle, impossible entre États républicains et démocrates.

En 2023, Greene avait déjà écrit:

«Nous avons besoin d’un divorce national. Nous devons séparer les États républicains des États démocrates et réduire le gouvernement fédéral. Tous ceux à qui je parle le disent.»

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Ces propos trouvent aujourd’hui une résonance particulière dans l’émotion suscitée par la mort de Kirk et dans la colère d’une partie de la droite américaine.

«Ils ont assassiné notre gentil garçon qui leur parlait pacifiquement et débattait d’idées.»

Un divorce national pacifique?

Sans détour, elle a déclaré:

«Il n’y a plus rien à discuter avec la gauche… Pour être honnête, je veux un divorce national pacifique.»

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En évoquant le cas de Charlie Kirk, elle a voulu démontrer que, selon elle, cette démarche est la seule solution envisageable:

«Ils ont assassiné notre gentil garçon qui leur parlait pacifiquement et débattait d’idées.»

Les réactions politiques

Si Taylor Greene affirme que «Tout le monde à qui je parle dit ça», la réalité est différente: la plupart des responsables républicains refusent d’endosser l’idée d’un «divorce national».

Les rares appuis proviennent surtout d’influenceurs et de commentateurs conservateurs, sans véritable traduction institutionnelle.

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«Cette rhétorique est destructrice, erronée et, honnêtement, diabolique. Nous n’avons pas besoin de divorcer, nous avons besoin d’une thérapie de couple.»

Sa déclaration a néanmoins suscité une vague de critiques. Des républicains modérés comme Mitt Romney, Liz Cheney ou encore le gouverneur de l’Utah Spencer Cox, qui, dès 2023, avait fustigé la rhétorique «destructive» et dangereuse de Taylor Greene:

«Cette rhétorique est destructrice, erronée et, honnêtement, diabolique. Nous n’avons pas besoin de divorcer, nous avons besoin d’une thérapie de couple.»

Après l’assassinat de Charlie Kirk en Utah, le gouverneur Spencer Cox a renouvelé son appel à l’unité, invitant les Américains à emprunter une «autre voie» pour dépasser la haine politique, à trouver une «sortie de route» pour sortir de l’hostilité croissante, et a dénoncé le rôle toxique des réseaux sociaux, qu’il a qualifiés de «cancer de notre société».

Une autre solution

«Il nous faut trouver une autre solution. Nous devons trouver une issue à cette hostilité croissante», a déclaré Cox dans ses nombreuses interventions depuis l’assassinat de Kirk, en insistant également sur l’effet dévastateur des réseaux sociaux dans la diffusion de la haine:

«Les réseaux sociaux sont devenus, à bien des égards, un cancer pour notre société.»

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L’assassinat de Charlie Kirk accentue l’image d’une Amérique enfermée dans une guerre culturelle sans fin.

Dans ce climat où la droite radicalise son discours et où la gauche dénonce une instrumentalisation cynique, la proposition de Marjorie Taylor Greene d’un «divorce national» apparaît comme le prolongement extrême de ces fractures, nourrie par une atmosphère de deuil, de colère et de méfiance généralisée.

Utah Governor Spencer Cox calls on Americans to "choose a different path" amid political violence.

Politico (@politico.com) 2025-09-12T18:36:42.151Z
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Trump se fait moquer de lui en Angleterre

Donald Trump est arrivé au Royaume-Uni pour une deuxième visite exceptionnelle d’un chef d’État, accueilli avec tous les honneurs par le roi Charles et Camilla, aux côtés de son épouse, Melania.

Protesters in Britain projected images of President Trump and Jeffrey Epstein onto Windsor Castle on Tuesday night before the president arrived for a state visit. More protests are planned for Wednesday. Follow live updates on Trump's state visit: nyti.ms/3VTtyBH

The New York Times (@nytimes.com) 2025-09-17T11:46:30.377079Z

Depuis son arrivée hier au Royaume-Uni, Donald Trump a reçu un accueil royal orchestré par Charles III et Camilla.

Trump accueilli en grande pompe par Charles III

À Windsor, une cérémonie solennelle l’a honoré: hymne national, salut officiel, inspection de la garde et escorte militaire.

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Le roi a partagé un carrosse avec Trump, tandis que Camilla accompagnait Melania. Après un déjeuner officiel, une exposition sur les liens américano-britanniques a été présentée. Enfin, Trump a déposé une gerbe sur la tombe d’Elizabeth II dans la chapelle Saint-George, scellant un accueil empreint de prestige et de symboles diplomatiques.

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Mais le spectre du scandale lié à sa relation passée avec Jeffrey Epstein l’a rattrapé jusqu’au château de Windsor, alors que des photos compromettantes de lui avec Epstein refaisaient surface un peu partout.

«Bienvenue au Royaume-Uni, Donald.»

Trump n’y échappe pas: partout dans la ville de Windsor, des boutiques de souvenirs aux terrains proches du château, jusque sur les images projetées directement sur ses murs, il est pris pour cible.

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Le collectif britannique «Everyone Hates Elon» s’est employé à tourner en dérision sa seconde visite officielle auprès de la royauté.

«Nous en avons assez de l’influence des États-Unis sur le Royaume-Uni, qu’il s’agisse de milliardaires comme Elon Musk ou de soutiens fortunés comme Donald Trump.»

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«Une relation spéciale»

Parmi les actions menées par le groupe figuraient des assiettes décoratives représentant Trump aux côtés d’Epstein, accompagnées de l’inscription «une relation spéciale», ainsi qu’un jouet pour chien à l’effigie du président américain vendu dans une boutique locale.

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Un camion équipé d’un écran géant diffusant une photo de Trump aux côtés d’Epstein, prise à Mar-a-Lago en 1997, a également circulé dans les rues de Windsor avec le message «Bienvenue au Royaume-Uni, Donald.»

Une immense affiche montrant Trump et Epstein a également été déployée sur un terrain proche du château de Windsor, tandis qu’une projection géante de leur photo illuminait les murs mêmes du château.

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L’influence des États-Unis

Un porte-parole du collectif «Everyone Hates Elon» a d’ailleurs commenté leurs actions, rapporté par The Daily Beast.

Il a déclaré:

«Nous en avons assez de l’influence des États-Unis sur le Royaume-Uni, qu’il s’agisse de milliardaires comme Elon Musk ou de soutiens fortunés comme Donald Trump.»

Les autorités ont arrêté quatre personnes après la projection de l’image gênante de Trump sur le château de Windsor.

Sa première visite à Windsor en 2018

Lors de sa première visite à Windsor en 2018, Donald Trump avait été reçu par la reine Elizabeth II dans le cadre d’une rencontre officielle très médiatisée.

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Après une cérémonie militaire et l’hymne national, il avait inspecté la garde d’honneur aux côtés de la souveraine. Mais la visite avait suscité de nombreuses critiques au Royaume-Uni: manifestations massives à Londres, ballons satiriques le caricaturant en «baby Trump» et polémiques sur son attitude jugée irrespectueuse envers la reine, notamment lorsqu’il avait marché devant elle. Cet épisode avait marqué une étape controversée dans les relations américano-britanniques.

Trump’s state visit to Britain was crashed by pictures of the president with friend Jeffrey Epstein.

The Daily Beast (@thedailybeast.bsky.social) 2025-09-17T13:31:06.870666Z
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Vengeance pour Charlie Kirk, promet le VP des USA

Le vice-président JD Vance a pris les rênes d’une édition spéciale de The Charlie Kirk Show, en hommage à «son ami» assassiné quelques jours plus tôt lors d’un événement sur un campus universitaire de l’Utah.

JD Vance backs mass ‘doxing’ campaign to find and harass Charlie Kirk critics

The Guardian (@theguardian.com) 2025-09-16T12:12:04Z

Dans le podcast, JD Vance commence en promettant de faire la lumière sur la mort de Kirk, qu’il attribue à un «mouvement d’extrémisme de gauche incroyablement destructeur.»

«Appelez leur employeur»

Vance enchaîne ensuite en exhortant ses partisans, au nom de la «civilité», à dénoncer auprès des employeurs tous ceux qui ont célébré l’assassinat de Kirk, afin qu’ils puissent être congédiés.

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Le vice-président appelle chacun à agir: si quelqu’un voit une personne célébrer le meurtre de Charlie, il faut «Appeler leur employeur.»

«Nous ne croyons pas à la violence politique, mais nous croyons à la civilité, et il n’y a aucune civilité dans la célébration d’un assassinat politique.»

«Au nom de Charlie»

Lors de cette édition spéciale du podcast de Charlie Kirk, JD Vance avait plusieurs invités, parmi lesquels le secrétaire à la Santé et aux Services sociaux Robert F. Kennedy Jr., la cheffe de cabinet de la Maison‑Blanche Susie Wiles, la secrétaire de presse Karoline Leavitt, ainsi que le chef adjoint de cabinet Stephen Miller.

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Ce dernier promet, «Au nom de Charlie», d’«identifier, perturber, démanteler et détruire ces réseaux», en faisant référence à deux organisations citées par JD Vance: les Open Society Foundations et la Ford Foundation, qu’il accuse d’avoir soutenu financièrement un article publié dans le magazine The Nation, intitulé «L’héritage de Charlie Kirk ne mérite pas qu’on le pleure».

Tout l’arsenal du gouvernement

Les deux fondations ont catégoriquement nié soutenir financièrement The Nation.

«J’ai demandé à Pam d’examiner cette question en termes de RICO, en portant des affaires RICO.»

Miller continue ses propos en garantissant que «toutes les ressources dont nous disposons au ministère de la Justice, à la Sécurité intérieure et à travers ce gouvernement» seront mobilisées pour cette offensive.

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Dans la foulée de l’assassinat de Charlie Kirk, Donald Trump et ses conseillers préparent une offensive contre les groupes de gauche radicale.

Trump a tout récemment annoncé, selon CNN, qu’il envisageait de désigner Antifa comme organisation terroriste nationale, affirmant avoir demandé à la procureure générale des États-Unis, Pam Bondi, d’examiner la possibilité de porter des accusations en vertu de la loi RICO:

«J’ai demandé à Pam d’examiner cette question en termes de RICO, en portant des affaires RICO.»

It wasn’t clear who or what exactly Trump would designate; Antifa is a loosely organized movement without a distinct leader, membership lists or structure.

CNN (@cnn.com) 2025-09-16T10:30:05.639283226Z
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La Russie viole encore le ciel d’un pays de l’OTAN

Quelques jours après que le président des États-Unis a minimisé la violation de l’espace aérien polonais du 10 septembre en la qualifiant d’«erreur», un nouvel épisode est survenu.

Un drone russe a cette fois survolé l’espace aérien roumain pendant près d’une heure.

Romania reported that a Russian drone had flown through its airspace on Saturday. The incident came days after Russian drones entered Poland’s airspace.

The New York Times (@nytimes.com) 2025-09-14T15:35:05.851597Z

Le deuxième incident s’est produit le 14 septembre dans l’espace aérien roumain. Deux F-16 ont alors suivi de près l’appareil pendant un total de 50 minutes, selon les autorités.

Une attaque russe en Ukraine

Selon le ministère de la Défense, ces chasseurs surveillaient une attaque russe en Ukraine et ont pu suivre le drone lorsqu’il a franchi la frontière sud pour pénétrer en Roumanie.

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Rappelons que dans la nuit du 10 septembre, une flotte de 19 à 23 drones russes a pénétré l’espace aérien polonais, certains s’enfonçant jusqu’à 300 km à l’intérieur du territoire. Une interception a été lancée, plusieurs drones ont été abattus, et le Premier ministre Donald Tusk a affirmé qu’ils constituaient une menace directe.

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«Nous souhaiterions également que l’attaque de drones contre la Pologne soit une erreur. Mais ce n’en est pas une. Et nous le savons.»

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Interrogé par des journalistes, Donald Trump a réagi en affirmant que l’incursion pouvait être «une erreur», tout en ajoutant qu’il n’était pas satisfait de la situation.

https://twitter.com/atrupar/status/1966248958415470804?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1966248958415470804%7Ctwgr%5E6348d141e8f6eabe8528fceecbd566aa01e6ca25%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fnotesfrompoland.com%2F2025%2F09%2F12%2Fpoland-rejects-trump-claim-that-russian-drone-incursions-could-have-been-a-mistake%2F

Ces propos ont suscité la réaction du Premier ministre polonais Donald Tusk, qui a répondu: «Nous souhaiterions également que l’attaque de drones contre la Pologne soit une erreur. Mais ce n’en est pas une. Et nous le savons.»

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La réaction de l’OTAN

À la suite de cette violation délibérée de l’espace aérien de l’OTAN, l’alliance a réagi rapidement. Elle a annoncé le lancement de l’opération Eastern Sentry, destinée à renforcer la défense aérienne sur son flanc Est.

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OpenAI veut sa flotte d’humanoïdes intelligents

Selon Wired, OpenAI serait passé à un nouveau cap dans la course aux robots intelligents en recrutant activement des experts en robotique.

The company behind ChatGPT is putting together a team capable of developing algorithms to control robots and appears to be hiring roboticists who work specifically on humanoids. www.wired.com/story/openai…

WIRED (@wired.com) 2025-09-15T10:03:10.154Z

De nouveaux objectifs

Cela suggère que l’entreprise se tourne désormais vers la conception de robots complets et autonomes.

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Selon Wired, l’expert en robotique Chengshu Li, qui a collaboré avec Stanford, DeepMind, NVIDIA et Google Brain Robotics, a intégré l’équipe d’OpenAI

Open AI ne se limiterait donc plus uniquement au développement logiciel, contrairement à ce qui était supposé depuis plusieurs mois.

Selon Wired, l’expert en robotique Chengshu Li, qui a collaboré avec Stanford, DeepMind, NVIDIA et Google Brain Robotics, a intégré l’équipe d’OpenAI en juin 2025 après avoir mené des recherches sur l’évaluation des capacités des robots humanoïdes dans l’exécution de différentes tâches domestiques.

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Des profils spécifiques

Rappelons qu’en janvier 2025, des offres d’emploi révélaient qu’OpenAI prévoyait de développer du matériel robotique en recrutant des experts en capteurs, actionneurs et plates-formes, ce qui montrait que l’entreprise ne comptait plus se limiter à la partie logicielle.

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Les récentes offres d’emploi d’OpenAI ciblent des profils dotés de compétences en ingénierie mécanique, en fabrication et en prototypage, ainsi qu’en conception de systèmes robotiques intégrant des capteurs de mouvement et de toucher, avec éventuellement une expérience en production à grande échelle.

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Un jeune suspect de fusillade dans un lycée du Colorado aurait été «radicalisé par des médias extrémistes»

Un jeune âgé de 16 ans a été identifié comme le principal suspect de la fusillade à l’Evergreen High School de Denver, Colorado, survenue le même jour que l’assassinat très médiatisé de Charlie Kirk.

Officials have identified the 16-year-old suspect who opened fire at a Denver-area high school, saying he was "radicalized by some extreme network."

CNN (@cnn.com) 2025-09-11T22:57:01.658275271Z

Selon les autorités, il aurait été «radicalisé» , un des seuls élément mis en avant lors du point de presse.

Moins d’une heure après l’assassinat de Charlie Kirk

La fusillade, survenue moins d’une heure après que l’activiste conservateur Charlie Kirk a été abattu lors d’un événement à l’Utah Valley University, a grièvement blessé deux élèves de l’Evergreen High School.

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Les autorités ont fourni peu d’informations sur le suspect, indiquant seulement qu’il s’agissait d’un étudiant de 16 ans arrivé à l’école ce jour-là par autobus scolaire, et qui est décédé d’une blessure par balle qu’il s’était infligée après les événements.

UPDATE: Social media accounts that appear to be connected to the Evergreen High School shooting suspect are littered with references to mass shootings and antisemitic views, The Denver Post found.

The Denver Post (@denverpost.com) 2025-09-12T01:15:22.659457Z

Mais, parmi les éléments communiqués par Jacki Kelley, la porte-parole du bureau du shérif du comté de Jefferson, figure l’affirmation que le suspect aurait été «radicalisé par des médias extrémistes.»

Elle a toutefois précisé que davantage de détails seraient fournis «ultérieurement», ce qui a laissé place à de nombreuses spéculations.

Les réseaux sociaux

D’après des investigations du Denver Post et du Colorado Sun, les comptes de réseaux sociaux liés au suspect regorgent de références à des fusillades de masse, en particulier celle de Columbine en 1999, où il s’est affiché avec un T-shirt portant le mot «WRATH», comme l’un des tireurs de l’époque.

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Les comptes du suspect auraient également diffusé du contenu complotiste, antisémite et teinté de suprémacisme blanc. Quelques jours avant la fusillade, il aurait publié sur X une photo de lui tenant un revolver, accompagnée de la légende, soit le même calibre d’arme utilisé lors de l’attaque.