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«TACO» devient viral au grand dam de Trump

Donald Trump est accusé de s’être comporté en «poule mouillée» sur la question des tarifs douaniers, ce qui l’a visiblement agacé: «Je ne me suis pas comporté comme une poule mouillée face aux tarifs douaniers.»

Reporter: Wall Street analysts have a new term called the TACO trade.. Saying Trump always chickens out on tariffs…  Trump: I kick out?Reporter: Chicken out.

Acyn (@acyn.bsky.social) 2025-05-28T17:13:22.578Z

Cette réponse inhabituelle de Trump est survenue lors d’une conférence de presse à la Maison-Blanche, tenue en marge de la cérémonie d’assermentation de Jeanine Pirro comme procureure fédérale intérimaire.

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Une journaliste de CNBC lui avait alors demandé s’il souhaitait réagir à l’acronyme TACO, récemment popularisé parmi les analystes financiers pour désigner sa tendance à reculer dans sa guerre tarifaire.

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Trump a visiblement été pris de court par Megan Casella, journaliste de CNBC, lorsqu’elle l’a interrogé sur l’expression «Trump Always Chickens Out» et son acronyme… TACO.

Elle cherchait à savoir ce qu’il pensait de cette formule utilisée par certains analystes pour expliquer que les marchés ne réagissent plus à ses menaces tarifaires, convaincus qu’il finit toujours par reculer.

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En réaction, il a répondu sur la défensive à la journaliste lorsqu’il a finalement compris le sens de la question quelques instants plus tard en affirmant que ses actions faisait partie de l’art de la négociation, «Art of the Deal», en mettant les tarifs trop haut pour faire peur…

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Manifestement agacé, Trump a conclu sa réponse en qualifiant la question de «nasty», rejetant catégoriquement l’idée qu’il ait pu reculer.

Le segment, diffusé en direct, est rapidement devenu viral, propulsant l’acronyme TACO et le nom de Trump au cœur des échanges sur les réseaux sociaux.

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Elon Musk quitte l’administration Trump après avoir critiqué son «Big Beautiful Bill Act»

Elon Musk vient d’annoncer son retrait de l’administration Trump, quelques jours seulement après avoir publiquement critiqué le «One Big Beautiful Bill Act» du président lors d’une entrevue à CBS Sunday Morning.

Elon Musk, who once called himself President Trump’s "first buddy," said he is ending his government work to spend more time on his companies. Read more: nyti.ms/4jqYNxk

The New York Times (@nytimes.com) 2025-05-29T10:38:59.754Z

Ce départ risque de lui laisser un goût amer, tant pour les répercussions personnelles que professionnelles. En effet, cette proximité avec Donald Trump, durant laquelle il était présenté comme un proche conseiller, a suscité de vives critiques.

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L’image de Musk, ainsi que celle de ses entreprises, en particulier Tesla, a été sérieusement ternie pendant cette période d’exposition médiatique intense, marquée par des prises de position hautement controversées et une forme d’arrogance affichée envers une partie importante de sa clientèle chez Tesla.

Plusieurs experts estiment d’ailleurs que les choix politiques de Musk ont profondément heurté au moins 20% de la fidèle clientèle de Tesla, une perte qu’ils jugent irrémédiable pour la marque.

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Dans une entrevue accordée à CBS Sunday Morning, Elon Musk a exprimé sa déception face aux dépenses massives prévues dans le «One Big Beautiful Bill Act» de l’administration Trump, soulignant que cette législation ne ferait qu’alourdir le déficit national.

Selon lui, cela annulerait les efforts rigoureux menés par le DOGE pour réduire les dépenses dans plusieurs départements clés, d’autant que le Congressional Budget Office (CBO) estime que ce projet de loi pourrait augmenter la dette fédérale de 3 800 milliards de dollars sur dix ans.

TheWashingtonPost/Getty Images

Rapellons qu’Elon Musk avait été nommé à la tête du Département de l’Efficacité Gouvernementale (DOGE) avec l’ambitieux mandat de réduire les dépenses fédérales de 2 000 milliards de dollars. Cependant, cet objectif a rapidement été revu à la baisse: ramené à 1 000 milliards, puis à seulement 150 milliards de dollars.

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À la fin de son mandat, le DOGE revendiquait 160 milliards de dollars d’économies, un chiffre que plusieurs analystes contestent, certains estimant même que ces mesures pourraient en réalité coûter 135 milliards aux américains en 2025.

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Springsteen répond à Trump par la bouche de sa guitare

La tension entre Donald Trump et Bruce Springsteen a monté d’un cran au cours des dernière semaines, le président américain ayant récemment multiplié les attaques contre le musicien sur son réseau social.

Trump Vs. Springsteen Feud Escalates: Trump Posts Video Depicting Him Hitting Singer With Golf Ball

Forbes (@forbes.com) 2025-05-22T13:26:26.553Z

Il y a notamment publié une fausse vidéo où il semble lui lancer une balle de golf, suivie plus tard d’un message le traitant de jerk et affirmant qu’il ne l’a «jamais aimé».

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Ces insultes faisaient suite à des propos très critiques que le musicien avait tenus à l’égard de l’administration Trump lors du lancement de sa tournée européenne: «L’Amérique que j’aime, l’Amérique sur laquelle j’ai écrit, qui a été un phare d’espoir et de liberté pendant 250 ans, est actuellement entre les mains d’une administration corrompue, incompétente et traîtresse.»

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Il n’en a pas fallu davantage pour que Trump, peu enclin à tolérer la critique, se lance dans une diatribe sur son réseau social visant le célèbre musicien américain.

Pourtant, rappelons que Donald Trump utilisait de la musique de Bruce Springsteen lors de nombreux rallyes, sans aucune autorisation de ce dernier, d’ailleurs.

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La surprise est toutefois venue de Springsteen lui-même, qui a annoncé la sortie d’un EP de six titres intitulé Land of Hope & Dreams, dans lequel il adresse des critiques franches au président américain!

Springsteen répond donc à Trump par la bouche de sa guitare et de ses chansons.

L’EP propose un mélange de chansons et d’extraits de discours issus de son récent concert à Manchester, en Angleterre, où Springsteen a exprimé la critique qui a enflammé Trump sur Truth Social.

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Mais selon le New York Times, le musicien va plus loin: dans l’introduction de la chanson My City of Ruins, il vise également une grande partie d’autres représentants élus, qu’il accuse d’avoir «échoué à protéger le peuple américain des abus d’un président inapte et d’un gouvernement hors de contrôle».

Le boss est en feu ces temps-ci…

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Carney rejoindra-t-il Trump sous le Golden Dome?

Donald Trump a récemment publié un message sur son réseau social Truth Social, affirmant que le Canada devra verser 61 milliards de dollars pour intégrer ce qu’il appelle «notre fabuleux système Golden Dome», un système de défense dont le coût total serait de 175 milliards pour les États-Unis.

Trump says Golden Dome system would cost Canada $61 billion reut.rs/3FAaHqN

Reuters (@reuters.com) 2025-05-27T22:40:10.646Z

Trump a saisi l’occasion de cette publication pour raviver son discours récurrent selon lequel le Canada pourrait un jour devenir le 51e État des États-Unis.

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Trump a entamé son message sur Truth Social en déclarant: «J’ai dit au Canada, qui souhaite vivement faire partie de notre fabuleux système Golden Dome, que cela coûterait 61 milliards de dollars».

Le président américain, qui a récemment annoncé ce projet de système de défense inspiré de l’Iron Dome israélien, a précisé que ce coût ne s’appliquerait que «s’ils restent une nation séparée, mais inégale».

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Trump n’a pas manqué de narguer une fois de plus le Canada en affirmant que «mais cela ne coûtera ZÉRO DOLLARS s’ils deviennent notre cher 51e État», ajoutant que le pays serait actuellement en train d’examiner cette possibilité: «Ils étudient l’offre!».

Interrogé à ce sujet lors d’une entrevue à CBC, le premier ministre canadien Mark Carney, alors qu’un de ses porte-parole avait souligné que le Canada et les États-Unis demeurent des partenaires en matière de défense nord-américaine, notamment via le NORAD, a tenu à réaffirmer sa volonté de réduire la dépendance du Canada envers les États-Unis.

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En précisant qu’il travaille à faire rejoindre le pays à l’initiative ReArm Europe, un engagement qu’il espère officialiser d’ici la fête du Canada, le 1er juillet. Rappelons également que lors de sa visite à la Maison-Blanche, Carney avait déclaré que le Canada ne deviendrait jamais le 51e État américain et que le pays n’était pas à vendre.

Que fera Mark Carney?

Rejoindra-t-il Trump sous le Golden Dome?

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Trump se fâche contre Poutine, mais le Kremlin s’en amuse

Le souhait du président des États-Unis de s’imposer comme médiateur dans le conflit entre l’Ukraine et la Russie était déjà largement tourné en ridicule depuis plusieurs semaines, et cette ambition semble aujourd’hui complètement discréditée.

A top Kremlin aide has accused Donald Trump of being “not sufficiently informed” about the situation in Ukraine after the US president said Russian leader Vladimir Putin was “playing with fire."

CNN (@cnn.com) 2025-05-28T14:38:50.097Z

Après que sa déclaration récente qualifiant Poutine de «fou» a été moquée par les médias russes, la réplique du Kremlin le décrivant comme émotionnel illustre de manière brutale la perte de contrôle de Trump sur des négociations qu’il pensait encore maîtriser.

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Trump, qui tente depuis même avant son arrivée au pouvoir de négocier un accord de paix entre la Russie et l’Ukraine, affirmant durant sa campagne que la guerre prendrait fin dès son premier jour en fonction, semble aujourd’hui pris de court par l’absence totale de volonté de la Russie, et de Poutine en particulier, de s’engager sérieusement dans un processus de résolution du conflit.

Au lieu de tendre vers la diplomatie, Poutine a plutôt intensifié les hostilités en lançant sur l’Ukraine certaines des frappes les plus puissantes depuis le début de l’invasion.

Ces actions ont récemment provoqué une violente réaction de Trump sur Truth Social, où il a déclaré ne pas comprendre ce qui avait pris Poutine pour agir de la sorte, allant jusqu’à affirmer que ce dernier était «devenu complètement FOU».

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Trump en a remis une couche dans une autre publication, affirmant que Poutine jouait avec le feu en déclarant aussi: «Ce que Vladimir Poutine ne réalise pas, c’est que sans moi, beaucoup de choses vraiment mauvaises seraient déjà arrivées à la Russie, et je veux dire VRAIMENT MAUVAISES». Cette sortie n’a pas tardé à susciter des réactions vives de la part des médias russes ainsi que du Kremlin.

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Selon la BBC, le Kremlin a qualifié la réaction de Trump de «surcharge émotionnelle» et a affirmé qu’il était «mal informé sur l’Ukraine». Trump a déclaré accorder deux semaines à Poutine pour démontrer son sérieux quant à la paix en Ukraine, faute de quoi il envisagerait (peut-être) des mesures punitives contre la Russie.

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Les médias d’État russes, comme RT, se moquent ouvertement du président américain, ridiculisant ses menaces envers Moscou et soulignant son ton alarmiste, allant jusqu’à suggérer qu’il pourrait se contredire dès le lendemain.

Pendant ce temps, confrontée à l’absence d’aide américaine, l’Ukraine a resserré ses liens militaires avec l’Europe et vient de conclure un accord de sécurité avec l’Allemagne.

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Ce partenariat prévoit un soutien à long terme, incluant la livraison d’armes sophistiquées et, possiblement, de missiles de longue portée dans le but de renforcer la défense du pays face à la Russie en élargissant ses capacités offensives et en assurant un appui durable de Berlin.

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Le roi Charles exprime son profond attachement au Canada et rend hommage à son identité unique

À l’invitation du premier ministre Mark Carney, le roi Charles a ouvert la 45e session du Parlement canadien et prononcé le discours du trône, devenant le premier monarque à poser ce geste depuis sa mère, la reine Elizabeth II, en 1977.

King Charles, speaking during a symbolic visit to show support for Canada at a time it has faced US annexation threats, expressed his love for Canada and said the country would remain 'strong and free' reut.rs/3SSxGAn

Reuters (@reuters.com) 2025-05-27T15:28:10.081Z

Cette visite s’est déroulée dans un climat singulier, marqué par les tensions provoquées par le président américain Donald Trump, qui a récemment exprimé son souhait d’intégrer le Canada comme 51e État des États-Unis.

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Le roi Charles a ouvert son discours par des remarques personnelles, exprimant son attachement profond au Canada et a salué l’identité unique du Canada, reconnue à l’échelle mondiale, soulignant la fierté nationale, l’unité et l’espoir qui animent le pays.

Le roi Charles a rappelé qu’il en était à sa 20e visite au Canada, affirmant qu’à chaque passage, un peu plus de ce pays entrait en lui, jusque dans son cœur.

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Il a également reconnu les territoires non cédés des Premières Nations, soulignant l’importance du respect et de la réconciliation, une reconnaissance explicite et sans précédent dans le cadre d’un discours officiel de la monarchie au Canada.

Le roi Charles a ensuite rappelé que le Canada, tout comme le reste du monde, faisait face à une nouvelle réalité marquée par des bouleversements profonds.

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En reprenant les paroles du premier ministre Mark Carney, il a souligné que le pays vit une transformation sans précédent depuis la Seconde Guerre mondiale, une période charnière qui permet aux Canadiens de se réinventer, de nourrir de grandes ambitions et de poser des gestes audacieux, en tant que nation libre, tout en forgeant de nouvelles alliances à l’échelle mondiale fondées sur ses valeurs distinctives.

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Donald Trump lance un avertissement étrange à West Point contre les «femmes trophées»

Conformément à la tradition présidentielle, Donald Trump a prononcé un discours devant les cadets fraîchement diplômés de l’académie militaire de West Point.

"A lot of trophy wives, it doesn't work out," the president noted as he spoke to graduating cadets at the military academy.

HuffPost (@huffpost.com) 2025-05-24T20:37:55.209Z

Mais ce qui devait être un discours solennel, conformément à la tradition, a rapidement dévié de son cadre habituel: Trump s’est embarqué dans une longue tirade sur les «femmes trophées», un passage largement jugé étrange et particulièrement inapproprié par de nombreux observateurs.

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Alors que le président partageait ses réflexions sur la carrière professionnelle du magnat de l’immobilier William Levitt, selon HuffPost et USA Today, Donald Trump a dévié de manière embarrassante vers la vie personnelle de ce dernier.

Il a affirmé que Levitt avait divorcé pour épouser une «femme trophée», ajoutant que «ça ne s’était pas très bien terminé pour lui».

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Donald Trump, à l’approche de ses 79 ans, toujours marié à sa troisième épouse Melania Trump, 55 ans, mais dont l’absence remarquée depuis le début de son second mandat ne cesse d’alimenter les commentaires, a poursuivi en livrant aux cadets son point de vue très personnel sur les «femmes trophées».

Un moment qui a, sans surprise, suscité un certain malaise: «Je dois vous dire que beaucoup d’épouses trophées, ça ne fonctionne pas.»

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Trump a conclu cette anecdote très personnelle sur feu William Levitt en déclarant: «Mais ça l’a rendu heureux, au moins pendant un certain temps», ajoutant ensuite que l’homme avait fini par se remarier avec une autre femme!

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La gifle présidentielle virale qui fait le tour du monde

Un incident filmé à l’arrivée de l’avion présidentiel au Vietnam, lors de la visite officielle d’Emmanuel Macron accompagné de son épouse, a rapidement fait le tour du monde.

They were just playfighting.That was French President Emmanuel Macron‘s explanation for video images that appeared to show his wife, Brigitte, pushing her husband away with both hands on his face.

The Associated Press (@apnews.com) 2025-05-26T13:25:03Z

Sur les images, nombreux sont ceux qui accusent la Première dame d’avoir poussé, voire giflé le président français.

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L’incident s’est produit quelques instants après l’ouverture des portes de l’avion. Sur les images, on voit le président Macron en train de parler avec une personne, dont l’identité est masquée par l’angle de la caméra, située à sa droite.

Soudain, un bras vêtu d’une manche rouge semble pousser le président français au visage. Macron recule légèrement, puis, réalisant que la porte de l’avion est désormais visible par les caméras et les médias, adresse un salut de la main.

/CaptureLeParisien

Quelques instants plus tard, il est révélé que c’est la Première dame, Brigitte Macron, vêtue d’un veston rouge, qui est à l’origine de cet incident insolite capté par les médias. Le couple présidentiel descend ensuite les marches de l’avion, visiblement empreint d’un certain malaise.

Les images, décrites par certains comme une poussée et par d’autres comme une gifle en plein visage du président, ont rapidement fait le tour du monde, alimentant de nombreuses spéculations sur une éventuelle querelle au sein du couple présidentiel français.

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Amplement interrogé sur l’incident, Emmanuel Macron a assuré, selon l’Associated Press, qu’il ne s’agissait que d’un simple jeu, ajoutant qu’il plaisantait simplement avec son épouse: «Nous nous disputons […] en plaisantant avec ma femme».

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Trump: «Je ne sais pas ce qui est arrivé à Poutine»

Alors que le président des États-Unis tente par tous les moyens de s’impliquer dans le conflit en proposant des initiatives de paix, que beaucoup considèrent comme très favorables à Moscou, Vladimir Poutine lance les bombardements les plus intenses depuis 2022, visant notamment la capitale ukrainienne.

President Donald Trump said he doesn’t know “what the hell happened” to Russian President Vladimir Putin and that he is “not happy with what Putin is doing” after Moscow launched its largest aerial attack of its three-year war on Ukraine overnight.

CNN (@cnn.com) 2025-05-25T23:55:27.015Z

Cette nouvelle flambée de violence a rapidement fait réagir Donald Trump sur Truth Social. Il a affirmé ne plus reconnaître le président russe, alors même que la Russie menait, au moment de ces frappes, un échange de prisonniers avec Kiev.

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C’est la deuxième fois que Donald Trump s’en prend directement à Vladimir Poutine dans des publications sur Truth Social.

La première remonte à une période où des négociations de paix commençaient, Trump avait alors supplié le président russe de mettre fin aux attaques, écrivant: «Vladimir, STOP!». Des mots qui avaient fait le tour du monde, suscitant à la fois moqueries et malaise chez de nombreux observateurs.

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Mais cette fois, Trump va encore plus loin dans cette nouvelle publication, en réagissant une nouvelle fois aux actions de Poutine, qu’il accuse carrément d’avoir perdu la tête: «Il est devenu complètement FOU!».

Le président des États-Unis affirme avoir toujours entretenu une bonne relation avec Vladimir Poutine, mais déclare sur Truth Social que «quelque chose lui est arrivé».

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Selon Trump, le président russe tue énormément de gens sans raison, des actes qu’il juge totalement injustifiés: «Il tue inutilement beaucoup de gens […] sans aucune raison».

Selon CNN, quelques heures avant sa publication sur Truth Social, Donald Trump, visiblement pris de court par les actions de Poutine, avait déclaré à des journalistes: «Je ne sais pas ce qui est arrivé à Poutine».

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Cette réaction survient alors que de nombreux observateurs affirment, depuis le début du conflit, que le président russe n’a jamais réellement eu l’intention de faire la paix avec l’Ukraine. Trump conclut en avertissant que si Poutine persiste dans sa volonté de prendre le contrôle de tout le pays, cela «conduira à la chute de la Russie», selon ses propres mots.

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La France, le Royaume-Uni et le Canada menacent Israël de sanctions

Confrontés à l’escalade de la crise humanitaire à Gaza, la France, le Royaume-Uni et le Canada ont récemment haussé le ton en menaçant Israël de sanctions.

Israel's easing of humanitarian aid access to Gaza is insufficient, France's foreign minister said, warning its ally that the new offensive on Gaza had to stop or there would be consequences reut.rs/4dpjcS5

Reuters (@reuters.com) 2025-05-20T08:57:33.286Z

Cette prise de position survient alors que le gouvernement israélien intensifie ses opérations militaires en territoire palestinien, tandis que Benyamin Netanyahou maintient ses restrictions sur l’acheminement de l’aide humanitaire.

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Dans une déclaration conjointe, la France, le Royaume-Uni et le Canada ont exprimé leur désaccord face à l’escalade des attaques qu’ils jugent disproportionnées: «Nous ne resterons pas les bras croisés pendant que le gouvernement Netanyahou poursuit ces actions scandaleuses».

Tout en réaffirmant le droit d’Israël à se défendre après l’attaque terroriste du Hamas en octobre 2023, les trois pays estiment désormais que Benyamin Netanyahou va trop loin et exigent la fin immédiate de l’offensive, alors que ce dernier affirme vouloir «prendre le contrôle total de Gaza».

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La déclaration des trois pays se poursuit, laissant entrevoir une série de mesures concrètes à l’encontre d’Israël, parmi lesquelles des sanctions seraient envisagées: «Si Israël ne cesse pas sa nouvelle offensive militaire et ne lève pas ses restrictions sur l’aide humanitaire, nous prendrons de nouvelles mesures concrètes en réponse».

Il convient de rappeler que cette déclaration intervient au moment même où une délégation internationale, comprenant la France, le Royaume-Uni et le Canada, se rendait en visite dans le territoire palestinien de la Cisjordanie, pour évaluer la situation humanitaire sur place, alors qu’Israël continue ses avancées.

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Lors de cette visite, la délégation a essuyé des tirs de l’armée israélienne, qui a justifié l’incident en affirmant que les diplomates avaient dévié de leur itinéraire. Israël a ensuite présenté ses regrets pour «les désagréments causés», tandis que les ambassadeurs et diplomates ont été contraints de se mettre à l’abri.