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Israël renonce à l’annexion de la Cisjordanie

Selon The Washington Post, Israël, sous les menaces des Émirats arabes unis, aurait récemment renoncé à ses plans d’annexion de la Cisjordanie.

For weeks, Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu has been weighing formally annexing much or all of the occupied West Bank.Now, an unusual message, delivered by a crucial Arab partner, is complicating his decision-making.

The Washington Post (@washingtonpost.com) 2025-09-06T17:30:06.126363369Z

Cette décision intervient après que les Émirats ont clairement averti que toute tentative d’annexer une partie de ce territoire constituerait une «ligne rouge» susceptible de compromettre les Accords d’Abraham, signés en 2020 et considérés comme une percée historique dans la normalisation entre Israël et plusieurs pays arabes.

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Face à ce risque, Netanyahu a retiré l’annexion du programme officiel du gouvernement.

La région reste sous haute tension avec la guerre à Gaza, qui a déjà fait des dizaines de milliers de morts palestiniens, déclenchée après l’attaque du Hamas en octobre 2023. La crise humanitaire est grave et les opérations israéliennes aggravent les relations d’Israël avec ses voisins arabes.

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Une annexion de la Cisjordanie aurait sans doute brisé les relations d’Israël avec les Émirats et d’autres pays du Golfe, menaçant la stabilité de la région.

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«Trump était un informateur du FBI»

Mike Johnson, un républicain représentant la Louisiane et le président de la Chambre, est revenu sur sa déclaration audacieuse affirmant que Donald Trump figurait dans les dossiers Epstein parce qu’il aurait été un «informateur pour le FBI» dans l’affaire.

House Speaker Mike Johnson (R-Louisiana) backed off his claim that President Trump was an FBI informant in the case of sex offender Jeffrey Epstein.

The Washington Post (@washingtonpost.com) 2025-09-07T21:30:04.616129946Z

Alors qu’il se trouvait devant les médias au Capitole, Mike Johnson a affirmé que Donald Trump aurait été «un informateur du FBI pour tenter de faire tomber [Epstein]», laissant entendre par ses propositions que Trump avait coopéré avec le FBI, prenant un rôle actif dans l’enquête contre Epstein.

Ces déclarations relayaient certaines théories du complot sur le passé de Trump avec Epstein, en particulier autour de la période où ils se sont éloignés. Selon ces théories, Trump serait resté proche d’Epstein afin de recueillir des informations dans le but de le faire tomber.

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Quelques jours plus tard, un mémo du bureau de Johnson est venu rectifier ses propos, niant qu’il ait affirmé que Trump était un informateur du FBI.

Le document précisait que le Speaker of the House ne faisait en réalité que reprendre les paroles de l’avocat des victimes, Brad Edwards, selon lesquelles Trump avait été le seul, il y a plus de dix ans, à accepter d’aider les procureurs contre Epstein.

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Cette confusion ne fait qu’accentuer les interrogations sur les raisons pour lesquelles Trump et son administration s’opposent soudainement à la divulgation de tous les dossiers liés à Jeffrey Epstein, alors qu’ils ont passé des années à faire campagne auprès de leurs partisans pour la publication des Epstein files.

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La violence conjugale n’est pas un crime, selon Trump

Donald Trump, prenant la parole lundi devant la Religious Liberty Commission, a tenu des propos pour le moins étranges et choquants au sujet de la récente baisse de la criminalité à Washington D.C., qu’il a attribuée à la présence de l’armée.

President Donald Trump downplayed domestic violence in a Monday speech as part of his White House Religious Liberty Commission — and was hit by swift condemnation.

Raw Story (@rawstory.com) 2025-09-08T17:30:29.709Z

Il a affirmé que les crimes n’étaient pas seulement en baisse de 87%, mais bien davantage, en expliquant que même les «petites bagarres avec sa femme» étaient comptés comme des crimes et l’empêchaient d’afficher un taux parfait de 100%.

Lors de son discours, Trump, cherchant à se féliciter d’avoir envoyé des troupes dans ce qu’il a décrit comme parmi «les villes les pires, les plus violentes», à Washington D.C., a affirmé que la criminalité avait chuté bien plus que les 87% officiellement rapportés, déclarant que c’est «plus que 87%».

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Trump a expliqué que les statistiques de criminalité incluaient aussi «les choses qui se passent à la maison, ils les appellent des crimes», évoquant par exemple: «Si un homme se dispute un peu avec sa femme, on dit que c’est un crime.»

Trump a continué ainsi a reléguer la violence conjugale à «des choses bien moins graves» et regretté que cela l’empêche de revendiquer une baisse de 100% de la criminalité à Washington D.C., déclarant: «Donc maintenant je ne peux pas revendiquer 100%».

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Les déclarations du président, reprises par plusieurs médias, ont rapidement suscité une vague d’indignation, alors que ce genre de minimisation de la violence conjugale s’avère non seulement dangereuse, mais aussi un sérieux pas en arrière.

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L’homme qui aurait tenté de tuer Trump renonce à un avocat

L’homme accusé d’avoir tenté d’assassiner Trump dans son club de golf à West Palm Beach assurera lui-même sa défense lors de son procès qui s’ouvre avec la sélection du jury en Floride.

Almost a year since he allegedly perched a rifle through the chain-link fence of a golf club in West Palm Beach, Florida, the 59-year-old man accused of creating a “sniper’s nest” one hole away from where Donald Trump was playing golf will now stand trial. https://cnn.it/3V6Grbs

CNN (@cnn.com) 2025-09-08T11:30:07.237516751Z

Ryan Routh, 59 ans, a été arrêté le 15 septembre 2024 alors qu’il tentait de prendre la fuite en voiture. Plus tôt, les services secrets l’avaient repéré dans le bois entourant le club de golf de Trump à West Palm Beach, à une centaine de pieds seulement de la zone où se trouvait Donald Trump.

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Le procès s’ouvre le 8 septembre avec la sélection du jury, et selon CNN, Routh aurait choisi de se représenter lui-même. L’affaire s’annonce aussi surprenante que certains de ses documents déposés auprès des tribunaux, dans lesquels il attaque Trump sans ménagement.

Selon des documents rapportés par CNN, Routh tient des propos troublants qui laissent entrevoir le ton de son procès.

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Il y traite Trump de «cochon raciste» et le défie à une partie de golf pour décider de sa culpabilité.

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Rappelons que ce procès, qui s’ouvre le 8 septembre sous la présidence de la juge fédérale Aileen Cannon, proche alliée de Trump, devrait durer au maximum quatre semaines.

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Trump menace d’entrer en guerre… avec Chicago

Donald Trump a provoqué une vive controverse ce week-end en publiant sur Truth Social un message menaçant, où il affirme que Chicago «est sur le point de le découvrir» pourquoi il a rebaptisé le «Department de la Défense» en «Department de la Guerre».

Trump posted online that Chicago was "about to find out why it's called the Department of WAR," but later said his administration wouldn't go to war with American cities but rather "clean them up."

NPR (@npr.org) 2025-09-08T12:57:16.218672Z

Il a accompagné sa déclaration d’une image générée par IA avec un clin d’œil au film Apocalypse Now.

L’image montre Trump portant le chapeau du lieutenant-colonel Kilgore, incarné par Robert Duvall, avec Chicago en flammes à l’arrière-plan après le passage d’hélicoptères de l’armée américaine.

CaptureTruthSocialRealDonaldTrump

Ce mème a été très critiqué, d’autant qu’il contenait la phrase «J’aime l’odeur des déportations le matin», parodie de la célèbre réplique de Duvall.

Trump a ensuite tenté de calmer la polémique en affirmant que son administration «ne va pas à la guerre» contre Chicago.

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JB Pritzker, le gouverneur démocrate de l’Illinois, a vivement dénoncé sur X la publication de Trump, estimant que sa menace de faire la guerre à une ville américaine n’était ni une blague ni quelque chose de normal, et affirmant que son État ne se laissera pas intimider par un dictateur en herbe».

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Des victimes d’Epstein parlent, Trump plaide le «canular»

Alors qu’une conférence de presse se tenait devant le Capitole aux côtés des membres du Congrès démocrates et républicains pour l’introduction de l’«Epstein Files Transparency Act», plusieurs victimes de Jeffrey Epstein et Ghislaine Maxwell ont livré des discours très émouvants en appelant directement Donald Trump à les prendre au sérieux.

Trump bashes Epstein files as ‘hoax’ as Republicans rally with trafficking victims

The Independent (@the-independent.com) 2025-09-03T16:59:23.506Z

Interrogé par des journalistes à la Maison-Blanche au même moment, le président a réitéré sa position, affirmant une nouvelle fois que, selon lui, les Epstein Files ne sont rien d’autre qu’un «canular» démocrate.

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Selon Trump, le tumulte entourant la déposition bipartisane de l’«Epstein Files Transparency Act», qui réclame la publication complète du dossier avec les noms des victimes caviardés, n’est rien d’autre qu’«Un canular démocrate qui ne finit jamais».

Il a ajouté, selon The Independent, que «personne n’est jamais satisfait» malgré les «milliers de pages de documents» déjà rendus publics, qualifiant l’ensemble de ce dossier de «totalement non pertinent».

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Trump s’est finalement plaint que, peu importe les efforts de son administration pour rendre disponibles les dossiers sur Epstein, alors que plusieurs rappellent que la grande majorité des milliers de pages publiées l’avaient déjà été sous l’administration Biden, les demandes ne cesseraient jamais…

«Peu importe ce que vous faites, cela continuera», a-t-il déclaré, en regrettant que ces requêtes soient sans fin.

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Trump ordonne le bombardement d’un navire

Le président américain Donald Trump a confirmé que le Pentagone avait mené une frappe contre un navire soupçonné d’appartenir à un cartel de drogue vénézuélien, alors qu’il se trouvait dans les eaux internationales du sud des Caraïbes.

Trump defends US strike on boat from Venezuela he says was carrying drugs reut.rs/4mOBnVg

Reuters (@reuters.com) 2025-09-03T16:15:18Z

Selon Trump, 11 personnes présentes à bord de ce bateau, décrit par son administration comme «un navire de drogue parti du Venezuela», auraient été tuées lors de cette frappe en eaux internationales.

capturePentagon

Le président a ensuite lui-même défendu l’attaque, rapporte Reuters, en affirmant que, selon lui, le navire transportait de la drogue.

Donald Trump a communiqué la nouvelle sur Truth Social, en diffusant une vidéo déclassifiée de l’attaque menée par les forces américaines:

«Plus tôt ce matin, sur mes ordres, les forces militaires américaines ont mené une frappe cinétique contre des terroristes du narcotrafic du Tren de Aragua identifiés positivement dans la zone de responsabilité du SOUTHCOM»

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Rappelons que, dans un décret signé en janvier dernier, Trump a officiellement classé les cartels de la drogue, dont le Tren de Aragua, le cartel de Sinaloa et le CJNG, comme des «organisations terroristes étrangères» tandis que le Pentagone a promis de nouvelles actions militaires contre eux sous peu.

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Trump accuse Xi Jinping, Vladimir Poutine et Kim Jong Un de «comploter» contre les États-Unis

Donald Trump a lancé sur Truth Social de graves accusations contre les dirigeants de la Chine, de la Russie et de la Corée du Nord, les accusant tous les trois de «comploter» contre les États-Unis.

President Trump alleges China, Russia, and North Korea are conspiring against the US, as leaders of each nation were pictured together at the military parade in Beijing. Follow live updates. https://cnn.it/3Vu8fGJ

CNN (@cnn.com) 2025-09-03T03:08:54.951918437Z

Alors que les trois dirigeants se retrouvaient sur la place Tiananmen, à Pékin, pour une immense parade militaire marquant le 80e anniversaire de la victoire sur le Japon et la fin de la Seconde Guerre mondiale, Trump a publié un message pour l’occasion.

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Celui-ci commençait par un ton cordial envers Xi:

«Que le président Xi et le merveilleux peuple chinois passent une grande et durable journée de célébration.»

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Mais le message de Trump se terminait sur une accusation directe:

«Veuillez transmettre mes plus chaleureuses salutations à Vladimir Poutine et à Kim Jong-un, alors que vous complotez contre les États-Unis d’Amérique.»

Trump a ensuite mis en doute la volonté de la Chine de reconnaître le rôle crucial joué par les États-Unis dans la victoire de la Seconde Guerre mondiale.

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Il a déclaré:

«La grande question à laquelle il faut répondre est de savoir si le président chinois Xi mentionnera ou non l’énorme quantité de soutien et de «sang» que les États-Unis d’Amérique ont donné à la Chine afin de l’aider à garantir sa LIBERTÉ face à un envahisseur étranger très hostile.»

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Trump nous ramène «en 1930», selon ce milliardaire

Le milliardaire Ray Dalio, gestionnaire de hedge fund, co-directeur des investissements et fondateur de Bridgewater Associates, a commenté les politiques extrêmes de Donald Trump, avertissant que les États-Unis glissent vers un régime autocratique qu’il compare à ceux des années 1930 et 1940, dans une entrevue accordée au Financial Times et rapportée par CNN.

“I think that what is happening now politically and socially is analogous to what happened around the world in the 1930-40 period,” the founder of Bridgewater Associates, one of the world’s largest hedge funds, has told the Financial Times.https://cnn.it/460e7wl

CNN (@cnn.com) 2025-09-02T13:31:01.988827205Z

Ray Dalio illustre ses propos en s’appuyant sur la récente décision de Trump et de son administration de prendre une participation de 10% dans Intel.

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Avant cet accord, Trump avait violemment attaqué sur Truth Social le PDG Lip-Bu Tan, l’accusant de conflits d’intérêts liés à la Chine et exigeant sa démission immédiate:

«Le PDG d’INTEL est en grande difficulté et doit démissionner immédiatement. Il n’y a pas d’autre solution à ce problème!»

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En définitive, Trump a transformé 11 milliards de dollars de subventions en une participation publique de 10% dans Intel, se vantant que Tan ait offert «10 milliards aux États-Unis» pour garder son poste, ce qui a ravivé les accusations d’ingérence politique et de dérive vers un capitalisme d’État, reprises par Dalio:

«Tan est arrivé en voulant garder son emploi, et il a fini par nous donner 10 milliards de dollars pour les États-Unis.»

Depuis cet accord, Trump ne semble plus se préoccuper des liens supposés du dirigeant d’Intel avec la Chine.

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Ray Dalio a également souligné le silence de nombreux acteurs, qui redoutent de s’exprimer contre ce régime de peur de représailles de la part de Trump et de son administration:

«La plupart des gens se taisent parce qu’ils craignent des représailles s’ils critiquent.»

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L’Ukraine dans l’UE?

Lors de sa visite en Chine, Vladimir Poutine a affirmé, dans une série de déclarations, que la Russie ne s’était jamais opposée à l’adhésion de l’Ukraine à l’Union européenne.

Russian President Vladimir Putin said on Tuesday that Moscow had never opposed Ukraine's potential membership of the European Union, and that he thought it was possible to find a consensus on ensuring the security of both Russia and Ukraine reut.rs/4g9yBHM

Reuters (@reuters.com) 2025-09-02T12:36:59.749Z

Il a cependant réitéré, d’après Reuters, son opposition ferme à l’adhésion de Kyiv à l’OTAN, qu’il perçoit comme une menace directe pour la sécurité de la Russie.

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Poutine a également mentionné ses échanges récents avec Donald Trump, affirmant qu’un compromis sur la sécurité de l’Ukraine demeure envisageable.

En visite en Chine, alliée de Moscou, le président russe a dénoncé ce qu’il appelle l’«hystérie» de certains dirigeants européens, qui brandissent selon lui la menace d’une possible agression russe contre d’autres pays du continent.

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Selon Poutine, la clé d’une paix durable passe par la limitation de l’expansion de l’OTAN, tout en continuant de refuser, pour l’instant, une rencontre avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky.

Cette position survient quelques jours après son sommet en Alaska avec Donald Trump, qui lui avait déroulé le tapis rouge et affirmé qu’une telle rencontre, jugée cruciale pour les pourparlers de paix, aurait lieu sous peu.

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En fin de compte, la décision de rejoindre l’Union européenne ou de s’allier à l’OTAN revient aux Ukrainiens et à leurs alliés, et non à Poutine.