Catégories
Uncategorized

Le trône de Musk n’est pas vacant, affirme Tesla

Le conseil d’administration de Tesla a rapidement réfuté un article du Wall Street Journal, assurant qu’Elon Musk conserve la pleine confiance des investisseurs pour diriger l’entreprise et qu’aucune recherche de successeur n’est en cours.

Exclusive: About a month ago, with Tesla’s profits sinking and some investors worried about Elon Musk’s White House focus, the company’s board got serious about looking for a CEO to succeed him.

The Wall Street Journal (@wsj.com) 2025-05-01T14:00:27.400Z

C’est sur X, le réseau social du milliardaire, que les défenseurs d’Elon Musk, dont Robyn Denholm, présidente du conseil d’administration de Tesla, ont dénoncé le reportage erroné du Wall Street Journal.

Selon elle, l’affirmation selon laquelle Tesla aurait mandaté des cabinets de recrutement pour trouver un successeur à Musk est infondée.

Getty Images

Sur X, Robyn Denholm affirme même que le Wall Street Journal avait été informé par le conseil d’administration que ces rumeurs étaient infondées, avant de prendre la décision de publier l’article évoquant des plans pour remplacer Elon Musk.

Rappelons que l’action de Tesla a chuté d’environ 30% depuis le début de l’année.

Getty Images

Ce recul s’explique par la baisse des ventes, une concurrence grandissante, en particulier des constructeurs chinois, ainsi que par les préoccupations liées à l’implication politique controversée d’Elon Musk, qui ont clairement nui à l’image de la marque.

Elon Musk et certains membres de Tesla ont publiquement critiqué le Wall Street Journal à la suite de cette publication, le milliardaire reprochant au journal d’avoir omis d’inclure dans l’article un «déni catégorique» formulé par Tesla.

Getty Images

Rappelons que le Wall Street Journal appartient depuis 2007 à News Corp, le groupe médiatique contrôlé par Rupert Murdoch, également propriétaire de Fox News.

Catégories
Uncategorized

Musk et Zuckerberg perdent des milliards, alors que Gates et Buffett s’enrichissent, selon Forbes

Selon Forbes, les milliardaires subiraient les effets de la gestion économique de l’administration Trump de diverses manières.

The Biggest Billionaire Winners And Losers Of Trump’s First 100 Days

Forbes (@forbes.com) 2025-04-30T12:55:03.741Z

Si certains parviennent pour l’instant à tirer profit de la situation malgré les obstacles financiers liés à la guerre tarifaire lancée par le président, d’autres, y compris plusieurs présents à son investiture en janvier, auraient déjà perdu des milliards depuis son retour à la Maison-Blanche.

Getty Images

Ces fluctuations marquées dans la fortune des milliardaires sont détaillées dans un article de Forbes publié à l’occasion des 100 premiers jours du second mandat de Trump à la Maison-Blanche.

Alors que les marchés ont brutalement chuté, notamment après l’annonce chaotique des tarifs le 2 avril, lors du «Liberation Day», certains milliardaires ayant soutenu publiquement Trump pourraient déjà commencer à regretter leur choix, après avoir perdu des milliards en seulement quelques semaines.

Getty Images

Certains milliardaires qui ont gardé une certaine distance dans leur soutien à Trump semblent mieux s’en tirer.

C’est le cas de Bill Gates, qui, tout en exprimant des inquiétudes face aux coupes budgétaires de l’administration Trump, notamment à l’USAID, aurait vu sa fortune augmenter de 2,5 milliards depuis l’entrée en fonction du président.

Le milliardaire Warren Buffett, qui avait notamment qualifié les tarifs de Trump de véritable d’acte de guerre, a vu sa fortune grimper de près de 20 milliards.

Getty Images

Pour d’autres, moins chanceux, les milliards se sont envolés en seulement quelques mois depuis le retour de Trump au Bureau ovale, alors qu’ils assistaient fièrement à son investiture il y a à peine quelques semaines.

Le PDG de Meta, Mark Zuckerberg, aurait perdu près de 22 milliards, tandis que Jeff Bezos, fondateur d’Amazon, aurait vu sa fortune diminuer d’environ 35 milliards.

Getty Images

Larry Ellison, d’Oracle, aurait perdu plus de 28 milliards, tandis que Larry Page et Sergey Brin, cofondateurs de Google, auraient vu leur fortune chuter respectivement de plus de 27 et 26 milliards.

De son côté, Jensen Huang, PDG de Nvidia, aurait perdu près de 25 milliards.

Le plus grand perdant de ce début de présidence chaotique reste Elon Musk.

Getty Images

Son implication directe dans les coupes budgétaires gouvernementales, qui ont déclenché d’importantes vagues de protestation, lui aurait coûté plus de 45 milliards de dollars.

Catégories
Uncategorized

Donald Trump panique et blâme Joe Biden

Alors que les bilans des 100 premiers jours de la présidence Trump s’accumulent, en grande partie négatifs, notamment sur le plan économique, où ses tarifs ont provoqué le chaos en raison d’une mauvaise évaluation de leurs conséquences, et que l’économie s’est contractée de 0,3%, le président tente de fuir ses responsabilités.

JUST IN: The U.S. economy contracted 0.3% in the first quarter of 2025, the first negative reading since the Covid pandemic.

NBC News (@nbcnews.com) 2025-04-30T12:53:55Z

Sur Truth Social, il a de nouveau trouvé le coupable idéal à pointer du doigt, publiant un message accusant Joe Biden d’être responsable de ce désastre.

Getty Images

«C’est le marché boursier de Biden, pas celui de Trump», a écrit le président sur son réseau social, accusant Joe Biden d’être à l’origine de la chute spectaculaire des marchés, y compris, semble-t-il, celle déclenchée par sa propre annonce tarifaire du 2 avril, qui a provoqué un effondrement boursier inédit depuis la Grande Dépression.

En rappelant qu’il n’a repris la présidence que le 20 janvier dernier, Trump tente de rassurer en affirmant que les tarifs «commenceront bientôt à produire leurs effets», car selon lui, les entreprises vont s’installer aux États-Unis en nombre record.

Pendant ce temps, les données du premier trimestre 2025 révèlent une baisse de 0,3% du produit intérieur brut (PIB) des États-Unis, signe de la première contraction économique depuis près de trois ans.

Getty Images

Trump rejette la faute non pas sur les tarifs, mais sur Biden. Selon lui, cette première contraction économique «n’a RIEN À VOIR AVEC LES TARIFS», et serait uniquement due au fait que Biden aurait «laissé de mauvais chiffres derrière lui».

Getty Images

Rappelons que sous Joe Biden, l’économie américaine post-pandémie a progressé à un rythme annuel moyen de 3,2%, contre 1,8% sous Trump, avec 16,2 millions d’emplois créés entre 2021 et 2024 (+11%).

Le chômage est passé de 6,4% à un minimum de 3,4%, puis à 4,1%, et l’inflation a reculé de 9,1% à 2,7%.

Catégories
Uncategorized

Jeff Bezos s’attaque à Elon Musk

Le milliardaire et CEO d’Amazon, Jeff Bezos, vient de franchir une étape historique avec le lancement de ses 27 premiers satellites du projet Kuiper, d’Amazon, marquant le début d’une offensive directe contre le géant Starlink d’Elon Musk.

A batch of Amazon satellites is hitching a ride to low-Earth orbit, marking the biggest stride yet in the tech giant’s efforts to join a race to blanket the planet in connectivity beamed from space.

CNN (@cnn.com) 2025-04-29T00:51:30.984Z

Ce projet colossal vise à établir une collection de plus de 3 200 satellites en orbite terrestre basse, avec pour ambition de rivaliser dans le secteur stratégique de l’Internet mondial par satellite.

Getty Images

Le fondateur d’Amazon souhaite s’imposer sur un marché jusqu’ici largement dominé par Musk et son réseau Starlink, fort de plusieurs millions d’abonnés à travers le globe.

Bien que SpaceX ait creusé un écart considérable, Amazon entend prouver qu’il est encore temps de redistribuer les cartes d’un marché en pleine explosion.

Getty Images

Évalué à plus de 10 milliards de dollars, le projet Kuiper s’affirme comme une véritable déclaration de guerre économique et stratégique à l’encontre d’Elon Musk.

En positionnant ses satellites légèrement plus bas que ceux de Starlink, Jeff Bezos ambitionne d’offrir des vitesses de connexion accrues et une latence réduite, deux atouts majeurs pour conquérir de nouveaux clients.

Getty Images

Pour mener à bien ce pari, Amazon a sécurisé 83 lancements de fusées auprès de plusieurs partenaires, dont United Launch Alliance, Arianespace et Blue Origin, la propre société spatiale de Bezos.

Amazon fait face à un défi de grande envergure: Elon Musk et SpaceX bénéficient d’une avance de plusieurs années en déploiement, en expérience opérationnelle et en rentabilité.

Pour tenter de déstabiliser l’empire que Musk a consolidé avec des milliers de satellites, Bezos devra miser sur l’innovation, une exécution sans faille et une politique tarifaire offensive.

Getty Images

La confrontation entre Bezos et Musk pour la domination de l’Internet spatial ne fait que commencer, mais aussi les équilibres de pouvoir entre deux des milliardaires les plus puissant de notre époque.

Catégories
Uncategorized

C’est la guerre entre Jeff Bezos et Donald Trump

Les tensions autour des tarifs ont progressivement brisé la relation fondée sur les intérêts économiques de Jeff Bezos, PDG d’Amazon, avec le président américain Donald Trump, surtout depuis le début de son second mandat.

White House accuses Amazon of "hostile and political act" after reported plan to display the additional cost of tariffs next to the price of items cnn.it/42AIysC

CNN (@cnn.com) 2025-04-29T13:55:44.619Z

Trump a accusé Jeff Bezos d’être «hostile et politique» envers son administration après l’annonce par Amazon de son intention d’afficher de manière transparente les hausses tarifaires imposées par le gouvernement Trump.

Getty Images

La plateforme prévoit de détailler les montants, permettant aux consommateurs de constater directement que la hausse des prix sur leur facture Amazon est en majorité causée par les tarifs imposés par l’administration Trump.

Lorsque l’administration Trump a été interrogée sur le fait que l’initiative d’Amazon semblait démontrer que les tarifs étaient bel et bien assumés par les consommateurs américains, une affirmation répétée depuis des semaines par les démocrates et les pays visés par ces taxes, la question a visiblement provoqué la colère de la Maison-Blanche.

Getty Images

La porte-parole Karoline Leavitt a réagi vivement, accusant Jeff Bezos et Amazon d’être hostiles et de mener une manœuvre politique: «Il s’agit d’un acte hostile et politique de la part d’Amazon».

Affirmant sortir d’un appel téléphonique avec le président à ce sujet, Karoline Leavitt a déclaré que l’administration s’interrogeait sur les motivations d’Amazon derrière cette initiative.

Getty Images

Elle a ajouté que cela n’était guère surprenant, s’appuyant sur un article de Reuters pour appuyer ses propos.

Bien que l’administration Trump accuse fréquemment Reuters et d’autres médias de propager de fausses informations, elle s’est cette fois réjouie de pouvoir citer un article de 2021 affirmant qu’Amazon s’était associé à un organe de propagande chinois.

Catégories
Uncategorized

Une publication incendiaire de Trump pour tenter d’influencer l’élection au Canada

Après plusieurs semaines de silence, Donald Trump est revenu à l’attaque contre le Canada en publiant, le jour même de l’élection fédérale, un message percutant sur Truth Social, attaquant à nouveau le pays et appelant à l’élection de l’homme qui le transformerait, tout en insinuant que le Canada deviendrait le 51e État des États-Unis.

«Élisez l’homme qui a la force et la sagesse de réduire vos impôts de moitié, d’augmenter votre puissance militaire, gratuitement, au plus haut niveau mondial, de faire quadrupler votre voiture, votre acier, votre aluminium, votre bois, votre énergie et toutes les autres entreprises, SANS TARIFS NI TAXES, si le Canada devient le 51e chéri». «Elect the man who has the strength and wisdom to cut your taxes in half, increase your military power, for free, to the highest level in the World, have your Car, Steel, Aluminum, Lumber, Energy, and all other businesses, QUADRUPLE in size, WITH ZERO TARIFFS OR TAXES, if Canada becomes the cherished 51st».

Getty Image

Bien que Trump ne désigne aucun candidat directement, son message suggérant de voter pour lui est perçu par plusieurs comme une tentative manifeste d’ingérence destinée à influencer l’issue d’une élection démocratique au Canada.

Cette nouvelle sortie survient après plusieurs mois durant lesquels Donald Trump avait multiplié les menaces à l’égard du Canada, ébranlant profondément l’opinion publique en affirmant que le pays deviendrait le 51ᵉ État américain et en suggérant que Justin Trudeau, alors premier ministre, serait relégué au rôle de gouverneur du Canada.

Getty Images

La vague de choc avait déjà provoqué une chute spectaculaire du Parti conservateur de Pierre Poilievre, autrefois en tête des sondages, mais désormais largement distancé en raison de son alignement direct sur les positions politiques de Donald Trump.

Marc Carney, le nouveau chef du Parti libéral succédant à Justin Trudeau, a profité de ce revirement pour prendre une avance considérable dans les sondages.

Getty Images

L’intervention de Trump, publiée le jour même du scrutin, est dénoncée comme une tentative d’ingérence étrangère directe dans le processus démocratique canadien.

Catégories
Uncategorized

Trump trouve «plus difficile que prévu» de finir la guerre en Ukraine

Alors que Trump avait promis de mettre fin à la guerre en Ukraine dès son premier jour à la présidence, les semaines se sont écoulées sans qu’aucune issue claire ne se dessine.

Five days before his 100th day in office, President Trump is frustrated his efforts to broker a peace deal between Russia and Ukraine have so far fallen short, and has privately told advisers that mediating a deal has been more difficult than he anticipated, sources told CNN.

CNN (@cnn.com) 2025-04-24T23:54:21.589Z

Selon une source de CNN, la frustration commencerait à se faire sentir chez le président, qui admettrait désormais en privé qu’un accord de paix en Ukraine «a été plus difficile que prévu» «has been more difficult than he anticipated».

Getty Images

Lors de discussions privées, Trump exprimerait sa frustration et reconnaîtrait avoir sous-estimé la profondeur de l’animosité entre Poutine et Zelensky, ce qui, selon lui, expliquerait la lenteur des négociations.

Trump se montrerait étonné du refus de l’Ukraine face au plan de paix proposé par son administration, un plan qui ne prévoit aucune concession de la part de la Russie, tout en exigeant que Kyiv renonce aux territoires occupés ainsi qu’à son projet d’adhésion à l’OTAN.

Getty Images

Pendant ce temps, les bombardements russes se poursuivent, dont une frappe récente sur Kyiv qui a poussé Trump à publier sur TruthSocial: «Très mauvais timing» «Very bad timing», avant d’ajouter: «Vladimir, Stop!».

Récemment interrogé par un journaliste au sujet des concessions accordées par Poutine, laissant entendre que le plan de Trump favorisait la Russie, Trump a répondu que la véritable concession de Poutine était de «mettre fin à la guerre» «Stopping the war» et de ne pas s’emparer de l’Ukraine dans son intégralité.

Getty Images

Rapellons que depuis le lancement des efforts de médiation par le président Trump, le président ukrainien Volodymyr Zelensky s’est montré disposé à envisager un accord de paix, à condition que la souveraineté de l’Ukraine soit respectée.

Cependant, la Russie a répondu de manière évasive, rejetant plusieurs propositions américaines et continuant ses attaques, notamment sur Kyiv, ce qui complique les négociations.

Catégories
Uncategorized

Révoltée, la présidente mexicaine accuse Trump de «propagande discriminatoire»

La présidente mexicaine Claudia Sheinbaum dénonce une campagne publicitaire de l’administration Trump qu’elle qualifie de «propagande discriminatoire».

Mexican President Claudia Sheinbaum says her government plans to ban advertisements from the Department of Homeland Security, which show Secretary Kristi Noem warning migrants not to enter the United States illegally.

CNN (@cnn.com) 2025-04-24T01:13:18.310Z

Sheinbaum annonce son intention d’interdire une publicité mettant en cause le Département de la Sécurité intérieure des États-Unis et Kristi Noem, qui ont récemment franchi la frontière du Mexique pour adresser aux migrants un message menaçant: «Nous vous traquerons».

Getty Images

Cette publicité a poussé Sheinbaum à annoncer des propositions de réforme visant à interdire aux gouvernements étrangers de diffuser, au Mexique, ce qu’ils considèrent comme de la propagande politique ou idéologique

La publicité mettant en vedette Kristi Noem, diffusée notamment pendant un match de soccer en heure de grande écoute, a été qualifiée par Sheinbaum de «propagande discriminatoire».

Getty Images

Claudia Sheinbaum affirme que cette même publicité de propagande américaine aurait également été diffusée à la radio et relayée sur les réseaux sociaux.

Elle insiste sur le fait que le Mexique «n’est pas d’accord» avec cette propagande visant la population migrante.

Getty Images

Selon CNN, l’administration Trump et le Département de la Sécurité intérieure se réjouiraient de l’efficacité présumée de la publicité, affirmant qu’il y aurait une baisse générale des passages à la frontière, sans cibler spécifiquement le Mexique.

Aucune preuve tangible n’a cependant été présentée pour établir un lien direct entre la baisse des traversées et la campagne publicitaire, plutôt que les tensions économiques, notamment les guerres tarifaires.

Getty images

Ces tensions coïncident avec une nette baisse de l’intérêt à séjourner aux États-Unis, constatée à l’échelle mondiale, y compris à la frontière canadienne. Cette tendance s’est accentuée après plusieurs déclarations offensantes de Trump à l’égard du Canada, qui ont conduit de nombreux Canadiens à boycotter les États-Unis.

Catégories
Uncategorized

La Chine accuse Trump de «fake news»

Le gouvernement chinois a retourné à Trump son expression favorite en le taxant de «fake news», après que ce dernier a laissé entendre que des pourparlers étaient en cours entre les deux pays pour mettre fin à la guerre tarifaire qu’il a lui-même déclenchée.

Chinese officials have insisted that no tariff negotiations are occurring, even as President Trump — whose trade war has rattled financial markets and threatened to disrupt huge swaths of trade — suggested on Friday that he has been in touch with Xi Jinping.

The New York Times (@nytimes.com) 2025-04-25T15:46:13.269Z

Le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Guo Jaikun, a qualifié de «fake news» les déclarations répétées de Trump cette semaine, dans lesquelles le président américain affirme que la Chine et les États-Unis seraient «activement» en train de discuter de questions commerciales.

Getty Images

Trump a même déclaré, en réponse à des questions de journalistes, que deux représentants s’étaient rencontrés pour entamer des discussions.

Cependant, selon ABC News, il a refusé de révéler l’identité des participants à ces prétendues négociations, tandis que la Chine continue d’affirmer que Trump dit des mensonges.

Getty Images

Plus tard, dans une entrevue accordée au Times, Donald Trump a maintenu que des discussions étaient en cours entre la Chine et les États-Unis, allant jusqu’à affirmer que le président Xi l’avait personnellement appelé à plusieurs reprises pour évoquer la question.

Du côté chinois, les autorités démentent être en train de «négocier activement» avec les États-Unis, affirmant qu’aucune consultation, aucune négociation sur la question des tarifs n’est en cours.

Getty Images

Cette déclaration remet fortement en cause les progrès des négociations que Trump affirme avoir réalisés.

Catégories
Uncategorized

Le comportement d’Elon Musk s’avère lourd de conséquences pour Tesla, dont les bénéfices ont dégringolé de 71%

Malgré une hausse de plus de 7% des ventes mondiales de véhicules électriques, Tesla a enregistré un recul de 13% de ses propres ventes par rapport à la même période l’an dernier, entraînant un effondrement de ses bénéfices, en chute libre de 71% au premier trimestre 2025.

Billionaire Elon Musk said he will step back from the U.S. DOGE Service next month and focus on Tesla, his reeling electric vehicle company, which on Tuesday reported a stunning 71 percent plunge in profits compared with the first quarter of 2024.

The Washington Post (@washingtonpost.com) 2025-04-23T12:02:46.607Z

Une baisse majoritairement attribuée aux vives controverses entourant Elon Musk, notamment son engagement politique américaine aux côtés de Trump avec le DOGE, ses propos et gestes controversés et sa proximité avec l’extrême droite.

Getty Images

Ce revers majeur a poussé le PDG à annoncer aux investisseurs de Tesla qu’il allait prendre un certain recul par rapport au DOGE dès le mois prochain, afin de recentrer une partie de son attention sur l’entreprise de véhicules électriques.

Elon Musk a toutefois affirmé ne pas avoir l’intention de se retirer complètement du DOGE, précisant qu’il restera fortement impliqué au sein du département sous l’administration Trump jusqu’à la fin du mandat de Donald Trump.

Getty Images

Les déclarations et comportements erratiques d’Elon Musk ont manifestement rebuté une partie de la clientèle de Tesla qui était déjà fragilisée par la montée en puissance de concurrents dans le secteur des véhicules électriques.

L’entreprise doit désormais faire face aux tarifs douaniers imposés par Donald Trump, ce qui complique encore davantage sa situation.

Getty Images

En plus d’avoir tenté de rassurer les investisseurs sur son implication renouvelée dans l’entreprise, Elon Musk a également cherché à les apaiser quant à sa position sur les tarifs douaniers, affirmant plaider en faveur d’une réduction.

Il a toutefois précisé que, en fin de compte, les décisions reviennent au président.