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«Grosse, et puis?», un ouvrage important pour combattre la grossophobie

La grossophobie est partout dans notre société! On n’a qu’à penser à cette culture des régimes qui nous incite constamment à croire qu’on sera plus jolie « si on perd quelques kilos » ou qui pousse plusieurs influenceures populaires à faire la promotion de diverses tisanes « détox » qui ne sont en vérité que des laxatifs fancy. Ou encore, on peut penser à tous ces commentaires odieux qui pullulent sur les réseaux sociaux lorsqu’une personne grosse OSE annoncer au monde qu’elle s’aime comme elle est (ou juste qu’elle se permet d’exister en ligne). Certains crient au mensonge, persuadés que c’est impossible de s’aimer dans un corps gros, alors que d’autres ne se gênent pas pour prétendre qu’un tel comportement ferait la « promotion de l’obésité » plutôt que de l’amour de soi et de la diversité des corps. Bref, la grossophobie s’immisce partout dans notre quotidien et dans nos pensées et Edith Bernier signe un ouvrage important pour la combattre enfin!

Dans Grosse, et puis?, l’auteure qui est aussi derrière le blogue La Backpackeuse taille plus et le site grossophobie.ca, propose de nous éduquer sur ce qu’est la grossophobie en plus de nous donner des exemples clairs et des suggestions d’actions pour changer les choses très concrètement. Avec cet ouvrage, on a entre les mains un véritable outil de lutte contre les préjugés tenaces qui affectent notre estime personnelle ainsi que notre perception des autres et nos rapports avec eux.

Loin de nous culpabiliser, l’ouvrage d’Edith Bernier est fondé sur des faits, des statistiques et des anecdotes personnelles qui nous font comprendre la réalité quotidienne des personnes grosses dans la société dans laquelle nous vivons. On ne peut plus nier; la réalité nous est exposée telle qu’elle est!

Par exemple, saviez-vous qu’une étude américaine a démontré que plutôt que d’être considérées comme « obèse », 30% des personnes sondées préfèreraient être divorcées, 25% aimeraient mieux être incapables d’avoir des enfants, 15% seraient prêtes à mourir 10 ans plus tôt, 15% choisiraient de vivre une dépression majeure, 14% aimeraient mieux être alcooliques, 5% se feraient plutôt amputer un membre et 4% aimeraient mieux être aveugles? Des chiffres absolument choquants qui révèlent sans cachette à quel point les humains détestent les corps gros.

Bref, ce livre est une lecture importante sur laquelle tout le monde devrait mettre la main; ne serait-ce que parce que personne n’est à l’abri des préjugés et que c’est absolument libérateur de prendre conscience des idées erronées qui pèsent sur nos existences.

« On a plus que besoin d’un outil de référence sur la grossophobie, pour la comprendre et pour démontrer qu’il existe une discrimination réelle et indéniable envers les personnes grosses. Cette marginalisation a des conséquences incontestables. On a besoin d’un livre sur la grossophobie pour mieux la démontrer. Et on doit la démontrer pour la démonter » peut-on lire au début du premier chapitre de l’ouvrage.

Vous croyez que vous n’avez aucun préjugé face au poids, à la santé, aux personnes grosses? Tant mieux si ce livre vous confirme ce que vous croyez, c’est génial! Et s’il vous révèle plutôt que certains préjugés sont plus insidieux que vous ne le croyiez, eh bien, ce n’est pas dramatique. Cette lecture sera une belle opportunité de découvrir comment changer ça!

Grosse, et puis? est disponible via le site Les libraires

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La pression sexuelle de la «normalité»

Je suis ébahie chaque semaine quand je me rends compte que nous n’avons jamais vécu dans une époque où on parlait aussi librement de sexualité, pour que finalement, ça vienne ajouter de la pression aux gens à être dans la norme. 

Voilà est l’idée que nous avons. Tout le monde a une vie sexuelle épatante, sauf vous. Je travaille comme sexologue auprès d’une clientèle entre 25 et 35 ans, et je constate que les difficultés sexuelles sont beaucoup plus répandues qu’on le croirait. 

Parmi celles qui me lisent, je sais, avec certitude, qu’il y en a qui sont insatisfaites de leur sexualité et qui n’en parlent pas parce qu’elles se disent  « je suis jeune… les problèmes sexuels n’affectent que les plus vieux… toutes mes amies parlent ouvertement de sexe et je n’ose pas dire que ça fait 6 mois que je n’ai pas eu de rapport sexuel » ou quelque chose du genre. Si c’est votre cas, vous êtes loin d’être seule à vivre cette situation. Eh oui, même « à votre âge ».

Notre sexualité est complexe et est influencée par une multitude de facteurs. Certaines personnes qui ont une baisse de désir depuis des lustres achètent des jouets sexuels (dispendieux) pour se rendre compte que le problème persiste. 

Se forcer à faire l’amour tous les jours est une autre tactique que j’ai déjà entendue pour essayer de régler des difficultés sexuelles. Cette « solution » n’est pas aidante à long terme, car elle ne s’intéresse pas à comprendre les racines du problème.

De plus, cette « tactique » perpétue la fausse croyance que la fréquence sexuelle est synonyme de satisfaction sexuelle et continue de véhiculer l’idée que la majorité des gens ont des rapports sexuels quotidiens. Ce n’est pas nécessairement le cas dans la réalité.

Les femmes et les hommes vivent un stress de performance sexuelle, différente à leur manière. Mettre l’emphase sur la performance (« je dois avoir un orgasme ») et non sur l’expérience (le plaisir, le partage, une connexion) est une manière d’assurer sa misère sexuelle.  Notre idée de ce qui est « normal » est totalement fausse : toutes vos amies femmes n’ont pas systématiquement des orgasmes et tous les hommes n’ont pas constamment envie de sexe. Je vois chaque semaine des exemples de messages intériorisés qui sont dans le style « tout le monde est …. sauf moi » quand c’est faux.  

En tant que sexologue, je vous assure que la sexualité n’est pas une norme à performer, ni pour vous, ni pour votre entourage. 

Votre sexualité, vous devriez la vivre, et non la subir. 

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«T’avais juste à mettre tes limites»

Mettre ses limites. Trois mots qu’on entend souvent, qui sonnent simples. Mais en fait, quand on pense que nous devons le faire pas mal tout le temps, un peu partout, c’est le travail d’une vie, genre.

On peut faire ça en prenant du recul sur une situation, en arrêtant de parler à certaines personnes, en prenant des pauses, en revoyant nos priorités, en changeant d’activité. On peut faire ça de plein de façons différentes et c’est ça qui est cool.

Ce qui l’est beaucoup moins, évidemment, c’est le contexte. Avec la vague de dénonciations qui a eu lieu récemment, je me rends compte à quel point c’est difficile d’imposer nos limites lorsque les autres ne sont pas ouverts à les respecter. Il faut accepter que nos limites ne sont pas les mêmes que celles de nos ami.e.s, nos collègues, notre partenaire ou les membres de notre famille. Dans tous les cas, elles restent valides et doivent être respectées. C’est vital et c’est la base des relations saines.

Mettre nos limites n’est jamais coulé dans le béton, c’est le genre de chose qui prend du temps, qui se fait par étapes, par micro-étapes s’il le faut. Ça implique souvent des essais-erreur, car il arrive que les autres ne comprennent pas que l’on a une manière différente de fonctionner. Juste l’option de mettre son pied à terre et de s’affirmer peut impliquer beaucoup d’enjeux à prendre en considération.

Ça ne devrait jamais être le cas.

Plusieurs souvenirs me sont revenus en mémoire récemment. Des souvenirs pas le fun. J’ai accepté des choses souvent pour plaire, j’ai flanché littéralement et cédé à des personnes insistantes juste parce que l’option du « non » n’était pas dans les choix de réponse que je pouvais donner. À certains moments, cela semblait même être un concept étranger pour elles. Je ne parle pas d’un événement ou d’un contexte bien précis, mais c’est arrivé souvent: mes limites n’ont pas été respectées même si je les ai énoncées clairement.

L’une des choses les plus difficiles, c’est lorsque nous mettons nous-mêmes nos limites en doute. Lorsque ça m’arrivait, je me disais que je pouvais « faire un effort », faire « un essai, juste pour voir », aider quelqu’un quand je le pouvais même si ça impliquait finalement de m’épuiser à mon tour, toujours craindre les représailles.

Mais l’affaire, c’est que nos limites, elles peuvent changer d’une journée à l’autre, d’un contexte à un autre. Ce n’est pas parce que l’on aide beaucoup une fois que l’on sera disponible à le faire tout le temps. Ce n’est pas parce que l’on dit « oui » une fois que ce sera toujours la même réponse plus tard. Ce n’est pas parce que l’on essaie un truc une fois que l’on va forcément aimer ça et vouloir recommencer.

Qu’on se le dise une fois pour toutes, c’est normal! Les limites d’une personne ne sont ni un défaut de fabrication, ni une erreur de parcours. Ce sont des décisions éclairées qui sont prises chaque jour, à chaque instant.

J’ai hâte que l’on cesse de blâmer les victimes pour des choses qu’elles « n’auraient pas faites » (à traduire: de limites qu’elles n’auraient pas imposées). J’aimerais qu’il n’y ait plus de « vagues » de dénonciations, mais plutôt une écoute et un espace pour les personnes qui ont été victimes, sans qu’elles ne soient mises en doute ou minimisées.

En tout temps.

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Addition Elle est de retour et c’est une excellente nouvelle!

On a LA meilleure nouvelle de la semaine à vous partager! Addition Elle est de retour et il est possible dès maintenant de magasiner des items de la marque!

Eh oui, vous avez bien lu : le site web de Penningtons comprend maintenant une section entière réservée pour Addition Elle. On retrouve plusieurs centaines d’items au style moderne et tendance de la marque. Il est même possible de naviguer selon les catégories de vêtements, un peu comme si nous étions directement sur le site web d’Addition Elle.

Lorsque le groupe Reitmans a annoncé la fermeture définitive d’Addition Elle il y a plusieurs semaines, ça avait créé une onde de choc dans le milieu de la mode taille plus. Il y a déjà peu d’options de magasins qui proposent de beaux vêtements tendance que perdre Addition Elle était d’une grande tristesse.

Heureusement, la marque pourra continuer d’exister et c’est une excellente nouvelle!

Visitez la section web d’Addition Elle juste ici.

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Cette entreprise vous permet de créer votre rouge à lèvres personnalisé!

Si vous êtes un peu familier.ère avec le monde du maquillage, vous connaissez sûrement la marque BITE Beauty. Spécialisée en produits pour les lèvres, BITE Beauty est une des marques les plus réputées en ce qui a trait aux rouges à lèvres, aux gloss et aux soins pour les lèvres.

Depuis quelque temps déjà, la marque offre un service personnalisé et original, le Lip Lab, qui permet aux gens de créer un rouge à lèvres personnalisé. Le comptoir interactif était uniquement disponible à leur succursale sur Queen Street, à Toronto, jusqu’à tout récemment… La marque a en effet décidé d’étendre les services du Lip Lab à l’ensemble du Canada, incluant le Québec, grâce à l’utilisation de la vidéoconférence.

J’ai eu l’occasion de tester le service et je vous raconte tout le processus!

Étape 1 : Lorsqu’on se connecte, on fait connaissance avec l’experte couleur qui nous aidera à créer notre nuance parfaite de rouge à lèvres. On se fait tout d’abord demander de parler davantage de notre routine de maquillage et de ce qu’on aime porter comme couleur de rouge à lèvres. Dans mon cas, lorsque je me maquillage, j’ai tendance à me concentrer plus sur les yeux que les lèvres, j’aime donc rester dans des teintes naturelles et subtiles de rouge à lèvres.

Étape 2 : Après avoir déterminé quelle palette de couleurs nous vouons pour notre rouge à lèvres ainsi que notre fini (plusieurs choix sont disponibles, du rouge à lèvres mat au gloss), l’experte en couleur sélectionne quelques teintes qu’elle mélangera devant nous. Cette étape est très intéressante, car l’experte tourne sa caméra vers son travail et il est possible de voir exactement quelle couleur elle sélectionne pour faire le mélange.

Pour ma part, ça a pris deux mélanges avant que je tombe sur ma couleur idéale.

Crédit:Lip Lab

Étape 3 : Une fois la couleur trouvée, l’experte nous demande quelle « odeur » nous voulons pour notre rouge à lèvres (j’ai opté pour violette, mais il y avait plusieurs options, comme menthe, vanille, agrumes, etc.) et quel nom nous souhaitons donner à notre produit personnalisé (c’était l’étape la plus difficile, haha! Je vous conseille de penser à un nom à l’avance). Il est même possible de choisir la calligraphie utilisée pour le nom de notre rouge à lèvres!

Le jour même, j’ai reçu quelques vidéos et photos du processus de fabrication de mon rouge à lèvres et le colis est parti très rapidement. Je l’ai reçu à peine 48 heures plus tard et c’était accompagné d’un petit cadeau contenant quelques produits populaires de BITE Beauty en format échantillon. L’emballage était adorable!

Crédit:Alexandra Mayor

Niveau prix, il y a une promotion en ce moment et pour un rouge à lèvres et un petit cadeau surprise, le tarif est de 45$ (je crois que les prix sont en US, par contre). C’est sûr que c’est un peu dispendieux pour un seul rouge à lèvres, mais l’expérience de créer votre propre couleur et avoir un rouge à lèvres à votre nom vaut vraiment le prix.

Le seul bémol que j’aurais à ajouter, c’est qu’à certains moments durant la vidéoconférence, la connexion ralentissait et je perdais un peu de ce que l’experte expliquait. Aussi, j’ai trouvé que les couleurs montrées à l’écran pour le rouge à lèvres ne reflétaient pas entièrement la réalité. J’ai été un peu surprise quand j’ai reçu mon rouge à lèvres, je m’attendais à une couleur un peu plus foncée, car c’est ce que je voyais à l’écran. Si j’avais à refaire l’expérience, je demanderais simplement à l’experte couleur de me montrer les essais de plus près et avec différents angles!

Somme toute, je recommande entièrement l’expérience du Lip Lab en mode virtuel. Il y a quelque chose de vraiment spécial à créer son propre rouge à lèvres et les produits BITE Beauty sont d’une grande qualité!

Pour plus d’infos sur le service, cliquez ici.

Merci à Deanne et au Lip Lab pour la géniale expérience.

Je ne suis pas payée pour vous parler du Lip Lab.

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J’ai testé une permanente maison pour 2$

Sujet du jour : la permanente! Lorsque j’entendais le mot « permanente » avant aujourd’hui, je m’imaginais constamment une crinière dans ce style :

Alors, je n’avais jamais osé essayer. J’ai toutefois gardé en moi le désir d’essayer et le fantasme qu’un jour, je réussirais à dompter mes cheveux en y créant de belles boucles qui durent. Jusqu’au jour où j’ai trouvé en pharmacie… La permanente Christian Martin pour seulement 2$ taxes incluses.

Crédit:Crédit: Audrey Lepage

Mon fantasme est devenu réalité. Eh oui, 2$. À ce prix là, j’étais à la fois sceptique et ouverte à essayer une bonne fois pour toutes! En plus, il ne restait qu’une boîte sur la tablette et elle était destinée aux cheveux colorés! Si ça, ce n’est pas un signe…

Et devinez quoi? Ça a fonctionné! Une heure plus tard, je me suis retrouvé avec des boucles (ou plutôt des beach waves) bien définies. Deux semaines plus tard, je suis toujours contente du résultat et mes cheveux se portent à merveille. 

J’ai même l’intention de recommencer!

Tout ce dont vous aurez besoin

Il vous faudra évidemment la boîte du produit pour la permanente, des bigoudis selon la grosseur des boucles désirées (voir la fin de l’article pour en savoir plus) ainsi qu’un sac pour recouvrir vos cheveux et une paire de gants. C’est tout ! Aussi, il est recommandé de teindre vos cheveux quelques jours avant ou quelques jours après la permanente.

Fun fact : je n’avais pas de bigoudis avec moi, j’ai donc inventé une méthode pour rouler mes cheveux. Aussi, j’avais décoloré mes cheveux dans la même journée, ce qui n’est pas recommandé pour éviter les dommages. Mais bon, je suis rebelle et têtue. Je suis aussi heureuse de constater que malgré tout, mes cheveux ne sont ni secs, ni brisés, ni brûlés.

Les différents formats de bigoudis

Plus les bigoudis que vous choisissez sont gros, plus vos boucles seront souples alors qu’au contraire, des petits bigoudis donneront des boucles très serrées. Si vous désirez obtenir des boucles plus naturelles avec une ondulation volumineuse, préférez des bigoudis avec un diamètre entre 4 et 6 centimètres. Pour une tête pleine de petites boucles, préférez des bigoudis d’un diamètre entre 1 et 2 centimètres. Finalement, en choisissant des bigoudis d’un diamètre compris entre 3 et 5 centimètres, vous obtiendrez de jolies boucles bien définies.

Voilà tout ce que vous devez savoir pour vous lancer! Avez-vous déjà essayé une permanente à la maison?

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La Semaine du burger est de retour pour une édition 100% «fromagée»

Si vous aimez les burgers ET le fromage, vous serez ravis d’apprendre que La Semaine du burger revient à Montréal pour une 9e édition sous le thème « La Semaine du burger au fromage »!

C’est en collaboration avec Saputo que cette nouvelle édition se déroulera dans plusieurs dizaines de restaurants à travers le Canada. Les chefs sont invités à créer la recette de leur choix tant que celle-ci inclue du fromage ou du fauxmage pour les options végétaliennes.

Évidemment, puisqu’il s’agit aussi d’une compétition, trois grands vainqueurs seront couronnés à la fin de l’édition 2020. Un des prix est déterminé par le choix du public, donc n’oubliez pas d’aller voter après avoir dégusté votre burger!

Autre fait à noter, une partie des profits sera remise à Centraide, un organisme à but non lucratif qui aide plusieurs autres petits organismes.

La 9e édition se déroulera du 1er au 7 septembre dans plusieurs restaurants participants, dont Les Enfants Terribles, Le Clébard, Le Maggie Oakes ou encore La Brasserie 701.

Pour en savoir plus et connaître les restaurants participants, cliquez ici.

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5 essentiels pour la rentrée à Zoom-Université!

Pour tou·te·s les étudiant.es du Québec, cette rentrée scolaire sera bien différente. Je pense particulièrement à mes ami.es collégien·ne·s et universitaires qui devront s’adapter à la réalité de l’enseignement en ligne. Pour rendre le tout plus agréable, et parce que j’aime vraiment acheter des fournitures scolaires, je vous suggère quelques objets qui enjolivent un peu ma réalité d’étudiante de la TÉLUQ. Voici donc sans plus tarder, mes items préférés pour votre rentrée à Zoom-Université.

1. Sac à dos Fjällräven Kanken

Pourquoi commencer avec un sac à dos lorsqu’on est pris.e à la maison, me direz-vous? Et bien, il s’avérera utile pour ceux et celles qui auront une formule d’enseignement hybride et parce qu’à un moment donné c’est plaisant d’étudier ailleurs que chez soi pour changer d’air. Ce sac à dos au nom imprononçable fait partie de ma vie depuis plus d’un an et je l’adore. Il est léger, utilitaire, esthétiquement plaisant et est produit par une compagnie écoresponsable.

Ce sac à dos est disponible chez Simons!

2. Surligneurs Zebra Mildliners

On a tou·te·s vu ces jolis marqueurs sur les réseaux sociaux et je n’ai jamais regretté cet achat impulsif fait un beau jour chez Bureau en gros. On peut les utiliser pour enjoliver notre bullet journal, organiser nos notes ou encore pour s’initier à la calligraphie. On peut les acheter à l’unité ou en paquet et les 2 embouts les rendent assez polyvalents.

3. Gourde Hydro Flask

On sait tou·te·s que c’est important de bien s’hydrater et on peut franchement le faire avec une multitude de contenants réutilisables. Toutefois, si vous avez envie de vous gâter pour la rentrée et célébrer la VSCO Girl en vous, optez pour une gourde Hydro Flask. Elle vient en plusieurs couleurs et motifs, garde vos breuvages à la température voulue et vous pouvez faire comme sur Pinterest et les personnaliser avec des collants en vinyle de votre choix. Elles sont disponibles chez Atmosphère!

4. Bullet Journal Leuchtturm1917 

Je tiens un bullet journal depuis quelques années et c’est ma façon favorite de m’organiser. L’agenda ne fonctionnait plus pour moi et j’avais envie de laisser place à ma créativité sans nécessairement peindre un tableau, c’est alors qu’est arrivé cet objet versatile. Selon le temps que j’ai, je peux opter pour un style minimaliste ou élaboré et me faire plaisir en élaborant autant de listes que je veux. En plus il y a plein d’inspiration de « spreads » faciles à recréer sur les réseaux sociaux. Voici un lien pour te le procurer!

5. Cahier Five Star 5 sujets

Ce dernier item, mais non le moindre, me suis depuis le début de ma formation universitaire. C’est un cahier qui peut avoir l’air banal, mais la façon dont il est divisé est parfaite pour un horaire de 5 cours. Toutes mes notes et mes exercices se retrouvent au même endroit pour toute la session et il y a même des pochettes pour ne rien perdre dans le fond du sac à dos. Définitivement un item à petit prix à essayer!

Crédit:bloglovin.com

Bonne rentrée à tou.t.es!

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Cette websérie sur l’agriculture urbaine est drôle et inspirante!

Faites-vous partie des nouveaux jardiniers urbains de l’été 2020? Moi, oui! Même si j’avais déjà comme projet de me faire un jardin cet été, bien avant que la pandémie s’en mêle, je dois avouer que le confinement m’a permis de mieux réfléchir aux légumes que je voulais faire pousser, à comment organiser mon potager urbain et surtout, à lire de tonnes d’infos sur le sujet!

Je suis loin d’être la seule à m’être intéressée au jardinage urbain, puisqu’une équipe de finissants de l’École des médias de l’UQAM a réalisé une websérie complète sur le sujet en suivant le projet de Catherine, une jeune femme de 23 ans qui a toujours habité en ville et qui voulait cultiver ses propres légumes cet été.

La charmante websérie se nomme La ruelle côté jardin et se déroule en sept capsules d’environ 7 à 8 minutes chacune. On y voit alors tout le processus de Catherine, de la réflexion à la récolte! En plus d’être très drôle, la websérie est aussi une mine d’or d’informations pour tous les jardiniers urbains apprentis. Je me suis retrouvée dans plusieurs moments présentés dans les épisodes, comme à l’épisode 4, Entretien du jardin, où l’introduction m’a vraiment faire rire. Disons que jardiner, ça amène son lot de défis!

Si vous vous intéressez à l’agriculture urbaine, je vous recommande vraiment cette mini websérie amusante et intéressante. On y apprend 2-3 trucs, on fait la découverte de belles entreprises d’ici (Les Boîtes Mai et Partage Ta Terre), on rit et on sourit devant les résultats du travail de Catherine. En plus, toutes les récoltes seront distribuées à des organismes oeuvrant auprès des personnes dans le besoin.

Vous pouvez visionner l’intégralité de La ruelle côté jardin juste ici.

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Vous pourrez enfin voir l’exposition Christian Dior à Montréal!

Christian Dior est l’un des créateurs de mode les plus connus et réputés de l’industrie. Sa maison continue de flamboyer, même des années après son décès. Il a tellement apporté au vaste monde de la mode, autant pour le prêt-à-porter que pour la haute couture.

Les Montréalais.es auront bientôt l’occasion de se plonger dans l’univers du créateur, puisque le Musée McCord accueillera l’exposition Christian Dior dès la fin septembre.

Crédit:Laziz Hamani

Conçue par le Musée royal de l’Ontario, l’exposition Christian Dior explore le talent et le génie derrière certaines des créations les plus spectaculaires du designer. On plonge dans les années post Seconde Guerre mondiale, de 1947 à 1957, afin d’en savoir plus sur la grande influence de Christian Dior.

L’exposition est une présentation de Holt Renfrew Ogilvy. Elle débute le 25 septembre et restera au Musée McCord jusqu’au 3 janvier 2021. Plusieurs activités en lien avec cette exposition seront proposées!

Pour en savoir plus, visitez le site web du Musée McCord.