Je suis dans la vingtaine. J’ai la vie devant moi. C’est quand même très long « la vie ». J’ai un peu peur quand je le dis de cette façon-là. Je suis certaine que je ne suis pas la seule. Pleins de questions me viennent constamment à l’esprit quand je pense au futur. Est-ce que je veux une maison? Est-ce que je veux des enfants? Où est-ce que je vais vivre? Est-ce que je vais avoir deux ou trois chats?
Une question qui revient souvent est celle quant à mon futur emploi. J’ai beaucoup de difficulté à savoir ce que j’aime parce que j’ai l’impression de tout aimer. La pandémie a amplifié l’écho de ces questions qui résonnent dans mon crâne. J’ai eu trop de temps pour réfléchir. C’est bien de réfléchir, de prendre le temps de le faire. Du moins, c’est ça qu’on me dit souvent. Le problème est que moi, je n’ai jamais pris le temps de réfléchir. Les fois où je l’ai faite, j’ai soit pleuré, soit j’ai décidé d’aller faire une autre activité plus proactive. Une activité qui garde mon esprit bien occupée. #J’aiGraduéEnÉvitement
C’est lors d’un après-midi de défilage de fil d’actualité Facebook que je suis tombée sur une publication de mon université qui me rappelait que j’avais accès à plusieurs services gratuitement en tout temps, mais surtout en ces temps de confinement. L’un de ces services était celui d’une rencontre avec un.e conseiller.ère en orientation.
« Pfff. J’en ai fait des tests de personnalité en secondaire 5. Je me connais assez bien. Je sais même mes quatre lettres du test MBTI » me suis-je dit en continuant de m’occuper l’esprit avec les publications un peu ennuyantes de mon réseau Facebook. #SorryNotSorry
« Non, mais pour vrai, ce n’est pas une autre personne que moi qui va pouvoir me dire ce que j’aime ou ce que je devrais devenir plus tard! »
Bref, j’ai rempli le petit formulaire pour avoir un rendez-vous et trois jours plus tard, je me faisais appeler par une conseillère. J’adore mon expérience jusqu’à présent! Nous avons eu trois rencontres, et j’attends avec impatience la quatrième.
J’ai beaucoup discuté de moi, de mon passé, puis de ma raison pour consulter. J’ai, oui, complété un test… Sauf que c’était plus un document de réflexion guidé où j’ai répondu à des questions à courtes, moyennes et longues réponses. De ces réponses, ma conseillère et moi avons discuté des différents intérêts que j’avais, ainsi que de ceux que je semblais avoir, sans le savoir!
Je pensais vraiment me connaître. J’ai réalisé, au cours des dernières semaines, que certaines facettes de moi me sont complètement inconnues. Dans nos rencontres, j’ai aussi pu comprendre d’où me venaient certains intérêts. Ça a été un beau voyage intérieur. Je ne dirais pas que c’était facile; comme j’ai mentionné, je n’ai jamais vraiment pris le temps de pousser mes réflexions suite aux premiers relents de stress que créaient ces pensées. J’ai beaucoup appris sur moi, mais aussi sur le processus d’orientation en général. Jusqu’à présent, voici les trois plus grandes leçons que j’espère retenir de mon expérience.
Nos intérêts vont se modifier avec le temps; et notre emploi aussi. On ne choisit pas un emploi pour la vie! #MonNouveauMantra
On n’est pas « obligé.e » de travailler selon nos intérêts; il faut prendre en compte nos besoins. Et c’est correct de prendre en compte ses besoins à soi.
Ce que j’avais de besoin, c’était d’une méthode pour bien réfléchir, pas de quelqu’un qui me dise ce que j’aime ou ce que je devrais faire plus tard. La question « qu’est-ce que je vais faire de ma vie? » est une montagne. Chaque montagne peut être gravie un pas à la fois, mais c’est moi qui doit marcher. Ma conseillère d’orientation m’offre un fil conducteur, une main bienveillante que je peut tenir en plongeant tête première dans l’océan de multitudes de réponses qui peuvent résoudre l’énigme de la fameuse question.
À ma connaissance, tous les établissements scolaires secondaires et postsecondaires offrent, à divers niveaux, des services gratuits pour consulter un.e conseiller.ère en orientation. Saviez-vous que plusieurs programmes d’assurances collectives aussi? Vérifiez auprès de votre employeurs quels sont vos avantages offerts; une partie des frais de consultation ou un certain nombre de rencontres peuvent être remboursés.
Pour vrai, je recommande fortement l’expérience. Peut-être ne trouverai-je pas LA job que je veux faire. Ce qui est certain: je vais m’être découverte un peu plus. Et je vais avoir pris du temps pour réfléchir.
Il y a maintenant un an que je découvrais la fameuse méthode KonMari de Marie Kondo qui changerait complètement ma façon de voir le rangement. Pour ceux qui n’ont pas écouté la série sur Netflix (je vous le conseille grandement) ou lu son livre La Magie du rangement, cette méthode consiste à éliminer les objets en trop dans sa maison afin de ne garder que ceux qui nous rendent réellement heureux. C’est un processus bien défini (et assez long, pour être honnête) afin d’en assurer le succès. Vous vous demandez si l’effort en vaut réellement le coup? Voici mon avis sur cette technique, un an après!
Crédit: Tidying Up With Marie Kondo via IMDb
Les points positifs de la méthode KonMari
1- Vider la maison d’objets inutiles libère l’esprit
Grâce à la méthode de Marie Kondo, j’ai donné une dizaine de méga sacs de trucs futiles à des organismes de charité. Non seulement cela a libéré de l’espace dans ma maison, mais également dans mon esprit. Se lever le matin et voir une maison propre qui ne déborde pas de cossins inutiles, ça n’a pas de prix!
2- Classer les objets par catégorie est tellement plus pratique
Enfin fini le temps où je devais réexpliquer 40 fois à mon chum que les draps pour le lit double sont dans notre garde-robe tandis que les draps pour lit simple sont en bas dans la buanderie et que les draps pour la chambre d’invité sont dans le bac sous le lit d’invité, haha! Tout est simplifié, car tous les items identiques sont rangés dans le même endroit. Amen!
3- J’adore voir en un clin d’oeil ce que je détiens
Mes vêtements, livres et trucs de cuisine sont toujours bien organisés dans mes tiroirs et armoires. Ça m’évite ainsi du shopping excessif, car je me souviens maintenant où c’est rangé.
4- On retrouve une appréciation pour les choses qu’on possède
Le plus gros point positif de cette méthode est l’appréciation qu’on retrouve pour nos objets. Posséder moins et ne posséder que des items qui nous apportent de la joie nous fait réaliser à quel point on est chanceux de les avoir dans notre vie. Je sais, ça sonne quétaine, mais c’est vrai!
Les points négatifs de la méthode KonMari
1- Ça prend de la place pour les vêtements de toutes les saisons
Dans son livre, Marie Kondo recommande de laisser tous ses vêtements en tout temps dans sa garde-robe. Personnellement, voir mes bikinis en hiver et mon kit de skidoo en été, ça m’achale un peu. J’ai donc décidé de ranger les vêtements spécifiques à une saison dans des bacs au sous-sol… Oups!
2- Vider sa sacoche chaque soir est un peu superflu
C’est une pratique que j’ai rapidement abandonnée, car je ne voyais pas l’utilité de vider sa sacoche pour la remplir à nouveau le lendemain matin.
3- C’est plus long pour ranger son linge propre
C’est souvent l’objection #1 que je reçois quand je parle de la méthode de Marie Kondo. Oui, techniquement c’est plus long plier son linge en rectangles parfaits, mais c’est tellement génial de voir ses tiroirs bien organisés au lieu d’un tas de tissus en boule. À vous de voir.
Je crois sincèrement que la méthode KonMari vaut l’investissement de temps initial. Ma maison est bien organisée, donc je passe moins de temps à faire du ménage et j’arrête d’acheter en double ou en triple des items que je possède déjà. Je vous conseille de l’essayer!
Chaque fois que je jouis, j’ai envie d’écrire un livre sur l’orgasme. Après, je redescends sur Terre et bon, je me garde une petite gêne. Mais pas aujourd’hui : même revenue à mes sens, j’ai décidé d’en parler. Et si cet article est anonyme, ce n’est pas que j’en ai honte, mais bien pour ne pas mettre parents et ex dans l’embarras. Parce que j’ai eu mon premier orgasme à 28 ans. Sans jamais avoir su que je manquais quelque chose. Et que je ne souhaite ça à personne.
Je n’ai pas perdu ma virginité à 28 ans. Je n’ai pas eu mon premier jouet sexuel à 28 ans. J’ai eu une vie sexuelle active pendant plusieurs années avant ça, sans jamais vivre d’orgasme. J’ai eu du bon sexe, du sexe heureux, du sexe amoureux. Mais voilà, pas d’orgasme. Sans savoir que je n’avais pas d’orgasme, c’est bien ça le pire. Des amies m’ont dit que c’était vraiment triste… moi, je suis surtout bien contente que ça ait fini par venir (lolzzz). J’aurais pu passer à côté encore 28 autres années et ç’aurait été bien pire!
D’où je viens (et à bien des places, aussi), le sexe, c’était un peu tabou. On ne parlait pas de sexe sauf pour dire que ça devait se faire entre deux personnes mariées (bon, ça c’est déjà moins fréquent). Et encore, on ne savait pas trop de quelle façon le faire; que chaque mariage gère son sexe, pour le meilleur et pour le pire. Le sexe solo, lui… on n’en parlait juste pas. Je n’ai jamais eu de conversation sur la masturbation avant l’âge presque adulte et c’était à propos des gars.
La femme et la masturbation, je n’avais sincèrement AUCUNE idée de ce que c’était. Genre, tu te frottes toute seule… et…? Jusqu’à quand? Tu arrêtes quand tu es tannée? Le gars, y’a du jus qui sort un moment donné, mais la fille…? Il se passe quoi? Sérieux, là, je vous livre mes pensées jusqu’à 28 ans. Je n’accordais pas vraiment d’intérêt au plaisir solitaire, en fait, parce que j’avais comme croyance de base que le sexe, c’est à deux, point. Et les personnes seules, ben… je ne sais pas trop, c’est mieux de ne pas y penser; il y avait de quoi de sale dans l’idée de faire ça soi-même.
À 28 ans, par pure curiosité, ennui, hasard, j’ai sorti mon vibrateur (Oui, j’avais un vibrateur! Je savais bien que c’était un objet populaire, mais je comprenais peu l’engouement) et j’ai décidé de voir ce que ça faisait. Toute seule. Je l’ai laissé vibrer à une place fun et j’ai attendu, juste pour voir. C’est devenu intense, éventuellement, et j’ai failli l’enlever de là. Puis, j’ai eu l’idée de génie (un late bloomer génie, honnêtement) de le laisser là, juste pour voir. ET AH. MON. DOUX. C’EST VENU. OH WOW. Sérieux, ça a comme explosé dans ma tête: C’ÉTAIT ÇA! TOUS CES GENS QUI VEULENT DU SEXE, C’EST POUR ÇA!!!! C’EST ÇA QUI REND LES HUMAINS FOUS!!!!
Crédit: Giphy
Jusque-là, j’avais eu du plaisir sexuel, mais j’avais toujours trouvé que bon, même si ça rapproche un couple, que c’est du love pur, de la vulnérabilité, alouette, c’est un peu overraté, comme plaisir. Soudainement, jackpot, j’avais enfin la finale au bout des doigts et ça devenait soudainement vraiment plus intéressant. Je me souviens, j’avais envie d’en parler à TOUT LE MONDE, surtout à mes amiEs… au cas où une autre serait passée à côté de ça, t’sais!
On dirait qu’un « gars qui se crosse », c’est une image relativement normale. Et on s’attend qu’il se rende à sa finale. Mais une « fxmme qui se doigte », voilà, juste de l’écrire, je me sens sale. Et la finale n’est pas aussi évidente à faire venir.
Il y a toutes sortes de préjugés sexuels rattachés aux fxmmes; qu’elles devraient apparemment moins aimer le sexe, moins penser au sexe, avoir moins de partenaires sexuel.le.s — pour ne nommer que ces trois-là — au risque de passer pour des **mots pas très propres**. Le plaisir solo féminin fait partie de ces préjugés, on dirait bien. Mais comment est-ce possible d’avoir une intimité optimale avec un autre humain si on ne connaît même pas notre propre intimité? Notre propre anatomie?
Je sais pas ce que je brettais à 14-15-16-17 ans, quand j’étais une jeune femme pleine de rêves romantiques, mais je suis passée à côté de manipulations intéressantes qui m’auraient été bien utiles (surtout fun, en fait) dans les années qui ont suivi. C’est un méchant pan de mon éducation que j’ai escamoté là (et dont on m’a un peu privée, en rendant ça tabou)! Parce qu’on ne peut pas compter sur l’humain avec qui on a des rapprochements pour nous instruire, quand même! Pas dans un dossier aussi intime. Tant mieux si ça arrive, tant mieux si les échanges sont éducatifs, mais y’a bien des chances que ça ne se passe pas comme ça… et je me nomme ici en exemple!
Atteindre l’orgasme avec un.e partenaire, après, ça m’a pris encore des mois : je savais à peine comment faire marcher tout ça toute seule, alors à deux…! Par chance, j’avais à ce moment un partenaire qui « s’y connaissait » et qui a pu m’aider à atteindre ce merveilleux point avec lui. J’ai CA-PO-TÉ de vivre ça avec un autre humain pour la première fois. J’étais TELLEMENT reconnaissante (absurdement!) qu’il ait pris le temps de « s’occuper » de moi.
Crédit: Giphy
Maintenant, j’ai un bébé neuf. Je suis zéro à l’aise de m’imaginer un jour qu’iel va découvrir sa sexualité; laissez-moi mon p’tit bébé innocent magique, mais je ne veux vraiment pas qu’iel passe à côté de cet aspect de la sexualité. Intime et précieux, oui. Secret et tabou, NON MERCI. C’est une capacité extraordinaire qu’a notre corps de nous faire exploser comme ça de partout! On est conçus pour ça, je ne vois pas pourquoi ça devient plus tabou que toute autre fonction du corps. Il y a un cadre, des valeurs de base et tout ça à transmettre, mais se passer de jouir, ça devrait être un choix éclairé. Pas une erreur d’inattention.
Je suis (relativement) zen avec mon adolescence sans sexe, je comprends ce qui a créé ça, mais je refuse de le perpétrer. Sur ce, je vous laisse, j’ai du retard à rattraper…
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Billet : 2020 a été l’année de bien des catastrophes jusqu’à présent, mais clairement pas au niveau de ma chevelure. La pause forcée d’événements sociaux m’a fait revoir complètement ma routine capillaire et fait découvrir des produits qui vont rester à tout jamais dans mes musts. Pour vrai, je pense que mes cheveux n’ont jamais été aussi intéressants visuellement et au touché (surtout si on fait fi de ma repousse qui devient lentement mais sûrement un ombré non-désiré). #FausseBlonde
Bref, avant la pandémie, ça faisait déjà quelques rendez-vous que ma coiffeuse me répétait que je devrais toujours utiliser une huile pour mes cheveux. Pour faire court, j’ai vraiment une chevelure abondante et elle a tendance à s’emmêler juste en la regardant. C’est un combat de tout instant et je suis super lâche quand vient le temps d’entretenir ma crinière. Ça me prend des trucs simples et rapides, sinon je give up et j’espère un miracle le lendemain au réveil. (Spoiler alert: les miracles ne sont pas fréquents.)
Honnêtement, je n’avais jamais utilisé de l’huile et je voyais semi en quoi ça pouvait vraiment upgrader mes cheveux. J’utilise du revitalisant depuis aussi loin que je me souvienne, j’ai mes masques, mon spray protecteur thermique… Je croyais que j’avais tout dans mon attirail, mais j’avais tellement tort.
Pendant une soirée à magasiner sans but précis sur mon application de cosmétiques favorite, je suis tombée sur l’huile pour cheveux Ghost Oil de Verb. Tout d’un coup, j’ai entendu la voix de ma coiffeuse dans ma tête me rappeler que je devrais utiliser ce produit, mon index a atterri sur le bouton « Ajouter au panier » et juste comme ça, quelques jours plus tard, j’avais cette petite merveille dans ma boite aux lettres. #magie
J’étais vraiment impatiente de l’utiliser, alors je l’ai appliquée sur mes cheveux secs. Parce que oui : ça fonctionne autant sur les cheveux secs que mouillés. Mais comme bien des produits, ça prend un peu d’apprentissage. Par exemple, cette première fois, après m’être remise du parfum étrangement nostalgique de l’huile, j’en ai appliqué, directement avec mes mains au milieu de mes mèches. De prime abord, j’ai regretté, parce que ça faisait un effet mouillé que je ne voulais pas vraiment, mais j’ai passé un coup de brosse et le produit s’est bien réparti, laissant mes cheveux super doux et méga brillants. Déjà là, je savais que j’avais trouvé quelque chose de cool. L’absorption est rapide et ça n’alourdit pas les cheveux, contrairement à ce qu’on pourrait craindre d’une huile.
Même si l’application sur les cheveux secs pour ajouter de la brillance et tame les petits frisottis demeure parmi mes usages ponctuels, ce n’est pas pour cette raison que je ca-po-te sur ce produit. J’arrivais à la fin de mon revitalisant et avec le shipping qui connaît des petits retards ces temps-ci, je devais trouver une solution temporaire pour garder mes cheveux sous contrôle. C’est là que je me suis souvenu que le produit fonctionnait aussi sur les cheveux mouillés.
Non seulement il nourrit les cheveux sans laisser de résidu, mais l’effet démêlant est encore plus efficace que les revitalisants que j’ai essayés jusqu’à présent. De plus, c’est un produit non testé sur les animaux, végane et qui ne contient pas de produits indésirables comme les formaldéhydes ou les parabènes. On retrouve plutôt des ingrédients nourrissants comme l’extrait de bambou et l’huile d’argan, qui confèrent aux cheveux non seulement une apparence saine, mais qui les aident aussi à être plus résistants et plus forts au quotidien.
Je vous partage ma technique non brevetée, mais clairement éprouvée, pour maximiser votre application :
Assécher les cheveux avec une serviette après le lavage avec votre shampoing favori. Ils doivent être encore humides de la racine à la pointe, mais ne plus couler sur votre dos, mettons.
Mettre deux coups de pompe de produit sur le bout des doigts et frotter pour le chauffer et le répandre dans vos mains. En le mettant sur une plus grande surface des doigts, ça se répartit vraiment mieux (par contre, je ne sais pas si la température change réellement quelque chose, mais ça donne l’air de savoir ce qu’on fait).
Avec un peigne (ou encore avec les doigts, ça fonctionne aussi), démêler les cheveux et répartir le produit, en évitant de trop insister sur la racine. Les noeuds se défont aisément. C’est aussi à ce moment qu’il est important d’ajuster la quantité d’huile. Je fais souvent un check-up de mes mains pour voir s’il reste du produit. Parfois, je dois en ajouter un peu pour bien couvrir chacune de mes mèches.
Sécher les cheveux (ou les laisser sécher naturellement). L’huile agit aussi comme protection thermique, alors aucun besoin d’ajouter quoi que ce soit.
Pour la finition, s’il reste quelques frisottis rebelles, appliquer à nouveau au moment de les coiffer, pour un look impeccable et une chevelure brillante à souhait.
Aussi simple que ça! Cette huile pour les cheveux va dorénavant remplacer mon utilisation du revitalisant puisque les résultats parlent d’eux-mêmes. En plus, j’ai l’impression que malgré sa petite taille, la bouteille va me durer pas mal de temps. C’est le match parfait!
L’huile pour cheveux Ghost Oil de Verb est disponible ici au coût de 20$ pour une bouteille de 60ml.
Nous ne sommes pas payées pour parler de ce produit, Jany aime simplement partager ses belles découvertes!
On adore les initiatives de Safia Nolin! Cette dernière a toujours de bonnes idées et la plus récente, c’est la Saint-Jeanne! Après avoir réfléchi avec les artistes et activistes Kiara et Philippe Marinier, Safia Nolin a réalisé qu’elle souhaitait proposer un événement alternatif plus inclusif que le spectacle traditionnel de la Saint-Jean. Sans être une attaque contre le spectacle officiel du 24 juin, la Saint-Jeanne se veut plutôt un lieu virtuel de rassemblement pour toutes les personnes qui ne se sentent pas représentées par le spectacle traditionnel.
Salut tout le monde.Je suis VRAIMENT fière de vous annoncer qu’avec mes amis @philippemarinier et @kiara.qc.ca , on a…
L’événement est financièrement indépendant, mais une collecte de fonds a été lancée afin de pouvoir rémunérer à leur juste valeur tous les artistes participants.
La liste des artistes participants est d’ailleurs très intéressante, avec notamment les trois organisateurs.trices, mais aussi Marilou Craft, June Pilote, Fabrice Vil, Natasha Kanapé-Fontaine et plusieurs autres!
Youpi! Voici les artistes qui seront à Saint-Jeanne 2020 ? Une St-Jean Alternative!
Avec l’interdiction de grand rassemblement et toutes les contraintes imposées par la COVID-19, on sait déjà que notre été risque d’être très différent de ce à quoi on est habitués.es. Alors que la ville vibre d’habitude au rythme des multiples festivals, l’été montréalais sera plus calme.
Cette situation pousse les organisateurs de différents événements à être plus créatifs et on voulait vous partager les détails sur un p’tit nouveau festival qui vient d’être lancé! Le festival s’appelle FAUV YUL, pour Festival au Volant à l’aéroport de Montréal (dont l’acronyme est YUL). En gros, c’est un événement de trois jours où on pourra assister à des spectacles d’humour en direct de notre voiture, un peu comme si on allait au ciné-parc!
Il y aura plusieurs humoristes bien appréciés du public qui seront présents, comme Mehdi Bousaidan, Les Grandes Crues, Arnaud Soly et Yannick de Martino. L’événement se déroulera au stationnement P-10 de l’aéroport. Évidemment, les mesures d’hygiène seront respectées. Les voitures devront être à 2 mètres de distance, les gens dans la voiture doivent résider à la même adresse et les toilettes sur place seront désinfectées entre chaque personne.
Ça se déroule du 3 au 5 juillet et vous pouvez acheter vos billets dès maintenant! En plus, une partie des profits ira aux Impatients, un organisme qui se voue à la santé mentale par le biais de l’art. La programmation complète est disponible juste ici.
En été, il peut être normal que notre peau rencontre plus de difficultés. Avec le soleil, la transpiration, la crème solaire et en 2020, les masques, notre peau peut être plus irritée. Il peut alors être pertinent d’adapter sa routine afin d’inclure des produits plus doux pour la peau.
Tout d’abord, il peut être pertinent d’opter pour une crème hydratante qui possède un SPF. Plus on applique de produits sur notre peau, plus il peut y avoir un risque de réaction (surtout si on essaie un nouveau produit). En optant pour une crème hydratante qui comporte déjà un écran solaire, ça évite l’étape de devoir appliquer un écran solaire gras sur le visage. On vous a fait une liste de 10 crèmes hydratantes avec un écran solaire juste ici.
Maintenant, voici cinq produits doux pour la peau qui a chaud en été!
Skin Stuff, Graydon, 38$
Atelier Candide
Cette crème est formulée pour les peaux sensibles ou irritées et forme une barrière protectrice invisible sur la peau. En plus elle est végétalienne et sans parfum.
Elle est disponible chez Atelier Candide juste ici.
Nettoyant moussant visage, CeraVe, 16,99$
Jean Coutu
Je ne jure que par ce nettoyant pour enlever les impuretés de mon visage matin et soir. Il est doux et possède un pH similaire à la peau afin de minimiser l’irritation. Si vous avez la peau très sèche, CeraVe propose aussi une version hydratante de son nettoyant.
Vous le trouverez en pharmacies et dans plusieurs grandes surfaces.
Masque hydratant et nourrissant à l’avocat, Kiehl’s, 59$
Votre peau se trouvera rapidement hydratée et douce après avoir appliqué ce masque. Il est assez doux pour la peau et pourra ultimement aider votre peau si vous êtes rendu dans la phase « desquamation » d’un coup de soleil!
L’aloe vera (aloès) aide à soulager la peau en cas de brûlure due au soleil. Attention de privilégier un gel pur, comme celui sur la photo, pour de meilleurs résultats.
Disponible en pharmacies.
Brume pour le visage à l’eau de rose, BKIND, 36$
BKIND
Quand il fait très chaud, on peut se rafraîchir le visage avec un spray comme celui-ci. L’eau de rose hydratera du même coup votre visage!
Nous sommes plusieurs à être en télétravail encore pour quelques semaines. C’est le temps d’en profiter pour se faire de bons lunchs à la maison! Si vous manquez d’inspiration, on vous propose les cinq recettes suivantes, aussi succulentes que faciles à préparer!
Sandwich de porc cubain, Cook it
Cook it
Un délicieux sandwich simple à faire, surtout si vous avez déjà des restants de porc grillé. Si vous ne connaissez pas encore les boîtes repas de Cook it, vous pouvez tester le service en vous inscrivant avec notre code OBOX40. Ça vous donnera 40$ de rabais sur votre première boîte!
En 2017, Roxane Bruneau lançait l’album Dysphorie ainsi que la très touchante chanson Le secret. Cette chanson aborde la violence conjugale que la mère de Roxane a vécue et les impacts que ça a eu sur les deux. Avec le confinement, la sécurité de plusieurs femmes a été malheureusement davantage mise en péril et cette réalité a grandement fait réfléchir l’artiste.
Elle s’est demandé ce qu’elle pouvait faire pour aider les personnes victimes de violence conjugale et elle a finalement décidé de produire une nouvelle version de la chanson Le secret en remettant tous les profits de l’écoute et du téléchargement à l’organisme SOS violence conjugale.
« Plus jeune, ma mère a été avec un homme violent. Nous avons habité avec lui pendant plusieurs mois durant lesquels il nous a fait subir de la violence psychologique. Un jour, j’en ai eu assez et, en voulant la défendre, la violence mentale a fait place à la violence physique. Il a levé les poings. Ce fut le début de la fin. À l’époque, je suis retournée vivre chez mon père alors que ma mère a pris le chemin d’un centre pour femmes victimes de violence conjugale. Au fil du temps, avec l’aide des intervenants sur place, elle s’est reconstruite et a retrouvé sa liberté. Ça été une délivrance, pour nous deux. Je veux que les gens sachent qu’on peut s’en sortir, qu’il existe des organismes qui offrent de l’aide, et pour moi, c’est la moindre des choses d’élever la voix et de profiter de la tribune à laquelle j’ai accès pour contribuer à faire connaître la mission d’une organisation comme SOS violence conjugale. », partage Roxane Bruneau.
La mélodie de la chanson a été actualisée en collaboration avec Mathieu Brisset et une nouvelle vidéo très touchante a été partagée sur YouTube.
C’est un très beau geste!
Si vous êtes victime de violence conjugale, vous n’êtes pas seule. Si vous croyez qu’une femme dans votre entourage est victime de violence conjugale, vous n’êtes pas seule non plus.
Dans les deux cas, appelez ou textez SOS violence conjugale au 1 800 363-9010, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7.
Parmi les dernières sorties littéraires, un livre a particulièrement accroché notre attention. Il s’agit de l’ouvrage « L’anxiété sans complexe », de la Dre Sophie Maffolini. Ayant elle-même souffert de sévères TOC (trouble obsessionnel compulsif) une bonne partie de son enfance et de son adolescence, la Dre Maffolini a choisi de partager ses connaissances sur le sujet sous forme de guide afin d’aider les gens à mieux gérer leur anxiété.
Le guide proposé est d’une durée de sept semaines et le ton est rapidement donné! La Dre Maffolini est d’avis qu’il faut apprendre à se décomplexer de l’anxiété avant toute chose! Évidemment, elle rappelle d’emblée que L’anxiété sans complexe n’est pas là pour remplacer une thérapie, un diagnostic ou un médicament.
Après quelques recommandations et avertissements importants, le livre débute avec une question toute simple, mais pleine de sens : « Quel est votre niveau de stress, de 1 à 10? » Disons que ça fait rapidement réfléchir!
Le reste du livre est composé d’exercices et d’explications, le tout ponctué de très jolis visuels.
C’est un guide très intéressant pour toutes les personnes qui aiment prendre en charge de manière 100% autonome une partie de leur mieux-être! Évidemment, on rappelle que ce guide ne remplace pas une thérapie ou une prise de médicament.
L’anxiété sans complexe est disponible dès maintenant en librairie et en ligne.
Ton Petit Extra
La Dre Maffolini est aussi l’autrice du livre Méditer sans complexe. Ce livre a d’ailleurs remporté un vif succès auprès du public!