Alors que presque tout est arrêté, l’organisme à but non lucratif, Savoir média nous fera voyager dans plus d’une quinzaine de cégeps à travers la province afin de rencontrer des personnes formidables et d’en savoir plus sur ce palier de l’éducation québécoise. Filmée à l’automne dernier, l’émission La grande tournée sera sur les ondes et le site Web de Savoir média dès le 6 avril, à 19h30.
Trois reporters de la relève ont pris part à ce projet en compagnie de l’animateur Philippe Lacroix. Stéphanie, Laïma et Jérémie ont donc sillonné les routes du Québec afin d’en apprendre plus sur l’histoire des différents cégeps et de faire des rencontres inspirantes. L’équipe fait notamment la connaissance d’une étudiante de Terrebonne qui ne se laisse pas arrêter par son handicap, bien au contraire! Ils rencontrent aussi des étudiants en anthropologie qui se plongent dans la réalité d’un camp de réfugiés en direct de Lévis-Lauzon et en apprennent plus sur le plus vieux journal étudiant francophone en Amérique du Nord fondé en 1938 au Cégep Maisonneuve.
Attachez votre ceinture! Nos trois reporters, Laïma, Stéphanie et Jérémie vous emmènent aux quatre coins du Québec, plus précisément dans les cégeps, afin de voir ce qui s’y passe d’inspirant et d’innovant.La grande tournée, c’est une aventure riche en rencontres que vous pourrez découvrir en avril sur Savoir média!
Posted by Savoir média on Thursday, March 26, 2020
«Après la sortie récente de la série Nos maisons, nous voulions, grâce à La grande tournée, témoigner du dynamisme du réseau de l’enseignement collégial au Québec en présentant non seulement des établissements dont l’environnement encourage les individus à se dépasser et à faire preuve d’innovation, mais également ceux et celles qui créent et témoignent de cette effervescence», explique Nadine Dufour, directrice générale de Savoir média.
On dit souvent qu’il faut donner un peu plus d’amour à notre système d’éducation québécois. L’émission La grande tournée est un premier pas dans cette direction!
La crise de la COVID-19 nous rappelle l’importance d’acheter local, mais ce choix ne devrait pas s’arrêter uniquement aux produits et restaurants québécois. On devrait aussi appliquer ce principe pour nos artistes d’ici et les encourager dans leur création!
C’est d’ailleurs pour souligner l’importance d’encourager nos talents locaux que l’ADISQ a lancé un nouveau projet appelé #EnsembleChezNous. Avec l’aide de plus d’une vingtaine d’artistes, dont Ariane Moffatt, Coeur de pirate, les soeurs Boulay, FouKi, Fred Pellerin, Ingrid St-Pierre et bien d’autres, l’ADISQ propose quotidiennement des listes de lecture avec des recommandations musicales.
Découvrez les initiatives prises par les artistes du milieu de la musique et de l’humour pour continuer de vous divertir…
Les listes de lecture sont disponibles sur Spotify, en cherchant « PalmarèsADISQ », ou encore sur Apple Music, en cherchant « ADISQ ». Le défi donné aux artistes participants est de proposer uniquement des chansons d’ici dans leur playlist.
L’ADISQ a mis sur pied tout plein d’autres belles initiatives et les partage fréquemment sur sa page Facebook. Pour en découvrir plus, on vous invite à y jeter un coup d’oeil!
C’est vraiment intéressant d’en apprendre plus sur nos artistes par le biais de leurs chansons coup de coeur!
Le New York Times rapporte que les États de l’Ohio et du Texas ont annoncé que les avortements feraient partie des procédures médicales non essentielles et seront donc reportés jusqu’à nouvel ordre.
Dans certains endroits des États-Unis, l’avortement est un sujet très sensible et les militants anti-IVG (interruption volontaire de grossesse) parlent très, très fort.
Depuis les deux dernières années, on a vu plusieurs offensives de la part des militants anti-avortement pour limiter, voire interdire la procédure médicale.
Les différents projets de loi lancés ont tous été majoritairement bloqués, mais le lobby reste intact.
En temps de crise, il n’est pas rare de voir certains politiciens profiter de l’attention médiatique concentrée sur un sujet pour faire passer des décisions « à la vite », sans avoir la même opposition qu’en temps normal, puisque toute la force politique se concentre sur la gestion de crise.
Au Canada, on peut le voir actuellement avec le gouvernement Trudeau qui continue de travailler sur les projets de forages pétroliers en mer (source : Le Devoir) alors que visiblement, personne à l’opposition ou chez les militants environnementaux n’a la tête ou le temps de donner son opinion et avoir une réelle discussion démocratique sur le sujet.
Pour en revenir au Texas et à l’Ohio, les deux états ont décidé de placer les interruptions volontaires de grossesse dans la liste des procédures médicales non essentielles.
Cela veut dire que tous les avortements seront reportés après la crise de la COVID-19. Seules les grossesses présentant un risque pour la mère pourront être avortées. Les contrevenants risquent une amende jusqu’à 1000$ ou 180 jours de prison.
Cette décision pose un grand problème quant à l’accès de cette procédure. Un trop long délai d’attente fera en sorte que plusieurs femmes ne pourront simplement pas se faire avorter et devront mener leur grossesse à terme.
Plusieurs militants pour le droit à l’avortement voient cette décision comme une manière d’utiliser la crise de la COVID-19 pour pousser leur agenda politique.
On ne peut plus sortir, les magasins sont fermés, on n’a pas le droit de voir sa famille ni ses amis.es… ouf! Évidemment, toutes ces mesures sont cruciales à respecter, même si elles sont difficiles pour le moral.
C’est certain que pour toutes les personnes qui ont leur anniversaire en mars, avril et mai (et qui sait… peut-être juin aussi), les célébrations risquent de ne pas avoir lieu. Même chose pour toutes les mamans qui accoucheront dans les prochaines semaines, ça nous serre beaucoup le coeur pour tous les nouveaux parents qui devront attendre avant de pouvoir présenter leur merveille à la famille et aux amis.es… Mais, en fouillant un peu sur les réseaux sociaux, on a trouvé une solution qui réchauffera les coeurs des fêtés.es et des nouveaux parents!
Notre p’tite découverte, c’est l’entreprise québécoise Shop moi ça. Lancée par deux soeurs de Gatineau, Lissa et Roxanne Moore, Shop moi ça se spécialise dans la confection et la livraison de boîtes cadeaux. Le but de leur entreprise, c’est de se charger de A à Z du cadeau, soit du magasinage jusqu’à l’emballage. Faisant affaire avec plusieurs entrepreneurs locaux, les soeurs priorisent des produits d’ici pour remplir les boîtes cadeaux.
En se promenant sur leur compte Instagram ou Facebook, on croit rêver devant tant de beaux produits! Shop moi ça propose différents types de boîtes cadeaux déjà faites, mais les clients ont aussi l’option de choisir les éléments qui constitueront leur boîte cadeau ou encore de prendre l’option boîte surprise. Lors de la commande, on peut laisser un petit mot au destinataire de la boîte.
On a demandé à Lissa et Roxanne si les mesures d’hygiène sont respectées à la lettre dans la situation actuelle et elles nous ont rassuré sur le fait que tout est fait pour s’assurer que les colis soient livrés sans danger. Une seule des deux soeurs traite les commandes depuis son domicile et après, c’est Purolator ou Postes Canada qui se chargent du reste.
Mise à jour COVID-19 – Boutique en ligne ouverte!Suite aux mesures gouvernementales annoncées aujourd’hui et en…
Alors si vous avez un.e ami.e dont c’est bientôt l’anniversaire ou si vous connaissez une maman qui va bientôt accoucher, pourquoi ne pas leur envoyer un petit colis plein de bonheur à défaut de pouvoir les voir en personne? ?
Si vous avez déjà souhaité pouvoir porter votre doudou et que ce soit acceptable socialement, le sherpa est pour vous! Si vous ne connaissez pas cette étoffe, c’est un peu comme le cousin frisé et fluffy de la fausse fourrure, donc c’est comme s’entourer d’un nuage doux!
Le printemps est à nos portes, il faut donc profiter des derniers temps froids pour le porter. Voici 10 looks qui vous inspireront à le faire, et à vous entourer de la chose la plus douce du monde!
