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Excitante programmation du Festival Filministes!

Pour une troisième année consécutive, le Festival de films féministes Filministes revient en force avec plusieurs projections et activités vraiment intéressantes ainsi que quelques nouveautés.

Le 13 février dernier avait lieu la soirée de lancement de la programmation du festival et, croyez-moi, il n’y aura pas moyen de s’ennuyer! Le festival qui se tiendra cette année du 4 au 8 mars prochain, propose une programmation variée sur différents sujets tous aussi captivants les uns que les autres.

Le Festival Filministes 2020 aura lieu du 4 au 8 mars! Pour la programmation complète : www.festivalfilministes.comMerci à Martine Frossard pour cette superbe bande-annonce ?

Posted by Festival Filministes on Saturday, February 15, 2020

Comme nouveauté cette année, il y a l’intégration des Filminounes pour les plus osées d’entre nous. Une soirée de films pornographiques féministes. Ça risque d’être pas mal intéressant et divertissant.

De plus, cette année, avec l’arrivée des passeports FF2020, vous pouvez vous procurer un passeport (vous l’aurez deviné) au coût de 45$ et vous pourrez ainsi assister à toutes les projections (à l’exception des filminis, projections jeunesses au cinéma moderne). C’est donc une occasion d’économiser des sous et d’encourager par la même occasion le festival puisque tout est fait bénévolement, tant par les organisatrices elles-mêmes que les différentes personnes présentes à un événement du festival.

Crédit: Facebook / festivalfilimistes

Comme vous pouvez le constater, la programmation est très diversifiée et il y en a pour tous les goûts. N’oubliez pas de participer au concours!  Pour une deuxième année, le festival propose le Concours de la critique. Les participant·e·s sont invité·e·s à rédiger une critique (800 à 1000 mots) sur un ou plusieurs films du festival  et courent la chance de voir leur critique sélectionnée pour une publication sur la plateforme web de la revue Spirale – Magazine culturel! C’est une opportunité vraiment cool!

Bon festival à tous et à toutes et pour de plus amples informations, vous pouvez visiter le site web du festival ou encore la page Facebook de l’évènement (que je vous invite à aimer en même temps).

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Le combat de mon frère contre l’alcoolisme m’a fait réfléchir

Mon frère a une dépendance à l’alcool depuis plusieurs années. Ça fait longtemps qu’on essaie de l’aider, mais l’affaire avec les compulsions, pour être passée par là, c’est que tant que le move ne vient pas de soi, y’a pas grand-chose qui se passe. 

Récemment, il a pris la décision d’aller en désintox, et ça a été un grand soulagement pour tout le monde. Il voulait faire ce premier pas vers la guérison et reprendre sa vie en main.

Il est entré en désintox vers la fin décembre. D’une certaine manière, je pense que ça a été le meilleur momentum, parce que ça lui a évité plusieurs soirées difficiles et tentantes, mais c’est sûr qu’il nous a beaucoup manqué pendant les Fêtes. Il est resté une semaine en retraite fermée, et tient le coup depuis. Je suis vraiment fière de lui.

Le week-end dernier, on célébrait son anniversaire et en guise de solidarité, on a décidé de ne pas boire non plus. Comme il ne boit plus depuis peu, on sait que la corde sur laquelle il marche est encore très fragile et on voulait l’aider le plus possible dans son cheminement. À un certain moment dans la soirée, il m’a confié que ça le faisait chier de voir qu’on s’empêchait de boire pour lui et qu’il ne voulait pas nous limiter dans notre fun.

Ouf.

Sur le coup, je lui ai répondu qu’on ne s’empêchait de rien et qu’au contraire, sa situation nous était bénéfique à tous.tes puisqu’elle nous permettait de réduire notre consommation d’alcool. Ce qui, on s’entend, n’est jamais une mauvaise chose. Je crois que ma réponse l’a rassuré, mais disons que son commentaire m’est rentré dedans et m’a fait réfléchir à la place que l’alcool prend dans ma vie et dans la société en général.

Je n’ai pas besoin d’alcool en fait. J’ai réalisé que, n’eût été la situation de mon frère, j’aurais 100% acheté une bouteille de vin cheap que j’aurais siroté tout le long de la soirée et qui ne m’aurait absolument rien apporté à part un quinze dollars de moins dans mon compte en banque.

À quoi bon?

Comprenez que je ne démonise pas l’alcool. 

J’aime l’alcool, j’apprécie découvrir des drinks ou des bouteilles de vin.

Sauf qu’être confrontée au combat d’un membre de ma famille m’a fait réaliser que l’alcool est trop simple, trop accessible. 

La ligne entre un comportement sain face à l’alcool et un comportement problématique est très mince et la place que l’alcool occupe dans la société est grande. 

Si on ne boit pas, on se fait systématiquement questionner et c’est fatigant.

Après ce week-end, je sais que je ne verrai plus ma consommation d’alcool de la même manière et je n’hésiterai plus à dire « non merci », sans avoir l’impression de m’empêcher de faire quelque chose.

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Olay ne retouchera plus la peau dans ses campagnes

Ça fait déjà quelques années que différentes compagnies se sont engagées à ne plus retoucher les corps, mais qu’en est-il des visages

Même si on en parle moins, l’impact de voir des visages ultra lisses, exempts de petites taches, de rides et ridules ou encore de pores et d’acné est aussi néfaste et entretient le fait qu’on se fait imposer des standards de beauté.

C’est pour ça qu’Olay a pris la décision de ne plus retoucher la peau dans toutes ses campagnes d’ici 2021. Ainsi, c’est toutes les formes de publicité qui seront affectées : imprimées, numériques, à la télévision et à l’extérieure (sur les abribus, par exemple). D’ici à ce que toutes les campagnes soient exemptes de retouches, le logo « Play Skin Promise » apparaîtra dans les publicités où la peau n’a pas été retouchée.

Olay

De plus, tout le contenu créé par les partenaires de la marque (les influenceurs, par exemple) ne sera pas retouché non plus.

Olay est un immense nom dans l’industrie de la beauté, c’est donc une très bonne nouvelle de voir l’entreprise s’engager dans la voie des images non retouchées.

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15 inspirations pour porter le complet au féminin

Cette année, les complets sont à la mode. En fait, le look corpo revisité est très présent dans les défilés, sur Instagram et dans les nouvelles collections printemps-été des designers du monde entier. En adoptant un look mettant un vedette (oui oui, rien de moins) un complet, on aime vraiment le fait qu’on joue avec les codes de genre. Parce que oui, traditionnellement, les pantalons et les vestons étaient des vêtements portés par les hommes. Comme ce n’est plus du tout le cas aujourd’hui, voici 15 inspirations pour porter le complet, sans avoir l’air trop corpo pour autant:

En monochrome beige

Parlant de beige, on vient justement de publier un article qui présente 10 looks qui prouvent que porter du beige, c’est loin d’être plate.

Un complet dans les tons de gris

On adore que la veste soit un peu plus longue!

On CAPOTE sur cet agencement de couleurs. C’est vraiment joli et doux!

On aime le fait que le pantalon ait une coupe un peu « slouchy ». On vous a d’ailleurs récemment présenté 10 inspirations pour porter le jeans « slouchy ».

Un complet rose

Le motif à carreaux de l’ensemble est vraiment beau. C’est chic sans être trop corpo!

Un veston noir simple avec des jeans

Ça marche autant pour le bureau que pour un 5@7. Et porter un haut à motifs sous le veston brise l’effet trop corpo.

Tout en noir

C’est vraiment classique et intemporel.

Tout en bleu

Cette couleur est si belle!

Un complet en velours!

Okay. Juste. WOW! Et cet ensemble semble tellement confortable! Comme être en pyjama, mais avec beaucoup plus de style.

Avec des shorts

Ce look revisite et déstructure le complet en replaçant les pantalons par des shorts et des collants. On aime beaucoup le résultat!

Tout en rouge

Vous allez vraiment faire tourner les têtes!

Des complets pastels

L’effet légèrement oversized du complet rose est vraiment intéressant. Et avec un t-shirt blanc sous le complet bleu, ça rend le tout un peu plus casual.

En monochrome blanc

Avec les chaussures plus sportives, ça casse un peu le look corpo sans briser l’effet monochrome, et c’est vraiment beau!

Pensez-vous adopter cette tendance?

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Une campagne réussie pour H&M

Parfois, ça fait du bien de prendre une petite dose de douceur et de beauté. Bien sûr, ça ne promet pas de faire de miracles, mais ça ne peut pas faire de mal!

Une campagne de quelques photos diffusée par H&M, fait vraiment du bien ces jours-ci. 

Il s’agit de la campagne Kiss Me, pour le H&M Magazine.

La campagne présente 5 couples (de vrais couples dans la vie, en plus!) qui s’embrassent. 

C’est si beau! Mais ce qui est encore plus beau, c’est que l’on y voit des couples LGBTQ+, des couples interculturels et un couple plus âgé.

Ça fait tellement du bien de voir cet amour, cette douceur et cette diversité culturelle et sexuelle sur le web et sur Instagram!

Sur le site web d’H&M, sur la page de la campagne Kiss Me, chaque photo est accompagnée d’un court texte qui raconte brièvement l’histoire d’amour du couple, la première fois qu’ils.elles sont embrassé.e.s, ainsi que quelques citations qui décrit leur connexion amoureuse.

« SEDONA AND LEATRICE
Kissed for the first time last summer.

Sedona: ?We first met on the set of a music video that a friend casted. We had a lot of mutual friends and we would see each other with them and kind of hang out. Then Leatrice moved to Tokyo. We’d talk a lot when she was there.?
Leatrice: ?I didn’t have a lot of friends in Tokyo, so it was really nice and comforting that she would always be there to talk to me.?
Sedona: ?When Leatrice came back to Los Angeles, we went to the Chateau Marmont for lunch and ended up kissing in the lobby. It was the first time we kissed, and it was really nice and sweet. The perfect kiss is all about the connection. You have to follow your instinct. When the timing is right, you should just go for it.?  »

Les photos, toutes simples, dégagent vraiment beaucoup de douceur, d’amour et de beauté.

On vous invite à découvrir la campagne, les photos et les textes, juste ICI.

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Avoir trop de choix, c’est pire que de ne pas en avoir assez

Je me suis rendu compte récemment du problème qui causait probablement mon immobilisme du moment : le choix. Ou plutôt, devrais-je dire, le trop-plein de choix. Je vous parlerai plus loin de mon dilemme face à mon futur lieu de résidence, mais pour commencer, je vous invite à écouter le Ted Talk du psychologue Barry Schwartz :

Si jamais vous n’avez pas le temps ou l’envie de l’écouter, je vous résume ses propos ci-dessous avec mes mots.

La logique voudrait que plus nous avons de choix, plus nous sommes libres, et plus nous sommes libres, plus nous sommes heureux. Ça pourrait être vrai… en théorie. Le problème est que, comme notre cher Barry essaie de nous l’expliquer, au final « trop de choix tue le choix ».

Mais pourquoi donc?

Alors qu’il nous illustre son idée avec une paire de jeans, je le ferai plutôt avec Netflix. Combien d’entre nous ont déjà passé de (trop) longues minutes à chercher quelque chose à écouter sur la plateforme? Certains diront que c’est parce que le catalogue n’est pas bon. C’est une réponse possible, oui, mais c’est aussi, de mon point de vue, parce que trop de possibilités s’offrent à nous.

Si le catalogue nous proposait seulement dix films, eh bien, nous choisirions dans celui-ci sans nous poser plus de questions. Si le film choisi n’est pas bon, nous en voudrons alors à Netflix de proposer si peu de contenu. Autrement dit, ce sera la faute de la plateforme. Par contre, si nous avons 1000 choix, nous allons être envahi.e.s de questions et nous allons nous demander si nous faisons le bon choix. Ce ne sera alors plus la faute de Netflix, mais la nôtre, car nous aurons eu une grande liberté de choix. À qui la faute si le film que j’ai décidé d’écouter n’est pas bon? À moi, très certainement, car j’aurais pu mieux choisir. Voilà le piège qui nous guette lorsque nous avons trop de choix; cette multitude de possibilités, au lieu de nous donner un sentiment de liberté totale, provoque de l’angoisse et de l’anxiété. (Pas) super!

De mon côté, mon trop-plein de choix concerne en ce moment la ville dans laquelle je pourrais m’installer. Concrètement, en ce moment, j’ai la possibilité de partir où je le souhaite, d’aller dans n’importe quelle ville. 

Sauf que ce « n’importe quelle ville » me donne le vertige. Comment choisir parmi cette multitude de choix? Est-ce que la ville va me plaire ? Et si je n’arrivais pas à m’intégrer? Et si, tout simplement, je faisais le mauvais choix? 

Vous voyez; de l’angoisse. En plus, j’ai un problème pour faire des choix, ce qui n’arrange rien, mais je me rends compte que ce trop-plein de possibilités, au lieu de me donner l’impression d’avoir une grande et belle liberté, me stresse. Aussi, je me doute que je ne suis pas la seule qui stresse devant ce genre de questionnements.

J’ai l’impression que c’est la première fois que j’ai autant de « liberté » par rapport à mon futur lieu de vie. Je n’ai pas vraiment eu à choisir mon secondaire, ni lorsque je suis partie à l’université; j’en avais sélectionné deux et quand j’ai décidé de partir au Québec, je ne me suis pas vraiment posé la question sur la ville où je voulais aller.

Maintenant, je fais des listes de pour et de contre et je fais l’inventaire de mes envies aussi. Il faut juste que je prenne des risques et que je fonce, I know. Ça devrait être le fun de se sentir libre, non? Je vais m’efforcer d’y penser!

Qui sait, mon prochain article sera peut-être sur le fait qu’il n’y a pas de mauvais choix et qu’il n’y a que des manières différentes de les vivre? Maybe!

Est-ce que trop de choix tue le choix pour vous aussi?

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5 livres de recettes où puiser toute votre inspiration

J’ai un petit life hack pour ceux et celles qui adorent la cuisine et qui sont toujours en manque d’inspiration : lire ses livres de cuisine avant de se coucher. J’adore les avoir comme livres de chevet : marquer mes recettes préférées, apprendre de nouvelles techniques et, en bonus, faire des rêves alléchants! Voici cinq de mes livres préférés, dans lesquels je puise toujours de l’inspiration pour me renouveler et faire de beaux rêves! En espérant qu’ils vous inspireront aussi.

La cuisine de Jean-Philippe ? Jean-Philippe Cyr

Roi québécois du véganisme, sa présence nonchalante et décomplexée sur les réseaux sociaux m’a séduite avant que ses livres ne paraissent! Ses recettes sont simples, efficaces et délicieuses; elles m’ont permis de développer mes capacités de cuisine végane.

Crédit : Éditions Cardinal

Salt Fat Acid Heat ? Samin Nosrat

Je vous ai déjà parlé de mon amour pour la série Netflix du même nom et le livre va dans la même lignée d’amour pour la cuisine! À moitié composé de théorie et à moitié de recettes, j’ai lu la première partie pratiquement comme un roman.

Crédit : Simon & Schuster

Thug Kitchen

Complètement irrévérencieux (les livres contiennent des sacres et autres expressions colorées), le but de ces livres est de nous « intimider » verbalement à s’intéresser à ce que l’on mange. Les trois tomes sont absolument merveilleux et définitivement à lire pour tous ceux et celles qui veulent cuisiner végane, avec du caractère!

Crédit : HarperCollins

La mijoteuse ? Ricardo

Pour une étudiante comme moi, rien de mieux que de pouvoir partir ma mijoteuse le matin, pour revenir le soir à un appartement qui sent bon et à un souper déjà prêt! Les recettes fonctionnent toujours, même pour des novices, et c’est surtout très intéressant de voir la variété de choses que l’on peut cuire à la mijoteuse!

Crédit : Les Éditions La Presse

Presque végé ? Geneviève O’Gleman

Dernier livre de Geneviève O’Gleman (Famille futée, Les lunchs), il décentralise la viande des plats et permet d’ajouter plus de légumes dans nos assiettes. C’est une approche intéressante pour quiconque souhaite, comme moi, minimiser la viande sans nécessairement manger 100 % végétal.

Crédit : Les Éditions de l’Homme

Quels sont vos livres de cuisine préférés?

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Ma fausse vie amoureuse

En tant que célibataire endurcie, je parle souvent de ma #FausseVieAmoureuse. Vous pouvez lire mes récentes chroniques ici et ici.

J’ai un ressort à la place des fesses; tous ceux qui me connaissent le diront. La grosse problématique avec le fait d’être célibataire, c’est que je suis toujours déchirée entre bâtir quelque chose et aller voir ailleurs si j’y suis. Étant de nature à accepter des contrats un peu partout, je reçois des offres d’emploi dans une autre ville après la deuxième, troisième date. Ça se passe assez bien, on est sur une bonne lancée et puis voilà que j’ai une opportunité. 

« Il va falloir arrêter de se voir, j’ai eu un emploi à X ville. » 

Imaginez le visage de ma date? 

Alors là je me questionne sur ma capacité à m’engager dans quelque chose. Trouver quelqu’un aussi nomade que moi? Oui, mais pas chien de poche. Trouver ailleurs dans le monde? Oui, mais l’envie va revenir.

Mon questionnement aujourd’hui tourne donc autour de l’engagement. Parce que non je ne cherche pas une relation fusionnelle, mais j’aimerais quand même un prince charmant. Il peut rester ici à faire ses choses, à avoir sa vie et on se rejoindra là où nos destins se croiseront, ou alors il peut venir avec moi s’il le souhaite. 

C’est difficile de trouver cette personne, car au début, il faut mettre du temps, de l’énergie et de la patience. Je n’ai aucun des trois!! Les chances que je parte dans un autre pays assez rapidement sont, avouons-le, assez élevées. Donc, comment bâtir? 

Même en étant ici, j’ai un peu de difficulté à dire « Oui oui tout ce que tu veux! » car je songe souvent à ce qui va se passer ensuite aux opportunités à venir et aux possibilités. 

C’est difficile pour moi, individuellement, de me projeter alors imaginez pour l’autre!

Trouvez-vous ça difficile, la vie de célibataire?

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Ma relation amour-haine avec la Saint-Valentin

Je vis une relation amour/haine avec certaines choses de la vie, mais la Saint-Valentin est la première sur la liste.

Suite à quelques discussions avec mes proches, j’ai constaté que je n’étais pas la seule dans mon bateau. Donc, je vous livre ici quelques raisons valables pour lesquelles bouder la Saint-Valentin, ou simplement ne pas la souligner plus qu’il ne le faut.

La Saint-Valentin peut être discriminatoire envers les personnes célibataires. Même si les personne célibataires ne passent pas toujours cette journée accompagné.e.s, elles méritent aussi tout plein d’amour ! D’ailleurs, tout le monde mérite de l’amour constamment.

Ça fait partie des dépenses inutiles. Fleurs, restaurant, hôtel, chocolats, name it ! Pourquoi tout ce superflu pour une seule journée alors que nous avons 365 jours pour montrer notre affection à ceux que nous aimons ?

L’amour devient commercialisé. Voilà ce que signifie la journée de la Saint-Valentin pour de plus en plus de compagnie: une opportunité d’affaires. L’industrie profite d’une journée spécifiquement dédiée à l’amour pour un coup de marketing.

La fête du gaspillage. Je vous partage une vérité-choc (ou pas) : il y a quelque temps, j’avais lu une étude qui disait qu’entre 30% et 50% de nourriture est gaspillée de plus le jour de la Saint-Valentin qu’à l’ordinaire ! Personnellement, j’aime bien rendre l’utile à l’agréable alors se gâter en optant pour des méthodes zéro déchet et/ou en rapportant nos restes à la maison est une bonne façon de se rester friendly avec la planète.

Sur ce, il n’y a aucun préjugé ici et toutes les opinions ont le droit d’exister. Promis, je ne vous juge pas si vous aimez célébrer la Saint-Valentin!

Solution win-win pour les personnes moins fan de cette fête : puisque j’aime autant la Saint-Valentin que je ne l’aime pas, je trouve que profiter de cette journée pour s’offrir un moment simple et beau est un bon compromis ! Pourquoi ne pas opter pour une activité culturelle, cette année? On vous en propose 5 juste ici.

Et vous, quelle est votre position face à cette journée ?

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Nos looks street style préférés à la NY Fashion Week

Si vous suivez la mode, les tendances et ce qui se fait dans l’univers du design, vous savez que la New York Fashion Week vient tout juste de se terminer. Du 3 au 12 février 2020, les plus grand.e.s créateur.trice.s de mode se sont donné rendez-vous dans la Grosse Pomme, attirant le regard des fashionistas du monde entier.

Chaque année, c’est un événement haut en couleur: des défilés impressionnants, des mises en beauté avant-gardistes, et des street style de feu font vraiment notre bonheur!

Aujourd’hui, on a décidé de compiler quelques-uns de nos looks street style préf aperçus à la NY Fashion Week.

Des pantalons pied-de-poule

Un look corpo déstructuré

Des pantalons en cuir

Un monochrome beige

Ce trench coat imperméable Jacquemus est INCROYABLE!

Un monochrome orangé

D’ailleurs, le monochrome est très populaire en 2020. On vous donne des idées pour adopter ce look juste ICI.

Un manteau oversized

Théo Dupuis-Carbonneau, chef de contenu beauté au ELLE QUÉBEC, a passé la semaine à New-York et comme toujours, son look est flawless.

Un manteau long en denim

Des manches bouffantes noires et blanches

À propos, les manches bouffantes sont vraiment tendance cette année. On vous a récemment donné des idées pour en porter.

Une robe maxi à imprimés léopard




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Un jumper rose et orange

On aurait pu vous présenter 1 million de looks tellement il y en avait des beaux! Vive la NYFW!

Vous voulez en voir plus? Une recherche Instagram avec le mot clic #NYFW20 vous donnera une foule de contenus!