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SHOPPING: 5 robes audacieuses pour toutes les occasions festives

C’est le temps de l’année où les soirées entre amis ou en famille se succèdent. Si on ne veut pas avoir la même tenue sur TOUTES les photos sans se ruiner, voici ma sélection de robes festives quatre saisons! Suivez-moi, suivez le guide!

En mode scintillant

La robe à paillettes est un incontournable des Fêtes et elle se porte toute l’année sans gêne! Que ce soit pour un gala ou la Saint-Valentin, cette tenue est polyvalente. J’aime penser que l’on peut briller de mille feux 7 jours sur 7!

La mini quatre saisons

En hiver ou en été, la robe à pois métallique est une excellente suggestion. Elle fera l’unanimité lors de festivités chez la belle-famille ou lors d’un apéro improvisé chez notre charmante voisine.

Disponible chez Banana Republic / Prix: 170 $

La longiligne

Cette robe ajustée à col montant s’agence parfaitement avec une magnifique paire d’escarpins ou de baskets immaculés. Une soirée entre collègues, l’anniversaire de notre bff ou au réveillon: cette pièce métallisée est toute indiquée.

Disponible chez Zara / Prix: 49,90 $

La classique

Quelle que soit l’occasion, la petite robe noire est notre lifesaver! Cet indispensable de la penderie se décline en plusieurs versions. Celle-ci en satin lustré nous sauve la face lorsque l’on ne sait pas quoi porter et que l’élégance est de mise.

Disponible chez Aritzia / Prix: 198 $

La glamour

Vivement les paillettes! Un mariage estival ou un fabuleux dépouillement de sapin, cette robe signée J.Crew s’adapte à plusieurs évènements. On se pare d’une touche dorée pour jouer les stars au fil des saisons.

Disponible chez J.Crew Prix: 332,50 $

Laquelle vous fait craquer?

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Ma liste de souhaits pour un monde meilleur en 2020

Lorsque la nouvelle année s’amorce, nombreux sont ceux qui décident de prendre des résolutions personnelles dans le but de devenir une meilleure personne au cours des mois qui vont suivre. C’est une belle initiative de prendre des résolutions pour s’améliorer individuellement, mais c’est aussi important de prendre le temps de se souhaiter des objectifs (féministes!) communs pour le Nouvel An.

Pour 2020, je nous souhaite que chaque femme se sente écoutée, respectée et reconnue à sa juste valeur. Trop souvent, on se fait couper la parole, réduire à notre apparence, traiter comme un objet, considérer comme étant moins « importante » … Pour la prochaine année, il est – vraiment – temps qu’on n’ait plus à subir ces injustices et qu’on puisse être enfin considérée comme les incroyables femmes que nous sommes.

Pour 2020, je nous souhaite de nous tenir toutes ensemble, de nous serrer les coudes, de nous encourager et nous féliciter, mais surtout, de se respecter mutuellement. Nous sommes tous et toutes des personnes qui méritent de se sentir épanouies, confiantes et appréciées; pour l’année qui s’en vient, arrêtons de juger les autres par rapport à nos propres préférences. Vous avez envie de publier des photos de vous en bikini sur Instagram? Go! Vous aimez vous maquiller et vous habiller selon vos préférences personnelles (plutôt que de suivre celles des autres)? Go! Vous vous épanouissez dans votre vie amoureuse et sexuelle selon vos propres désirs? Yes! Pour la prochaine année, on garde ça en tête parce que girls support girls!

Pour 2020, je nous souhaite de faire autant attention à nous-mêmes qu’aux autres. Une situation nous rend mal à l’aise? Un propos déplacé nous est adressé? On est témoin d’un événement ou d’une conversation inacceptable? On n’hésite pas à le dire; nos émotions sommes légitimes et nous avons un véritable pouvoir. Je nous souhaite de ne plus avoir à accumuler de la frustration ou de la tristesse par rapport aux injustices dont nous sommes victimes ou témoins. En 2020, je nous souhaite d’être comprises et écoutées.

Finalement, en 2020, je nous souhaite d’évoluer dans une société inclusive qui nous fait sentir en sécurité. Une société où les jugements de valeur, le harcèlement, les agressions de toutes sortes (et j’en passe) n’ont pas leur place et où tout le monde se fait un devoir d’aspirer à mieux et d’agir pour que les choses changent.

Bref, en 2020, je nous souhaite de respecter notre prochain et de prendre conscience des problématiques qui nous entourent… même si elles ne nous touchent pas directement.

Pour 2020, je nous souhaite un monde meilleur.

Quels sont vos souhaits pour 2020?

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Pourquoi je ne prendrai pas de résolutions cette année

Janvier arrive à grands pas et la pression de devenir une meilleure version de soi-même aussi.

J’ai l’impression que le Nouvel An est perçu comme un espace-temps obscur, à travers lequel il est possible d’accéder à un univers où tout est possible. Moi, je n’y crois pas.

Je n’ai jamais vraiment compris ce qui se passait entre le 31 décembre 11h59 et le 1er janvier 00h01 qui faisait de moi un individu prêt à escalader le Kilimandjaro et pourquoi ce n’était pas possible que je l’envisage un 15 juillet.

Je ne comprends pas pourquoi je devrais attendre au début de l’année pour me remettre en question et décider de prendre de meilleures habitudes de vie, parce que oui, ça tourne souvent autour de ça.

Vous savez quoi, mes habitudes de vie, elles peuvent être modifiées à tout moment:

ne concernent pas juste mon début d’année.

  • Quand je me sens moins en forme un 23 août et que je décide d’aller courir.
  • Quand je sens que j’ai un trop-plein d’émotion le 8 septembre et que je décide de consulter un.e professionnel.le.
  • Quand je prends conscience d’un comportement problématique et que je décide d’agir en avril, sans en faire un happening.

Je trouve qu’il y a une pression sociale à faire un statement de nos nouveaux objectifs, tellement plus sérieux quand 2019. Il y a un désir de bâtir une façade vertueuse de nos aspirations, sans vraiment avoir de plan d’action pour y arriver.

Ce désir vient peut-être de notre besoin de peser sur reset quand il y a un trop-plein et que le changement de chiffre sur le calendrier permet cette illusion.

Pourtant, je trouve aliénant de s’adonner à la préparation d’une liste de « résolutions » souvent encouragées par le marketing du « New year, New me ».

Ben non, je n’évoluerai pas en Raichu quand les horloges afficheront à 00H00 2020. Le jour où j’ai compris ça, mon mantra est devenu: The day you plant the seed is not the day eat the fruit.

Cette phrase de psycho-pop m’aide, parce que j’ai souvent, par le passé, pris des résolutions sans prendre le temps de réfléchir à ce qu’elles impliquaient concrètement au day to day. En fait, j’ai l’impression que mes résolutions, je les prenais pour bien paraître et être validée par mes pairs dans ma volonté de devenir une meilleure personne. C’était peut-être aussi parfois dans l’espoir de me sentir mieux – sans trop faire d’effort – en me disant que j’avais une année pour réaliser tous ces projets de toute façon. La réalité c’est qu’en juin, sous le soleil avec une sangria à la main, janvier et mes résolutions étaient rendus bien loin.

Alors, non, je ne prendrai pas de résolutions, parce que je me permets maintenant d’envisager de nouveaux projets tous les jours. Je me fixe des objectifs réalistes, à court terme, qui me permettront d’atteindre à long terme des buts plus grands.

Ça, c’est concret.

Vous en pensez quoi, des résolutions?

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Pourquoi je ne prendrai pas de résolutions cette année

Janvier arrive à grands pas et la pression de devenir une meilleure version de soi-même aussi.

J’ai l’impression que le Nouvel An est perçu comme un espace-temps obscur, à travers lequel il est possible d’accéder à un univers où tout est possible. Moi, je n’y crois pas.

Je n’ai jamais vraiment compris ce qui se passait entre le 31 décembre 11h59 et le 1er janvier 00h01 qui faisait de moi un individu prêt à escalader le Kilimandjaro et pourquoi ce n’était pas possible que je l’envisage un 15 juillet.

Je ne comprends pas pourquoi je devrais attendre au début de l’année pour me remettre en question et décider de prendre de meilleures habitudes de vie, parce que oui, ça tourne souvent autour de ça.

Vous savez quoi, mes habitudes de vie, elles peuvent être modifiées à tout moment:

ne concernent pas juste mon début d’année.

  • Quand je me sens moins en forme un 23 août et que je décide d’aller courir.
  • Quand je sens que j’ai un trop-plein d’émotion le 8 septembre et que je décide de consulter un.e professionnel.le.
  • Quand je prends conscience d’un comportement problématique et que je décide d’agir en avril, sans en faire un happening.

Je trouve qu’il y a une pression sociale à faire un statement de nos nouveaux objectifs, tellement plus sérieux quand 2019. Il y a un désir de bâtir une façade vertueuse de nos aspirations, sans vraiment avoir de plan d’action pour y arriver.

Ce désir vient peut-être de notre besoin de peser sur reset quand il y a un trop-plein et que le changement de chiffre sur le calendrier permet cette illusion.

Pourtant, je trouve aliénant de s’adonner à la préparation d’une liste de « résolutions » souvent encouragées par le marketing du « New year, New me ».

Ben non, je n’évoluerai pas en Raichu quand les horloges afficheront à 00H00 2020. Le jour où j’ai compris ça, mon mantra est devenu: The day you plant the seed is not the day eat the fruit.

Cette phrase de psycho-pop m’aide, parce que j’ai souvent, par le passé, pris des résolutions sans prendre le temps de réfléchir à ce qu’elles impliquaient concrètement au day to day. En fait, j’ai l’impression que mes résolutions, je les prenais pour bien paraître et être validée par mes pairs dans ma volonté de devenir une meilleure personne. C’était peut-être aussi parfois dans l’espoir de me sentir mieux – sans trop faire d’effort – en me disant que j’avais une année pour réaliser tous ces projets de toute façon. La réalité c’est qu’en juin, sous le soleil avec une sangria à la main, janvier et mes résolutions étaient rendus bien loin.

Alors, non, je ne prendrai pas de résolutions, parce que je me permets maintenant d’envisager de nouveaux projets tous les jours. Je me fixe des objectifs réalistes, à court terme, qui me permettront d’atteindre à long terme des buts plus grands.

Ça, c’est concret.

Vous en pensez quoi, des résolutions?

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Des pyjamas trop beaux pour se reposer avec style!

S’il y a bien une chose que j’adore dans la vie, c’est de passer la journée entière en pyjama. Et aller prendre une douche à la fin de la journée pour ensuite remettre un pyjama propre. Si c’était possible, je passerais ma vie en pyjama! Je suis clairement une fan de linge mou; je déteste être prise dans des vêtements inconfortables! Et j’aime vraiment que mes pyjamas, en plus d’être confortables, soient beaux. J’en présente donc certains modèles ici. Et s’il y a bien une période où l’on peut passer la journée en pyjama à lire des livres, écouter Netflix ou jouer à des jeux sans gêne, c’est bien pendant le temps des Fêtes! Probablement LA raison pour laquelle c’est ma période préférée #PyjamaAllDayEvereryDay.

Les leggings

J’adore les leggings parce que c’est super confortable et qu’il y a plein de modèles vraiment cool pour ajouter un peu de couleur à votre ensemble pyjama! J’en ai choisi quelques modèles qui font « Noël » et ils viennent tous du Simons.

Des rennes (pas au nez rouge) / Crédit : Simons

Des rayures funky / Crédit : Simons

Des cannes de bonbon / Crédit : Simons

Celui-là est tellement parfait avec son motif de cannes de bonbon. Juste le porter me mettrait dans l’esprit des Fêtes!

L’ensemble de flanelle

Pour les ensembles de pyjamas, La vie en Rose est imbattable! Cette boutique en a une immense sélection et il y a pleiiiin de soldes pour le temps des Fêtes. Ça peut sembler un peu plate pour certains comme style de pyjama, mais c’est définitivement mon classique! J’en demande au moins un de ce type-là pour chaque Noël.

Des cadeaux et des chats / Crédit : La vie en rose

J’ai tout de suite craqué pour celui-là parce qu’en plus d’être festif avec les dessins de cadeaux, il me permettrait d’exposer ma passion des félins!

Des sapins festifs / Crédit : La vie en rose

Celui-là est juste trop parfait pour Noël!

Chemise de nuit 

Je les porte un peu moins l’hiver parce que je suis vraiment frileuse, mais il y a des modèles vraiment beaux qui semblent assez chauds, même pour braver les froids polaires de nos hivers québécois!

Des jolis petits cadeaux / Crédit : La vie en rose

Encore une fois, je ne peux jamais résister à un vêtement avec des chats! En plus, selon le site internet de La vie en Rose, la chemise de nuit est fabriquée en tissu doux et j’aime tout ce qui peut rendre la vie plus douce!

Un winter wonderland / Crédit : La vie en rose

Celle-là a tellement l’air de pouvoir nous garder au chaud; c’est certain que je voudrais passer ma journée dedans!

Avec une poche kangourou / Crédit : La vie en rose

Je suis définitivement en amour avec cette robe de nuit avec sa poche kangourou et son capuchon; ça me semble vraiment être l’item le plus cosy ever! Et puis, s’il fait trop froid, rien ne nous empêche de porter un legging en dessous!

J’espère vous avoir transmis un peu de ma passion des beaux pyjamas et que vous aurez envie d’aller vous en procurer un pour bien vous reposer pendant les Fêtes!

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Les artistes féminines les plus inspirantes de l’année

Grâce à leur force et à leur courage, certaines femmes nous inspirent au quotidien. Elles nous forcent parfois à réfléchir à certains enjeux ou nous lancent des messages inspirants, qui nous éclairent. Cette année, des femmes se sont démarquées dans le monde artistique et nous ont toutes apporté quelque chose de différent. Voici donc les artistes féminines qui nous ont le plus inspirés cette année.

Lizzo 

Lizzo a su nous charmer cette année, notamment avec la sortie de son album Cuz I Love You. En plus d’être une chanteuse phénoménale, elle a un style hors du commun et est un vrai symbole de détermination. Elle a d’ailleurs mentionné à plusieurs reprises qu’elle a vécu quelques années très difficiles avant d’arriver où elle est aujourd’hui. Cette année, elle est nominée dans huit catégories au Grammys, comme quoi poursuivre ses rêves est important! En plus des ses talents de chanteuse, elle est un symbole de self love, ce qu’on adore.

Olivia Wilde

On adore Olivia Wilde parce qu’elle ne se laisse pas marcher sur les pieds! En plus d’être une actrice, Olivia est aussi productrice et directrice de films. Cette année, le film humoristique Premières de classe, son tout premier film, l’a fait rayonner à l’international. Elle est aussi très connue comme étant une grande militante féministe et est toujours prête à défendre les femmes qui sont victimes d’injustices. On l’adore, tout simplement!

Safia Nolin

Safia Nolin fait jaser pas mal. Cette année, elle a sorti un vidéoclip dans lequel elle s’est mise à nu, avec plusieurs autres femmes. Ce vidéoclip a (évidemment) fait réagir, mais a aussi envoyé un magnifique message aux femmes. Ce qu’il fallait en retenir, ce n’était pas la nudité, mais bien la vulnérabilité.

Donc, en plus d’être un beau message de body positivity, Safia nous fait comprendre qu’on a le droit d’être vulnérable et sans filtre. On l’aime d’amour!

Karine Vanasse

Karine Vanasse est une vedette de chez nous qui rayonne à l’international. En plus d’être une actrice accomplie, elle est mannequin et productrice à ses heures. En plus d’être très occupée, elle est maman depuis bientôt deux ans. Elle est la preuve vivante que le travail et la persévérance peuvent mener loin dans la vie. On l’adore pour sa grande délicatesse et son ambition.

Quelles femmes vous ont inspiré.e cette année?

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Je travaille pendant que tout le monde célèbre Noël

Depuis que je suis toute petite, mon temps des Fêtes est pas mal toujours pareil. Le 24 au soir chez ma tante Diane, le 25 chez ma mère. Année après année, c’est la même routine de festivités familiales. Ça peut sembler redondant, mais je les aime bien, moi, mes petites habitudes du temps des Fêtes.

Maintenant rendue à l’âge adulte, les traditions se poursuivent, mais ma présence se fait malheureusement un peu plus occasionnelle. Non pas par manque d’envie de participer au classique jeu du déballage du cadeau enveloppé 36 000 fois bien scotchtappé avec des mitaines de four. Au contraire! Qu’on ose m’y défier, moi et mes moufles culinaires.

C’est plutôt mon gagne-pain qui est devenu mon coupe-réveillon.

Travailler lors des soupers/dîners/brunch et autres ripailles de Noël, on va se le dire, c’est poche un peu. C’est décevant de ne pas pouvoir passer ces petits moments qui, comme la chanson le dit si bien, n’arrivent qu’une seule fois par année, avec nos êtres chers. Même si mon corps est physiquement au boulot, mes pensées, elles, sont plutôt occupées par le souhait de me bourrer la face dans la tourtière et les patates pilées.

Et travailler lors de la période des Fêtes donne un peu l’impression d’appuyer sur fast forward et d’arriver soudainement en janvier, sans vraiment avoir pris conscience que le père Noël est bel et bien passé. Comme si Noël ne s’était pas présenté cette année.

Mais, dans l’fond, je me plains le ventre plein. J’adore mon travail. Je ne l’échangerais pour rien au monde! En commençant dans ce domaine, je savais que Noël, le jour de l’An et toutes les autres fêtes qu’on ne célèbre pas trop, mais qu’on apprécie parce qu’une fin de semaine de 3 jours ça se prend toujours bien, je risquais fort probablement de les travailler. Et une dynamique de travail différente s’installe lorsqu’on travaille le jour de Noël. Entre collègues,  mais aussi avec les clients, patients ou passagers pour ceux et celles qui travaillent avec le public.

Ça pourrait être mille fois pire aussi. Ce n’est pas la maladie, un drame ou un désastre qui m’empêche de voir ma parenté. Je suis reconnaissante d’avoir une famille que j’adore et qui sera présente à plein d’autres occasions!

Malheureusement, le monde n’arrête pas de tourner parce que le p’tit Jésus est né. Même si une grande partie des établissements ferment boutique, plusieurs n’ont pas le choix de rester ouverts.

Alors, je lève mon p’tit chapeau de Noël à tous ceux et celles qui travailleront cette année lors du réveillon. Merci de faire ce que vous faites pour que d’autres puissent passer du temps en famille!

Crédit : Giphy

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Angoisser au temps des Fêtes

Comment vivez-vous la période de Noël et du jour de l’An? Pour moi, ça a longtemps été « LE » moment de l’année! Celui qui est féerique et où je passe du bon temps en famille et avec mes amies. Il faut dire que j’ai eu la chance d’avoir des parents très généreux. En plus, mon papa faisait ressortir son coeur d’enfant chaque Noël. Je suis convaincue que cela a nettement contribué à la magie de mon temps des Fêtes.

En vieillissant, l’esprit de Noël est demeuré aussi fabuleux pour moi. Comme mon père, mon coeur d’enfant retrouvait son chemin chaque 24 décembre. Décorer, gâter le monde autour de moi, écouter des films de Noël en famille ou encore aller marcher dans un sentier de neige illuminé ont été des moments de pur bonheur. Sans compter notre souper-buffet et l’échange de cadeaux en famille.

Quand la saveur du temps des Fêtes devient plus amère

Naïvement, j’ai cru que ça serait toujours ainsi. Par contre, la vie en avait décidé autrement. En 2017, j’ai vécu une deuxième dépression majeure. Moi qui m’étais bien promis de ne pas retomber dans le piège, je me retrouvais de nouveau dans le fond du puits avec, en plus, de l’anxiété chronique. J’étais dans un énorme – voire gigantesque – tsunami mental.

Crédit: Pexels

En dehors de mes parents, personne d’autre ne savait à quel point j’étais au bas fond de ma vie. Dans cet état, l’approche des Fêtes m’a fait complètement paniquer. Je voulais fuir. Dans ma tête, je me disais que mon état allait paraître, que je partirais à pleurer au milieu d’une soirée, que j’allais gâcher le Noël de mes frères, que mes belles-soeurs me trouveraient bizarre, que j’allais décevoir mes parents avec mon manque de joie vivre, que mes amies ne me reconnaîtraient plus et voudraient cesser tout contact avec moi.

Ho oui! Ça brassait fort dans ma tête et mes idées étaient plutôt sombres. Je suis arrivée en janvier complètement vidée. Le pire : je ne comprenais pas pourquoi. Après maintes réflexions, j’ai réalisé que mon peu d’énergie était passé à jouer encore le rôle de la femme forte. Montrer aux autres que j’allais bien alors que j’étais en pleine crise de nerfs, ça tire du jus! L’égo, c’est fort, trop fort, du moins dans mon cas. Après tout, est-ce si important que les autres soient convaincus que tout va bien? Qu’est-ce qui est le plus essentiel? Sauver la face ou s’occuper de soi ?

Pour affronter le temps des Fêtes quand votre moral est au plus bas

J’en suis venue à réaliser que souvent, nous passons à travers les moments difficiles en prenant les choses une à la fois. Apprendre à vivre le moment présent, ça aide beaucoup. Se concentrer sur « ici » et « maintenant », selon moi, c’est la clé du succès concernant l’anxiété.

Un autre truc qui m’a sauvé la vie : se dire « STOP ». En plus, visualisez un panneau d’arrêt rouge dans votre tête. Après, vous changez de pièce ou d’endroit. Ce simple petit geste balaie d’un seul coup la vague d’émotions négatives qui monte en vous. Votre esprit sera automatiquement amené vers des eaux plus calmes.

Faites des recherches sur internet pour trouver des trucs qui vous aideront à entrevoir la lumière au bout du tunnel. Achetez-vous des livres pour vous inspirer. Et surtout, écoutez votre GPS intérieur. Vous savez, la petite voix qui vous dit quand c’est une bonne ou une mauvaise idée d’aller à un endroit ou l’autre. Faites-vous confiance!

Crédit: Pexels

Si vous avez besoin de repos, prenez-le. Les Fêtes, c’est aussi pour soi. Même si cette année, les Fêtes vous enchantent moins, soyez certaine que la magie reviendra dans votre coeur!

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Et si on laissait les gens manger #sanscommentaire

Avec la période des Fêtes et des repas festifs variés, je vous annonce l’ouverture tant attendue de la saison intensive des commentaires dont on se passerait!

« Tu en reprends?! »

« Tu manges pas plus que ça?! »

« Où tu mets tout ça?! »

« Voyons, lâche ton régime, gâte-toi dont! »

Et toutes les variantes succulentes…

« Ishhh, ça c’est gras/sucré/engraissant! »

« Ben voyons, juste un p’tit morceau! »

« Va falloir tu t’entraînes fort pour brûler tout ça…! »

« Quoi! Un si gros morceau que ça?! »

« Ah ouin, tu manges ça toi, même si tu fais attention?! »

Les possibilités de commentaires alimentaires sont infinies, mais elles ont toutes un point commun : leur lourdeur.

La pression de la personne visiblement en mode privation qui bave en commentant « vice » dans mon assiette, de celle qui me harcèle d’en reprendre pour ne pas se sentir coupable de se resservir elle-même ou encore de celle qui a trop à coeur « mon bien »… Si on a une relation moindrement délicate avec la nourriture, notre corps ou notre appétit, ben voilà, ça pèse.

Et puis, on sait bien que les seuls qui échappent aux jugements (mais pas aux commentaires), ce sont les grands humains minces… EUX, ils sont encouragés à manger comme des ogres! Leur état de santé interne, ça passe comme dans du beurre (lolzzz). Les dodus? Faut oublier ça. Avoir la paix de manger ce qui leur tente, c’est perdu d’avance. Parce qu’on sait bien, forcément, s’ils étaient en forme, ils seraient sveltes comme tout : im-po-ssi-ble d’avoir une bonne santé globale ET des bourrelets. La minceur, c’est LA SANTÉ! (sujet chaud qui se discute à merveille entre deux services de tourtière extra ketchup aux fruits avec matante Gisèle qui veut maigrir depuis 1992).

Et forcément, être témoin des projets d’assiette(s) de quelqu’un, ça vient avec un genre d’obligation morale d’intervenir verbalement. Vas-y, amigo, donne-moi ton avis sur ma montagne de salade, si ça te fait feeler cheap de ne pas manger la précieuse portion de légumes recommandée. Vas-y, parle-moi de mes 542 portions de dessert. C’est utile pour nous deux et ça ne risque SURTOUT PAS de me faire culpabiliser, regretter, penser à compenser et jeûner demain.

Bon, souvent, c’est pour faire la conversation ou taquiner #mercimaisnonmerci. Et pour bien des gens, ces paroles peuvent rester sans trop de conséquences. Mais on ne sait pas ce qui se passe entre une personne et son assiette. On ne sait pas ce qui peut germer chez l’autre.

D’autres fois, ça peut ressembler à de la projection : un genre de besoin de commenter les assiettes d’une personne qui reprend du dessert parce que moi, j’ai présentement des enjeux d’image corporelle ou de relation avec la nourriture. Mais cette personne devrait pourtant s’abstenir de commenter mon absence de dessert ou, au contraire, ma 6e portion causée par un bordel de tornades intérieures intolérables qu’elle ignore.

On a tous un commentateur qui sommeille en nous!

Petit rappel : en cette saison des commentaires, j’ai le droit de REFUSER un commentaire. J’ai le droit de sourire gentiment et de dire que la police est vacances. De dire que c’est très bon, merci beaucoup, sans justifier quoi que ce soit. J’ai aussi le droit de ne rien répondre pantoute à matante Gisèle. Et le droit d’aller drette me chercher un autre morceau de dessert et de me le sacrer dans la bouche d’un seul coup en la fixant droit dans les yeux sans rien dire

Ma recommandation? Mangeons les commentateurs. 

Et n’en soyons pas. Y’a assez de sujets de conversation dans la vie pour choisir autre chose que ça. Faire preuve de sensibilité à l’égard de nos voisins de table, c’est une idée appétissante, non?

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Et si mon mariage était une comédie romantique?

J’ADORE les comédies romantiques. C’est un plaisir coupable… Elles sont toujours délicieusement quétaines et savent invariablement satisfaire ma petite fibre fleur bleue!

Récemment, je me suis abonnée à la chaîne ELLE fictions. Pas besoin de vous dire que je fais surchauffer mon enregistreur depuis! (Je dois bien me divertir pendant les biberons de bébé neuf.) Je me suis découvert un penchant certain pour les films de mariage… Je sais bien que la réalité est souvent à des kilomètres de la fiction, mais c’est aussi ça qui est divertissant, non?

Comme je me marie dans 2 semaines, j’ai eu envie de m’amuser un peu; voici donc 5 choses qui auraient été radicalement différentes si mon mariage était une comédie romantique!

Les conditions météorologiques auraient été idéales lors de la grande demande.

Quand mon amoureux m’a fiancée, le 8 novembre 2018, nous étions loin du ciel bleu et des arbres en fleurs. #ColetteAvaitLeVentDansLeToupet Nous sortions tout juste du travail, il faisait déjà très noir, pas mal froid et il pleuvait. Toutefois, le scénario de mon homme avait lieu à l’extérieur, « frette » pas « frette », ce qui veut dire qu’il m’a fait la grande demande à genoux dans la pelouse mouillée. La morale de cette histoire, c’est d’être bien chaussée en toutes circonstances parce qu’on ne sait jamais quand une déclaration d’amour en plein air vous attend! #TrueStory

La bague aurait été de la taille parfaite.

Dans les films, chéri se met à genoux, il ouvre la petite boîte carrée dans laquelle se trouve un diamant assez gros pour aveugler quiconque le regarde en plein soleil et en sort une bague qui, oh! magie, fitte à merveille au doigt de sa bien-aimée. Awwww… Désolée, mais NOPE! Ce qu’il faut savoir, c’est que les bijouteries tiennent souvent une seule taille d’anneaux, celle qui convient à la moyenne. Ce qu’il faut savoir aussi, c’est que la future mariée meurt souvent d’envie de porter fièrement sa bague de fiançailles. Je n’ai jamais autant compté les dodos, même avant Noël! #CalendrierDeLAventPasDeChocolat

J’aurais trouvé THE DRESS dans le premier magasin de robes.

Pour vrai, la scène de la future mariée qui essaie des robes avec ses demoiselles d’honneur ou sa maman et qui tombe rapidement sur LA robe parfaite pour elle, celle qui fera tomber son fiancé par terre, c’est tellement, mais tellement loin de la réalité! Les boutiques de mariées ne tiennent pas toutes les grandeurs et il y a assez de crémage sur les robes pour couper l’envie à n’importe qui de manger du gâteau pour la vie! Je me souviens m’être sentie costumée (dans les quelques dizaines essayées). #AuBalAuBalMasquéOhéOhé On est loin de la future mariée extatique devant son reflet.

Mon budget aurait été illimité.

C’est moi ou dans les comédies romantiques, il n’est jamais question d’argent? Les fantasmes les plus onéreux de la mariée peuvent être assouvis sans aucune préoccupation financière. Le rêve! Moi, l’une des premières choses que j’ai faites après la demande de mon homme, c’est créer un tableau Excel pour établir notre budget! #RealLifeStruggle Un peu moins glam’ que dans les films… Vous comprendrez que j’ai envie d’un beau mariage, mais pas au point de réhypothéquer ma maison. #ChoisirSesCombats

Mon temps aurait pu être entièrement dédié aux préparatifs.

Sérieux, dans les films de mariage, on jurerait que la future mariée a comme 15 semaines de vacances payées qui tombent du ciel! On la voit jongler avec les préparatifs à toute heure du jour, le sourire aux lèvres et l’agenda totalement libre : elle goûte des gâteaux le lundi après-midi, choisit les fleurs de son bouquet le mercredi matin, révise son plan de tables le vendredi midi… Et évidemment, ses demoiselles d’honneur sont également toutes disponibles pour l’accompagner dans ses nombreux rendez-vous! Personne n’a de boulot, coudonc?

Et pourtant, je n’aurais pas pu être plus heureuse!

Malgré tout, je n’aurais rien changé aux derniers mois! La demande de mon amoureux était magnifique, passionnée et tout en intimité. L’attente pour ma bague n’a fait que grandir mon désir de la porter pour le reste de mes jours (elle est sublime), ma robe – faite sur mesure – est plus jolie que dans mes rêves les plus fous, mon homme et moi avons mis les priorités aux bons endroits en discutant de notre budget et notre mariage sera à notre image, dans les moindres détails, puisque j’ai mis tout l’amour du monde dans les préparatifs.

Et une chose est certaine : tout est pensé pour que le party soit mémorable!