Qui dit « fin d’année », dit « heure des bilans ». Et comme en ce moment, ce n’est pas juste la fin d’une année, mais aussi la fin d’une décennie, ça s’y prête encore plus. Quand on pense à la dernière décennie, à ce qu’on a fait et aimé, on pense bien sûr aux séries télés. Avec l’explosion de Netflix, Crave, Amazon Prime, Tou.tv et les autres plateformes de streaming en ligne, les séries ont pris une grande place dans notre quotidien.
On a donc eu envie de sonder la communauté des collaboratrices TPL pour connaître les séries qui les ont marquées dans la dernière décennie.
ISABELLE
« J’ai trippé sur BoJack Horseman! L’animation est très cool et j’aime le concept des personnages animaliers dans une série pour adultes. Même si c’est très humoristique, il y a beaucoup de moments forts en émotion et je me suis attachée aux personnages. »
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NOÉMIE
« Brooklyn Nine-Nine. Léger, drôle touchant avec des épisodes simples et courts. En plus, la série met de l’avant la diversité culturelle. »
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Medicine is the best medicine, but laughter is a close second! #Brooklyn99
JACYNTHE F-RÉMY
« Hannibal: un délice d’intelligence et de beauté, une esthétique bonbon et une chef-d’oeuvre de prequel.
The Fall: passée une peu sous le radar, cette série mérite tellement de ne pas tomber dans l’oubli. Un suspense qui tient en haleine comme peu de séries parviennent à le faire. Le mélange de sensualité, de déviance et d’enquête policière assaisonné de féminisme est délectable.
J’ai été vraiment impressionnée par Sex Education. La série n’est pas parfaite, mais l’enjeu (l’éveil sexuel chez les ados) et la façon de l’aborder est tellement rafraîchissante! J’ai hâte à la 2e saison qui sort sous peu! »
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we know exactly what we want as well (spoiler it’s crumpets)
ANDRÉANE
« Côté québécois, je dirais la télé série Trop, parce qu’elle démystifie bien la santé mentale. Cerebrum aussi parce que le jeu des acteurs est excellent et que c’est intriguant. Côté américain, Le guide de la parfaite divorcée parce que c’est drôle et montre que la vie n’est pas finie parce qu’on est célibataire. »
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VANESSA
« This Is Us parce que je braille à tous les épisodes. Et que ce sont de bonnes larmes qui me font du bien. Plein de thèmes en lien avec la famille y sont abordés; c’est une thématique qui me touche beaucoup. Aussi, les personnages sont très attachants, je les aime: savoir que la saison qui s’en vient est la dernière me rend un peu triste, je n’ai pas le goût de leur dire au revoir! »
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Fairly certain we only survived the day because of this family portrait. #ThisIsUs
ELIZABETH
« The Handmaid’s Tale parce que le sujet est tellement d’actualité en 2019 même s’il se base sur le récit écrit il y a plus de 30 ans par Margaret Atwood! Parce que le rendu à l’écran de ce roman est hallucinant. C’est dur, challengeant, mais mon dieu que le girl power est beau à voir aller quand les filles se révoltent (spoiler alert)! J’ai tellement crié et pleuré en voyant cette série! »
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ELIZABETH
« Big Little Lies parce que la brochette d’actrices et Jean-Marc Vallée sont juste wow! Parce que la série m’a vraiment marquée et que je l’ai vue plusieurs fois! »
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ANDRÉE-ANNE
« Game of Thrones, of course! »
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I’m here because I love your brother, and I trust him. #GameofThrones
PAMÉLA
« Je suis une fan finie de Jane The Virgin, une série qui m’a fait rire et pleurer. En plus de mettre en vedette une famille de femmes intelligentes et indépendantes, c’est une histoire qui unit l’humour, la romance et le drame. »
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Some of your favorite moments ?! Stream the latest #JaneTheVirgin: Link in bio. #GoodbyeJane
On pourrait continuer encore longtemps. Parmi les autres séries qui ont été mentionnées par les collaboratrices, on retrouve Stranger Things, The OA, Atypical, Dead To Me, Lucifer, Big Mouth, Workin’ Moms, The Haunting of Hill House et beaucoup plus!
Si vous n’avez pas encore regardé certaines de ces séries, ça devrait vous tenir occupé.e.s pour un autre dix ans!
En 2010, j’avais 20 ans. En 2020, j’aurai 30 ans. J’avais donc envie de faire une petite rétrospective des dix dernières années.
Au début de la décennie, je finissais mon cours en coiffure et je partais de chez mes parents pour m’affranchir avec mes idées et ma liberté de jeune insouciante. J’ai appris que « liberté » voulait aussi dire responsabilité.
Je me souviens que je me sentais seule dans mon demi-sous-sol et je me demandais, assez découragée, à quoi allait ressembler ma vie. J’ai appris à développer mon système D.
Je me souviens aussi d’avoir pris la décision de retourner au Cégep après deux ans à l’emploi parce qu’il me manquait quelque chose; je voulais étudier la science politique. J’ai appris à suivre mon instinct et à écouter mes ambitions, mais aussi à être une étudiante, à être une coiffeuse, à être une blonde, à être une amie, sans toutefois trop savoir qui j’étais.
À cette époque où j’étais submergée, je n’étais pas outillée pour reconnaître des situations où j’étais inconfortable et pouvoir me défendre. J’ai appris à intérioriser mes émotions et à normaliser des comportements problématiques.
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Crédit: Unsplash
C’est aussi à ce moment que j’ai présenté mon projet final de Cégep sur le totalitarisme d’Hannah Arendt, du haut de toute mon innocence. J’ai appris à aiguiser mon sens critique.
Au début de mon baccalauréat, j’ai rencontré celle qui deviendrait l’une de mes meilleures amies. Nous avons affronté ensemble nos trois années de baccalauréat en nous disant, dans les moments difficiles, qu’un jour, on célébrerait notre doctorat et que repenser à ces moments nous ferait rire. Elle a cru en moi, quand même moi, je n’y croyais pas. J’ai appris que je pouvais me voir plus grande que je ne l’étais .
C’est aussi à cette époque que ma meilleure amie est venue me retrouver à Québec. Je me souviens de son soutien pour affronter ma plus grande épreuve. Vivre avec elle est l’un de mes plus beaux souvenirs des dix dernières années. Elle a été là au bon moment. J’ai appris que je n’étais pas obligée de vivre ça toute seule.
Je me souviens, après avoir passé à travers ce moment difficile, de l’avoir rencontré, lui, et d’avoir su que c’était le mien. J’ai réappris à aimer, à faire confiance et à moins douter.
Durant la même période, je me souviens m’être sentie imposteur dans mes cours de maîtrise. Je me suis demandé si j’étais dans le bon champ d’études. J’ai appris que me questionner n’était pas synonyme d’échec et que j’avais le droit de mettre les choses en perspective.
Je me souviens de recevoir mon diplôme et d’être fière de ne pas avoir abandonné. J’ai appris à persévérer devant l’adversité.
Aujourd’hui, à l’aube de 2020 et de la trentaine, je contemple les 10 dernières années et j’ai l’impression d’avoir été en confrontation continuelle avec moi-même.
En 2020, j’aurai 30 ans.
Ce que je me souhaite pour les dix prochaines années, c’est de continuer de grandir, mais avec, et non contre, moi-même.
Quels sont vos souhaits pour la prochaine décennie?
C’est le temps de l’année où les soirées entre amis ou en famille se succèdent. Si on ne veut pas avoir la même tenue sur TOUTES les photos sans se ruiner, voici ma sélection de robes festives quatre saisons! Suivez-moi, suivez le guide!
En mode scintillant
La robe à paillettes est un incontournable des Fêtes et elle se porte toute l’année sans gêne! Que ce soit pour un gala ou la Saint-Valentin, cette tenue est polyvalente. J’aime penser que l’on peut briller de mille feux 7 jours sur 7!
La mini quatre saisons
En hiver ou en été, la robe à pois métallique est une excellente suggestion. Elle fera l’unanimité lors de festivités chez la belle-famille ou lors d’un apéro improvisé chez notre charmante voisine.
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Disponible chez Banana Republic / Prix: 170 $
La longiligne
Cette robe ajustée à col montant s’agence parfaitement avec une magnifique paire d’escarpins ou de baskets immaculés. Une soirée entre collègues, l’anniversaire de notre bff ou au réveillon: cette pièce métallisée est toute indiquée.
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Disponible chez Zara / Prix: 49,90 $
La classique
Quelle que soit l’occasion, la petite robe noire est notre lifesaver! Cet indispensable de la penderie se décline en plusieurs versions. Celle-ci en satin lustré nous sauve la face lorsque l’on ne sait pas quoi porter et que l’élégance est de mise.
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Disponible chez Aritzia / Prix: 198 $
La glamour
Vivement les paillettes! Un mariage estival ou un fabuleux dépouillement de sapin, cette robe signée J.Crew s’adapte à plusieurs évènements. On se pare d’une touche dorée pour jouer les stars au fil des saisons.
Lorsque la nouvelle année s’amorce, nombreux sont ceux qui décident de prendre des résolutions personnelles dans le but de devenir une meilleure personne au cours des mois qui vont suivre. C’est une belle initiative de prendre des résolutions pour s’améliorer individuellement, mais c’est aussi important de prendre le temps de se souhaiter des objectifs (féministes!) communs pour le Nouvel An.
Pour 2020, je nous souhaite que chaque femme se sente écoutée, respectée et reconnue à sa juste valeur. Trop souvent, on se fait couper la parole, réduire à notre apparence, traiter comme un objet, considérer comme étant moins « importante » … Pour la prochaine année, il est – vraiment – temps qu’on n’ait plus à subir ces injustices et qu’on puisse être enfin considérée comme les incroyables femmes que nous sommes.
Pour 2020, je nous souhaite de nous tenir toutes ensemble, de nous serrer les coudes, de nous encourager et nous féliciter, mais surtout, de se respecter mutuellement. Nous sommes tous et toutes des personnes qui méritent de se sentir épanouies, confiantes et appréciées; pour l’année qui s’en vient, arrêtons de juger les autres par rapport à nos propres préférences. Vous avez envie de publier des photos de vous en bikini sur Instagram? Go! Vous aimez vous maquiller et vous habiller selon vos préférences personnelles (plutôt que de suivre celles des autres)? Go! Vous vous épanouissez dans votre vie amoureuse et sexuelle selon vos propres désirs? Yes! Pour la prochaine année, on garde ça en tête parce que girls support girls!
Pour 2020, je nous souhaite de faire autant attention à nous-mêmes qu’aux autres. Une situation nous rend mal à l’aise? Un propos déplacé nous est adressé? On est témoin d’un événement ou d’une conversation inacceptable? On n’hésite pas à le dire; nos émotions sommes légitimes et nous avons un véritable pouvoir. Je nous souhaite de ne plus avoir à accumuler de la frustration ou de la tristesse par rapport aux injustices dont nous sommes victimes ou témoins. En 2020, je nous souhaite d’être comprises et écoutées.
Finalement, en 2020, je nous souhaite d’évoluer dans une société inclusive qui nous fait sentir en sécurité. Une société où les jugements de valeur, le harcèlement, les agressions de toutes sortes (et j’en passe) n’ont pas leur place et où tout le monde se fait un devoir d’aspirer à mieux et d’agir pour que les choses changent.
Bref, en 2020, je nous souhaite de respecter notre prochain et de prendre conscience des problématiques qui nous entourent… même si elles ne nous touchent pas directement.
Pour 2020, je nous souhaite un monde meilleur.
Quels sont vos souhaits pour 2020?
Janvier arrive à grands pas et la pression de devenir une meilleure version de soi-même aussi.
J’ai l’impression que le Nouvel An est perçu comme un espace-temps obscur, à travers lequel il est possible d’accéder à un univers où tout est possible. Moi, je n’y crois pas.
Je n’ai jamais vraiment compris ce qui se passait entre le 31 décembre 11h59 et le 1er janvier 00h01 qui faisait de moi un individu prêt à escalader le Kilimandjaro et pourquoi ce n’était pas possible que je l’envisage un 15 juillet.
Je ne comprends pas pourquoi je devrais attendre au début de l’année pour me remettre en question et décider de prendre de meilleures habitudes de vie, parce que oui, ça tourne souvent autour de ça.
Vous savez quoi, mes habitudes de vie, elles peuvent être modifiées à tout moment:
ne concernent pas juste mon début d’année.
- Quand je me sens moins en forme un 23 août et que je décide d’aller courir.
- Quand je sens que j’ai un trop-plein d’émotion le 8 septembre et que je décide de consulter un.e professionnel.le.
- Quand je prends conscience d’un comportement problématique et que je décide d’agir en avril, sans en faire un happening.
Je trouve qu’il y a une pression sociale à faire un statement de nos nouveaux objectifs, tellement plus sérieux quand 2019. Il y a un désir de bâtir une façade vertueuse de nos aspirations, sans vraiment avoir de plan d’action pour y arriver.
Ce désir vient peut-être de notre besoin de peser sur reset quand il y a un trop-plein et que le changement de chiffre sur le calendrier permet cette illusion.
Pourtant, je trouve aliénant de s’adonner à la préparation d’une liste de « résolutions » souvent encouragées par le marketing du « New year, New me ».
Ben non, je n’évoluerai pas en Raichu quand les horloges afficheront à 00H00 2020. Le jour où j’ai compris ça, mon mantra est devenu: The day you plant the seed is not the day eat the fruit.
Cette phrase de psycho-pop m’aide, parce que j’ai souvent, par le passé, pris des résolutions sans prendre le temps de réfléchir à ce qu’elles impliquaient concrètement au day to day. En fait, j’ai l’impression que mes résolutions, je les prenais pour bien paraître et être validée par mes pairs dans ma volonté de devenir une meilleure personne. C’était peut-être aussi parfois dans l’espoir de me sentir mieux – sans trop faire d’effort – en me disant que j’avais une année pour réaliser tous ces projets de toute façon. La réalité c’est qu’en juin, sous le soleil avec une sangria à la main, janvier et mes résolutions étaient rendus bien loin.
Alors, non, je ne prendrai pas de résolutions, parce que je me permets maintenant d’envisager de nouveaux projets tous les jours. Je me fixe des objectifs réalistes, à court terme, qui me permettront d’atteindre à long terme des buts plus grands.
Ça, c’est concret.
Vous en pensez quoi, des résolutions?
Janvier arrive à grands pas et la pression de devenir une meilleure version de soi-même aussi.
J’ai l’impression que le Nouvel An est perçu comme un espace-temps obscur, à travers lequel il est possible d’accéder à un univers où tout est possible. Moi, je n’y crois pas.
Je n’ai jamais vraiment compris ce qui se passait entre le 31 décembre 11h59 et le 1er janvier 00h01 qui faisait de moi un individu prêt à escalader le Kilimandjaro et pourquoi ce n’était pas possible que je l’envisage un 15 juillet.
Je ne comprends pas pourquoi je devrais attendre au début de l’année pour me remettre en question et décider de prendre de meilleures habitudes de vie, parce que oui, ça tourne souvent autour de ça.
Vous savez quoi, mes habitudes de vie, elles peuvent être modifiées à tout moment:
ne concernent pas juste mon début d’année.
- Quand je me sens moins en forme un 23 août et que je décide d’aller courir.
- Quand je sens que j’ai un trop-plein d’émotion le 8 septembre et que je décide de consulter un.e professionnel.le.
- Quand je prends conscience d’un comportement problématique et que je décide d’agir en avril, sans en faire un happening.
Je trouve qu’il y a une pression sociale à faire un statement de nos nouveaux objectifs, tellement plus sérieux quand 2019. Il y a un désir de bâtir une façade vertueuse de nos aspirations, sans vraiment avoir de plan d’action pour y arriver.
Ce désir vient peut-être de notre besoin de peser sur reset quand il y a un trop-plein et que le changement de chiffre sur le calendrier permet cette illusion.
Pourtant, je trouve aliénant de s’adonner à la préparation d’une liste de « résolutions » souvent encouragées par le marketing du « New year, New me ».
Ben non, je n’évoluerai pas en Raichu quand les horloges afficheront à 00H00 2020. Le jour où j’ai compris ça, mon mantra est devenu: The day you plant the seed is not the day eat the fruit.
Cette phrase de psycho-pop m’aide, parce que j’ai souvent, par le passé, pris des résolutions sans prendre le temps de réfléchir à ce qu’elles impliquaient concrètement au day to day. En fait, j’ai l’impression que mes résolutions, je les prenais pour bien paraître et être validée par mes pairs dans ma volonté de devenir une meilleure personne. C’était peut-être aussi parfois dans l’espoir de me sentir mieux – sans trop faire d’effort – en me disant que j’avais une année pour réaliser tous ces projets de toute façon. La réalité c’est qu’en juin, sous le soleil avec une sangria à la main, janvier et mes résolutions étaient rendus bien loin.
Alors, non, je ne prendrai pas de résolutions, parce que je me permets maintenant d’envisager de nouveaux projets tous les jours. Je me fixe des objectifs réalistes, à court terme, qui me permettront d’atteindre à long terme des buts plus grands.
Ça, c’est concret.
Vous en pensez quoi, des résolutions?
S’il y a bien une chose que j’adore dans la vie, c’est de passer la journée entière en pyjama. Et aller prendre une douche à la fin de la journée pour ensuite remettre un pyjama propre. Si c’était possible, je passerais ma vie en pyjama! Je suis clairement une fan de linge mou; je déteste être prise dans des vêtements inconfortables! Et j’aime vraiment que mes pyjamas, en plus d’être confortables, soient beaux. J’en présente donc certains modèles ici. Et s’il y a bien une période où l’on peut passer la journée en pyjama à lire des livres, écouter Netflix ou jouer à des jeux sans gêne, c’est bien pendant le temps des Fêtes! Probablement LA raison pour laquelle c’est ma période préférée #PyjamaAllDayEvereryDay.
Les leggings
J’adore les leggings parce que c’est super confortable et qu’il y a plein de modèles vraiment cool pour ajouter un peu de couleur à votre ensemble pyjama! J’en ai choisi quelques modèles qui font « Noël » et ils viennent tous du Simons.
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Des rennes (pas au nez rouge) / Crédit : Simons
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Des rayures funky / Crédit : Simons
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Des cannes de bonbon / Crédit : Simons
Celui-là est tellement parfait avec son motif de cannes de bonbon. Juste le porter me mettrait dans l’esprit des Fêtes!
L’ensemble de flanelle
Pour les ensembles de pyjamas, La vie en Rose est imbattable! Cette boutique en a une immense sélection et il y a pleiiiin de soldes pour le temps des Fêtes. Ça peut sembler un peu plate pour certains comme style de pyjama, mais c’est définitivement mon classique! J’en demande au moins un de ce type-là pour chaque Noël.
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Des cadeaux et des chats / Crédit : La vie en rose
J’ai tout de suite craqué pour celui-là parce qu’en plus d’être festif avec les dessins de cadeaux, il me permettrait d’exposer ma passion des félins!
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Des sapins festifs / Crédit : La vie en rose
Celui-là est juste trop parfait pour Noël!
Chemise de nuit
Je les porte un peu moins l’hiver parce que je suis vraiment frileuse, mais il y a des modèles vraiment beaux qui semblent assez chauds, même pour braver les froids polaires de nos hivers québécois!
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Des jolis petits cadeaux / Crédit : La vie en rose
Encore une fois, je ne peux jamais résister à un vêtement avec des chats! En plus, selon le site internet de La vie en Rose, la chemise de nuit est fabriquée en tissu doux et j’aime tout ce qui peut rendre la vie plus douce!
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Un winter wonderland / Crédit : La vie en rose
Celle-là a tellement l’air de pouvoir nous garder au chaud; c’est certain que je voudrais passer ma journée dedans!
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Avec une poche kangourou / Crédit : La vie en rose
Je suis définitivement en amour avec cette robe de nuit avec sa poche kangourou et son capuchon; ça me semble vraiment être l’item le plus cosy ever! Et puis, s’il fait trop froid, rien ne nous empêche de porter un legging en dessous!
J’espère vous avoir transmis un peu de ma passion des beaux pyjamas et que vous aurez envie d’aller vous en procurer un pour bien vous reposer pendant les Fêtes!
Grâce à leur force et à leur courage, certaines femmes nous inspirent au quotidien. Elles nous forcent parfois à réfléchir à certains enjeux ou nous lancent des messages inspirants, qui nous éclairent. Cette année, des femmes se sont démarquées dans le monde artistique et nous ont toutes apporté quelque chose de différent. Voici donc les artistes féminines qui nous ont le plus inspirés cette année.
Lizzo
Lizzo a su nous charmer cette année, notamment avec la sortie de son album Cuz I Love You. En plus d’être une chanteuse phénoménale, elle a un style hors du commun et est un vrai symbole de détermination. Elle a d’ailleurs mentionné à plusieurs reprises qu’elle a vécu quelques années très difficiles avant d’arriver où elle est aujourd’hui. Cette année, elle est nominée dans huit catégories au Grammys, comme quoi poursuivre ses rêves est important! En plus des ses talents de chanteuse, elle est un symbole de self love, ce qu’on adore.

