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5 nouvelles top-modèles qui prennent d’assaut les défilés

Comme je sais que vous aimez être à l’affût des tendances, je vous présente 5 tops modèles qui se démarquent présentement dans l’industrie de la mode. Elles sont, comme on les appelle, new faces: elles sont repérées très jeunes pour leur grandeur, mais aussi pour l’assurance qu’elles dégagent et ce qu’elles représentent.

Petit bémol: On va se le dire, ce n’est pas avec elles qu’on va briser le moule des standards de beauté actuels, mais elles demeurent tout de même inspirantes à leur façon.

Ambar Cristal Zarzuela 

Celle qui, depuis seulement un an, prouve qu’elle peut faire un impact, a été de tous les grands défilés cette saison. Elle a été la première dominicaine à ouvrir un défilé Louis Vuitton. Mais surtout, elle a fait la couverture du Vogue Mexico et Vogue Amérique Latine de septembre (la plus grosse édition) avec 3 autres beautés afro-dominicaine, une première.

J’aime sa beauté assumée et son regard sensible.

Crédit: Instagram | ambar_cristalz

Brooke Robinson

Une classique All-American Girl, Brooke est originaire de Portland en Oregon. Elle a été recrutée pour sa beauté naturelle et sensible. Les photos de sa vie personnelle sur son Instagram montrent une fille souriante et rigolote.

J’aime ses boucles ainsi que la délicatesse et la douceur qui émanent d’elle.

Crédit: Instagram | brooke._.robinson

Krini Hernandez 

Cette étoile montante, qui a défilé avec plusieurs grands noms pour les défilés Printemps-Été 2020, est là pour faire sa place. D’origine mexicaine, Krini est aussi cinéaste.

J’aime ses airs de Madonna, et comme La Madone, l’attitude qu’elle dégage.

Instagram | krinihdez

Mika Schneider 

D’origine française et japonaise, Mika parle couramment les deux langues et est une grande voyageuse. Elle a été découverte alors qu’elle visitait Tokyo. Sur son Instagram, on peut voir quelques photos de voyage, justement, de behind the scene backstage et de sa vie, ce que j’aime bien.

J’aime sa prestance délicate, mais très confiante.

Instagram | mikaschndr

Miriam Sanchez 

Il y a peine un an que Miriam a fait ses débuts avec un parcours assez atypique; elle fut choisie pour nul autre que Louis Vuitton pour son premier défilé, alors qu’elle était étudiante. Sa beauté androgyne lui a bien servi, comme elle a été choisie pour un défilé qui mettait en scène des modèles au genre fluide et des transgenres, dont la plupart en étaient à leur premier show. Depuis elle est apparue sur plusieurs billboards à l’internationale, et ce, tout en continuant ses études en administration des affaires.

J’aime sa beauté androgyne, mais surtout la force et l’assurance de son regard.

Instagram | miriamsanchezzzz

Quelles femmes vous inspirent sur les réseaux sociaux?

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« OD » : Mathieu et Claudie nous donnent une leçon de communication

Je serai peut-être la seule à voir les choses comme ça, mais je trouve qu’il y a eu un beau moment de télévision hier, à Occupation Double. Mathieu et Claudie ont eu une discussion émotive sur l’exposition que la jeune femme a sur les réseaux sociaux et ce que j’ai le plus retenu, c’est l’ouverture et la démonstration d’une communication réciproque entre les deux.

Oui, Mathieu a slut-shamé Claudie et les femmes qui s’exposent, pis c’est pas correct. Certains propos dits par Mathieu m’ont fait grincer des dents, comme le fait qu’il « ne respecte pas quelqu’un qui montre ses seins juste pour montrer ses seins ». Ouin. Mais j’ai été agréablement surprise par son ouverture face à l’opinion de Claudie. Après avoir fait sa tirade, il a demandé à Claudie de lui expliquer son raisonnement et ça a permis à un bel échange de s’installer.

Claudie nous a aussi donné un très beau moment de #GirlPower alors qu’elle explique qu’elle publie les photos qu’elle veut parce qu’elle aspire à être qui elle veut, « no matter what ». Elle dit d’emblée être pour l’égalité des sexes et que si son chum se promène en chest, pourquoi elle n’aurait pas le droit de publier les photos qu’elle veut, elle aussi?

Parce que soyons honnêtes, ce double standard est encore présent. Les mamelons des femmes sont toujours censurés sur Instagram et Facebook et une femme qui s’expose se fait quasi inévitablement slut-shamer. Je trouve ça bien que Claudie soulève ce non-sens et s’y attaque pour faire comprendre à son amoureux que le corps des femmes est encore contrôlé dans l’espace public.

Face aux propos de sa douce, Mathieu a montré une belle ouverture à vouloir comprendre, et j’ai vraiment apprécié ça de sa part. Je pense que c’est un peu la prémisse de base d’une relation qui fonctionne. Dans un couple, c’est impossible de s’entendre sur tout, tout l’temps, mais quand on aborde les différends avec ouverture et communication, c’est là que de belles choses et des changements peuvent se passer.

Je ne sais pas jusqu’à quel point Mathieu sera capable de pousser sa réflexion et changer d’opinion sur les femmes qui s’exposent. Peut-être qu’à long terme, ça provoquera un gros clash entre lui et Claudie, malgré le fait qu’elle accepte de « préserver leur intimité » sur ses réseaux à leur sortie d’OD… Ça restera à voir, mais pour l’instant, je vais garder ce beau moment en tête et dire bravo aux tourtereaux pour cette démonstration d’une communication efficace.

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5 lectures à découvrir en mode « cocooning »

Ce n’est pas tout le monde qui aime les températures froides, mais il faut tout de même admettre que celles-ci ont plusieurs avantages. Par exemple, c’est la période idéale afin de prendre un moment pour relaxer dans son chez-soi, bien au chaud avec ses doudous et un bon petit livre.

En voici donc 5 qui vont vous tenir en haleine avec leur intrigue fascinante ou vous informer sur un sujet d’actualité lors de vos prochains moments de lecture.

1. Le monstre

Crédit: Renaud-Bray

Si vous avez adoré l’adaptation télévisuelle de cette oeuvre et que vous n’avez pas encore lu l’histoire originale écrite par Ingrid Falaise, je vous conseille vivement de le faire dès maintenant. Ce récit autobiographie est tragique, mais il est impossible de ne pas continuer à tourner les pages puisque les mots de l’auteure sont encore plus poignants que les images que nous montre la série.

2. Pour une garde-robe responsable

Pour une garde-robe responsable

Crédit: Les éditions La Presse

L’écologie et l’éthique des compagnies sont des enjeux très actuels de notre société et l’auteure, Léonie Daignault-Leclerc de Gaia & Dubos, s’en empare afin de nous sensibiliser à tout cela vis-à-vis la mode. Ce sont des conseils précieux que ce livre partage avec nous afin de nous aider à faire de meilleurs choix, tant pour nous que pour les autres.

3. Carnet de parc

Carnet de parc

Crédit: Les éditions de ta mère

Véronique Grenier est une auteure de poésie qui n’en est pas à son premier livre. Il s’agit en fait de son troisième recueil et ses mots font toujours autant de bien et de douleur que ses précédents. C’est une lecture qui vous touche même si vous n’êtes pas habituellement une adepte de poésie.

4. Chienne

Crédit: Les libraires

Les livres dont vous vous souvenez le plus ne sont probablement pas ceux qui ont été les plus faciles à lire. Les histoires avec des épreuves difficiles nous marquent encore plus et c’est ce que fait l’autofiction de Marie-Pier Lafontaine qui raconte une histoire de famille effroyable. Ce roman a été publié le mois dernier et il fait déjà l’objet de plusieurs palmarès en ligne. C’est certain qu’il suscitera beaucoup d’émotions chez vous.

5. La faim : Comment l’apprivoiser

Crédit: Les libraires

Ce livre, écrit par une nutritionniste, vous permet de réfléchir à ce qu’est vraiment la faim et à comprendre votre relation avec la nourriture. 

Suite à cette lecture, vous aurez les outils nécessaires afin de prendre de bonnes décisions alimentaires et comprendre tout ce qu’il y a à savoir sur ce sujet.

Bonne lecture!

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25 novembre : Une journée pour célébrer les femmes… célibataires?

Le 25 novembre souligne annuellement la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes.

Coïncidence, aujourd’hui, on fête également la Sainte-Catherine. Ça vous dit quelque chose?? Non, non, je ne parle pas de la tire Ste-Catherine, ce bonbon dur à la mélasse qui a été popularisé en Nouvelle-France par Marguerite Bourgeois. Je pense plutôt à la fête des «?vieilles filles?», qui a été nommée en l’honneur de la martyre Catherine d’Alexandrie.

Une fois par année, les femmes non mariées de 25 ans et plus devaient coiffer le bonnet de la sainte Catherine. On les nommait les Catherinette. Peut-être qu’à l’époque, c’était vu comme quelque chose de rigolo, mais, à mon avis, c’était plutôt une façon dissimulée de se moquer d’elles.

Déjà, dans les années 1960, les femmes trouvaient le concept démodé et soulignaient le côté péjoratif du terme «?vieille fille?». Les mentalités ont continué d’évoluer depuis 50 ans, et je doute fort que ce type de célébration puisse encore avoir lieu de nos jours.

Toutefois, avant de reléguer la Sainte-Catherine aux oubliettes, pourquoi ne lui offririons-nous pas une cure de jeunesse faisant de cette fête quelque chose de positif??

J’ai moi-même fêté mes 25 ans cet été et, surprise, surprise, je suis (encore) célibataire. Comme plusieurs jeunes de mon âge, mon entourage me demande souvent si je fréquente «enfin» quelqu’un ou me lance des phrases du genre : «Comment ça se fait que tu ne sois toujours pas en couple??Pourtant, tu mérites tellement de trouver un bon parti?!?» (si je me fie aux différents témoignages des collaboratrices de TPL, ça ne fera qu’empirer dans les prochaines années, surtout lorsque je serai «en âge de faire des enfants». Misère?!).

Pour tout dire, c’est une longue histoire, mais je n’ai jamais eu la «chance» d’être en couple. Et bien que ça me préoccupait beaucoup il y a cinq ou six ans, je me rends compte depuis quelque temps que, well, je m’en balance!

Non, je n’ai pas abandonné l’idée de trouver la personne parfaite pour moi. Cependant, je n’en ressens pas l’urgence. Je suis sur le marché du travail depuis quelques années seulement et je viens d’emménager dans mon premier appart. J’ai le goût de profiter de cette liberté et j’ai peine à imaginer ce que je ferais, si je devais ajouter une histoire d’amour à travers tout ça.

Les astres s’aligneront lorsque le moment viendra. Pourtant, même moi, qui pensais que j’aurais trouvé The One et eu un premier enfant d’ici mes 25-26 ans, je capote quand je tombe sur le profil d’anciennes amies du secondaire qui sont maintenant mariées et/ou mamans. Elles semblent super heureuses, mais je me rends compte que je ne suis vraiment pas rendue là.

Bon, je m’éloigne un peu de la Fête de la Sainte-Catherine… ou peut-être pas tant que ça, finalement? Pourquoi ne remettrions-nous cette fête au goût du jour, en célébrant justement le fait que les femmes ne sont plus dans l’obligation de se caser avec un «bon parti» d’ici leurs 25 ans, sous peine qu’on se moque d’elles ou qu’on en ait pitié?

Cette liberté que nous avons acquise au fil des décennies (bien que nous devions encore nous battre pour la conserver aujourd’hui) ne mérite-t-elle pas d’être soulignée et mise à l’avant-plan?? Si Emma Watson peut se permettre de repenser le célibat, qu’elle choisisse de se désigner comme étant self-partnered, alors pourquoi pas nous, simples mortelles que nous sommes?

Non, je ne me suis pas transformée en vieille fille à minuit le jour de mes 25 ans et je ne vous offrirai pas de tire Sainte-Catherine en ce 25 novembre. Mais je vote pour qu’on célèbre les Catherinettes de ce monde, qu’on se célèbre. Et puis, tant qu’à faire, invitons également nos amies en couple à faire la fête. La solidarité, c’est ça la clé, non?

Bonne Sainte-Catherine?!

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Harry Potter en concert : Une expérience plus que magique!

J’ai eu la chance d’assister à Harry Potter et le Prince de sang-mêlé en concert et c’était une expérience plus que magique. Mélangez une pincée de féminisme, une goutte de musique classique et les couleurs des maisons de Poudlard et vous obtiendrez un spectacle qui plaira aux sorciers et qui émerveillera les Moldus, si vous voyez ce que je veux dire.

La cheffe d’orchestre Sarah Hicks à mené de main de maître un orchestre composé d’environ 70 musiciens. Le pourcentage de femmes occupant cette position se situe sous la barre du 10%, ce fut donc une belle surprise de la voir entrer sur scène. La cheffe, diplômée de Harvard, est inspirante, drôle et tout à fait « badass ».

L’orchestre s’exécute sous un écran géant de 40 pieds où le film est projeté en version originale. Si vous n’êtes pas un sorcier bilingue, ne vous en faites pas, les sous-titres sont en français. La musique live et le plaisir de voir les musiciens s’activer au rythme de la trame sonore ajoutent à l’émotion de ce sixième film de la saga qui est plutôt dramatique. Pensez au moment où tous lèvent leurs baguettes en l’honneur de Dumbledore et vous y êtes presque…

En terminant, même si j’ai vu ce film une dizaine de fois, le regarder en compagnie de 300 personnes est tout à fait rafraîchissant. Le public réagit au film, à la musique et le temps d’une représentation, on devient une famille. Beaucoup représentaient les couleurs de leur maison et je dois dire que la communauté de Serpentards était impressionnante.

Vous pouvez réserver vos billets pour Harry Potter et les Reliques de la Mort, partie 1 en concert qui aura lieu à la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des arts les 3 et 4 avril prochains.

Ah! Un conseil, restez pour le générique.

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Le défilé Victoria’s Secret est annulé!

La nouvelle est officiellement tombée : il n’y aura pas de défilé Victoria’s Secret cette année et la compagnie va réfléchir sur la suite des choses concernant sa stratégie marketing

Après quelques années de déclin dans l’auditoire du défilé (12 millions en 2001 versus 3.3 millions en 2018), le couperet est réellement tombé cette année, surtout à la suite d’une série de controverses qui a profondément entaché la marque. On peut juste se rappeler les propos déplacés du président et directeur marketing, Ed Razek, alors que celui-ci avait déclaré qu’il n’engagerait jamais une mannequin transgenre ou taille plus pour défiler lors du spectacle annuel parce que ce dernier est un « rêve ».

Ça a vraiment fait un tollé, avec raison, et disons que ça a enfoncé un nouveau clou dans le cercueil de la marque. Peu de temps après, Victoria’s Secret a engagé sa première mannequin transgenre, mais le mal était fait.

Je vais être honnête avec vous, l’annulation de ce spectacle me rend vraiment heureuse. L’image de la femme présentée au fil des costumes et des mises en scène en était une de femme-objet. La pression subie par les mannequins avant le spectacle a été mainte fois décriée… et que dire du choix conscient de Victoria’s Secret de ne présenter qu’un type de corps, défilé après défilé.

Le problème, ce n’est pas de présenter de la lingerie. Il y a encore un énorme marché pour ça, comme les récents défilés de Savage x Fenty (Rihanna) ont pu le prouver. Là où ça ne marche pas, c‘est quand on présente la lingerie sur des femmes dans l’intention de les réduire à un objet juste bon à être vu dans le regard masculin. Car on va se le dire, le défilé Victoria’s Secret était principalement conçu pour un auditoire masculin.

On ne sait pas encore si le défilé est annulé pour toujours ou si la marque va simplement prendre une année de congé pour prendre du recul et procéder à des changements (plus que nécessaires) dans leur stratégie marketing.

À suivre…

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Bilan de ma démarche écoresponsable

Depuis environ deux mois, je tente de m’investir dans le zéro déchet. C’est le fun et ça fait apprendre ben des affaires, mais évidemment, c’est préférable de commencer avec de bonnes infos en partant. Voici mes petits pépins (lol) avec le zéro déchet que je tâcherai de ne pas recommencer!

1. Ne pas aller trop vite.

C’est le conseil numéro un et tout le monde le sait: quand on va trop vite, ben on court le risque de se casser le bécik. Ça vaut même pour le zéro déchet! Quand j’ai pris ma résolution, j’étais tellement excitée à l’idée de créer et d’utiliser mes nouveaux produits que j’ai acheté pas mal de trucs que je n’ai même pas pu utiliser encore aujourd’hui, car il faut passer ceux d’avant! C’est mieux d’y aller mollo et de penser d’abord à ce qu’on a besoin avant tout!

2. Acheter des produits en vrac, ça s’apprend.

Non, 100 grammes, ce n’est pas la même chose que 100 millilitres! On se dit « ça devrait pas être ben ben plus cher », finalement, outch! Je l’ai appris à la dure en repartant du magasin avec une grosse bouteille de savon de Castille à 50$… Si jamais vous voulez en savoir plus sur les prix et le fonctionnement, n’hésitez pas à demander des conseils à un.e préposé.e sur place!

Pensez toujours à apporter vos contenants, histoire de ne pas en acheter un au magasin. Le commerce en vrac, ce n’est vraiment pas la même chose que l’épicerie habituelle et ça demande plus de planification.

3. Apprenez à connaître (et respecter) vos limites.

Ça se peut que vous utilisiez l’équivalent réutilisable ou zéro déchet d’un produit et qu’en fin de compte, ce ne soit pas fait pour vous. Je l’ai su à mes dépens en essayant à plusieurs reprises de faire mon shampooing maison et ça n’a pas full marché (allô les cheveux gras).

En attendant de recommencer peut-être un jour, j’ai acheté le mien en barre et ça reste une option écologique. Ce n’est pas dramatique si une option ne vous convient pas. Investissez dans ce qui vous fait du bien en premier, et c’est déjà beaucoup.

4. Si les autres ne sont pas prêts à suivre votre démarche, c’est correct.

Ça ne sert à rien de tout transformer dans l’appart’ ou la maison, si le monde qui vit avec vous n’est pas prêt à vous suivre et ce n’est pas un problème! C’est mieux de prendre le temps d’expliquer à l’autre personne pourquoi on utilise tel produit et pas son équivalent chimique plutôt que de remplacer certains trucs sans en parler avant! Ne videz pas votre bouteille de shampooing dans celle de votre moitié lorsque vous déciderez de fabriquer le vôtre, genre. 

5. N’oubliez pas que le meilleur moyen de faire du zéro déchet est de réduire votre consommation.

Bon. On le voit dans les points précédents, j’ai acheté PAS MAL de trucs. On va se dire que pendant un bon bout, je n’aurai pas à faire plusieurs dépenses. Sauf qu’avant tout, le zéro déchet devrait idéalement nous permettre d’investir dans des options qui vont nous revenir moins cher à long terme tout en évitant d’encourager la consommation…

Quels sont les petits fails de votre propre démarche écoresponsable?

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4 marchés de Noël à visiter absolument!

Noël est l’occasion rêvée de découvrir des artisans d’ici et d’acheter des petits cadeaux mignons et locaux! Il y a vraiment tout plein de marchés qui s’en viennent, mais je vous en ai sélectionné quatre à voir absolument pour magasiner le plus beau de la création québécoise!

La Petite Station, 156 Avenue du Mont-Royal Est, 4 novembre au 31 décembre

La Petite Station, c’est la boutique éphémère des Fêtes organisée par Station Service pour une deuxième édition. Situé au coeur du Plateau, ce petit marché offre plus d’une trentaine de créateurs locaux, comme Noémiah, Horace jewelry, Pauze atelier et Bien à vous studio. C’est LA place où aller pour trouver un cadeau pour votre fashionista préférée.

Plus de détails ici.

Marché éphémère du Collectif Créatif Etsy Montréal, Gare Windsor, 21 au 23 novembre

Chaque fois que le Collectif Créatif Etsy Montréal fait un marché, je suis vraiment énervée! Imaginez browser toutes les belles créations locales sur Etsy, mais en personne! Cette année, il y aura plus de 150 artisans québécois et tout plein de catégories de produits vendus : vêtements, produits soins et beauté, bijoux, artisanat, etc.

Plus de détails ici.

Souk MTL, 1001 rue Lenoir, du 27 novembre au 1er décembre

Un autre incontournable! Petite nouveauté cette année : le Souk ne se produira pas à la SAT, cette année. L’événement a plutôt choisi de s’installer dans le coin de Saint-Henri. Sinon, le marché consacré au design est prêt pour sa 16e édition avec 95 exposants sélectionnés sur le volet par un jury. Ça promet!

Plus de détails ici.

Salon des métiers d’art du Québec, Place Bonaventure, 6 au 22 décembre

Crédit: Salon des métiers d’art du Québec

Très classique, ce salon est définitivement un de mes préférés pendant la période des Fêtes. Il y a vraiment toutes sortes de créateurs et d’artistes qui sont mis de l’avant, pas nécessairement juste des peintres ou sculpteurs! La 64e édition (déjà!) vous en mettra plein la vue.

Plus de détails ici.

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Des retrouvailles dignes d’un épisode de Claire Lamarche

Je le dis souvent: j’ai eu la chance, au cours de ma vie, de rencontrer des personnes formidables. Par contre, je suis super bien seule avec moi-même et je n’aime pas trop rencontrer du monde; un peu par manque d’intérêt, beaucoup parce que ça fait super mal de dire bye. Ça fait que quand je m’attache, c’est du vrai de vrai. T’es dans mon coeur pour la long run. Pis c’est valable même si je ne te vois pas pendant un million d’années.

Tout ça pour dire qu’en fin de semaine passée, j’étais à Québec pour le travail. Pis ça me tentait moyen, jusqu’à ce que je me souvienne qu’une bonne amie du temps où j’étais au Cégep habitait là maintenant.

En fait, ce n’était pas juste une bonne amie: c’est le genre d’humain avec qui, dès la première minute, tu le sais que ça va marcher. Quelqu’un qui voit clair en toi comme tu vois clair en elle, pis les deux, vous trouvez ça pas mal beau. Un genre de complicité inexplicable et une relation amicale facile qui fait que, du jour au lendemain, c’est comme si vous vous connaissiez depuis toujours.

Après nos deux ans de Cégep, on s’est perdues de vue. Aucun drama, juste une coupure douce, comme l’univers le fait si facilement: de la distance, trop de choses, trop souvent, au quotidien. La vie, quoi.

Fait que j’ai pris une chance et je lui ai écrit que j’étais de passage dans sa ville et que ça serait pas mal cool qu’on fasse un brin de catching up. 8 ans de catching up, sur papier, ça a l’air quand même intense, assez anxiogène, mais pourtant.

On s’est retrouvées pour bruncher le dimanche midi. En temps normal, ça m’aurait gossée de devoir me lever pour aller déjeuner. J’aurais aussi été angoissée de ne pas savoir quoi dire après autant de temps. Mais ce n’était pas le cas cette fois-ci. J’avais juste hâte. On a mangé, on a jasé, le temps a flyé sans silence pesant ou de malaise d’inconnus coincés dans une situation sociale indésirable. Je me suis demandé pourquoi je n’avais pas fait ça plus souvent. Plus tôt.

Peut-être par paresse. Ou plutôt par manque d’énergie. Ou encore par peur d’avoir l’air de la weirdo qui sort de nulle part du jour au lendemain pis qui pop dans les DM. Je ne sais pas trop.

Dans tous les cas, c’était con parce que je ne me souviens pas de la dernière fois où j’ai été aussi emballée de rejoindre quelqu’un quelque part. Fait que c’est ça. J’ai officiellement ma résolution pour 2020: je veux plus de doux comme ce brunch-là dans ma vie. Je veux reconnecter avec le monde qui a été important pour moi. Demander « Quoi de neuf depuis mille ans? » pis écouter la réponse avec attention. Le temps d’un café, d’un diner ou autour d’un verre.


Pick and choose, je vais y être.

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4 conseils pour un marathon Harry Potter réussi!

Vous avez sûrement vu passer l’une des publications Facebook parlant du marathon Harry Potter (les vrais fans savent et les autres, tournez-vous vers Google). J’ai tenté l’expérience avec une de mes amies et c’était loin d’être magique. Nous étions naïves et nous manquions de préparation. Voici donc quelques conseils qui vous garantiront une journée plus agréable que la nôtre.

1. « Meal prep »

Le marathon Harry Potter c’est 8 films et 19h40 de temps d’écran en 24 heures. C’est une tâche colossale qui demande une certaine préparation. Dans les jours précédents le défi, faites un petit peu de « meal prep » et remplissez vos réserves de café. C’est sûr que c’est le fun de manger des cochonneries en écoutant un film, mais ça ne fournit pas beaucoup d’énergie et après quelques heures, on se sent dégueu! Gardez vos collations spéciales pour la soirée.

2. Gestion du temps

Lors du jour J, commencez le visionnement tôt pour ne pas finir trop tard dans la nuit qui suit.
Pour économiser du temps, je vous propose de sauter les crédits; vous pourrez toujours les regarder une autre fois. Vous aurez aussi le droit à des pauses et croyez-moi, vous voudrez les prendre. Je suggère de prendre de plus longues pauses moins souvent, vous pourrez alors faire une sieste au besoin ou aller prendre une marche.

3. Ambiance

Je vous suggère aussi de mettre des vêtements mous et de vous installer confortablement. Vous pouvez décorer la pièce aux couleurs de votre maison ou mettre des « fairy lights » partout. Se mettre dans l’ambiance, ça rend l’expérience doublement magique.

4. On reste concentré.e

Mon dernier conseil est le suivant : trouvez un moyen de garder tout le monde concentré et allumé. Après plusieurs heures, on est peu moins intéressé.e et c’est là qu’on s’endort. Lors de notre visionnement, nous avions un questionnaire à remplir pour chaque film que j’avais fait à l’avance. La personne avec le plus de bonnes réponses recevait un prix de la journée et tout le monde a aimé participer.

Il ne vous reste plus qu’à sortir votre robe de sorcier et à tenter l’expérience. Bon visionnement!