Une ancienne mannequin, Anina Trepte, a créé des robes connectées qui se modifient d’elles-mêmes afin de pouvoir arborer plusieurs looks, totalement différents. L’entrepreneure, qui est également fondatrice de la société 360Fashion Network, a eu cette idée dans l’espoir de rapprocher les femmes de la technologie: « Je suis en mission pour encourager d’autres femmes à se mettre à la technologie », comme on peut la lire dans La Presse.
La créatrice, aussi appelée Net, a collaboré avec deux designers, dont Clare Tattersall, qui a créé une robe qui se met à bruisser si quelqu’un approche de trop près ainsi qu’une autre à pétales d’argent qui peuvent se redresser en mode « floraison » technologique.
View this post on InstagramBrillant, non? Ces robes, ainsi que d’autres modèles techno, ont été présentées lors d’un défilé en marge de la Fashion Week de New York.
Ces robes intelligentes peuvent prendre plusieurs formes et répondent à différents besoins. Anina Trepte prévoit d’ailleurs créer, éventuellement, d’autres vêtements techno dont un manteau chauffant, un vêtement qui vibre grâce à des notes de musique ou encore, rendre un sac lumineux.
On adore l’idée!
Source: La Presse
COS aime bien sortir des collections capsules et on doit dire que nous aussi on aime ça! Comme la marque se spécialise dans une mode plus intemporelle que sa marque s?ur, H&M, c’est bien qu’elle créé des petites collections ici et là pour apporter une touche différente à ses modèles plus intemporels.
Cette capsule a été inspirée par une célèbre école d’arts en Allemagne, le Bahaus. Cette école a même fini par créer un mouvement artistique, le mouvement Bahaus. COS souligne bien les 100 ans du célèbre lieu académique avec cette belle collection. La capsule Archive Editions comporte 13 morceaux (6 pièces pour les femmes, 6 pour les hommes et 1 accessoire) tous confectionnés dans le même genre d’esthétique habituel à COS, soit des designs modernes, de beaux drapages et de belles pliures.
Ce qui est encore plus cool de la collection, c’est que COS est allé fouiller dans les archives du Bahaus pour bien s’inspirer et s’imprégner de la vibe de l’endroit et des artistes qui ont participé au mouvement. Le résultat donne une collection très géométrique, dans des couleurs parfaitement monochromes. On adore!
La collection sera disponible en ligne et dans le magasin sur la rue Sainte-Catherine.
Pour la rentrée, vous avez peut-être pris la bonne résolution de vous préparer vos boissons préférées ou de bons petits lunchs à emporter pour le bureau ou l’université. Seulement voilà, vous êtes mal équipé.e.s pour les transporter et un peu perdu.e.s face au choix pléthorique de contenants qui s’offre à vous.
No panic! On vous aide à vous y retrouver avec nos produits préférés!
Pour la nourriture
On aime les boîtes Mon Bento compartimentées, étanches et si jolies!
On apprécie aussi les boîtes Glasslock, moins glamour, mais qui font la job (à savoir, transporter notre lunch sans se retrouver avec de la sauce tomate ou de la vinaigrette plein notre sac).
Et on vous présente les ustensiles en bambou To-Go Ware parfaits, à toujours avoir avec soi? qui viennent en bonus avec un étui et des baguettes!
On est plusieurs à apprécier les tasses Contigo : étanches, résistantes et bien isolantes. Une légende raconte qu’on pourrait oublier sa tasse pleine de café chaud sur le comptoir de sa cuisine le matin et boire un café encore tiède en rentrant le soir? on confirme!
On vous recommande aussi la marque Keepcup. Les amateurs.trices d’espresso apprécieront en particulier le petit format (8 oz). Et il est possible de personnaliser sa tasse en choisissant la couleur des différents éléments qui la composent.
Pour les boissons froides
Coup de c?ur pour les bouteilles Swell : bien isolantes, elles conservent longtemps le liquide froid. On vous partage (dans la galerie photo) la version Harry Potter/ Gryffindor (hélas épuisée) de l’une d’entre-nous, mais la marque propose différents modèles disponibles en plusieurs couleurs et motifs.
Quelles sont vos recommandations?
Comme plusieurs d’entre vous, j’ai appris qu’Éric Duhaime a été invité à écrire une chronique sur Urbania.
Urbania, c’est un média progressiste, ouvert d’esprit, qui permet de donner de la visibilité à des idées qui font changer les mentalités dans le sens d’une meilleure inclusion de tous les humains.
Éric Duhaime, c’est Éric Duhaime. Pas besoin d’en dire beaucoup plus que ça. Chaque fois qu’il s’exprime, ça semble être principalement motivé par l’envie de choquer. Jamais par celle d’informer. Ce n’est pas un journaliste, c’est un chroniqueur qui est payé pour dire tout ce qui lui passe par la tête. Et ce qui lui passe par la tête, ce ne sont pas de belles paroles pleines d’amour, de respect et d’inclusion, en général.
Ça fait que l’alliance entre Urbania et Éric Duhaine a de quoi surprendre.
Et tout ça a commencé quand Philippe Lamarre, le fondateur et éditeur d’Urbania, a été invité à l’émission d’Éric Duhaime pour discuter des médias québécois. Parle parle, jase jase et de fil en aiguille, cet échange est survenu :
« Au milieu de l’entrevue, il m’a demandé d’expliquer à ses auditeurs qui ne connaissaient pas URBANIA ce que ça mangeait en hiver.
Avant même de me laisser le temps de répondre, il a ajouté « Est-ce qu’on pourrait dire que vous êtes un magazine de gauchistes du Plateau ?». Pris de court, j’ai réagi en affirmant que je préfère nous décrire comme un média progressiste, où une multitude de points de vue et d’allégeances peuvent cohabiter. Alors qu’il me disait ne pas avoir souvent lu des chroniqueurs qui pensent comme ses auditeurs dans URBANIA, je lui ai répondu à la blague que notre ouverture d’esprit est telle que s’il avait des idées à partager, nous serions heureux de les publier », explique Philippe Lamarre.
Finalement, l’idée lancée d’abord à la « blague » a fait son chemin et voilà qu’Éric Duhaime a signé son premier article sur Urbania le 11 septembre.
Quand on y pense, la justification de Philippe Lamarre fait un certain sens.
Oui, il l’avoue, c’est une belle opportunité pour les clics. Mais il dit aussi vouloir provoquer des discussions et réduire le clivage qui sépare la gauche de la droite au Québec. Selon lui, la présence du chroniqueur chez Urbania pourrait créer une espèce de pont entre des humains aux valeurs et opinions (souvent) complètement opposées.
« Pas tant parce que je pense comme Éric Duhaime et que je cautionne ses idées, mais bien parce que je crois sincèrement que nous vivons à une époque où nous ne sommes trop souvent qu’exposés aux idées auxquelles nous adhérons. Que ce soit à cause des algorithmes, des alignements idéologiques des médias ou simplement à travers le miroir déformant qu’est notre page Facebook, le clivage entre la gauche et la droite est devenu pire qu’un dialogue de sourds. On se caricature mutuellement, et au final, on ne prend pas le temps d’essayer de se comprendre », ajoute Philippe Lamarre.
Hum? intéressant.
En théorie du moins.
Le 10 octobre prochain, vous pourrez ENFIN visionner la nouvelle saison de la populaire série inspirée de la bande dessinée Archie et ça a l’air que ça va brasser pas mal du côté des étudiants de Riverdale!
La saison 3 s’était terminée sur des images troublantes du groupe d’amis, à moitié nus, au beau milieu de la forêt, faisant la promesse de ne plus jamais discuter des évènements traumatisants qu’ils viennent de vivre. Majeur détail… une personne est manquante dans cette dernière scène: Jughead !
Préparez-vous parce que la bande-annonce nous prépare à une saison 4 vraiment intense et spooky, mais qui se veut quand même réaliste, un peu comme la saison 1.
Pour résumer le tout rapidement, Betty cache quelque chose de définitivement trèèèèèès louche, Véronica se retrouve au beau milieu d’un scandale (mais est complètement in love avec Archie) et Jughead semble être pris sous la terre, dans un cercueil, pendant qu’une battue est organisée dans le bois pour le retrouver…
Y’a de l’action!
Ok, l’intrigue a juste l’air malade!
En ce moment, c’est la Fashion Week à New York et les différentes marques nous présentent déjà ce qu’elles nous concoctent pour le printemps prochain! En mode, on est toujours au moins une saison d’avance, alors ne vous surprenez pas si les couleurs ne sont pas très automnales, hihi.
Coach a présenté ses collections pour les femmes et pour les hommes en même temps, ce qui est quelque chose qui est de plus en plus préconisé par les marques. On voit un engouement dernièrement pour les styles vintage, surtout les années 80 et 90. Ça a commencé avec le streetstyle et les grandes marques ont adopté le look au fur et à mesure. Coach ne fait pas exception à la règle alors que la marque nous présente des outfits vintage à souhait, ultra colorés dans des couples assez amples et ceinturés à la taille.
Question de rajouter encore plus de clin d’?il au passé, Coach a présenté 78 sacs qui sont des réinterprétations de modèles phares des 78 dernières années d’existence de la marque! On adore!
C’est Stuart Vevers, le directeur créatif de Coach qui a pensé la collection.
On a aussi bien aimé que Coach s’éloigne un peu des talons hauts et propose plutôt des sandales colorées et des sneakers ultra tendance. En même temps, comme la mode est aux souliers confo, mais stylés, on n’est pas SI surprises du choix esthétique de Coach, mais on tenait tout de même à le souligner.
On a trop hâte de voir les défilés des autres marques!!! #PassionMode.
La nouvelle star canadienne du tennis qui a récemment remporté les Internationaux des États-Unis, Bianca Andreescu, a choisi de porter une magnifique robe de la designer Marie Saint Pierre lors de sa tournée médiatique à Manhattan, dimanche dernier.
View this post on InstagramDu haut de ses 19 ans, Bianca a remporté, samedi après-midi, les Internationaux des États-Unis, à New York, battant Serena Williams, la queen du tennis et notamment, gagnante de 23 titres du grand chelem pendant sa première finale dans un tournoi majeur.
Petite robe noire, les épaules dénudées et les cheveux relâchés, pas besoin de vous dire que le look de la joueuse a vite fait écouler les stocks de la robe CYME, tirée de la collection automne 2019 Marie Saint-Pierre.
Une boutique éphémère a d’ailleurs pignon sur rue dans le quartier TriBeCa à New York depuis dimanche passé, le même jour où Andrea a été aperçue portant sa robe, juste à temps pour la Fashion Week. Vraiment un beau coup de visibilité pour la talentueuse designer montréalaise!
On avoue être émues devant l’association de ces deux femmes d’ci au top de la gloire! Vive les femmes qui se supportent!
Source: La Presse
Hey! Wow! Honnêtement, c’est tellement un beau projet de la part du Musée McCord d’avoir réuni toute cette information sur l’histoire de la mode québécoise. Quelle belle manière aussi de la mettre en valeur, parce que je peux vous garantir que cette histoire est très riche et qu’on a vraiment des immenses talents au Québec dans le domaine de la mode.
L’encyclopédie en ligne du Musée, appelée EncycloModeQC, regroupe déjà des informations sur plus de 500 fabricants, créateurs, détaillants, organisations et événements du milieu de la mode au Québec.
Elle est entre autres basée sur les multiples recherches que le Musée a faites au fil des années.
Cette vidéo montre bien comment le site fonctionne et les différentes catégories à travers lesquelles on peut naviguer.
Je me répète, je sais, mais wow! Pour une passionnée de la mode comme moi, je capote un peu d’avoir accès à autant de contenus sur l’histoire de la mode québécoise en un seul clic. En parcourant le site Web un peu, je suis tombée sur la page du Château et les photos vintage m’ont fait tripper!
EncycloModeQC/Musée McCord/photo fournie par Le Château
Le contenu est 100% gratuit et on a même la possibilité de télécharger les différentes fiches sur les entreprises et les créateurs. Le projet est parti du Dicomode, un dictionnaire élaboré par Gérard Baril, recensant les acteurs ?uvrant dans le mode au Québec depuis le 20e siècle jusqu’en 2010, où l’accès à l’ouvrage s’est trouvé plus restreint. Le Musée l’a acquis en 2015 et est parti de là pour monter l’EncycloModeQC.
Le contenu de l’encyclopédie sera actualisé au fur et à mesure des nouvelles dans le milieu de la mode québécoise.
Hey! Wow! Honnêtement, c’est tellement un beau projet de la part du Musée McCord d’avoir réuni toute cette information sur l’histoire de la mode québécoise. Quelle belle manière aussi de la mettre en valeur, parce que je peux vous garantir que cette histoire est très riche et qu’on a vraiment des immenses talents au Québec dans le domaine de la mode.
L’encyclopédie en ligne du Musée, appelée EncycloModeQC, regroupe déjà des informations sur plus de 500 fabricants, créateurs, détaillants, organisations et événements du milieu de la mode au Québec.
Elle est entre autres basée sur les multiples recherches que le Musée a faites au fil des années.
Cette vidéo montre bien comment le site fonctionne et les différentes catégories à travers lesquelles on peut naviguer.
Je me répète, je sais, mais wow! Pour une passionnée de la mode comme moi, je capote un peu d’avoir accès à autant de contenus sur l’histoire de la mode québécoise en un seul clic. En parcourant le site Web un peu, je suis tombée sur la page du Château et les photos vintage m’ont fait tripper!
EncycloModeQC/Musée McCord/photo fournie par Le Château
Le contenu est 100% gratuit et on a même la possibilité de télécharger les différentes fiches sur les entreprises et les créateurs. Le projet est parti du Dicomode, un dictionnaire élaboré par Gérard Baril, recensant les acteurs ?uvrant dans le mode au Québec depuis le 20e siècle jusqu’en 2010, où l’accès à l’ouvrage s’est trouvé plus restreint. Le Musée l’a acquis en 2015 et est parti de là pour monter l’EncycloModeQC.
Le contenu de l’encyclopédie sera actualisé au fur et à mesure des nouvelles dans le milieu de la mode québécoise.
L’iconique petit monsieur moustachu a pris sa retraite dans cette version réinventée du Monopoly pour laisser place à sa prolifique nièce, Mme Monopoly! La quête ultime du jeu? Investir dans le talent au féminin; les inventeuses et les entrepreneures. Quand même plus nice que d’investir dans une vieille track de chemin de fer, non?
Les règles du jeu imposent que les participantes reçoivent un peu plus d’argent au début de partie et à chaque fois qu’elles passent Go, ce qui leur assure un bon revenu, à chaque tour de table. Ah bin, ça fait changement de la vraie vie, ça!
Pour vous dresser un portrait vite fait de l’équité salariale entre les hommes et les femmes au Québec, en 2018, un homme gagnait 26,90$ l’heure en moyenne, alors que les femmes gagnaient 23,90$ selon une étude de l’Institut de la statistique du Québec. On ne vous surprendra pas non plus en vous apprenant que selon Statistique Canada, les femmes sont minoritaires dans les postes de pouvoir, même au sein des professions traditionnellement (et stéréotypiquement) associées à leur sexe, comme en enseignement ou en soins infirmiers, par exemple.
Bien sûr, les participants de sexe masculin auront la possibilité de gagner autant d’argent, sinon plus que les femmes, s’ils jouent bien leurs cartes, a affirmé Hasbro, le fabricant du jeu, dans un communiqué.
Pas de chicane dans la cabane, donc!
En plus, de petites modifications ont été apportées aux pions, traditionnellement représentés par une voiture, un fer à repasser ou une chaussure. Ils sont maintenant remplacés par un cahier, un avion d’affaires ou une montre. Très cute!
Enfin, on salue M. Habstro pour avoir créé une version qui, même si elle fera assurément réagir, permet de se poser des questions et de lancer des belles discussions dans les foyers où le jeu se retrouvera.
Et si les hommes sont trop frus de gagner moins dans ce jeu, ça nous donnera une bonne occasion de leur rappeler que pour nous, c’est le cas dans la vraie vie. Ha!
Ce nouveau Monopoly féministe sera dispo à partir de mi-septembre aux États-Unis et dans certains pays dont la France, le Canada et la Belgique.
