Hey! Wow! Honnêtement, c’est tellement un beau projet de la part du Musée McCord d’avoir réuni toute cette information sur l’histoire de la mode québécoise. Quelle belle manière aussi de la mettre en valeur, parce que je peux vous garantir que cette histoire est très riche et qu’on a vraiment des immenses talents au Québec dans le domaine de la mode.
L’encyclopédie en ligne du Musée, appelée EncycloModeQC, regroupe déjà des informations sur plus de 500 fabricants, créateurs, détaillants, organisations et événements du milieu de la mode au Québec.
Elle est entre autres basée sur les multiples recherches que le Musée a faites au fil des années.
Cette vidéo montre bien comment le site fonctionne et les différentes catégories à travers lesquelles on peut naviguer.
Je me répète, je sais, mais wow! Pour une passionnée de la mode comme moi, je capote un peu d’avoir accès à autant de contenus sur l’histoire de la mode québécoise en un seul clic. En parcourant le site Web un peu, je suis tombée sur la page du Château et les photos vintage m’ont fait tripper!
EncycloModeQC/Musée McCord/photo fournie par Le Château
Le contenu est 100% gratuit et on a même la possibilité de télécharger les différentes fiches sur les entreprises et les créateurs. Le projet est parti du Dicomode, un dictionnaire élaboré par Gérard Baril, recensant les acteurs ?uvrant dans le mode au Québec depuis le 20e siècle jusqu’en 2010, où l’accès à l’ouvrage s’est trouvé plus restreint. Le Musée l’a acquis en 2015 et est parti de là pour monter l’EncycloModeQC.
Le contenu de l’encyclopédie sera actualisé au fur et à mesure des nouvelles dans le milieu de la mode québécoise.
L’iconique petit monsieur moustachu a pris sa retraite dans cette version réinventée du Monopoly pour laisser place à sa prolifique nièce, Mme Monopoly! La quête ultime du jeu? Investir dans le talent au féminin; les inventeuses et les entrepreneures. Quand même plus nice que d’investir dans une vieille track de chemin de fer, non?
Les règles du jeu imposent que les participantes reçoivent un peu plus d’argent au début de partie et à chaque fois qu’elles passent Go, ce qui leur assure un bon revenu, à chaque tour de table. Ah bin, ça fait changement de la vraie vie, ça!
Pour vous dresser un portrait vite fait de l’équité salariale entre les hommes et les femmes au Québec, en 2018, un homme gagnait 26,90$ l’heure en moyenne, alors que les femmes gagnaient 23,90$ selon une étude de l’Institut de la statistique du Québec. On ne vous surprendra pas non plus en vous apprenant que selon Statistique Canada, les femmes sont minoritaires dans les postes de pouvoir, même au sein des professions traditionnellement (et stéréotypiquement) associées à leur sexe, comme en enseignement ou en soins infirmiers, par exemple.
Bien sûr, les participants de sexe masculin auront la possibilité de gagner autant d’argent, sinon plus que les femmes, s’ils jouent bien leurs cartes, a affirmé Hasbro, le fabricant du jeu, dans un communiqué.
Pas de chicane dans la cabane, donc!
En plus, de petites modifications ont été apportées aux pions, traditionnellement représentés par une voiture, un fer à repasser ou une chaussure. Ils sont maintenant remplacés par un cahier, un avion d’affaires ou une montre. Très cute!
Enfin, on salue M. Habstro pour avoir créé une version qui, même si elle fera assurément réagir, permet de se poser des questions et de lancer des belles discussions dans les foyers où le jeu se retrouvera.
Et si les hommes sont trop frus de gagner moins dans ce jeu, ça nous donnera une bonne occasion de leur rappeler que pour nous, c’est le cas dans la vraie vie. Ha!
Ce nouveau Monopoly féministe sera dispo à partir de mi-septembre aux États-Unis et dans certains pays dont la France, le Canada et la Belgique.
Ce n’est pas tout le monde qui peut s’improviser beauty guru, même les stars! J’adooooore le maquillage, mais ipelaye que je ne ferai jamais un tutoriel makeup parce que je sais que mes « skills » de maquillage ne sont clairement pas assez bons pour être partagés avec le reste du monde.
MAIS, si jamais j’en venais un jour à faire des tutoriels, clairement je les commencerais pas maquillée, t’sais. Cette logique ne semble pas être aussi logique pour tout le monde, puisque Millie Bobby Brown s’est récemment fait prendre au jeu du « faux » tutoriel makeup. Oups! La jeune actrice a présenté quelques produits de sa nouvelle ligne de maquillage dans une vidéo, mais ses followers ont été rapides à remarquer que Millie ne mettait pas réellement les produits et surtout, avait déjà le visage préparé et maquillé. La vidéo a été retirée de ses réseaux depuis, mais elle circule encore sur les Internets, parce que ce qui s’y trouve le reste longtemps, huhu.
Millie Bobby Brown is a weirdo loool. She did a tutorial with her skin care range and just pretended to use the products??? WHO IS SHE FOOLING???? Foolish girl pic.twitter.com/MFQHch9ZQJ
— IGOR (@sadfta) September 10, 2019
Ça n’enlève absolument rien à sa gamme de produits ou même à elle en tant que personne, mais je n’ai pas pu m’empêcher de facepalm avec beaucoup d’affection devant sa petite bourde.
Sinon, quand ce ne sont pas les stars qui font semblant d’appliquer du maquillage, il y aussi celles qui font des faux tutoriels pour le lol.
C’est le cas de Coeur de pirate qui a fait un court « tutoriel » vraiment funny dans lequel elle a l’air de se prendre au sérieux alors qu’elle fait probablement un des pires tuto ever de l’histoire des tuto maquillage, haha!
View this post on Instagram1- Le stress des choix de cours.
Ne pas devoir me lever à 4h57 pour entrer ma sélection de cours et espérer que mes choix d’horaire A, B, C (ou même D, rendu là) vont encore être disponibles. Pis au final, tout est déjà mystérieusement plein avant l’ouverture des inscriptions. (Salut, c’est moi la fille qui a pris Japonais 1 comme cours d’option. Non, je ne parle pas japonais aujourd’hui. Pis non, ça n’a pas bien été.)
2- Les travaux d’équipe.
Quand on se ramasse avec un bunch d’inconnus dont les horaires sont à l’opposé à tout coup. Vous êtes disponible le mardi de 8h à 8h30 et le vendredi de 15h à 15h15? Cool story bro. Ce sont les deux jours où je suis à la job.
3- Les coéquipiers et leurs « standards ».
Et étonnamment, les mêmes inconnus qui forment votre équipe n’ont pas nécessairement la même notion de ce que représente « un bon travail ».
Ça, ça va dans les deux sens. Y’a tout le temps quelqu’un de too much et des personnes trop « lâches ». C’est le doux équilibre de la nature.
4- Le premier cours.
Quand tout le monde doit se présenter (et qu’on vit une première crise d’angoisse quand notre tour est sur le point d’arriver). Encore pire quand le prof nous désigne pour partir le bal.
5- Le fardeau économique que représente la vie d’étudiante.
Une job étudiante à temps partiel : 200$.
Un des milliers de manuels obligatoires : 249$
Pour tout le reste, il y a Mastercard.6- Les grèves spontanées.
Ok, ça c’est plus typique de certaines écoles plus que d’autres, pis des fois ça te permet de dormir plus que 4 heures d’affilée. Le vrai downside, c’est de te rendre à l’école pour finalement te faire virer de bord. #MettreUnVraiPantalonPourRien
7- Les cours obligatoires ou les lectures qui (on le sait déjà) ne serviront JAMAIS dans la vraie vie.
J’ai dû lire et décortiquer le système économique de l’Europe féodale et, bizarrement, je n’applique pas ces connaissances dans ma profession en marketing. #étrange
8- Devoir mettre de côté des passe-temps, par manque de temps (et culpabilité).
J’aimerais vraiment lire ce nouveau bestseller qu’on m’a recommandé, mais je devrais plutôt lire cet article interminable sur l’économie de l’Europe féodale? (Oui, je l’ai encore sur le coeur.)
9- 24h par jour, c’est loin d’être suffisant.
Faire des compromis (parfois au détriment de ma santé mentale ou physique) pour arriver à tout entrer dans un même 24 heures.
On oublie parfois, malheureusement, qu’il est nécessaire de bien dormir, bien manger et bouger dans une journée, peu importe le nombre de TP qu’on a à remettre.
10- La gamme d’émotions associée à la fin de session.
T’sais quand tout arrive en même temps et qu’on ne peut rien faire d’autre que capoter.
Bonne rentrée pareille, là. #lolilol
Du 12 au 15 septembre prochains, 23 artistes contemporains de la relève québécoise exposeront leurs créations dans le somptueux décor du Square Dorchester. Vous pourrez venir admirer plus d’une centaine d’?uvres, en plus de pouvoir assister à des performances artistiques, ainsi qu’à des ateliers d’initiation pour tous!
« Artch est une merveilleuse plateforme pour faciliter l’éclosion de nos talents les plus prometteurs. C’est un rendez-vous pour mieux comprendre l’art contemporain, découvrir des artistes d’exception et les rencontrer », a indiqué dans un communiqué Frédéric Loury, cofondateur et directeur général de Art Souterrain, cofondateur de Artch. « Il est important de préciser que 98% des profits générés par la vente des ?uvres lors de l’exposition seront remis à l’artiste », de renchérir Martin Choquette, directeur général du CJE Montréal Centre-Ville et aussi cofondateur de Artch.
Crédit: Alexanne Dunn
Artistes qui seront sur place:
Alex Coma, peinture
Alexanne Dunn, peinture
Alexia McKindsey, peinture
Camille Lescarbeau, dessin
Clara Couzino, objet
Colas Eko, objet
Diyar Mayil, performance
Elyse Lewis, photographie
Emily Spooner, peinture
Florence Giroux Gravel, objet
Geneviève Cadieux-Langlois, performance
Janna Yotte, art d’impression
Jérémie St-Pierre, peinture
Juliette Blouin, peinture
Kassandra Graham, objet
Laurence Dauphinais, photographie
Mariane Stratis, art d’impression
Marion Paquette, photographie
Marko Tonich, objet
Michaëlle Sergile, photographie
Myriam Simard-Parent, photographie
Rihab Essayh, objet
Saba Heravi, objet
Puisque Artch parraine des artistes âgés de 35 ans et moins afin de les soutenir dans leurs projets artistiques, chacun des 23 artistes participant à Artch se mérita une bourse d’une valeur de 1 000 $ grâce à Loto Québec, l’UQAM et l’Université Concordia ainsi qu’une formation de 52 heures en entrepreneuriat artistique.
Pour la bonne cause, alliez l’utile à l’agréable en passant y faire un petit tour!
Des fois, la vie fait des choses étranges, mais qu’au final, on se rend compte que c’était peut-être la bonne chose pour soi. Quand j’étais au secondaire, j’ai fait la rencontre d’une fille extravagante, intense et populaire et nous sommes rapidement devenues amies. Malgré sa façade d’artiste torturée et son désir intense de vouloir être différente, mais reconnue, nous nous sommes rapidement rapprochées. De l’extérieur, nous étions deux personnes totalement différentes: moi une nerd, considérée pas très jolie, gênée et dans l’ombre, et elle une bombe de lumière. En privé, nous nous retrouvions au milieu et étions beaucoup plus similaires qu’on ne le laissait paraître. Notre amitié aura duré longtemps.
Par contre, elle m’a toujours fait sentir que je n’étais pas assez cool pour être vue en public avec elle, ou pour être dans ses médias sociaux, ou pour qu’elle vienne à mes anniversaires. Je n’étais pas assez extra ou wild. Puis, rapidement nos vies ont pris des chemins différents; j’ai gradué, j’ai commencé ma carrière avec des petits projets sur le côté, j’ai déménagé de chez mes parents, j’ai rencontré mon copain, on s’est acheté une maison et on se marie bientôt. Elle non.
J’ai plein d’amis qui n’ont pas fait le même chemin que moi et qui n’ont pas les mêmes aspirations de vie que moi, mais nous arrivons toujours à connecter et à être nous, malgré tout. Avec elle, non. C’est comme si un ravin se créait tranquillement.
Puis, mon bachelorette a eu lieu, et elle n’est pas venue, alors qu’elle était supposée. Je me suis rendu compte que ça ne me dérangeait pas qu’elle ne soit pas là, so be it qu’on n’est pas assez cool pour ses stories Instagram. Ça me fâchait que mes amis aient dépensé de l’argent et de l’effort pour lui préparer un sac cadeau. Je l’ai textée et elle m’a demandé si elle pouvait emmener un +1 au mariage; j’ai refusé.
Elle m’a sortie que rendu là, elle ne viendrait que pour commémorer « ce qu’on avait ».
J’y avais déjà pensé longuement et j’ai cassé avec elle. Un vrai breakup d’amitié. Je suis correct avec le fait que nous ne soyons plus amies. Sur le coup, ça m’a fait mal de dire bye à plus de 10 ans d’amitié, mais je me suis sentie soulagée. Je venais d’éliminer une des dernières relations toxiques de ma vie.
Ma soirée de bachelorette m’a ouvert les yeux sur le fait que je suis entourée des plus belles personnes qui soient et qui sont toujours là pour moi no matter what. Je n’ai pas besoin de plus et où je suis rendue dans ma vie, je n’ai plus besoin de me faire chier avec des fausses amitiés.
Un nouvel album pour Rihanna
Rihanna est notre queen.
Elle sort un NOUVEL ALBUM en décembre et on sait pas trop comment on va faire pour attendre aussi longtemps.
Ça fait 3 ans que Rihanna est absente de la scène musicale, et les fans commençaient vraiment à être impatients (nous aussi). On a même eu peur pendant un moment que la chanteuse ne crée plus jamais de nouveau contenu… L’horreur. MAIS NON. Elle nous gâtera d’un neuvième album, juste à temps pour se déhancher pendant nos partys du temps des Fêtes.
On n’a pas encore plus de détails et aucun single n’a été annoncé, mais on se doute que ce nouvel album sera excellent.
View this post on InstagramRihanna est une artiste occupée.
Outre sa musique, elle a une super belle marque de produits beauté et depuis peu, elle pilote une nouvelle marque de vêtements au sein du grand groupe LVMH. Elle ne chôme définitivement pas!
On a trop hâte d’écouter son nouveau disque!
Aujourd’hui, c’est une journée importante. C’est la Journée de prévention du suicide.
Pis on doit s’en parler.
On doit s’en parler, parce qu’on n’en jase pas assez souvent. Parce qu’il y a encore des personnes qui glissent entre les mailles du filet de sécurité qu’on essaie de tisser en tant que société. On doit s’en parler parce que malgré que les mesures de prévention du suicide soient en progrès dans plusieurs pays, il y a encore beaucoup à faire.
Mais aujourd’hui, plutôt que de mettre l’emphase sur des statistiques, on a le goût de vous dire que vous êtes des belles personnes.
Que vous êtes valides.
Que vos émotions sont réelles et légitimes.
Que vous n’êtes pas un échec, vous ne le serez jamais.
Que vous avez le droit d’avoir une mauvaise journée, une mauvaise passe, une mauvaise année.
Que vous avez le droit de demander de l’aide. Que vous méritez d’avoir de l’aide.
Que vous méritez d’être entouré.e.s de belles personnes qui veulent votre bien et votre bonheur.
Que vous êtes assez, même quand vous vous sentez vraiment poche.
Que vous pouvez être à la fois f*ckin’ fabulous et un work in progress.
Que c’est correct si tout ce que vous avez réussi à faire aujourd’hui, c’est sortir du lit pour vous rendre sur le divan.
C’est correct aussi si vous n’êtes pas sorti.e.s du lit et que vous avez réussi à survivre à une journée de plus.
C’est correct de ne pas être « efficace ».
Vous avez le droit à l’erreur et à l’échec. C’est juste normal. Vous êtes tellement plus qu’une liste d’accomplissements.
On vit dans une société qui nous fait feeler inadéquat.e tellement souvent. Le problème, ce n’est pas vous.
Vous êtes important.e.
Vous êtes unique.
Vous êtes vous. Et c’est plus qu’assez.
Pis on veut aussi vous dire que vous n’êtes pas seul.e.
Que ce soit votre famille, vos ami.es, votre conjoint.e, des connaissances en ligne ou IRL; vous êtes aimé.e.
Suicide Action
1-866-277-3553Tel-Jeunes
1-800-263-2266La jeune entrepreneure québécoise Elisabeth Rioux a discuté à plusieurs reprises au cours des derniers mois de ses préoccupations pour l’environnement ainsi que de son désir de créer une ligne de bikinis éco-responsables? Hey bien, les filles, ce jour arrive à grands pas!
Un nouveau site internet, en plus d’une page Instagram Ecohoaka ont été lancés hier afin que vous puissiez suivre l’évolution du projet qui, selon Elisabeth, devrait aboutir au mois de novembre! Yess! Juste à temps pour les Fêtes.
Elle avait laissé planer à quelques reprises sur sa page Insta que le projet se mettait en branle tranquillement, en partageant avec ses fans des stories dans lesquelles elle choisissait les coussinets qu’elle allait utiliser dans sa future ligne!
Un premier échantillon de la collection a déjà été dévoilé, montrant ainsi un petit maillot 2 pièces noir fait de plastique recyclé et fabriqué dans des conditions éthiques!
View this post on InstagramL’interprète de la chanson à succès « Señorita » collabore pour une deuxième fois avec Roots et ça donne vraiment un petit vent de renouveau à la marque canadienne.
La collection capsule propose 9 morceaux unisexes, dans des coupes assez classiques de la marque. On retrouve des t-shirts, des hoodies, des pantalons jogging et une veste sans manches. La petite touche « Shawn Mendes » est donnée par une rose appliquée de manière différente sur chaque morceau.
Le morceau phare de la collection est un blouson léger de style aviateur, en nylon. Chaque blouson est confectionné à la main, dans l’usine de Roots à Toronto. C’est un peu ce qui explique le prix très dispendieux de 498$…
Jusqu’au 11 septembre, les fans pourront aussi acheter une casquette au coût de 28$ et les profits générés iront à la Fondation Shawn Mendes! Yeah!
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