Ça y est: la journée qu’on attendait avec tellement impatience est enfin arrivée: les candidat.e.s d’OD Afrique du sud sont ENFIN dévoilé.e.s.
Si vous êtes aussi fan de la téléréalité que nous, vous devez sauter de joie, vous aussi!
Nos ami.e.s d’Hollywood PQ ont d’ailleurs préparé une belle galerie photo avec tou.t.e.s les candidat.e.s de cette édition 2019. Allez jeter un oeil, ça vaut la peine!
View this post on InstagramOn se rappelle qu’il y a quelques mois, Julie Snyder elle-même avait promis que la production ferait un effort au niveau de la diversité. On avait hâte de voir si ça allait se produire et honnêtement, on est agréablement surprises.
View this post on InstagramParmi les candidats et les candidates, on retrouve plusieurs personnes issues de la diversité culturelle, et mon doux que ça fait du bien de pas voir seulement des personnes blanches!
View this post on InstagramView this post on InstagramParlant de diversité, on a eu une autre TRÈS belle surprise en découvrant les candidat.e.s ce matin. En effet, une femme trans figure parmi les candidat.e.s. Il s’agit d’une grande première à OD!
On est vraiment excitées de vous présenter Khate!
View this post on InstagramJe suis officiellement candidate à Occupation Double Afrique du Sud! ??#odafriquedusud @od_officiel
Pour le moment, Khate n’est pas encore une participante officielle, puisqu’elle fait partie des filles qui sont soumises à un vote du public. Ceci dit, on trouve que c’est un IMMENSE move de la part de la production, qui s’est souvent fait reprocher de manquer globalement de diversité au niveau des participant.e.s.
En plus, dans la mesure où OD est une émission vraiment populaire et qui est regardée par beaucoup, beaucoup de gens partout au Québec, on trouve que c’est une belle manière de contribuer à ouvrir les esprits sur les enjeux LGBTQ+ et sur la question de la trans-identité, plus particulièrement.
On espère vraiment que Khate va être choisie! En plus, c’est une conférencière et elle partage son expérience de femme trans, donc elle saura clairement aborder la question avec brio!
View this post on InstagramFierce after the shower #bamboounderwear#transpower#transgirl#bamboo#shower#bodypositive#abitibi
On est vraiment contentes de voir que la production a tenu sa promesse, en proposant un casting plus inclusif!
La prochaine étape? Plus de diversité corporelle, please!
Depuis quelques années, les podcasts sont vraiment populaires. Justement, ça fait quelques fois qu’on vous en parle sur TPL, parce que, nous aussi, on a vraiment eu la piqûre!
En mai dernier, Krystelle a compilé les podcasts préférés des collaboratrices et on y trouve plein de belles suggestions. Aujourd’hui, on vous propose 5 podcasts coup de c?ur, en français, qui font du bien à l’âme. Ce sera parfait à mettre dans vos oreilles à la maison, en route vers l’école ou le travail, en faisant votre jogging et pas mal partout tout le temps, en fait.
Transfert – Slate.fr
Dans ce podcast français produit par la super équipe féministe de Louie Média, on entend une personne qui raconte une anecdote de sa propre vie. Une histoire d’amour passée, un regret, une anecdote banale, un secret de famille, une histoire rocambolesque: il y en a vraiment pour tous les goût. C’est tellement bien fait qu’on a l’impression que la personne nous parle juste à nous!
View this post on InstagramLa poudre – Nouvelles écoutes
Dans ce podcast, la journaliste française Lauren Bastide reçoit dans une chambre d’hôtel une femme inspirante, une artiste, une activiste, une personnalité politique pour une conversation intime et profonde. C’est toujours vraiment lumineux et on trouve que ça fait beaucoup de bien!
View this post on InstagramPourquoi Julie? – Émilie Perreault
La chanteuse Julie Masse, star québécoise des années 90, a fait ce que peu d’artistes ont réussi: se retirer au sommet de sa gloire. Cinq ans après le début d’une carrière fulgurante, la femme de 25 ans quitte tout pour se réfugier aux Bahamas et fonder une famille avec son amoureux, le chanteur Corey Hart. La journaliste culturelle Émilie Perreault enquête sur son idole de jeunesse pour comprendre ce qui a poussé la chanteuse de C’est zéro à faire le plus beau doigt d’honneur jamais vu au showbizz québécois.
Au delà du mythe de Julie Masse, la série podcast de 5 épisodes Pourquoi Julie? explore notre rapport à la célébrité.
View this post on Instagram2 Fxfs le matin – CHOQ FM
Un podcast qui célèbre la culture queer et qui se veut « coquin et la seule radio-poubelle homosexuelle de gauche ». La prémisse nous allume pas mal!
Le premier épisode parle de la réappropriation des insultes homophobes, dont fif et queer. Vraiment pertinent!
Jay Du Temple discute – Studio SF
Eh oui, notre Jay Du Temple national a lancé son propre podcast et honnêtement, c’est vraiment bon! Épisode après épisode, l’animateur et humoriste s’entretient avec une personne, connue ou non, qu’il estime. Jusqu’à maintenant, il a reçu Catherine Éthier, Arnaud Soly, Rose-Aimée Autombe T. Morin, Kevin Raphael, Léane Labrèche-Dor, etc… Jay laisse vraiment les discussions et les sujets se déployer de manière super naturelle et ça donne vraiment des beaux moments.
View this post on InstagramJe fais partie de nombreux groupes Facebook, dont certains impliquent des rencontres et la planification d’événements.
Un jour, j’ai accepté une demande d’amitié d’un homme qui y participait régulièrement et avec qui j’avais plusieurs contacts en commun. Il voulait avoir un peu plus d’information sur un événement en particulier. En prenant ses questionnements pour de la nervosité (et puisque les groupes sur lesquels nous échangeons sont très forts sur le plan de l’entraide et de l’inclusion), j’ai fait l’erreur de lui parler de certain(e)s de mes ami(e)s qui allaient être présent(e)s ce jour-là, afin de le rassurer qu’il ne serait pas seul dans son coin.
J’ai commencé à avoir de mauvais pressentiments, car après tout, je ne connaissais pas cet homme personnellement. Mes craintes se sont avéré fondées: peu de temps après, il a fait ses recherches personnelles de son côté et commencé à envoyer des messages privés bien creepy à mes amies du groupe en disant qu’il avait très hâte de les voir, qu’il les trouvait belles et qu’il allait leur parler durant l’événement.
L’une d’elles m’a montré le message qu’elle avait reçu. Même si la forme se voulait respectueuse, ça ne l’était pas. Dans ce genre d’événement, nous ne devrions pas ressentir l’obligation de parler à qui que ce soit, même si l’objectif est de socialiser.
Une personne du groupe m’a expliqué que ce n’était pas la première fois que cet homme se faisait bloquer et avertir sur les réseaux sociaux et qu’il pouvait être vraiment insistant, en plus d’avoir plusieurs comportements dérangeants et envahissants. La situation était donc alarmante et il fallait agir pour éviter que cela ne se reproduise. En discutant avec des participant(e)s, nous avons donc pris la décision de le retirer de l’événement et de le dénoncer afin qu’il soit retiré des groupes associés.
Si une personne dans un groupe vous envoie des messages non sollicités, ne ressentez jamais la pression d’y répondre. Vous pouvez ignorer la personne ou la bloquer, c’est dans vos droits, peu importe le contexte. Cette personne n’a pas le droit d’insister et vous pouvez très bien l’envoyer balader si elle ne comprend pas et continue ses comportements: aucune de ses excuses n’est valide! Vous pouvez également parler à une personne chargée de l’administration du groupe pour exprimer vos inquiétudes, ou proposer d’établir une politique sur le harcèlement dans le groupe.
Et surtout, ne faites pas comme moi et ne donnez jamais d’informations à un(e) inconnu(e) sur les personnes qui seront présentes à un événement public. Même si c’est seulement des prénoms d’amis que vous avez en commun, d’autres participant(e)s, ou encore que la personne semble sympathique (ou même un peu vulnérable).
Même si c’est pour bien faire.
Parfois, on ne peut tout simplement pas savoir ce que cette personne peut avoir en tête. Si on ne peut pas avoir accès à la liste des participant(e)s sur certains événements, ce n’est pas pour rien!
Ma gaffe aura au moins permis de clarifier une situation déplaisante qui persistait depuis longtemps dans ce groupe. De plus, les choses auraient pu être pires si cet homme avait été présent.
Pour en savoir plus sur le harcèlement:
https://www.cnt.gouv.qc.ca/en-cas-de/harcelement-psychologique-ou-sexuel/index.html
Chaque soir depuis plus d’une semaine, je prends une médication afin de m’aider à vaincre l’anxiété. Ce geste, qui paraît si simple, je le croyais impensable depuis près de cinq ans.
J’ai cependant atteint un point où je suis fatiguée. Je dirais même que je suis épuisée, vidée. C’est ainsi que j’en suis venue à croire que d’accepter de prendre une médication est loin d’être un échec, mais un pas vers le bien-être.
Mon secondaire a été parsemé d’anxiété généralisée et d’un trouble alimentaire. À la suite de consultations avec une psychologue, elle m’a entre autres proposé de prendre de la médication. Je croyais que cette action consistait à m’avouer vaincue, et j’ai essayé de gérer mes pensées intrusives par moi-même.
Au fil des ans, mon anxiété ne diminuait cependant pas, mais je croyais toujours que d’accepter de prendre des médicaments équivalait à une défaite.
Après un an au cégep, je n’ai pourtant jamais autant rempli ma vie de mille et une activités. Toujours sortie, j’ai vu une quantité non négligeable de spectacles et fait un bon nombre de tournées de bar. Rester chez moi me confrontait directement à mon mal-être, et j’étais incapable de demeurer seule avec moi-même.
À 18 ans, je me sentais aussi fatiguée que si j’en avais 60. Malgré mes nombreuses activités ou les biens matériels que je me procurais pour donner un sens à mon quotidien, je me sentais vide, et mes angoisses me rattrapaient.
L’éventualité de vivre de cette façon pour le reste de mes jours m’est tombée sur la tête. Comme je considérais cela comme impensable, j’ai décidé d’entreprendre un nouveau moyen pour gérer mes pensées anxieuses qui viennent constamment s’incruster dans ma tête: la médication.
J’ai cessé de voir la prise de cet outil comme une faiblesse de ma part, mais plutôt comme une façon d’aller mieux dans un moment où j’en ressentais le besoin. J’ai dû accepter que je ne sois pas parfaite, et que comme chaque être humain, j’aie mes défauts et mes faiblesses.
À force de m’investir dans l’image que je projette aux autres et de m’y complaire, j’ai oublié d’entretenir celle reflétée à l’intérieur de moi-même, avec laquelle je compose chaque jour. Parce qu’en effet, les autres n’accèdent pas à la vérité de mon état d’âme, sous mes quatre couches de maquillage, mes habits sélectionnés avec soin et ma bonne humeur simulée au visage.
Est-ce que ce moyen de guérir sera la bonne façon de remédier à mon anxiété? Seul l’avenir nous le dira. Pour le moment, je crois qu’il est uniquement primordial de prendre une pause pour prendre soin de soi. Puisque vous serez la seule personne qui vous accompagnera chaque jour de votre vie, et vous sentir bien avec vous-même devrait être votre principale priorité.
Bref, si vous ne vous sentez pas bien, il est primordial de vous accorder du temps, et de consulter des spécialistes au besoin.
Puisque chaque individu mérite d’être heureux et en paix avec lui-même, non?
Si vous avez besoin d’aide ou d’une oreille à qui parler, contactez la Ligne d’Écoute Entraide au 1 844 294-2130.
Cela fait plusieurs années que je connais l’existence de la Navette Nature. Pourtant, moi qui est fan de plein air et qui ne possède pas de voiture, je ne l’avais pas essayée avant tout récemment. Il y avait un spécial sur la visite au Parc National d’Oka (Les soldes, ça me connaît, malheureusement!) alors j’en ai profité pour me procurer un billet.
Malgré un événement qui bloquait plusieurs rues de Montréal, dont le point d’embarquement habituel, il a été très facile de repérer l’employée et la navette.
La navette est un bus jaune. Mon inquiétude était principalement de me retrouver à côté d’un inconnu pour tout le trajet, précisément le touriste qui voulait être ami avec tout le monde. Parce que oui, à ma grande surprise, l’autobus était bondé de touristes qui souhaitaient visiter nos plus beaux parcs. J’aurais pourtant dû m’y attendre! Ça sentait même un peu le fond de tonne des touristes d’hostels qui festoient, soyez avisés!
Bon, assoyez-vous, on va avoir un p’tit talk vous et moi? Le VPH, c’est pas cool du tout. Le virus est la cause de presque tous les cas de cancer du col utérin et se transmet très facilement. Pourtant, avant d’en être touchée (BIN OUI, les confidences sur Internet que je vous fais là!), je connaissais absolument rien de cette ITS.
Après en avoir parlé un peu autour de moi, je me suis rendue compte que j’étais vraiment loin d’être la seule à avoir reçu un diagnostic de VPH et je me suis demandée pourquoi ça semblait quand même assez répandu (selon la campagne VPH Canada, c’est une estimation d’environ 80% des femmes en âge de procréer qui contracteront le virus au moins une fois dans leur vie) et surtout pourquoi on n’avait pas beaucoup d’info sur le sujet.
Je ne sais pas si vous vous souvenez (ou si vous en avez même déjà vu) des affiches sur la gonorrhée et la chlamydia dans les toilettes au secondaire? On avait DONC peur de ces ITS là (avec raison), mais pourtant on ne parlait pas tant du VPH? La campagne « Parlons VPH » veut donc amorcer la discussion sur le sujet, et permettre aux Québécois.es de s’informer davantage.
Marianne St-Gelais a décidé de s’associer avec Parlons VPH, parce qu’elle s’est elle-même rendue compte être vraiment mal informée quand sa s?ur a reçu un diagnostic d’une lésion (non cancéreuse) au col de l’utérus. La campagne est super importante, parce qu’elle déconstruit une tonne d’idées qu’on peut avoir sur l’ITS, genre « je peux pas l’avoir si je suis dans une relation monogame » ou « je n’ai pas de symptômes, ça doit vouloir dire que j’ai rien » en plus de rappeler l’importance de passer un test PAP régulièrement afin de dépister une éventuelle lésion ou des cellules anormales dans le col de l’utérus.
Par contre, je dois vous avouer avoir été un peu gossée par comment la vaccination est abordée dans la campagne. En fait, on s’entend que Parlons VPH est adressée aux adultes pis si jamais vous ne saviez pas, bin le vaccin n’est plus gratuit pour les personnes âgées de 18 ans et plus? Alors OUI, of course, la vaccination est importante, mais j’aime pas ça avoir l’impression que je suis une mauvaise citoyenne parce que je ne peux tout simplement pas me permettre de payer trois doses de vaccins pour 540$ au total + des éventuels frais d’injection (les prix semblent varier, mais le vaccin reste tout de même très cher).
En plus, le vaccin n’est pas remboursable par la RAMQ et remboursable par seulement quelques compagnies d’assurance privée. Quand je m’étais renseignée pour le vaccin il y a quelques années, il fallait coordonner le tout soi-même si notre pharmacie n’offrait pas le service d’injection. On m’avait expliqué qu’il fallait que je prenne un RDV dans un CLSC, que j’aille chercher ma dose pas plus de 24h à l’avance, mais je devais appeler mon pharmacien au moins une semaine d’avance pour qu’il puisse s’assurer d’avoir le vaccin en stock, car ce n’est pas toujours le cas?
C’est super bien de faire une belle campagne instructive et visuellement intéressante pour informer les gens des risques liés au VPH, mais ça serait aussi très cool de rendre le vaccin plus accessible financièrement et logistiquement aux gens de plus de 18 ans qui souhaitent l’avoir.
Je lance l’idée comme ça, t’sais!
Est-ce que ça a changé depuis mon expérience; trouvez-vous le vaccin accessible?
Pas besoin de grogner dans votre oreiller, ni que votre mère vienne vous tirer du lit par les pieds, ni de déménager au Mexique pour éviter d’aller en cours, car, grâce à ces conseils, tout va aller comme un charme!
Soyez fraiche comme une fleur.
C’est-à-dire d’avoir une hygiène de vie saine et acceptable (lorsqu’il y a crasse entre les orteils, vous avez dépassé la limite!). Mangez des fruits et des légumes, dormez à des heures raisonnables durant la semaine (permettez-vous des folies les fins de semaine!). Comme on dit : « un esprit sain dans un corps sain. »
Soyez motivé.e.
Bon, je vous vois déjà rouler des yeux, arrêtez sinon je vous sors de ma classe! Ce que je veux, c’est seulement que vous retrouviez les raisons qui vous poussent à aller en cours. Ce peut être un grand rêve de devenir archéologue et vous devez passer par cette étape ou simplement d’avoir hâte de commencer le prochain projet de votre classe d’art ou d’histoire.
Balancez école et plaisir.
L’un ne peut vivre sans l’autre. Socialisez avec un livre de maths sur les genoux, par exemple! Étudiez pour votre cours d’histoire avec votre meilleure amie et un géant bol de bonbons. Il s’agit seulement de ne pas élire l’un plus important que l’autre, car ces deux aspects de votre vie sont bons pour vous.
Mettez votre cadran loin de vous.
Nous avons tous envie d’étendre notre bras vers cet objet de malheur pour appuyer sur « snooze », alors s’il est sur le haut de votre armoire, il vous faudra déplacer ce corps lambineux et paresseux de son confort pour ne pas être en retard!
Préparez vos vêtements et cahiers scolaires la veille.
Se faire un outfit d’enfer le matin lorsque notre cerveau est en compote ne donne pas toujours de bons résultats. De plus, s’organiser lorsque notre esprit est clair aide à ne pas oublier de cahiers ou de devoirs à la maison. Comme on dit : « Il vaut mieux être préparé que s’excuser! »
Je vous souhaite à tous et à toutes une merveilleuse rentrée!
On avait TELLEMENT peur de Cruella d’Enfer quand on était enfant. Ce personnage de Disney a marqué notre enfance, surtout la fameuse scène où elle conduit ultra vite et fâchée alors qu’elle essaie de rattraper les dalmatiens en fuite.
Même si on a déjà eu droit à une adaptation cinématographique en 1996 avec la très talentueuse Glenn Close, Disney retente l’expérience avec nul autre qu’Emma Stone! On a eu droit à la première image de l’actrice et elle est tout à fait méconnaissable. Adieu les jolis cheveux roux de l’actrice (même si on se doute qu’elle porte une perruque pour le film), on la découvre avec la coloration bicolore iconique de Cruella et des cheveux très frisés. Sa tenue noire et son smoky eyes complètent le look très dark que Disney semble vouloir donner à la Cruella 2.0.