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« Masson en fête » : une super foire pour la rentrée!

Vous avez survécu à la rentrée? GOOD! Parce qu’on a une belle activité à vous proposer pour le weekend du 5 au 8 septembre. La Promenade Masson se mettra toute belle pour accueillir quatre jours de foire commerciale, entre la 1ère et la 12e avenue, où petits et grands pourront s’amuser selon leurs envies.

Les marchands auront plusieurs aubaines à proposer pour les fans du shopping, et pour les enfants, une tonne d’activités sera proposée. Ils auront l’occasion de jouer dans des jeux gonflables, de faire du Volet Pong géant ou encore de jouer une partie d’échecs en famille sur un jeu format géant. La rue deviendra un vrai terrain de jeux! Et pour les plus petits, des maquillages créatifs seront disponibles, que ce soit des princesses, des animaux ou des super-héros, tout sera possible! 

SDC Promenade Masson

Le 7 septembre, sur l’heure du midi, les élèves de l’école de musique Musique Enchantée livreront une prestation musicale variée et entraînante et de 15h30 à 17h, les participants auront aussi l’occasion d’assister à un atelier éducatif sur les abeilles sera donné par Alvéole.

Une murale de l’artiste Sophie Wilkins sera dévoilée le vendredi 6 septembre. L’artiste a été retenue par un vote du public et sa murale est directement inspirée de l’importance de la préservation des abeilles dans notre écosystème. Des aires de pique-nique et des toilettes publiques seront disponibles afin de faciliter l’expérience.  

Plein d’autres activités sont prévues pour le weekend et on vous invite à consulter la page Facebook de l’événement ou le site Web de la Promenade Masson pour en savoir davantage et connaître les heures d’ouverture de Masson en fête. 

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La fin de la « petite maternité »

Depuis quelque temps, mes enfants prennent un malin plaisir à me rappeler qu’ils grandissent. Bon, il y a eu l’inscription à la maternelle de ma plus grande, puis, le jour où elle a décidé d’arrêter de sucer son pouce. Eh puis cet été, on a eu nos premières vraies vacances reposantes depuis 5 ans, parce que, tout simplement, les enfants jouaient ensemble. Ils jouaient ensemble et on pouvait, mon chum et moi, lire nos livres, jaser, faire ce qui nous plaisait, sans être constamment réclamés. Bref, je vois mes enfants quitter tranquillement la petite enfance, et préparer leur entrée dans le monde.

Quant à moi, j’ai réalisé aussi dernièrement que j’avais franchi comme une étape, ou bien vécu une nouvelle métamorphose, je ne sais trop, mais que cette fin de la petite enfance avait son parallèle dans ma vie. Comment pourrait-on appeler cette période de la maternité qui correspond à celle de la petite enfance de nos enfants? La petite maternité? Pour moi, elle était si gigantesque?

Je me suis aperçue que j’avais franchi une étape il y a quelques mois, quand j’ai décidé de publier sur le blog un texte sur ma fatigue post-partum. C’était un texte que j’avais écrit un an auparavant. Mais au moment où je l’avais rédigé, je n’avais pas été game de le publier. Je pense que c’est en partie parce que j’y parlais de dépression (je ne savais pas si je pouvais oser), et aussi surtout, parce que je sentais que ma blessure n’était pas tout à fait guérie. 3 ans après l’arrivée de mon premier enfant dans ma vie, je me sentais encore fatiguée, ébranlée. Je n’avais pas encore tout à fait repris mes forces, je ne m’étais pas encore tout à fait reposée, la culpabilité et le doute continuaient de m’habiter. Surtout, je sentais que mes enfants avaient encore besoin de moi en tout temps, et c’était à la fois la chose la plus merveilleuse et la plus épuisante que j’aie eu à vivre.

Quand, ce printemps, j’ai relu ce texte qui était enregistré dans mes brouillons, j’ai eu comme un vertige. C’était moi qui avais écrit ça ? C’était bizarre, je ressentais à la fois de l’étrangeté et de la familiarité: oui, je reconnaissais tout à fait les sentiments que j’avais décrits, je me souvenais de les avoir vécus, mais ils ne m’habitaient plus, plus du tout.

Et moi qui avais tant buché, qui avais grimpé avec tant de difficulté et tant d’amour les falaises escarpées des débuts de ma maternité, j’étais maintenant arrivée à un point de repos, de force et de confiance; j’y étais arrivée.

La petite enfance est une période si intense d’apprentissages, pour les enfants et pour les parents. On est lancé.e.s dans l’inconnu, on se donne au complet, on peut se perdre, ou au contraire, se trouver. Et tous les petits gestes, répétitifs et incessants, qui sont nécessaires au soin, à la sécurité, aux sourires de nos enfants, ils sont tellement prenants. Et puis, à un moment, pouf!, on se retourne, et on se rend compte qu’on a appris, qu’on a tracé nos pistes, qu’on se connaît mieux, et qu’on a même développés certains talents, à entendre, à écouter, à respecter ses limites, à donner.

Je ne sais pas si je vivrai une autre « petite maternité »; je ne sais pas si j’aurai d’autres enfants. Je ne m’ennuie pas de la douleur et de la fatigue, des doutes et de l’embrouillement. Mais je me souviens de la folie exaltante de mes accouchements, de l’allaitement que j’ai tant aimé, je me souviens de ces chansons chantées au milieu de la nuit, de ces premiers roucoulements au petit matin. Je me souviens de mon incrédulité: elle est là, il est là, et elle.il sent le lait. Que c’était bon, vous découvrir, mes enfants.

J’aime tellement ça, grandir avec vous.

Et je dois dire, chères lectrices, que j’ai aussi vraiment aimé ça grandir avec vous. Pour moi la fin de la petite maternité signifie aussi de dire au revoir à TPLMoms, d’autres projets m’appellent (faut vraiment que je l’écrive, cette thèse!). Ce blog a été pour moi un merveilleux espace d’expression et d’échange féministe, c’est un lieu où je me suis trouvée, dans la maternité, et c’est grâce à vous et aussi aux autres autrices, mes amies.

J’ai goûté ici à la sororité comme nulle part ailleurs, et ça a été central pour survivre et traverser ma petite maternité. Il faut garder ces espaces, il faut continuer à libérer la parole des femmes, il faut savoir se trouver.

Merci pour tout, avec tout mon amour féministe.

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Mon retour au travail me remplit de fébrilité

Mon congé de maternité tire à sa fin. Sur les 15 mois que j’ai pris « pour me gâter puisque c’est mon dernier bébé », il me reste moins de deux semaines à profiter de ces moments uniques de maman à la maison. Face à ce retour au travail qui arrive à grands pas, mes sentiments sont mitigés entre l’excitation du défi professionnel qui m’attend et l’angoisse à l’idée de reprendre le rythme de vie effréné que comporte ma vie de mère au boulot.

D’une part, j’adore mon emploi et je me sens parfaitement prête à y retourner. Mes collègues me manquent, la stimulation des nombreux projets à gérer quotidiennement m’appelle et je ressens le besoin d’occuper mon cerveau avec autre chose que les activités familiales. Il faut dire que j’ai aussi la chance de réintégrer un milieu où de nombreux avantages existent pour faciliter la conciliation travail-famille. Dans mon cas, cela signifie notamment une semaine sur 4 jours, un horaire flexible et une possibilité de télétravail lors de situations particulières. C’est l’idéal lorsqu’on a plusieurs enfants en bas âge et j’en suis extrêmement reconnaissante!

D’un autre côté, malgré toutes ces conditions facilitantes me permettant un retour au travail harmonieux, je dois avouer que la dernière année nous a permis de mettre notre vie mouvementée sur pause et de reprendre notre souffle. Même avec un jeune bébé, je me suis sentie plus disponible physiquement et mentalement pour mon conjoint et mes trois grands. J’ai cuisiné plus souvent des plats faits maison, j’ai emmené les enfants au parc lorsqu’ils avaient congé et joué davantage avec eux, j’ai eu moins l’impression d’être dépassée par les tâches ménagères?

J’ai aussi constaté des répercussions directes de cette année de répit sur mes enfants : meilleure concentration lors des devoirs (avec hausse des résultats scolaires), moins d’agitation lors des routines, plus d’harmonie dans la maison en général.

Ces conséquences positives de mon congé de maternité m’ont beaucoup fait réfléchir sur mon avenir. Avec 4 enfants, devrais-je me retirer du marché du travail pour me consacrer entièrement à mon rôle de mère? Bien que cette option possède ses avantages, je ne suis pas prête à renoncer à ma carrière et tous les bienfaits qu’elle m’apporte. Je sais que ce n’est pas le cas de tous, mais j’ai la chance d’avoir un travail que j’ai choisi, que j’apprécie et qui me rend vraiment heureuse.

C’est pourquoi je souhaite donner l’exemple à mes enfants (qui m’observent de près) en leur démontrant que leur maman peut s’épanouir dans son rôle d’employée comme elle le fait déjà dans celui de mère, d’amoureuse ou d’amie. Je désire leur apprendre que l’équilibre travail-famille, c’est précaire, mais ça existe. Puis que c’est possible de dénicher la carrière qui nous convient dans un milieu où l’on est véritablement apprécié, valorisé et stimulé? même si cela nous met un peu plus à la course le matin et le soir.

Comment avez-vous vécu votre retour au travail suite au congé parental?

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Une nouvelle boutique écoresponsable ouvre ses portes

Passion avoir des nouvelles options où magasiner des objets durables et écoresponsables! C’est la boutique DDD (Dédié au Design Durable) qui ouvre ses portes dès cette semaine sur la rue Beaubien, dans le quartier Rosemont.

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La boutique existe depuis un an, mais les produits étaient disponibles uniquement en ligne. La fondatrice, Luce Mainguy, a fait plusieurs fois le tour des boutiques éphémères avant de faire le saut et d’ouvrir sa propre boutique.

Le concept est vraiment cool, car en plus d’offrir plein de produits de différentes marques écoresponsables ou locales, DDD design aussi ses propres produits. Luce Mainguy choisit avec soin tous les produits qu’elle accueille dans sa boutique, selon 3 règles et 12 critères. On trouve que l’approche de la boutique est vraiment intéressante et elle est d’ailleurs super bien expliquée sur le site Web de DDD

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Notre nouvelle carafe à eau filtrante ajoutera style?et santé?à votre table! Filtration du chlore et des autres polluants nocifs pour la santé, ainsi que les goûts et odeurs. La carafe est en verre, le réservoir est en plastique sans BPA, le filtre est à base végétale. @somawater est une entreprise certifiée @bcorporation. . Our new water filter carafe will add style and health to your table! Filtration of chlorine and other harmful contaminants, as well as tastes and odors. The carafe is made of glass, the tank is made of BPA-free plastic and it is a plant based filter. @somawater is a certified company @bcorporation. . . . #boutiqueddd #designresponsable #designdurable #ecoresponsable #durable #design #consommerautrement #ecofriendly #ecofriendlyhome #ecofriendlyliving #hydration #bcorporation #sustainable #sustainability #sustainableliving

A post shared by DDD (@boutique.ddd) on Mar 14, 2019 at 6:32am PDT

Avec la rentrée qui approche, on risque sûrement d’aller faire un petit tour chez DDD question de renflouer nos stocks d’essentiel zéro déchet pour les lunchs, comme des sacs à sandwichs ou des ustensiles en bambou. En tout cas, bravo à DDD et on est bien contentes de voir que le mouvement écoresponsable prend de plus en plus d’ampleur.

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Pour que nos enfants continuent de se trouver beaux tout le temps, merci Incluses!

Récemment avait lieu le superbe lancement d’Incluses 2, la collection de vêtements toutes tailles unies imaginée par Carolane et Josiane Stratis, nos jumelles prefs, en collaboration avec le designer Xavier Laruelle.

Pourquoi une initiative de la sorte est TELLEMENT importante dans le monde encore très stéréotypé de la mode? Parce que, comme on a pu le constater la semaine dernière à la sortie du clip de Safia Nolin, dans notre société où l’image corporelle est hyper standardisée, l’acceptation des corps différents est loin d’être gagnée. En proposant une mode inclusive où les modèles sont conçus pour tous les types de silhouettes, en rendant accessible des vêtements dessinés par un créateur québécois à toutes les filles et femmes, peu importe leur taille, nos jumelles envoient un merveilleux message : nous sommes toutes belles, peu importe nos mensurations.

Le défilé de leur magnifique nouvelle collection avait lieu sur la grande scène principale du Festival Mode & Design.

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Comment mon enfant a arrêté de sucer son pouce

Ma fille avait trois mois quand elle a commencé à sucer son pouce. En fait, je devrais dire qu’elle avait trois mois quand elle a « recommencé » à sucer son pouce, puisque nous avons une photographie de l’échographie de 20 semaines où l’on voit clairement qu’elle le suçait dans mon ventre. Sortie du monde aqueux, ça lui aura donc pris ces quelques premiers mois avant de le retrouver.

D’ailleurs, je me souviens très bien du premier matin où elle l’a « trouvé ». Nous étions au lit, collées l’une contre l’autre après un allaitement. Elle dormait et traçait dans son sommeil un mouvement de haut en bas avec sa main gauche sur son visage. Tout à coup, comme par enchantement, son pouce gauche est atterri dans sa bouche, pop!, et tout son petit corps s’est mis à sucer avec passion ce petit bout de lui-même. C’était assez fascinant de la voir calme et contentée de la sorte.

Le premier jour 

Crédit : Estelle Gb

À partir de ce moment, elle ne l’a pas lâché. Au début, c’était pas mal tout le temps, une lune de miel. Puis, les mois et les années passant, c’était surtout pour se calmer lors de crises ou frustrations, et pour s’endormir. Le pouce demeurait très associé à la doudou, ces petites couvertures douces qu’elle prenait pour dormir, et quand elle pleurait très fort, elle devait demander sa doudou avant de prendre son pouce, comme si l’un n’allait pas sans l’autre.

J’avoue que j’ai beaucoup aimé l’autonomie que procure la tétée du pouce. Ma fille se consolait souvent toute seule. C’était un pet de l’endormir. Et on n’avait pas à chercher une suce dans les draps en pleine nuit (j’ai vécu et je vis toujours l’enfer de la suce avec mon plus jeune).

Mais vint le moment où mon enfant devenait grande, et on ne savait pas trop, mon chum et moi, comment faire pour l’encourager à arrêter de s’accrocher à ce doigt magique. À ses 4 ans, nous avions pris la décision de ne pas utiliser « d’outils » ou de technique particulière pour la dissuader, mais d’y aller plutôt par la valorisation. « Tu deviens grande et tu décideras bientôt d’arrêter de sucer ton pouce. Je sais que quand tu seras prête, tu arrêteras. Si tu as besoin d’aide pour y arriver, n’hésite pas à nous le demander ». Ce genre de message.

À cela s’est ajouté la lecture du Cajoline « Au revoir la suce », que nous nous sommes procuré pour convaincre cette fois-ci notre fils de se départir de ce qu’il appelle affectueusement sa « sucette » (« MA SUCEEETTTTTE », chantonne-t-il en pleine nuit en se tortillant).

À la lecture du livre (où on invite les enfants à envoyer par la poste leur suce au Roi lapin, qui distribue les vieilles suces aux bébés lapins dans la forêt pour user leurs petites dents), ma fille a demandé : « et moi, à qui je peux envoyer mes doudous pour arrêter de sucer mon pouce ? ».

Alors, j’ai brodé un truc : « oui, tu peux l’envoyer au palais des fées, où la Reine des fées enroule les bébés fées dans les doudous des enfants pour les réconforter et développer leurs pouvoirs magiques » (hey, j’ai fait de mon mieux pour improviser quelque chose spontanément, ok?). Et ça a marché.

Crédit : Boomerang éditeur jeunesse

Quelques mois plus tard, sans crier gare, ma fille m’a annoncé qu’elle avait décidé de se départir de ses deux doudous douces (celles associées au pouce). Nous avons préparé le paquet en le coloriant, j’ai écrit une lettre à la Reine des fées lui expliquant que ma fille était très courageuse de lui confier ses doudous. Puis, nous nous sommes rendues au bureau de poste, et ma fille, plus grande que je ne l’avais jamais vue, a remis le paquet à la postière, et moi je pleurais derrière mes lunettes.

Quelques jours plus tard, nous recevions une lettre de la Reine des fées remerciant ma fille de son don, et où elle promettait aussi qu’elle renverrait les doudous chez nous, au moment où ma fille « ne les attendrait plus ». En attendant, donc, les deux doudous douces sont bien cachées au « Palais des fées », c’est-à-dire au fin fond de la tablette la plus haute de l’armoire la plus haute chez mes parents.

Ça aura pris une semaine avant que ma fille cesse complètement de sucer son pouce. Une petite minuscule semaine. Elle était prête. Elle était déterminée. J’étais surprise, et impressionnée. Comme elle est grande, après tout.

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La fin de l’allaitement?

Je ne pensais pas être aussi attachée à l’allaitement avant d’avoir un enfant. Il faut dire que j’ai eu la chance que ce soit facile avec mes deux enfants. Pour mon plus vieux, j’ai arrêté d’allaiter de jour, car j’avais des cours à l’université toute la journée. Mon fils ne buvait déjà plus la nuit et en quelques jours, il a complètement arrêté de prendre le sein.

Pour mon plus jeune, j’allaite encore. J’ai dû, cependant, arrêter de jour puisqu’il va maintenant à la garderie et que je retourne au travail bientôt. Puis j’ai vu la photo de Marilou sur la fin de son allaitement et ça m’a touchée. J’ai réalisé que ça pouvait arrêter bientôt pour moi aussi. Surtout qu’à mon plus grand bonheur, monsieur commence à faire ses nuits.

Aussi, dans les derniers jours, j’ai eu un examen médical qui m’empêche d’allaiter pendant 48h puisqu’il y aura des traces de produits reçus pendant l’examen dans mon lait. J’ai peur qu’en arrêtant d’allaiter durant deux jours, que mon fils décide qu’il ne veut plus téter. Pendant ces deux jours, je vais devoir tirer mon lait pour ne pas arrêter d’en produire.

J’ai essayé de tirer avec mon premier bébé, mais j’ai détesté ça. Je ne sais pas pourquoi, autant il y a beaucoup de débit quand c’est mon enfant qui boit, autant lorsque je tire, ça coule lentement #TMI.

J’avais déjà une perle d’allaitement pour mon premier. C’est un bijou que je ne porte pas souvent, mais qui est rempli de souvenirs. Je la garde précieusement de côté. Je ne pensais pas en faire fabriquer une autre pour l’allaitement de mon deuxième. La semaine passée, j’ai donc tiré 30 ml de lait à la mitaine et j’ai commandé une seconde perle. De plus, comme c’est probablement mon dernier enfant, j’ai le goût de profiter de l’allaitement plus longtemps.

Plusieurs compagnies font des bijoux à partir de votre lait et de mèches de cheveux du bébé. Celle que je connais, c’est La joie en Rose, et comme elle est au Québec, je trouve ça le fun d’encourager quelqu’un d’ici et j’ai plus confiance qu’en une compagnie en Chine.

Avez-vous un bijou d’allaitement?

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Félicitations à Maïka Desnoyers et Étienne Boulay !

C’est au début de l’année qu’on a appris avec surprise (c’était d’ailleurs une surprise pour le couple aussi, soit dit en passant), qu’Étienne Boulay et Maïka Desnoyers attendaient leur troisième beau bébé ensemble (un 4e pour la famille recomposée). Eh bien, c’est aujourd’hui le grand jour; la petite Livia Boulay est née!

Les photos partagées par les parents comblés sur les réseaux sociaux sont, évidemment, absolument adorables. On craque, comme toutes les fois qu’il est question de bébés tout neufs!

C’est d’abord Maïka Desnoyers qui a publié une photo avec sa mini dans les bras pour confirmer que la naissance a eu lieu hier soir à 23h01.

Après avoir fait une p’tite sieste pendant le travail de sa douce, Étienne Boulay a eu l’immense plaisir d’accueillir sa fille puis s’est gâté une petite séance de peau à peau, comme on peut le constater avec sa plus récente publication Instagram.

Félicitations aux parents!

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Un super atelier pour les enfants ce weekend

Depuis quelques années, Montréal héberge de plus en plus de stations éphémères en été. On peut penser au Marché des possibles, à Aire Commune, au Village au Pied-du-Courant, etc.

Ces espaces spécialement aménagés sont vraiment de beaux endroits où passer du temps en famille, prendre un verre, manger une bouchée dans un food truck, faire des activités et se détendre! Personnellement, on adore ça!

Ce weekend, le Village au Pied-du-Courant, situé sur les bords du fleuve, dans Centre-Sud, organise un grand marché d’artisans! Ça se passe ce dimanche 25 août de 15h à 21h.

Pour l’occasion, vous retrouverez des créateurs et créatrices montréalais.e.s sur le sable. Le concept est super! La liste des artisans est disponible ICI.

Mais ce n’est pas tout! On attire votre attention sur une activité parfaite pour les enfants: un atelier sonore de La puce à l’oreille, de 16h-19h.

En effet, ce studio de podcasts décalés s’installe au Village pour un atelier sonore pour enfants allumé.es. Ce sera l’occasion de créer des reportages, des entrevues, des bulletins de nouvelles, d’annoncer la météo, etc.

On trouve l’idée GÉNIALE! On vous a d’ailleurs déjà parlé des balados de la puce à l’oreille. (Re)découvrez notre article ICI.

On avait adoré leur podcast sur les sorcières, spécialement conçu pour les minis:

On invite vraiment à vous rendre au Village au Pied-du-Courant dimanche, autant pour le grand marché d’artisans que pour l’atelier sonore. On est sûres que toute la famille va adorer!

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Un livre parfait sur les troubles d’apprentissage

S’il y a bien une chose qui varie d’un enfant à l’autre, c’est la courbe d’apprentissage! En effet, il n’y a pas deux enfants qui apprennent de la même manière, au même rythme, avec la même sensibilité.

Chez TPL Moms, l’apprentissage est un sujet qui nous intéresse beaucoup, sur lequel on essaie de se questionner régulièrement.

Aujourd’hui, on vous parle d’un livre sur le sujet: Ces enfants qui apprennent autrement.

Le livre est signé Marie-Claude Guay, qui est neuropsychologue et professeure de psychologie à l’UQAM.

Dans son nouveau livre Ces enfants qui apprennent autrement, Marie-Claude Guay part d’une prémisse vraiment intéressante: Pourquoi un enfant intelligent peut-il avoir autant de mal à apprendre?

Pour elle, ce qui caractérise les troubles d’apprentissage, ce n’est pas l’intelligence, mais plutôt les atypies que l’on observe dans les mécanismes d’apprentissage. C’est vraiment une théorie intéressante!

Grâce à des exemples concrets et des vignettes cliniques, le livre explique les troubles neurodéveloppementaux les plus courants :
·      le retard ou le trouble du langage;
·      la dyslexie-dysorthographie;
·      la dyscalculie;
·      les atteintes visuo-spatiales et visuo-constructives;
·      le trouble développemental de la coordination;
·      le TDAH/TDA.
 
Il démêle aussi les multiples diagnostics et les liens entre les anomalies dans le fonctionnement intellectuel des enfants et leurs défis au quotidien, et il donne des pistes de solution ou d’intervention destinées à l’entourage de l’enfant.

Si jamais c’est un sujet qui vous touche de près ou de loin, on vous recommande ce livre.