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Notre mariage à 600$

(CHRONIQUE)

On avait 20 ans. On ne pensait pas vraiment au mariage. Mais on aimait ça, jouer aux adultes, comme des grands enfants.

Joannie est venue dormir chez moi, et je voulais la demander en fiançailles aux feux d’artifice, là où on était tombés vraiment amoureux. Mais il pleuvait. J’ai paniqué, puis j’ai acheté des feux de Bengale. Je lui ai demandé, dans la cuisine de mon papa, si elle avait envie qu’on soit fiancés. Joannie riait émue, avec en toile de fond les feux de Bengale accrochés à la table pour remplacer les feux d’artifice. La table a pogné en feu. J’ai scrappé la table de mon père avec ma bonne idée de pyrotechnie bon marché. 

On a été fiancés pendant sept ans.

Sept ans, parce qu’on n’avait pas vraiment besoin de se marier. On regardait les albums Pinterest des mariages hallucinants du monde entier, émus par les luminaires, mais complètement désorientés devant tant de budget, de déploiement, d’attention et de temps. On était clairement trop pauvres, et clairement trop timides.

À 29 ans, on a eu envie de jouer aux adultes encore un peu.

Un peu par désir de modestie, puis de faire un pied de nez au méchant capitalisme, on s’est mis à chercher des manières de se marier en dessous de 1000$. Un matin, à Salut Bonjour! , on est tombés sur une marieuse, dite raisonnable, qui était venue faire son pitch: Vous savez, les mariages, c’est pour tout le monde. On peut VRAIMENT bien s’en sortir avec aussi peu que 15 000$! Joannie et moi, on est partis à rire. Je nous imaginais en train de nous marier à dos de dragon du Komodo, avec des fontaines de champagne et des Lamborghinis qui feraient des moves d’hydraulique comme dans les clips de Snoop-Dog. 15 000$, dans notre situation: not gonna happen. On n’avait même pas 5 000$ …

C’est là qu’on s’est mis à organiser notre mariage en catimini. On scrutait les Pinterest dédiés aux mariages cheaps. Des idées DIY pour faire le minimum, pour que ça ressemble à un mariage le plus possible. De bonnes amies nous ont coaché un peu: on a loué une petite galerie d’art pour presque rien, Joannie s’est fait faire sa robe sur mesure par notre belle-soeur et moi, je suis parti magasiner un suit avec ma best, le temps d’un après-midi. Maudit qu’elle m’a fait rire, maudit que j’ai pu en rire avec elle.

Les gens ont reçu l’invitation vraiment à la dernière minute. On avait envie qu’il n’y ait pas beaucoup de monde, de toute façon. Le jour du mariage, tout était décoré comme une exposition d’oeuvres en origami. On aurait juré que nous étions deux enfants qui avaient préparé un spectacle de marionettes, un mariage de grandes personnes.

C’est mon petit frère qui était le célébrant. Notre bébé pleurait sans arrêt. Je l’ai pris sur moi pour embrasser Joannie « pour la première fois ». J’ai dansé avec un peu de régurgis sur mon épaule.

Quand était venu le temps de la très convenue première danse, on a fait semblant de savoir danser sur une chanson que personne n’a vu venir: Not even the king, d’Alicia Keys.

I don’t care what they’re offering

How much gold it brings

They can’t afford what we’ve got

Not even the king

On est allés fêter sur une terrasse ensemble, quand tout le monde est parti. J’ai bu un verre de vin, Joannie a mangé des frites. Notre lune de miel a duré une nuit, dans notre appart.

On est encore ensemble. Rien n’arrive à nous séparer. À chacun son truc, il suffit de vivre notre amour à notre mesure, à notre façon.

En se mariant ou pas. Peu importe.

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Marilou parle avec émotion de la fin de l’allaitement de son bébé

La maman et femme d’affaires Marilou du blogue Trois fois par jour a donné naissance à son deuxième enfant, la petite Rose, il y a presque un an jour pour jour. Sa fille a en effet pointé le petit bout tout rose de son nez le 29 août 2018 et, maintenant, sa maman, visiblement émotive, a partagé sur Instagram un message sur la fin de l’allaitement de sa petite dernière.

« Mercredi passé. Pas capable de garder cette photo pour moi. Parce que je ne le savais pas encore mais c’était la dernière fois que j’allais allaiter mon bébé cette journée-là. Elle a décidé que c’était assez, par elle-même. Elle veut juste des verres maintenant, et manger comme une petite ogre d’amour. J’ai braillé 2 jours de temps parce que JE n’étais pas prête, mais là, je me rend compte que c’est juste l’idéal. Son rythme. Happy kids. Happy life. » a-t-elle écrit sous la publication. 

On comprend donc que la maman ne s’attendait pas du tout à ce que sa fille soit déjà prête à boire dans les verres comme les grands et que l’arrêt de l’allaitement a donc été une réalité difficile à gérer pour elle au départ, même si elle respecte absolument le rythme et les désirs de sa petite Rose. 

La fin de l’allaitement est tellement une étape qui se passe différemment à chaque fois, d’une maman à l’autre et même d’un enfant à l’autre, et pourtant, même en le sachant, ça peut surprendre – et rendre extrêmement émotive – lorsque la décision vient de l’enfant à un moment où on ne s’y attendait pas.

Quoi qu’il en soit, on est vraiment heureuses que Marilou ait partagé ce message criant d’authenticité afin que les mamans qui vivent une situation similaire sachent qu’elles ne sont pas toutes seules.

Si vous avez allaité, comment s’est passé le sevrage de votre côté?

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5 pièges à éviter lorsqu’on reprend l’entraînement

En discutant avec Marie-Anne Laperrière, physiothérapeute experte en entraînement et propriétaire d’Equilibre Urbain à Trois-Rivières, j’ai pu recueillir ses trucs et réflexions sur la reprise de l’activité physique après une grossesse. Je vous partage donc 5 pièges à éviter dans un contexte de remise en forme post-accouchement.

Piège #1 : Débuter trop intensément son entraînement

La meilleure façon de reprendre l’entraînement, c’est de ne jamais l’avoir cessé pendant sa grossesse! Mais c’est bien connu, plusieurs femmes ralentissent leurs activités pendant cette période de leur vie (moi la première, je plaide coupable). Or, plutôt que de se lancer dans un jogging endiablé qui risque d’engendrer des blessures inutiles, une première étape de remise en forme passe par? la marche, tout simplement. On sort notre poussette (sans s’appuyer dessus en se promenant) et on fait de petits pas rapides, courts et légers. Graduellement, on pourra augmenter la cadence et la durée du trajet.

Piège #2 : Faire cavalier seul

S’entourer de professionnels, c’est un must quand vient le temps de débuter sa remise en forme post-accouchement. Dans un premier temps, si l’on remarque des fuites urinaires ou un inconfort de la région pelvienne, on n’hésite pas à consulter un physiothérapeute expert en rééducation périnéale (j’ai d’ailleurs abordé ce sujet plus en détails ici). De plus, pour une remise en forme réussie, faire équipe avec un entraîneur reconnu et recommandé par un professionnel du monde médical s’impose.

Piège #3 : Se fixer des objectifs démesurés

Passer de sédentaire à ironman en 6 mois? Bien que ce genre de défi fasse rêver, d’un point de vue médical, c’est plutôt déconseillé. La forme physique, le renforcement et l’optimisation cardio-musculaire se travaillent sur plusieurs années! Plus la progression suit son cours normal sans être précipitée, moins il y a risque de blessures. Il est primordial de prendre le temps de bien exécuter chaque exercice avant de passer à l’étape subséquente. C’est souvent l’erreur des gens motivés? ils veulent évoluer rapidement et se lancent des défis difficilement atteignables à court terme.

Piège #4 : Négliger sa santé psychologique

Un esprit sain dans un corps sain, c’est cliché, mais si important! Plusieurs mamans ont le désir de s’entraîner mais possèdent toutes sortes de blocages psychologiques qui nuisent à leur remise en forme. Prendre du temps pour soi, travailler sa confiance personnelle et faire une introspection sur son état de santé mentale avant même de débuter l’entraînement font partie d’une démarche de santé globale dont les chances de réussite sont nécessairement plus élevées!

Piège #5 : S’entraîner pour les mauvaises raisons

Et si on se questionnait sur les véritables motifs de sa remise en forme? Perdre du poids, faire disparaître son bedon, raffermir son corps ou réussir un défi compétitif sont autant de motivations fréquemment évoquées, et avec raison! Mais prendre du temps pour soi et reconnecter avec ce corps qui vient de donner la vie, c’est aussi ça, l’entraînement? et les chances que nos efforts perdurent dans le temps sont plus élevées si on le fait pour les bonnes raisons.

Bon entraînement!

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« Il a quel âge ton bébé? »

La question que je me fais le plus poser à propos de mon bébé prématuré, après un « Mais là, il est-tu correct? », c’est « Comment son âge fonctionne? ». 

Voyez-vous, il est né 12 semaines trop tôt; c’est un grand prématuré. Il a vécu les premiers mois de sa vie à l’hôpital, en grande partie dans un incubateur. Ces semaines passées dans son petit cocon humide étaient en fait similaires à ce qu’il aurait vécu s’il avait encore été dans mon bedon. Puis, il a dû apprendre toutes ces petites choses qui viennent habituellement naturellement aux poupons: respirer, téter, téter et respirer en même temps. Juste le fait de prendre du poids lui demandait énormément d’énergie. 

Donc, mon bébé  a deux âges. Son âge réel, c’est à dire l’âge comme tout le monde calcule, depuis le jour de sa naissance, de façon chronologique. C’est sa date d’anniversaire, la date sur les papiers. 

Il a aussi un âge corrigé. Cet âge est calculé en fonction de la date prévue de l’accouchement. Cette date représente son développement et est ce qu’on utilise afin de mesurer son évolution. Nous utiliserons cette date fictive pour les deux premières années de sa vie, pour évaluer à quel point il devrait avoir rattrapé son développement selon sa date d’anniversaire. 

Il y a quelques semaines, nous fêtions ma nièce dans un parc et par hasard, il y avait deux bébés nés à des dates similaires au mien: un né à 2 jours de sa date d’anniversaire (septembre), et un né à 3 jours de sa date corrigée (décembre). C’était frappant de voir à quel point il était en tout point similaire au bébé de décembre et que celui de septembre semblait à des années-lumière. C’est hallucinant comment un enfant se développe dans sa première année de vie, et trois mois de différence, c’est énorme. 

Nous approchons bientôt de sa date d’anniversaire et ça me fait drôle un peu de célébrer son 1 an. Dans ma tête, c’est encore un tout petit poupon, un mini-bébé. Quand je compare avec mon plus vieux qui, à 1 an, marchait et disait quelques mots, c’est deux mondes. 

Alors nous soulignerons cette première année qui fût vraiment difficile, mais oh combien belle. Et je crois bien qu’en décembre, nous ferons une autre petite célébration de son année corrigée. Son anniversaire qui aurait pu être. 

Pour ceux qui ont des bébés prématurés, avez-vous souligné les deux dates?

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10 signes qui prouvent que vous vivez avec un.e jeune artiste

Basée sur l’observation que j’ai fait de sa personnalité sensible, je me suis amusée à dresser une petite liste, non exhaustive, des caractéristiques d’un enfant créatif: 

1. Il fabrique des objets à partir de presque rien

Ma fille offre souvent de petits présents à ses amis et à sa famille. Il s’agit de porte-clés, de signets, de casse-têtes, de crayons, de bracelets. La seule chose qu’ils ont tous en commun, c’est qu’elle les a tous fabriqués avec ce qui lui tombe sous la main.

2. Tous les objets de son quotidien sont pimpés à son goût

Quoi de plus plate qu’un cartable bleu uni ou un horrible chandail gris? Mais avec un ruban par-ci, des autocollants maison par-là, n’importe quel objet banal peut se transformer en quelque chose d’unique en son genre. Sa dernière intervention en relooking: sa paire de ciseaux rouge pompier qu’elle déteste. Devant mon refus de lui en offrir une autre paire, ils sont désormais rayés turquoise et mauve avec des paillettes. Par contre, elle a reçu l’interdiction formelle de s’attaquer à ses uniformes scolaires. Je vous jure qu’elle y pense.

3. Il écoute des vidéos DIY dès qu’il est sur YouTube

Ma préado ne se soucie pas trop des potins de starlettes ou des prochains jeux vidéos. Ce qu’elle consomme sur Youtube, ce sont des chaînes qui proposent des projets DIY ou du style 5 minutes craft

4. Lui offrir pour son anniversaire une boîte remplie de matériel est le plus beau des cadeaux

Ses plus beaux cadeaux d’anniversaire resteront des crayons, des papiers cartonnés ou toute sorte d’objets destinés au bricolage. Souvent, elle utilise son argent de poche pour renflouer sa boîte d’accessoires créatifs. 

5. Il n’y a jamais de papier collant lorsque vient le temps d’emballer un cadeau

Que dire de plus?

6. Il existe des manières infinies de jouer au même jeu

Ma fille ne s’est jamais limitée au cadre conventionnel proposé par un jouet ou un jeu. Elle les mélangeait, les remodelait, les réinventait. Encore aujourd’hui, elle déroge souvent des règles fixées par un jeu de société et on invente souvent des manières différentes de jouer à chaque fois qu’on le sort. Le hic, c’est que parfois, les règles semblent l’avantager un peu plus.

7. En cours d’arts, il en fait toujours un peu plus ou déroge des consignes

C’est un commentaire qui est souvent revenu lors de la lecture des résultats d’un travail fait en classe. « Tu n’as pas respecté le thème ». Bien sûr, il fallait représenter un seul oiseau, alors que ma fille a reproduit une volière complète sur fond de coucher de soleil paradisiaque. Par contre, la note était toujours excellente, comme quoi sortir des sentiers battus n’est pas une si mauvaise chose!

8. Il a à son actif la réalisation de quelques pièces de théâtre

Il y a quelques années déjà que ma fille développe ce talent. Elle est à la fois auteure, metteuse en scène, créatrice de décors, costumière et actrice. Chaque réunion de famille nous vaut une représentation spéciale. Elle en est même à l’écriture de la suite de sa pièce présentée il y a 2 ans. 

9. Son imagination ne semble avoir aucune limite

La beauté de son talent réside dans le fait qu’elle ne fera  jamais deux fois la même chose. Malgré qu’elle en est à son centième bracelet, elle trouvera toujours une manière de se réinventer. Elle évolue à travers le développement de sa technique, ses émotions et son expérience. 

10. Sa chambre est une vraie galerie d’art

Tout en elle respire la joie, le vie, la couleur. Elle passe son temps à la redécorer, à l’organiser différemment. Avec ses mille collections et ses réalisations du moment exposées, il y a toujours quelque chose à admirer dans sa chambre.

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Crédit: Giphy

Reconaissez-vous votre enfant?

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Charlotte Cardin et Matt Holubowski chantent pour les enfants malades

Le sujet des enfants malades est toujours difficile à aborder, que ça nous touche de près ou de loin. Aujourd’hui, on est tombées sur une magnifique initiative, qui nous a beaucoup touchées, et qu’on a très envie de vous partager.

La Fondation de l’Hôpital de Montréal pour enfants, en partenariat avec quatre artistes québécois, lance Les berceuses, un projet plein de tendresse et destiné à soulager les enfants malades à l’heure du dodo.

À l’hôpital, les enfants malades n’ont pas toujours l’occasion d’avoir leurs parents à leurs côtés quand vient le temps de dormir. Pour offrir du réconfort à ces jeunes enfants et leur permettre de s’endormir doucement, la Fondation de l’Hôpital de Montréal pour enfants a invité quatre artistes d’ici, Charlotte Cardin, Alex Nevsky, Ludovick Bourgeois et Matt Holubowski, à créer des berceuses grâce à un projet sans précédent qui va droit au c?ur.

C’est Charlotte Cardin qui lance le bal avec une version épurée de Faufile. 

Suivront Seul au combat de Ludovick Bourgeois, Les Coloriés d’Alex Nevsky et Inhale/Exhale de Matt Holubowski. On a vraiment hâte d’entendre ça!

Le projet Les berceuses s’inscrit dans la volonté de l’Hôpital de Montréal pour enfants (Le Children) d’améliorer la qualité de vie de ses jeunes patients et leur famille, et marque une fois de plus son désir de guérir les enfants autrement.

Et guérir autrement, c’est avant tout offrir des technologies, des soins et des traitements de pointe, mais c’est aussi permettre aux enfants malades de faire des beaux dodos, même à l’hôpital.

On salue cette belle initiative!

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5 collations rapides et idéales pour les lunchs

Chez TPL Moms, on sait que ça peut parfois être compliqué de proposer des collations originales et santé à nos cocos. Que ce soit les écoles qui ont des demandes plus strictes en termes d’allergènes, ou tout simplement un manque d’idées, on vient vite à bout de notre créativité.

Question de vous aider avec la rentrée qui arrive, on vous propose 5 recettes de collations, soit originales ou classiques, et surtout complètement savoureuses! En plus, elles sont parfaites à glisser dans une boîte à lunch zéro déchet

Barres tendres sans cuisson pommes-chocolat, Geneviève O’Gleman 

Savourer par Geneviève O’Gleman

Une recette délicieuse et santé que vos cocos mangeront en deux bouchées. Notez que cette recette contient des amandes. Retrouvez la recette complète sur le blogue Savourer par Geneviève O’Gleman.

Boules d’énergie aux abricots, au quinoa soufflé et à la noix de coco, Trois fois par jour 

Trois fois par jour

Ah, les fameuses boules d’énergie! Ultra mignonnes et savoureuses, mais surtout assez santé, parions que vos enfants voudront toujours en avoir dans leur boîte à lunch. Retrouvez la recette complète sur le blogue Trois fois par jour.

Biscuits à la mélasse, K pour Katrine

K pour Katrine

Votre petit est fan des pattes d’ours? Il adorera sans aucun doute ces biscuits à la mélasse prêts en 30 minutes. En plus, ils sont sans gluten, sans produits laitiers et sans noix! À noter que la recette contient des amandes. Retrouvez la recette complète sur K pour Katrine.

Petits pots crémeux véganes aux pommes et à l’érable, Cuisine estudiantine

Cuisine estudiantine

L’association pomme et érable ne pourrait pas être plus représentative des saveurs du terroir! Cette recette a aussi l’avantage d’être végane et tout à fait délicieuse. Retrouvez la recette complète sur le blogue Cuisine estudiantine.

Salade de fruits et quinoa, Trois fois par jour

Trois fois par jour

Une bonne dose de fruits et une touche de quinoa pour rendre le tout plus soutenant et voici la collation parfaite pour la boîte à lunch de votre enfant! Retrouvez la recette complète sur Trois fois par jour.

La rentrée scolaire n’a qu’à bien se tenir! 

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L’anxiété de mère en fils: quand l’histoire se répète

Depuis l’arrivée de mes enfants, j’ai à peu près tout fait pour camoufler mon anxiété devant eux. Ils n’ont jamais été témoins de mes peurs, phobies, crises de panique.

Naïvement, je me suis dit que je réussirais à briser le cercle familial qui perdure depuis plusieurs générations de personnes tourmentées, insécures, malades?

Puis, récemment, mon fils a commencé à se plaindre de symptômes qui me sont beaucoup trop familiers: maux de coeur, difficulté à respirer, peur de la nouveauté, inquiétudes non fondées. C’est donc avec beaucoup de tristesse que je me rends à l’évidence: je lui ai « transmis » mon anxiété, malgré toutes mes précautions.

Comme parent, c’est vraiment troublant de voir son enfant souffrir ainsi. Au départ, j’ai été envahie de culpabilité à la vue de ses petits yeux paniqués me suppliant de l’aider à retrouver une vie normale. Je me sentais comme si son anxiété provenait directement de moi. Après tout, n’était-ce pas MA génétique qui l’avait rendu ainsi?

J’avais peine à croire qu’il serait, comme moi à son âge, prisonnier de ses pensées irrationnelles, coincé dans sa propre prison mentale. J’aurais souhaité prendre ses inquiétudes sur mes épaules et lui redonner sa vie d’enfant… facile, légère et libre de tourments.

Le seul avantage d’être une maman anxieuse qui a un enfant anxieux, c’est que je suis passée par là. Ma nouvelle mission, c’est d’équiper mon fils comme un champion pour qu’il apprenne à gérer ses craintes au quotidien. Je ne veux pas seulement lui donner quelques outils, mais le coffre au complet! Consultations avec un psychologue, exercices de respiration, beaucoup de placotage pour désamorcer les situations stressantes… L’investissement financier et en temps ne sera jamais trop grand pour qu’il se dote de solutions qui lui serviront toute sa vie.

Je fais aussi tout en mon possible pour ne pas lui transmettre ma peur de le voir anxieux. Parce que deux peureux ensemble, ça ne réglera pas grand-chose! J’essaie donc de me montrer réconfortante, confiante et solide. Cela ne m’a pas empêchée de lui raconter mes épisodes anxieux de jeunesse afin qu’il se sente moins seul dans sa situation et qu’il comprenne mieux cette fragilité qui l’habite. J’ai également osé lui dire que parfois, j’avais encore quelques montées de panique en moi, mais que je réussissais dorénavant à bien les gérer. J’ai pu lui transmettre mes trucs avec encore plus de crédibilité et le regarder les mettre en application.

À travers cette période plus difficile pour lui, il y a quelques petites victoires qui font du bien. Son sourire moins présent depuis quelques semaines revient tranquillement. Il recommence, avec notre aide, à fréquenter certains lieux publics qu’il avait bannis. Il est capable de nommer des points positifs dans chacune de ses journées malgré les moments d’anxiété. Puis sa belle sensibilité, son empathie légendaire pour son jeune âge, la douceur de ses paroles et son affection pour ceux qu’il aime n’ont pas changé. Il est tel qu’il est avec ses forces et ses défis; il est juste parfait.  

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Fusillades : Lady Gaga financera plus de 160 classes

On ne commencera pas à parler de la colère et de la tristesse qu’on ressent face aux récentes fusillades qui ont eu lieu aux États-Unis. Chaque semaine, une nouvelle horreur fait les manchettes et quand on pense qu’il y a eu plus de fusillades que de jours dans l’année aux États-Unis, on ne sait tout simplement pas quoi dire.

On préfère, pour le moment, se concentrer sur les gestes humains et touchants que certaines personnes posent en réaction aux actions meurtrières de certains. Récemment, quelques stars se sont positionnées en faveur de lois plus serrées sur la possession de fusils, comme Lana Del Rey avec sa nouvelle chanson « Looking for America ».

Mais le geste qui nous a le plus émues, c’est l’engagement de Lady Gaga envers plus de 162 classes réparties dans les écoles des 3 villes récemment touchées par des fusillades. Avec sa fondation, Born This Way, elle va s’associer à l’organisme Donorschoose.org afin de financer 125 classes à El Paso, 23 à Gilroy et 14 à Dayton. Les classes recevront ainsi un support financier afin de réaliser des projets scolaires en tous genres. Le geste de Lady Gaga tombe à point quand on sait que la jeunesse américaine est une des plus touchées par les crimes liés aux armes à feu. Ce financement permettra « d’inspirer les étudiants à travailler ensemble et à donner vie à leurs rêves. »

La chanteuse a écrit une longue et touchante déclaration sur sa page Facebook.

A note to Dayton, El Paso, and Gilroy:My heart goes out to those who were taken from us too soon and to their…

Posted by Lady Gaga on Friday, August 9, 2019

Merci à Lady Gaga pour ce super geste et à tous les autres humains qui luttent activement contre le port d’armes non régulé aux États-Unis.  

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Enfin, des produits post-partum qui ont de l’allure !

Devenir maman, quelle belle et magnifique étape de vie! Ça vient avec son lot de questions, de surprises, de belles découvertes… et aussi une plus ou moins longue période post-partum à gérer.

Chaque femme est différente, alors cette période se vit de manière unique chez chacune, mais reste qu’il y a certains aspects physiques à gérer qui sont vécus par plusieurs nouvelles mamans.

L’hôpital donne quelques produits pour aider la nouvelle maman dans son retour à la maison, mais on s’entend que ce sont des produits génériques, pas nécessairement développés plus loin que leur utilisation de base. C’est la PDG de l’entreprise Frida Baby, Chelsea Hirschhorn qui s’est rendu compte des lacunes en termes de produits postpartum alors qu’elle devenait elle-même nouvelle maman. Elle s’est donc donné le pari de développer la nouvelle ligne Frida Mom, spécialement conçue pour aider à rendre la période post-partum plus confortable. Les produits ont été développés pendant 2 ans et Hirschhorn les a testé elle-même après son 3e accouchement.

En plus d’avoir les meilleurs produits (et aussi le meilleur branding), Frida Mom permet d’ouvrir la discussion sur un sujet dont on ne parle pas nécessairement à haute voix. Les déchirures, la gestion des points de suture, l’enflure de la région périnéale, la césarienne… tout ça fait partie de la réalité d’une nouvelle maman, à quelques exceptions près, et pourtant, c’est une réalité qu’on garde trop souvent cachée. Frida Mom parle de manière ultra décomplexée de cette réalité, tant dans les descriptions de ses produits que dans son branding général.

La ligne comporte 9 produits géniaux, comme une bouteille au design conçu pour gérer efficacement le nettoyage de la région périnéale, des sous-vêtements post-partum autant pour les accouchements par voie naturelle que les accouchements par césarienne, des pads refroidissants qu’on pose directement dans la culotte (à l’instar d’un liner pour menstruation) et une mousse rafraîchissante et nettoyante qui aide à diminuer l’enflure. Tous les produits se trouvent sur le site Web de la compagnie.

Même si Frida Mom ne livre pas au Canada pour le moment (on espère vraiment qu’une entreprise d’ici emboîtera le pas), on trouve ça vraiment génial qu’une entreprise ait pensé 100% aux mamans. Après un accouchement, beaucoup d’attention est dirigée vers le bébé et c’est tellement normal et correct, mais Frida Mom nous rappelle de ne pas nous oublier pour autant!