Auteur : TPL Moms

Nous étions arrivés la veille au Camping du Paradis Marin à Grandes-Bergeronnes, et après une nuit froide et agitée pour notre 3 ans, suivi d’un avant-midi à courir sur les roches au son du souffle d’un petit rorqual, nous avions bien hâte à l’heure salvatrice de la sieste. Un lunch animé de cris et de pleurs m’a convaincue que l’heure était venue, et je m’installai avec le petit dans la tente, croyant naïvement que la fatigue allait avoir raison de son excitation. Pourtant, je savais d’expérience que sieste et tente ne font pas bon ménage, mais hey, faut croire que je feelais optimiste ce jour-là.

45 minutes de chansons, de flattage de dos, de roulades d’un matelas à l’autre, de je-me-lève-tu-m’attrapes-c’est-drôle, je déclarai forfait. Je retrouvai mon chum qui mangeait une crème glacée avec notre grande sur les rochers, et nous embarquâmes tous dans l’auto pour notre premier roadtrip de sieste des vacances. 

Ok, j’avoue que ce n’est pas ce qu’il y a de plus écologique, mais ces roadtrips de sieste sont parmi mes moments préférés des vacances. Prendre la route, voir dérouler les paysages, profiter de notre playlist des vacances, rêver tout haut de nos prochains voyages, être amoureux pendant que les enfants roupillent? 

Crédit: Estelle GB

Ce premier jour, nous avons pris la 138 et suivi l’estuaire, admiré la couleur hallucinante de l’eau de Longue Rive, profité de la coquetterie de l’église en bardeaux de Portneuf-sur-Mer, imaginé l’immensité des forêts du Nitassinan. Le lendemain, ce fût la vallée de la Ste-Marguerite jusqu’à Ste-Rose-du-Nord: les monts arrondis du Saguenay, nos projets de pêche au saumon, Ebo Taylor dans le tapis, le ciel rosé de chaleur. Eh puis, il y a eu Charlevoix, et la Beauce, et la route de Mégantic, et les chemins de terre qui entourent le chalet.

Crédit: Estelle GB

Nous passons de merveilleuses vacances. 

Comment ça se passe de votre côté ?

J’ai vu passer dans mon fil cette nouvelle qu’un jeune Québécois en vacances aux États-Unis a sauvé un enfant de 8 ans de la noyade. On disait de lui qu’il avait posé un geste héroïque, et avec raison. Un courageux qui a affronté les courants contraires pour se porter à la rescousse d’un garçon en détresse. C’est noble et ça mérite d’être honoré. Mais ce n’est pas de ce genre de courage dont j’ai envie de vous parler.

Celui qui m’inspire ne fait pas les manchettes. Il est plus discret, moins spectaculaire, presque banal. Et surtout, il est beaucoup plus répandu parmi nous, les teneuses et teneurs de phares, les guerrières et guerriers du quotidien, celles et ceux qui veillent au bien de la famille, beau temps, mauvais temps, qui se lèvent malgré les insomnies ou les rhumes carabinés, passent des nuits à consoler ou à allaiter.

Je l’appellerai le courage ordinaire, celui qu’il nous faut pour passer à travers nos journées, même si on a juste envie de rester couché.e, celui qui nous fait avaler deux Tylénol avec notre café pour affronter le meeting de neuf heures ou la crise de coliques du petit. Celui qui remplace la motivation quand notre job est tellement plate qu’on rêve de partir à courir à chaque fois qu’on croise un cadre de porte. Celui qui nous fait tenir bon quand on a l’impression d’avoir un trou sous le pied par lequel s’écoule notre énergie; on ne peut pas être fatigué.e quand notre enfant a faim, on ne peut pas être épuisé.e quand il faut l’aider à faire ses devoirs, on ne peut pas être exténué.e quand on doit valser entre la garderie, le boulot, la maison, les commissions, les rendez-vous. Sinon, notre château de cartes s’écroule.

Le courage des matins de semaine pressés, des fins de semaine trop occupées, des nuits pleines de cauchemars à apaiser. Le courage de faire face à la vie quand elle te fait une jambette que ce soit le diagnostic du plus jeune, les contrats qui ne rentrent pas, la maladie de ton père, ton amour qui s’en va ou la dépression qui s’invite sous ton toit.

On ne décerne pas de médaille pour ce type de courage; normal, le chapeau fait un peu à tout le monde. Pourtant, sans lui, la vie partirait en vrille.

Le courage de faire ce qu’il faut pour que la roue continue de tourner, malgré les bobos, les manques, les inquiétudes, les chagrins, les vides et les vertiges, ce courage modeste, qui se manifeste mille fois par jour sans tambour ni trompette, votre courage, et bien je le salue à mon humble façon.

Nous sommes toutes et tous des courageuses et courageux, ne l’oublions pas.

Le jour où je suis devenue une maman adoptive, je savais que je me lançais dans une aventure différente de celle de mes amies déjà mamans. Ce que je n’avais pas imaginé, c’est que je vivrais les mêmes étapes qu’elles, mais toujours d’une façon différente.

Ma « grossesse » a duré presque le même nombre de semaines que mes amies, mais j’ai dû prouver que j’étais saine d’esprit, de corps et de finances. Mon « accouchement » implique des avions, un très long voyage et des portes d’ascenseur qui s’ouvrent sur une mignonnette qui dit mama en me pointant du doigt. Les premiers mois, avec ma deuzan, et plus tard avec mon 1 an, m’ont permis d’expérimenter les nuits mouvementées et trop courtes et les journées mouvementées et trop longues, même s’ils n’étaient plus des nouveau-nés depuis longtemps.

Dans quelques semaines, ma grande fêtera son 6^e anniversaire et mon bébé, son 3^e. Je dois me rendre à l’évidence, il n’y a plus de bébé dans ma maison! Je pourrai me désabonner du groupe Vente articles de bébés après avoir trouvé une nouvelle maison à tous ces objets encombrants qui viennent avec les bébés.

Je dois avouer que je suis un peu sous le choc d’être arrivée à cette étape de notre vie de famille. Je vois tout le positif et les libertés que cela nous permettra dans notre quotidien, mais, en même temps, ça veut dire que je dois accepter que ma famille est complète. Je sais depuis l’arrivée de numéro 2 que notre trio ne sera jamais un quatuor. Il faut être réaliste! Mon niveau d’énergie et mes ressources sont complètement mobilisés par les besoins de mes deux amours.

Je n’ai pas à faire le deuil de la grossesse ou le deuil des premiers moments passés avec un nouveau-né. Ce deuil s’est fait petit à petit au cours des traitements en fertilité qui menaient d’un échec à l’autre. Mon deuil à moi, c’est de ne plus vivre l’adrénaline, le moment d’excitation, de stress, de joie et d’incrédibilité qui arrivent quand le téléphone sonne et qu’au bout de la ligne, un ange nous annonce qu’un enfant pourrait se joindre à notre famille. Il faut le vivre pour comprendre, mais ce moment est le plus fou que j’ai vécu! Je dois faire le deuil des premiers moments de découverte avec bébé, des premières semaines un peu étranges où la terre continue de tourner sans que je m’en rende vraiment compte? Et puis, il y a le premier regard profond, le premier maman, la première fois où ma présence a rassuré et tous les autres petits moments du quotidien que je me sens tellement privilégiée de vivre.

La vie de maman est remplie de première fois et de dernière fois, une succession d’étapes qui nous permettent d’accompagner nos petits vers la vie adulte. La prochaine étape qui me fait rêver, c’est le moment où je pourrai me débarrasser des imposants sièges d’auto pour installer 2 petits boosters? Et vous?

Ce chiffre peut paraître énorme, mais il démontre bien la réalité, et nous confronte au fait qu’il y a de grandes chances que nous connaissions une femme qui sera un jour atteinte de ce cancer. Ce que je veux dire par là, sans être alarmiste, c’est que nous sommes tous et toutes concernés,  et qu’il y a heureusement aujourd’hui de nombreuses façons d’agir!

Je voulais donc vous parler de l’évènement Le Projet Beauté Pharmaprix organisé par la Fondation du cancer du sein du Québec qui aura lieu le samedi 10 août dans tous les Pharmaprix du Québec! Le billet d’entrée pour cet atelier est de 10$, dont 5$ seront reversés à la Fondation! Pour ce prix-là, vous aurez droit à une mise en beauté de 20 minutes avec maquillage, un soin de peau personnalisé avec une experte ainsi que 5$ de rabais à l’achat de cosmétiques, parfums ou bijoux achetés au cours de cette journée! 

Vous l’aurez compris, cet évènement est l’occasion parfaite de participer à une bonne cause tout en prenant soin de soi, il n’y a donc aucune raison de ne pas en profiter! Si vous souhaitez avoir plus d’informations, je vous invite à jeter un oeil à l’évènement Facebook (et à cliquer sur Participer avant de vous inscrire à votre Pharmaprix préféré) qui répondra à toutes vos questions! 

Alors, prêt.e.s à prendre soin de vous pour la bonne cause? 

Ce chiffre peut paraître énorme, mais il démontre bien la réalité, et nous confronte au fait qu’il y a de grandes chances que nous connaissions une femme qui sera un jour atteinte de ce cancer. Ce que je veux dire par là, sans être alarmiste, c’est que nous sommes tous et toutes concernés,  et qu’il y a heureusement aujourd’hui de nombreuses façons d’agir!

Je voulais donc vous parler de l’évènement Le Projet Beauté Pharmaprix organisé par la Fondation du cancer du sein du Québec qui aura lieu le samedi 10 août dans tous les Pharmaprix du Québec! Le billet d’entrée pour cet atelier est de 10$, dont 5$ seront reversés à la Fondation! Pour ce prix-là, vous aurez droit à une mise en beauté de 20 minutes avec maquillage, un soin de peau personnalisé avec une experte ainsi que 5$ de rabais à l’achat de cosmétiques, parfums ou bijoux achetés au cours de cette journée! 

Vous l’aurez compris, cet évènement est l’occasion parfaite de participer à une bonne cause tout en prenant soin de soi, il n’y a donc aucune raison de ne pas en profiter! Si vous souhaitez avoir plus d’informations, je vous invite à jeter un oeil à l’évènement Facebook (et à cliquer sur Participer avant de vous inscrire à votre Pharmaprix préféré) qui répondra à toutes vos questions! 

Alors, prêt.e.s à prendre soin de vous pour la bonne cause? 

Quand je suis devenue maman, beaucoup de personnes m’ont prévenue que le sommeil serait quelque chose de difficile avec bébé. « Un bébé, ça illumine la vie et les nuits » m’a-t-on dit. J’ai donc affronté les nuits pâles, pour ne pas dire blanches, patiemment. Avant même que Bébé1 ne fasse ses nuits, nous avons eu la brillante idée d’enclencher le processus pour Bébé2, toi chose!

Donc, avec mes 2 cocos à 17 mois d’intervalle, disons que nos nuits ont été mouvementées. Nous avons rempli notre part du contrat, Maman2 et moi. Nos enfants ont maintenant respectivement 3 ans et demi et 2 ans. Ils dorment de beaux 10-12 heures d’affilée depuis plusieurs mois. Le bonheur… NOT.

Je suis brûlée! Dans le mode d’emploi parental universel que j’ai jamais reçu, nulle part il n’était stipulé que des enfants, en nombre supérieur à deux, ça ne se consulte pas pour accorder leurs heures de sommeil. Ben non! Dans la loterie de la vie, je suis tombée sur le ticket gagnant des enfants qui ne fittent pas ensemble côté dodo. J’ai donc un modèle couche-tard et une édition lève-tôt.

Mon Party-Animal de 3 ans chantonne durant 2h, après avoir été méticuleusement mis au lit en suivant une routine digne d’un sacrifice tribal par soir de pleine lune. Sa capacité à trouver des excuses originales pour me demander à son chevet est digne de tactiques militaires sophistiquées à en faire baver la défense nationale. Son doudou, un peu d’eau, un bisou, une histoire, une chanson, un casse-tête, une game de cache-cache, un tour dans la piscine pis une danse en ligne! TOUS les prétextes sont bons pour demander à maman de revenir le voir. 

Ma Café-Folgers de 2 ans, elle, affectionne particulièrement les cris de joie stridents à en réveiller tous les chiens du quartier, et ce, trois heures avant l’heure habituelle du lever. Le bonheur d’entendre son enfant gazouiller et rigoler le matin… ou pas! Sa tête de cochon légendaire doublé de sa perception auditive olympique du moindre craquement de plancher font en sorte qu’il est IMPOSSIBLE de recoucher cette enfant le matin. Sur la pointe des pieds, en glissant, en avance-statue, en longeant les murs ou en rampant par terre, aucun moyen de sortir de la chambre après avoir remis la Belle au bois remuant dans son lit. Directement sortie de la savane africaine, ma terrible-two est aux aguets du moindre fait et geste en direction de sa porte. Une fois entrée dans sa chambre, on n’en ressort jamais!

À calculer vite-vite, mon modèle couche-tard et mon édition lève-tôt combinés ensemble prolongent mon shift de parent de cinq heures. Et dans ça, on ne calcule pas les réveils en cours de nuit pour un pipi ou une doudou égarée. Mon me-time me reconnaît de moins en moins et j’ai entendu dire que mon oreiller a publié un avis de recherche me concernant sur la pinte de lait.

« On n’arrête jamais d’être parent » me direz-vous et « l’adolescence ne sera pas mieux ». Probablement. Mais d’ici là, mon café frette, la bave sur mon bureau et moi-même vous souhaitons de profiter de vos nuits de sommeil, pendant qu’il est encore temps!

Bonne nuit, là!

Bon, on peut se le dire, c’est toujours le bon moment pour boire un latte! Mais en ce moment, c’est surtout la saison pour un bon latte GLACÉÉÉÉ! Et ça, DavidsTea l’a bien compris! J’ai récemment pu découvrir leur nouvelle collection de thés pensés spécialement pour faire de trop bons lattes glacés et je dois avouer que toutes les saveurs sont vraiment gourmandes, comme on aime! Je voulais donc vous présenter mon top 3 des recettes de latte qui me font saliver!

Le frappé aux bleuets

Un savoureux mélange de graines de chanvre riches en nutriments, de noix de coco sucrée ainsi que de bleuets; on peut dire que c’est un breuvage à la fois gourmand et rafraîchissant! Comme pour tous les lattes glacés, on ajoute du lait et de la glace au mélange de thé infusé et le tour est joué! 

Crédit: DAVIDsTEA

Le oolong au sirop d’érable

Oui, c’est un peu cliché pour des Canadiens, mais en même temps, qui n’aime pas le sirop d’érable? Ce thé contient du sarrasin et de la chicorée torréfiée ce qui lui donne le goût de pancakes arrosés du riche sirop doré adoré (hihi) des gens du pays, ce qui en fera l’accompagnement parfait pour un brunch!

Crédit: DAVIDsTEA

Cappuccino à la vanille

Le meilleur pour la fin (ou en d’autres mots, la recette qui me fait le plus envie)! C’est un thé noir corsé aux arômes de café et rehaussé de vrais grains de café. C’est également une bonne alternative pour tout ceux qui ne jurent que par la saveur riche du cappuccino à la vanille française, mais qui veulent réduire leur consommation de sucre! 

Crédit: DAVIDsTEA

Et je ne pouvais pas terminer cette sélection de thés sans vous parler de l’accessoire ultime pour le déguster: la tasse à latte en verre à double paroi! Pour l’avoir vue en vraie, c’est une tasse franchement énorme, mais parfaite pour assouvir nos envies gourmandes tout en gardant notre breuvage au frais plus longtemps grâce à sa double paroi!

Lequel allez-vous essayer en premier?

Je ne sais pas si c’est vraiment nécessaire de le répéter en 2019, mais les bouteilles d’eau jetables, c’est vraiment mauvais pour l’environnement. Pourtant, selon Équiterre, 1 million de bouteilles sont achetées chaque minute autour du globe. 1 MILLION! En 2050, on prévoit plus de plastique que de poissons dans l’océan, c’est vraiment désolant.

Certain.e.s s’excuseront du mauvais goût de métal ou de plastique des bouteilles réutilisables… NOT ANYMORE!

Les poissons pourront nager en toute tranquillité: Brita vient tout juste de sortir une gourde incluant un fin système de filtration d’eau!

Quand j’étais petite, mes grands-parents m’emmenaient parfois pêcher le weekend quand il faisait beau. Si on n’a plus l’occasion de le faire aujourd’hui, j’en garde tout de même de superbes souvenirs, autant pour ce temps passé avec mes proches que pour les moments en nature qui manquent parfois à ma vie de citadine! 

Aujourd’hui, j’ai vu qu’une initiation à la pêche allait être proposée le dimanche 11 août au Mont-Saint-Grégoire, à 50 minutes de Montréal. Ça m’a tout de suite rappelé ces moments passés avec mes grands-parents et je me suis dit que s’il y avait la possibilité d’offrir ces mêmes types de souvenirs à des enfants et leurs parents, il fallait que je partage l’info! 

C’est l’organisme à but non lucratif Ti-Mousse dans Brousse qui va organiser cette superbe activité en partenariat avec Hooké, The North Face et Écopêche! Leur but? Faciliter la pratique d’activités de plein air chez les enfants en informant, motivant et inspirant les parents à profiter de tous les bienfaits de la nature avec leurs petits. Leurs mots d’ordre? L’épanouissement, l’autonomie, mais aussi la protection de la nature.

Crédit: Ti-Mousse dans Brousse

L’activité consistera en une initiation où chaque famille pourra pêcher son poisson, puis le préparer et le cuisiner sur le feu avant de le déguster autour d’un pique-nique en pleine nature! Ce que j’ai trouvé vraiment intéressant, c’est le prix de cette activité qui est très abordable. En effet, pour 2 personnes, il vous en coûtera 25$ et pour 4 personnes 35$. Le prix inclut la location du matériel de pêche, l’atelier, et bien sûr, le poisson que vous allez déguster! Il faudra simplement amener de quoi manger et boire pour accompagner ledit poisson. 

Si vous voulez plus d’informations sur l’activité, tout est très bien expliqué sur le site de Ti-Mousse dans Brousse en cliquant ici. Vous pouvez également vous renseigner sur les autres activités organisées qui pourraient vous plaire en vous rendant sur leur site, leur compte Instagram ou encore leur page Facebook. 

Est-ce qu’une activité en pleine nature vous tente avec les enfants? Qu’avez-vous prévu ce weekend? 

Comme pas mal tous les enfants, mes garçons adorent se faire chatouiller. On joue souvent à des jeux qui finissent en bataille de chatouilles. Tous les prétextes sont bons pour rire.

Crédit: Éditions Nathan

À la bibliothèque, nous sommes tombés sur le livre C’est l’heure des chatouilles! L’histoire est très simple, l’enfant chatouille les animaux qui, by the way, ont différentes textures. C’est le fun pour mon presque un an parce que ça lui permet de participer à la lecture. À la dernière page, le livre propose de chatouiller le lecteur. Je me ramasse toujours à le lire à répétition; maintenant je le connais par c?ur (bon il a genre cinq pages). 

Crédit: Élise Gravel

Un autre classique dans le genre est Une patate à vélo. Élise Gravel est une autrice et illustratrice formidable. On en parle d’ailleurs ici, ici, ici et encore ici. Pour ceux qui ne connaissent pas encore ce livre, courez à la bibliothèque ou à la librairie. Chaque page représente une chose qui ne se peut pas; un ballon qui fait pipi sur une toilette, un cornichon qui joue au hockey, etc. La dernière page parle d’une chose possible; un bébé qui se fait chatouiller. Lui aussi je dois le lire à répétition.

Crédit: Hachette Jeunesse

Vous connaissez la série, Monsieur Madame? Parmi les nombreux personnages, il y a, Monsieur Chatouille. Un bonhomme avec de très longs bras qui chatouille les gens, même jusque dans leur maison. Je trouve que ce livre est une bonne façon d’aborder le consentement quant à toucher les gens en ayant leur accord. Comme mon plus jeune ne parle pas, j’en profite pour expliquer que le consentement, ce n’est pas toujours en mots. Que si on chatouille ou fait un câlin à un ami et qu’il crie ou pleure, c’est qu’il ne veut pas et qu’il faut arrêter. Ce n’est pas toujours facile pour mon deux ans de comprendre le refus de son frère, mais tranquillement pas vite, il s’améliore.

Avez-vous d’autres livres à me suggérer?