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Les petites habitudes hilarantes de nos bambins

J’ai toujours trouvé que les enfants avaient des comportements étranges qui font beaucoup rire. Ils ont leur monde imaginaire bien à eux. Quand nous sommes spectateurs de leurs agissements qui semblent parfois sortis d’un autre univers, c’est hilarant!

Depuis que je suis mère, je constate que les bambins sont encore plus éclatés que je ne le pensais! Ils ont des habitudes absolument étranges, incompréhensibles et cocasses. J’ai donc demandé aux TPL Moms si leurs bambins avaient des petites habitudes à se rouler par terre, histoire de vous en dresser une liste pour vous faire rigoler un peu. (ça fait plaisir!)

Les drôles de commentaires

« Depuis des mois, mon fils de 11 mois dit ??OH WOW » chaque fois qu’il voit une chose le moindrement intéressante. »

« Ma fille de deux ans me dit régulièrement ??Bravo maman! » quand je réussis à attacher mes souliers, à m’habiller, etc. »

« Mon fils fait : ??HAAAAAAAAAAA » (comme dans un manège) chaque fois qu’on passe sous un viaduc ou dans un tunnel. »

Les parties du corps

« Depuis qu’elle a un an et demi, ma fille a l’habitude de se flatter le nombril. Si elle n’y a pas accès à cause de ce qu’elle porte, elle se fâche. »

« Mon fils a un automatisme quand il est fatigué ou qu’il cherche du réconfort : il suce son pouce gauche et joue dans MES cheveux de la main droite. Mais parfois c’est tellement intense qu’il reste pris… J’ai même déjà dû me couper une mèche! »

« Une de mes filles me flatte les sourcils et les cils vraiment délicatement en souriant comme si elle voyait un petit animal cute. »

« Mon garçon de 2 ans et demi doit absolument nous jouer après un lobe d’oreille pour s’endormir. »

Le matériel

« Depuis son plus jeune âge, ma fille mâchonne les étiquettes de ses doudous et ses peluches. Elle se fait des grosses chiques comme un vieux marin. C’est assez dégueu. »

« Depuis qu’elle est toute jeune, et elle a maintenant 11 ans, ma fille frotte le coin de sa doudou dans sa narine. Y’a même des p’tits fils qui sont apparus avec le temps et il est bien interdit de les couper! »

« Depuis qu’elle a trois ans, ma fille ne peut pas colorier si les crayons ne sont pas enlignés dans un ordre de couleurs précis. Maintenant ça lui prend aussi une feuille à part pour faire des tests de couleurs. »

L’ami imaginaire

« Mon fils vérifie s’il peut faire des choses en se servant d’amis imaginaires qu’il dénonce. Par exemple : ??Maman! Le garçon joue avec les livres de Grand-maman! » Il voit si je vais avertir le garçon imaginaire ou si je vais le laisser faire, ce qui lui donne le cue pour aller faire la même chose. »

Les fourmis?!

« Mon fils a plusieurs manies étranges… Sa dernière est qu’il est devenu un chasseur de fourmis! Chaque fois qu’il joue dehors, il cherche les fourmis et en attrape une pour venir me la montrer. Il aime aussi beaucoup les écraser. Pauvres fourmis! »

« Ma fille de trois ans crie ??FOURMIS » à chaque fois qu’elle en voit une. Chaque fois! L’été ne fait que commencer. »

Quelles sont les habitudes aussi étranges que hilarantes de vos bambins?

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3 bébés en moins de 3 ans et demi

(chronique)

Il y a exactement deux ans, j’écrivais ce texte sur ma réalité de maman qui venait d’avoir deux bébés rapprochés. À l’époque, j’avais choisi de mettre ce texte anonyme, car je n’assumais pas vraiment encore très bien le fait que les gens avaient eu raison en disant que ça serait difficile et que j’avais eu tort de penser que ça ne serait pas si pire que ça. À l’époque, ma famille était complète et j’étais contente de recommencer à avoir un peu de liberté. À l’époque, j’étais enceinte et je l’ignorais.

Le bilan, deux ans plus tard et un bébé en plus, est positif. Ça, c’est la bonne nouvelle. Encore une fois, je recommence à avoir un peu de liberté. La moins bonne nouvelle, c’est qu’encore une fois, on a mangé nos bas. On a, encore une fois, dû se mettre en mode ermitage.

Trois bébés rapprochés (en moins de 3 ans et demi), c’est du sport de catégorie olympique à chaque jour. J’exagère à peine. On est toujours en infériorité numérique. On est toujours en train de courir. Avec du recul, je réalise que c’était de la « petite bière » d’avoir eu deux bébés rapprochés.

La vie fait bien les choses. Ma troisième fille est née en santé, au bon moment, et fut un merveilleux miracle dont nous sommes reconnaissants à chaque jour qui passe. Nos filles grandissent et développent entre elles une magnifique complicité dont je n’aurais jamais même pu rêver. Toutefois, l’année qui aura suivi la naissance de ma petite dernière n’aura peut-être pas été la plus facile sur beaucoup d’aspects. Nous avons dû prendre notre mal en patience, reconnaître nos limites et accepter de demander de l’aide lorsque nécessaire.

Une chose est certaine : nous ne regrettons rien. Les choses n’étaient peut-être pas planifiées pour être comme ça, mais c’est la preuve que des fois la vie nous joue des tours et c’est tant mieux comme ça .

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Ne pas laisser les imprévus gâcher ses vacances familiales

(chronique)

Dans la vie en général, je suis une personne relativement organisée. Je prends plaisir à prévoir à l’avance le détail des activités que nous ferons en famille, pour mieux en profiter le moment venu. Je suis consciente que c’est à la fois une qualité et un défaut, mais je vis bien avec ça ! Par contre, cette année, ma grande planification a pris le bord!

Il y a quelques mois, j’avais réservé une super chambre d’hôtel dans une station touristique de plein air pour que mon conjoint, moi et nos enfants puissions relaxer en juin, juste après la fin des classes. Sur papier, c’était le voyage idéal qui permettrait à mes 2 plus grands de décompresser après leur année scolaire chargée et à ma fille d’avoir un break de garderie bien mérité. Pour notre bébé de 10 mois, ce serait une première escapade familiale.

Mais voilà que la veille de notre départ, rien n’allait plus. Mon aîné est tombé malade : maux de tête, vomissements et fièvre? la totale, quoi ! Entre deux prises de température, j’ai jeté un coup d’?il aux prévisions météo? pour réaliser qu’on annonçait de la pluie non-stop durant la totalité de notre périple ! Moi qui avais planifié des activités extérieures, du temps à la plage et des randonnées pédestres?

En panique, j’ai téléphoné pour vérifier s’il était envisageable d’annuler notre voyage (sans frais, please), à moins de 24 heures d’avis. Hélas, c’était impossible ! Le coût serait presque aussi élevé, qu’on soit sur place ou pas !

C’est ainsi que le lendemain matin, l’organisation a fait place à la spontanéité et à la beauté de l’imprévu. Nous avons pris la route sous la pluie battante, mon malade tenant son bol de vomi entre ses jambes. Par chance, le trajet s’est déroulé sans incident.

Arrivés sur place, la déception a fait place à l’excitation quand nous avons pris possession de notre chambre (merci, l’effet de nouveauté !). Puis, le programme de la journée s’est transformé au gré de la température et des goûts des enfants. L’état de santé de mon plus vieux s’est amélioré. Nous avons profité de la piscine intérieure et participé à certaines activités organisées par la station touristique. Le soir venu, nous avons regardé un film, blottis tous les six dans le même lit queen.

Rien de tout cela n’était prévu, mais on a eu encore plus de plaisir que toutes les autres années où nous avions un plan de match précis. Si bien que ça m’a fait réfléchir sur la nécessité de tout organiser, tout le temps?

Pour moi, c’est un réel plaisir de planifier les vacances estivales. Ça me fait décrocher du quotidien en me donnant un avant-goût de ce qui nous attend l’été suivant. Puis, on s’entend qu’avec 4 enfants ça prend un minimum d’organisation.

Mais je réalise que l’état d’esprit avec lequel on débute les vacances y est aussi pour beaucoup. Un programme hyper organisé, ça ressemble à ce qu’on vit tout le reste de l’année : un horaire chargé, de multiples activités dirigées. Avoir quelques projets de vacances, c’est bien, mais faire participer les enfants au planning quotidiennement, c’est vraiment plaisant et reposant. Après tout, les vacances, ça sert d’abord à relaxer, non ?

Préférez-vous planifier ou improviser vos vacances… ou un peu des deux ?

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Visiter les parcs nationaux sans voiture, c’est maintenant possible!

Chez TPL Moms, nous n’avons pas nécessairement toujours accès à des voitures et c’est aussi la réalité de plein de familles montréalaises. Quand l’été arrive, on a souvent envie d’aller profiter de la beauté de nos parcs nationaux, mais c’est plus compliqué sans moyen de transport? N’est-ce pas?

Plus maintenant! Grâce au partenariat entre la Sépaq et Navette Nature, plus de 6 parcs seront accessibles par un service de transport collectif. À nous les journées plein air!

En plus, la navette qui dessert le parc national des Îles-de-Boucherville sera entièrement gratuite, tout l’été! Tous les départs se font à partir du Square Dorchester, au centre-ville de Montréal, juste en face du Centre infotouriste de Montréal. Le tarif inclut le transport et l’entrée au parc national choisi.

Une fois sur place, les activités ne manquent pas! Dépendamment des parcs, on peut aller faire de la randonnée avec nos enfants, ou une ballade en kayak (take a kayak, comme dirait l’autre) ou canot avec notre partenaire!

Voici les six parcs nationaux qui seront accessibles par le service de navette :

Parc national du Mont-Tremblant

Parc national du Mont-Orford

Parc national de la Yamaska

Parc national du Mont-Saint-Bruno

Parc national d’Oka

Parc national des Îles-de-Boucherville

Tous les détails sur les tarifs et les horaires du transport sont disponibles sur le site Web de Navette Nature

C’est tellement une bonne nouvelle pour tous les amateurs de nature et de plein air (ou ceux qui veulent s’initier à ces plaisirs)!

On peut vous garantir que de notre bord, on va en profiter cet été!

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5 superbes livres pour s’émouvoir avec les enfants

On dit souvent que les livres nous permettent de voyager, de se plonger dans l’histoire personnelle de quelqu’un d’autre, mais il ne faut pas non plus négliger l’aspect émotif de la chose! Sans bouger de son fauteuil, on passe du rire aux larmes, de l’angoisse au réconfort. Amateurs des soubresauts dans votre coeur, voici quelques suggestions.

Bienvenue tristesse

(par Eva Eland/ Les éditions des éléphants)

En littérature jeunesse, j’aime beaucoup quand on met les émotions en images, quand on permet aux petits d’identifier ce qu’ils ressentent. J’aime qu’on puisse dire à son enfant qu’on a le droit d’être triste et que c’est correct de vouloir vivre sa peine comme on le veut, à notre rythme. Bienvenue tristesse d’Eva Eland réussit magnifiquement bien ce pari, dans un album tout doux. Tristesse est personnifiée par une silhouette bleutée qui nous accompagne et se laisse apprivoiser, jusqu’à ce qu’on la laisse nous quitter. Simple, efficace et émouvant.

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« La plus belle journée de toute ma vie »

(chronique)

Il y a 9 ans, j’ai loué sur le fly un camping en milieu de semaine pour aller à SandBank. J’étais alors sur le chômage, je ne savais pas encore que j’allais lancer plus tard cette année-là le site qui fait que j’ai créé ma job. J’étais supposée y aller avec une amie qui a choké à la dernière minute alors j’y suis allée avec ma date de l’époque qui est maintenant mon conjoint, le père de mes enfants et tout le tralala.

Pour nos 10 ans de rencontre, mon chum a décidé de nous louer une place de camping à Sandbank pour se faire des petites vacances tranquillou. Si vous ne le savez pas déjà, J’A-DO-RE le camping. Disons que c’est mon élément depuis que je suis petite, je suis, selon ma presque 6 ans, la reine des feux. Je suis aussi, selon mon chum, la reine des fourneaux; rien ne m’arrete, pas même la quantité de bouffe qu’on peut amener dans une glacière. Mon fils est encore trop petit pour avoir une opinion sur mes skills, mais who cares parce qu’il a toujours une petite place dans mon sleeping bag, même s’il devient de plus en plus grand, de plus en plus lourd et de plus en plus gigotteux. 

C’est donc le coeur plein de souvenirs que nous avons pris la route vendredi dernier avec ma fille triste comme pas une de manquer ses trois dernières heures d’école. Elle avait eu beau vouloir écrire des lettres d’amour à sa professeure de maternelle et la personne en charge de son groupe au service de garde, rien n’étanchait sa peine, jusqu’à ce qu’on arrive à la berge du Lac Ontario, sur la presqu’ile de Prince-Édouard-Country. À peine les pieds dans le sable, elle avait déjà oublié sa journée émotive, ses ami.es et l’idée de dire adieu (temporairement) à une nouvelle phase de sa vie: être écolière. 

La première nuit s’est passée avec beaucoup de plaisir, de s’mores et de recettes agrémentées par bibi. On s’est couchés tard, on s’est levés tôt pour un jour de vacances et on est partis à l’aventure de se trouver du café dans la ville de Picton qui est juste à côté. Gâteau aux carottes, bagel au fromage, jus d’orange; la table était mise pour une journée extraordinaire. En revenant au camping pour préparer nos choses pour la plage, on s’est rendu compte que des amis et voisins (donc une collègue de classe de Dolores) étaient aussi à SandBank. On a passé une partie du diner et de l’après midi avec eux, les pieds dans l’eau froide. Les enfants avaient trop de fun, mais on avait envie de bouger alors mon conjoint les a pris pour un tour de canot où mon fils s’est endormi (huhuhu). Au retour, on a mangé, puis refait un feu, pis des s’mores et on s’est finalement couchés à 9:30. 

Dans la tente, en préparation du dodo, ma fille a dit que c’était la plus belle journée de toute sa vie depuis sa naissance.

On n’a pas pu s’empêcher de rigoler un peu, de se dire la chance qu’on a de l’avoir et surtout, de se rassurer que souvent, les enfants veulent du temps avec nous simplement sans artifice et sans trop d’organisation.

Une part de l’une des plus belles places de l’Ontario, un peu d’habileté à faire des feux, de l’eau, une rencontre au hasard et des guimauves, c’était la recette de la plus belle journée de la vie de ma fille… depuis sa naissance.

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La collection pour enfants de Hooké est en solde!

C’est évidemment ce goût de la pêche qui m’a amenée à suivre la gang de Hooké depuis leurs débuts.

Passionné.e.s de pêche à la mouche et vidéastes talentueux, ils et elles ont commencé en partageant les vidéos qu’il.le.s réalisaient de leurs aventures de pêche, pour devenir aujourd’hui une compagnie incontournable dans la promotion de la pêche et du plein air durable.

J’avais été super touchée par la vidéo réalisée en 2018, où Fred et Maude parlent de la transmission de l’amour de la pêche à leurs enfants, June et Jack.

Crédit : Hooké/Youtube

Outre les vidéos et films de pêche qu’il.le.s continuent de produire, Hooké a eu son émission sur les ondes d’Uni.tv et de TV5, produit son magazine, et a aussi développé toute une gamme de vêtements de plein air à son effigie, dont du linge pour nos mini.e.s!

D’ailleurs, leur collection pour enfants est actuellement en solde!

Visitez leur boutique et ne manquez pas de les suivre sur Facebook et Instagram.

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L’angoisse de choisir la bonne garderie

Il y a quelques semaines, nous avons eu l’appel tant attendu: une place en CPE. Quelques jours plus tard, nous visitons ledit CPE. C’est un coup de coeur. 

Malgré tout, on a quelques petites hésitations:

1. La garderie n’est pas autant à côté de chez nous qu’on le souhaiterait dans un monde idéal, ni sur notre chemin pour aller au travail.

2. Notre enfant de deux ans est bien intégré dans sa garderie. Il est heureux, a développé des amitiés; est-ce que ça vaut vraiment la peine de le faire changer? 

C’est ainsi qu’a commencé ma série de réflexions à n’en plus finir pour prendre une importante décision pour notre enfant. Je suis parfois indécise dans des décisions qui ne concernent que moi et j’ai réalisé à ce moment-là que prendre une décision pour mon enfant était un gros challenge pour moi. 

Jusque là, nous avions pris des décisions pour les services de garde en découvrant petit à petit le monde des garderies, en avançant dans l’ordre des choses; avec mon retour au travail, le choix consistait « juste » à choisir le milieu de garde (en vrai, ça a aussi été un casse-tête!).

Mais désormais, nous devions faire face à un choix qui allait changer sa petite routine. Et puis changer, oui, mais il fallait que ce soit pour le mieux.

Il fallait faire le BON choix. 

On dit que la petite enfance est une étape extrêmement importante. On veut que nos enfants soient heureux, épanouis, qu’ils apprennent de nouvelles choses, qu’ils soient stimulés, qu’ils fassent de belles rencontres, construisent de belles amitiés, vivent de beaux souvenirs. On veut des enfants qui ont confiance en la vie, des enfants qui vivent en harmonie avec les autres et avec l’environnement. On veut des activités, mais aussi une structure avec du personnel aimant. On veut le meilleur pour eux. Et le choix d’un environnement de « qualité » n’est pas toujours disponible ou nous n’avons pas nécessairement les finances pour le choisir.

La réflexion aurait pu s’arrêter, là mais quelques jours plus tard, deuxième appel d’un autre CPE. Juste à côté de chez nous. 

Nous voilà rendus à avoir le luxe de magasiner des CPE. 

Celui-ci est à 5 minutes de la maison, sur mon chemin pour me rendre au travail.

On visite. Pas de coup de coeur, une petite déception, même. Le choix aurait été bien trop facile! 

La décision est apparue comme un gros poids sur mes épaules. Penser à notre quotidien, au côté pratique. Penser à notre enfant, à son épanouissement. 

Mon chum et moi nous sommes toujours dit qu’on privilégierait l’éducation et l’épanouissement de notre enfant par-dessus tout et nous suivons notre intuition.

Alors chaque matin des 3 prochaines années, je ferai un petit (gros) détour. Et puis je passerai devant le CPE que j’ai refusé, avec son beau jardin que j’avais tant convoité auparavant, sans regret (on l’espère!), avec le sentiment d’avoir fait le bon choix.

Avez-vous vécu des changements de garderie? Comment avez-vous vécu ces changements? 

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Festival de Jazz : plein d’activités pour les familles !

Dès que le beau temps se pointe le bout du nez et que le soleil réchauffe le mercure, les événements culturels sortent leurs programmations, pour notre plus grand bonheur!

Et s’il y a bien un festival qui fait la renommée de notre ville chérie, c’est le Festival International de Jazz de Montréal!

La preuve : le Festival de Jazz de Montréal est considéré comme le plus grand festival de jazz de la planète par les Guinness World Records. C’est génial!

Du 26 juin au 6 juillet 2019, le Festival de Jazz offrira plus de 500 concerts, où des artistes réputés côtoient des musiciens de la relève. Quelle chance!

En plus, l’édition de cette année est spéciale, puisque le Festival de Jazz fête ses 40 ans! Au programme: concerts sur la Place des festivals, spectacles en salle et, grande nouveauté, il y a une partie de la programmation qui aura lieu à Verdun, sur la rue Wellington!

Crédit: Frédérique Ménard-Aubin/ Festival International de Jazz de Montréal

Des activités familiales

Le festival de Jazz est vraiment une belle occasion de sortir en famille, et d’initier les minis au jazz et à la musique en général.

C’est génial que l’équipe de l’événement pense aux familles!

Tout d’abord, le Parc musical propose plusieurs d’activite?s sur le the?me de la musique, spécialement pensées pour les enfants. Le tout sera installé aux abords de la Place des festivals.

Les enfants pourront aussi profiter de La Petite e?cole du jazz qui propose aux enfants de tous a?ges une initiation musicale dynamique et interactive. Le tout en compagnie du ce?le?bre chat bleu Ste-Cat, la mascotte du Festival.

Ça se passe à la Grande-Place du complexe Desjardins tous les jours a? 11h et
13h30.

On est aussi vraiment contentes de constater les différents services offerts aux familles : un prêt de poussette, des toilettes familiales (vraiment pratiques en cas d’urgence), des bracelets pour identifier vos enfants, etc.

Crédit: Frédérique Ménard-Aubin/ Festival International de Jazz de Montréal

Profitez du festival sans les enfants!

Si jamais vous pouvez faire garder les enfants, le festival de jazz est vraiment un bel événement pour vivre un beau moment en couple ou avec des ami.e.s.

La programmation est très attrayante : Lou Doillon (on a adoré son dernier album Soliloquy ), alt-J, Melody Gardot, Bahamas, Morcheeba, The Strumbellas, La Force, Jesse Mac Cormack, Pink Martini et plus encore!

Pour connaître les détails de la programmation, on vous invite à visiter le site Web
du Festival International de Jazz de Montréal.

Que vous décidiez de profiter du festival en famille, en amoureux, entre ami.e.s ou
en solo, c’est sûr que vous allez y trouver votre compte!

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Une vidéo de jeunes immigrants séduit

À l’école Saint-Malo, à Québec, la classe de Mme Nancy Fall a conçu un projet absolument incroyable. Les élèves immigrants de sa classe d’accueil, en collaboration avec plusieurs artistes, ont réalisé un vidéoclip sur la chanson originale Je suis là traitant de l’immigration.

Avec des paroles touchantes, humoristiques et bien tournées, les élèves parlent de leurs racines ici et ailleurs, de leur découverte du Québec – dont le froid et des ananas qu’on trouve même ici – et surtout du fait qu’ils sont ici, bien ici, avec leurs bagages.

Le sourire de ces enfants est contagieux, la musique est entraînante et leurs pas de danse… OMG c’est trop bon!

Leur professeure, en partageant la vidéo, en a expliqué le concept:

« C’est avec beaucoup de fierté que les 17 élèves immigrants de la classe d’accueil de l’école St-Malo du quartier St-Sauveur à Québec vous présentent le vidéoclip JE SUIS LÀ. Avec l’accompagnement de généreuses personnalités de notre ville comme KNLO, King Abid, Caro Toutnou, Lc Dube, Jepherson SB et Marieme, ces 17 enfants réfugiés ont écrit les paroles touchantes de ce vidéo. Ils ont également fait des percussions et contribué à la conception visuelle. Suite à 4 mois de partage dans un groupe de parole traitant de thèmes liés à l’immigration et à l’intégration, voici ce que ces enfants ont à nous dire. Écoutons-les. Avec eux, nous sommes là. »

Juste BRAVO!