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Lysandre Nadeau et Claude Bégin dévoilent le sexe de leur enfant

Le dévoilement était féérique!

C’est lundi dernier, après ce qui semblait une attente interminable, que les fans de Lysandre Nadeau et de Claude Bégin ont enfin découvert le sexe de leur enfant à naître.

En effet, l’animatrice du balado Sexe oral a révélé, sur sa page Instagram, que le duo attend… un garçon!

Le dévoilement n’était pas traditionnel, aux couleurs rose et bleu, et l’ancienne participante de Big Brother Célébrités 2 a pris soin de mentionner qu’il ne s’agissait pas d’attribuer un sexe à son enfant avant même sa naissance, mais plutôt de découvrir si elle portait «une banane ou un pamplemousse».

«Je suis franchement aux anges. C’était l’une des plus belles journées de ma vie et ça n’aurait pas été possible sans @pknik.ca qui a TOUT planifié de main de maître et mon incroyable amie @drepointg qui a bien voulu nous prêter sa maison pour notre baby reveal banane ou pamplemousse. De voir plein de mes humains préférés de tous les différents chapitres de ma vie réunis, c’était complètement magique. J’ai eu à me pincer à quelques reprises. Reconnaissante à pu finir», pouvait-on lire en légende sous la publication.

Souvenons-nous que l’enfant à naître a déjà un grand frère, Romain, le fils de Claude Bégin.

En bref, un bébé bien entouré!

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Le nouveau vaccin de Moderna disponible au Canada en 2022

L’annonce a été faite récemment par l’entreprise.

Le Devoir a rapporté ce lundi que le nouveau vaccin de Moderna devrait être disponible au Canada en 2022 plutôt qu’en 2023. C’est l’entreprise elle-même qui en a fait l’annonce par voie de communiqué en début de semaine.  

Moderna et d’autres grandes compagnies œuvrant en pharmaceutique, comme Pfizer/BioNTech, ont travaillé dans les dernières semaines à l’élaboration d’un vaccin 2.0 contre la COVID-19. Ce vaccin, administré comme dose de rappel, ciblerait à la fois la souche originale du virus et le variant Omicron qui est l’un des plus présents mondialement depuis de nombreux mois. Le Royaume-Uni a été le tout premier pays au monde à approuver cette nouvelle mouture du vaccin de Moderna, et il est à prévoir que d’autres pays emboîteront le pas prochainement.

Si tout se passe bien du côté de Santé Canada, et que le vaccin est bel et bien approuvé, Moderna pourra livrer 1,5 million de doses au pays dès 2022. Les premières livraisons étaient plutôt prévues pour 2023… La demande d’approbation pour le vaccin a été déposée le 30 juin dernier par l’entreprise.

Toujours dans le même article du Devoir, on apprend que la cheffe de l’agence de la santé publique du Canada, la Dre Theresa Tam, explique que l’approbation se joue surtout sur l’avantage supplémentaire réel du vaccin 2.0.

Au total, le Canada prévoit faire l’achat de 12 millions de doses du nouveau vaccin.

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Rosalie Vaillancourt pose avec sa fille au travail!

«Elle a adoré mon jeu et dit que je mériterais un Grammy.»

Rosalie Vaillancourt est actuellement en plein tournage et sa fille, ainsi que son conjoint, sont allés lui rendre visite au travail!

L’humoriste a partagé une photo du trio sur sa page Instagram.

«Première fois que ma fille vient me voir sur un tournage 😭 On a même eu le temps de lui faire un maquillage de sourcils. Elle a adoré mon jeu et dit que je mériterais un Grammy», pouvait-on lire en légende sous la publication.

Dans les commentaires sous les clichés, Jean-Philippe Dion a lancé:

«Mon dieu elle te ressemble tellement. Je commence à croire que c’est vraiment ta fille!»

Puis, Pierre-Luc Lafontaine a ajouté : «#CoupleGoalz.»

«Ti chat», a à son tour écrit Varda Étienne.

Rosalie Vaillancourt est en plein tournage la deuxième saison de Complètement lycée aux côtés de sa meilleure amie, Katherine Levac!

Les dix épisodes de 22 minutes seront bientôt disponibles sur les plateformes de Bell Média.

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Il manque encore 700 enseignants pour la rentrée scolaire

Le ministre Roberge se dit toutefois confiant…

La pénurie d’enseignants ne date pas d’hier au Québec, et cela fait déjà quelques rentrées scolaires que de nombreuses classes n’ont tout simplement pas d’enseignants attitrés au début de l’année. Avec les conditions d’enseignement qui se dégradent chaque année, le manque de valorisation du métier et la pandémie qui a exacerbé les difficultés du métier, la pénurie est loin de s’améliorer.

C’est ainsi qu’on apprend via un article de TVA Nouvelles qu’il manque encore 700 enseignants pour pourvoir tous les postes à la rentrée scolaire. Toutefois, certaines affectations sont en cours ou se dérouleront prochainement dans les différents centres de service scolaire, selon le ministre de l’Éducation, Jean-François Roberge.

Cette année, le ministère procède à une récolte de données afin de savoir de manière hebdomadaire où les postes à combler se situent. Les données devraient être rendues publiques, comme l’a affirmé aujourd’hui le ministre Roberge sur les ondes du 98,5 FM.

En juin dernier, une campagne de recrutement appelée Répondez présent a permis de récolter plus de 6000 candidatures. Considérant ceci, le ministre Roberge se dit confiant que tous les postes pourront être pourvus à temps. Rappelons toutefois qu’il ne reste que deux semaines avant la rentrée scolaire, et la tâche risque d’être immense.

Outre la pénurie d’enseignants, il y a aussi des problèmes avec tout le personnel de soutien. Le ministre Roberge a toutefois affirmé par voie de communiqué, comme le rapporte Radio-Canada, que les efforts du gouvernement ont porté leurs fruits, et que l’année scolaire 2022-2023 se fera avec un soutien pédagogique amélioré et une plus grande sécurité. De nombreux investissements du gouvernement en éducation devraient avoir des répercussions positives cette année, comme une enveloppe de 19 millions de dollars pour le soutien à la santé mentale et au bien-être des élèves.

Plusieurs inquiétudes minent toutefois l’ambiance de la rentrée 2022. Il y a notamment les préoccupations sur la qualité de l’air dans les écoles ainsi que l’impasse avec les transporteurs scolaires qui n’est toujours pas réglée.

Tâchons de rester optimistes nous aussi et suivons les développements dans les différents dossiers au cours des deux prochaines semaines.

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Des purificateurs d’air à assembler soi-même pourraient être une solution économique pour les classes

Que pensez-vous de cette idée?

Les classes québécoises pourraient toutes être équipées d’un purificateur d’air à assembler pour environ une centaine de dollars par classe. C’est ce qu’explique cet article de Radio-Canada dans lequel on fait la découverte de la boîte Corsi-Rosenthal qui a été conçue afin de réduire les risques de transmission de la COVID-19.

Le principe derrière ce purificateur d’air à fabriquer soi-même est de réduire les particules de virus que respirent les gens en ajoutant quelques filtres à un système de ventilation. Le premier modèle fabriqué par l’un des deux co-inventeurs, Richard Corsi, a par la suite été amélioré par Jim Rosenthal, le président-directeur général d’une compagnie de filtres au Texas. Les deux ingénieurs ont par la suite conçu un purificateur d’air qui est somme toute assez simple à assembler et qui permet de purifier l’air de manière efficace (une étude de l’Université de Californie s’est penchée sur la question).

La boîte est composée de quatre filtres MERV13 et d’un ventilateur carré. Le tout est assemblé par du ruban adhésif. Idéalement, les filtres devraient être remplacés tous les six mois. Cette vidéo (en anglais) montre comment assembler une boîte Corsi-Rosenthal.

Au Québec, il n’y a pour l’instant aucune intention d’utiliser la boîte Corsi-Rosenthal. Par contre, quelques personnes ont pris la décision d’installer les boîtes dans certaines écoles du Québec. C’est le cas notamment de l’école primaire Pierre Elliott Trudeau, à Gatineau. L’école a reçu une subvention du gouvernement pour l’achat des boîtes. D’ailleurs, la construction des purificateurs d’air pourrait faire une activité très intéressante à faire avec les élèves!

Que pensez-vous de cette solution originale à la qualité de l’air dans les classes du Québec?

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L’entreprise 4Moms visée par un rappel sur ses balançoires

Quelques modèles, dont le MamaRoo et le RockaRoo, sont visés.  

Le gouvernement du Canada vient tout juste de procéder à un rappel sur quelques modèles de balançoires et fauteuils à bascule de l’entreprise 4Moms, et on vous invite à vérifier dès maintenant si vous avez l’un des modèles visés chez vous.

Les modèles en question sont le MamaRoo 4M-005, le MamaRoo 1026, le MamaRoo 1037 ainsi que le RockaRoo 4M-012. Les rappels ont été faits suite à deux incidents rapportés à l’entreprise, dont un impliquant le décès d’un enfant… L’aspect fautif des produits se trouve lorsqu’ils ne sont pas utilisés par le nourrisson. En effet, lorsque l’enfant se trouve dans le siège, il n’y a aucun problème à signaler. Par contre, si le bébé est assez vieux pour être capable de ramper et que la balançoire n’est pas utilisée, c’est là qu’il peut y avoir un risque. Lorsque le produit n’est pas utilisé, les sangles de retenue peuvent pendre sous le siège, et un bébé qui rampe peut s’emmêler dedans, entraînant ainsi un risque d’étranglement.

Au Canada, en date du 9 août 2022, aucun incident n’a été déclaré par l’entreprise.

Si vous avez un des modèles visés par le rappel, vous devez contacter l’entreprise 4Moms afin que celle-ci vous envoie de nouvelles sangles qui ne poseront pas un risque d’étranglement. Le tout sera envoyé tout à fait gratuitement par l’entreprise. Idéalement, vous devriez cesser l’utilisation de l’objet jusqu’à la réception des nouvelles sangles, mais si cela est impossible pour vous, il faut au minimum placer le fauteuil à bascule ou la balançoire hors de la portée d’un bébé rampant lorsque l’objet n’est pas utilisé.

Pour en savoir plus sur ce rappel, cliquez ici.

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Rentrée scolaire: tous les capteurs de CO2 seraient installés

Le ministre de l’Éducation affirme que tout est prêt pour la rentrée scolaire.

À quelques jours de la rentrée scolaire 2022, le ministre de l’Éducation, Jean-François Roberge, affirme que tous les capteurs de CO2 ont été installés dans les classes de la province. Les écoles sont donc prêtes à vérifier les niveaux de CO2 afin d’assurer la sécurité et le bien-être des élèves.

La demande pour ce genre de capteurs date du début de la pandémie, et après plus de deux ans, l’installation dans toutes les écoles est enfin complétée. Les capteurs de CO2 seront utilisés dans le cadre d’une stratégie de gestion de la qualité de l’air dans les écoles. Afin d’éviter la propagation de la COVID-19 dans les classes et les aires communes, les capteurs mesurent différents paramètres comme la température, le taux d’humidité et le taux de CO2 dans la pièce. La cible provinciale a été établie à 1000 ppm (parties par million), avec une tolérance jusqu’à 1500 ppm.

Cette cible ne fait toutefois pas l’unanimité, surtout dans le milieu scientifique.

En effet, comme le rapporte Radio-Canada, le chargé de cours au Département de bio-ingénierie de l’Université McGill, Stéphane Bilodeau, explique que lorsqu’on «accepte 1500 ppm, c’est qu’on est très tolérant au risque d’infection. Si on est dans ce que beaucoup d’experts parlent comme une limite convenable, on est plus dans l’ordre de 800 parties par million. Certains mentionnent même 700.»

D’ailleurs, la solution priorisée par le ministère de l’Éducation afin de gérer les niveaux de CO2 dans les classes est toujours l’aération naturelle, soit l’ouverture des fenêtres, même en plein hiver. Si quelques écoles à l’échelle de la province ont bénéficié de travaux comme des changements de fenêtres ou l’installation de la ventilation mécanique, ce n’est pas l’ensemble du parc immobilier scolaire qui a été rénové. Cette situation inquiète évidemment de nombreux parents qui aimeraient que davantage d’actions soient posées afin d’assurer la qualité de l’air dans les écoles.

Considérant que la rentrée scolaire 2022 se fera sans mesure comme le port du masque, la distanciation ou la réduction du nombre d’élèves par classe, et qu’une huitième vague semble guetter la province, les inquiétudes des parents sont tout à fait compréhensibles.

Néanmoins, le ministre Roberge se dit satisfait des travaux effectués. Il affirme aussi que l’amélioration du réseau scolaire reste une priorité pour la CAQ.

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Un nouveau vaccin Moderna approuvé

C’est le premier pays au monde à accepter ce vaccin 2.0.

Alors qu’une huitième vague nous guette de plus en plus, le Royaume-Uni a décidé d’approuver la nouvelle version du vaccin Moderna, et il s’agit du premier pays au monde à le faire.

Comme le rapporte TVA Nouvelles, le vaccin 2.0 de Moderna permet de cibler plus efficacement le variant Omicron, tout en continuant d’offrir une protection contre la souche originale du virus. La nouvelle génération du vaccin est donc «bivalente» puisqu’elle cible deux souches à la fois.

La Medicines and Healthcare products Regulatory Agency (MHRA) du Royaume-Uni a indiqué par voie de communiqué que le nouveau vaccin « provoque une forte réponse immunitaire » contre les deux souches de la COVID-19, et même contre les sous-variants BA.4 et BA.5 d’Omicron.

Ce n’est pas sans surprise que le Royaume-Uni est le premier pays à se lancer pour l’approbation de cette nouvelle version du vaccin Moderna. En effet, le pays a été un des plus durement touchés durant les différentes vagues de COVID-19, et il possède un des plus hauts taux de décès dus à la maladie en Europe (180 000 morts). Heureusement, la mortalité a fortement diminué depuis l’entrée en jeu de la vaccination, mais le Royaume-Uni a tout de même fait face à de nombreuses hautes vagues de contamination.

La nouvelle génération du vaccin Moderna a été approuvée pour les doses de rappel pour les adultes. Comme l’indique l’agence du médicament, «la MRHA a conclu qu’elle [la dose de rappel] respectait les standards de sécurité, qualité et efficacité du régulateur britannique». Les effets secondaires attendus sont plutôt faibles et semblables à ceux observés pour la première génération du vaccin.

Du côté de l’Agence européenne des médicaments (EMA), c’est plutôt vers la nouvelle version de Pfizer/BioNTech que le regard se tourne. L’EMA espère pouvoir approuver le nouveau vaccin dès l’automne.

Pour l’instant, il n’y a toujours pas eu de décision de la part de Santé Canada dans le dossier des nouvelles générations de vaccin. Il faudra voir dans les prochaines semaines si celui de Moderna ou de Pfizer/BioNTech sera accepté et distribué au pays.

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Pas de transport scolaire à la rentrée? Des milliers d’élèves pourraient être touchés

L’impasse entre les transporteurs et les centres de services scolaires se poursuit.

Entre l’augmentation fulgurante des prix des fournitures scolaires et un retour à l’école qui pourrait être marqué par la huitième vague de la COVID-19, les parents ont de quoi s’inquiéter! Et comme si ce n’était pas suffisant, voilà maintenant qu’on apprend via TVA Nouvelles que des milliers d’élèves pourraient ne pas avoir de transport scolaire à la rentrée.

C’est une impasse dans la négociation entre les transporteurs et le réseau scolaire qui est à l’origine de cette situation. En effet, plus de la moitié des contrats en transports scolaires à l’échelle de la province sont arrivés à échéance en juin dernier. Ils doivent être renouvelés, mais les deux parties ne s’entendent pas sur le coût.

Du côté des transporteurs scolaires, on affirme que la bonification accordée par Québec n’est pas suffisante pour pallier l’augmentation des coûts comme l’essence et le stationnement des autobus.   

«La bonification n’est malheureusement pas suffisante pour permettre aux transporteurs de couvrir l’ensemble des frais, comme le carburant, la main-d’œuvre, les pièces pour l’entretien et la réparation, qui ont connu des augmentations effarantes», affirme Luc Lafrance, président-directeur général de la Fédération des transporteurs par autobus, rapporte cette même source.

La problématique est surtout inquiétante pour les grands centres, comme Montréal, Québec, Sherbrooke et Gatineau. Dans ces villes, le risque d’un bris de service pour le transport scolaire est réel. Si la situation ne se règle pas d’ici les deux prochaines semaines, ce sont possiblement des milliers d’élèves qui n’auront pas de transport.

Du côté du ministère de l’Éducation, on affirme que le dossier est prioritaire et que des solutions seront trouvées avant la rentrée scolaire.

Le dossier devra donc être suivi au cours des prochains jours.

En attendant, c’est un stress de plus pour les parents…

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Un premier cas de polio en dix ans est détecté aux États-Unis

Il y a toutefois peu de risques que cela se rende au Canada.

Dans les récentes nouvelles, on apprend qu’un premier cas de polio en dix ans a été détecté aux États-Unis, dans l’État de New York. L’individu aurait vraisemblablement attrapé la maladie suite à un contact avec une personne ayant reçu le vaccin antipoliomyélitique oral (VPO).

Il faut savoir que le VPO peut entraîner des contaminations chez les autres personnes puisqu’il traverse le corps pour être ensuite excrété dans les selles. La personne ayant reçu le vaccin peut ainsi le transmettre via ses matières fécales ou ses sécrétions respiratoires puisque le virus peut vivre dans la gorge durant un certain temps. Considérant cela, le VPO n’est plus administré depuis une bonne vingtaine d’années aux États-Unis et au Canada. L’individu ayant causé l’infection répertoriée à New York pourrait alors venir d’un pays où le VPO est toujours donné.

L’alerte a donc été sonnée dans l’État de New York afin de suivre l’évolution éventuelle de nouveaux cas, comme le rapportait CNN.

Un appel à la vaccination a aussi été lancé pour toutes les personnes qui ne seraient pas déjà immunisées contre la maladie. La polio a pratiquement été éradiquée dans le monde suite à un effort historique de la vaccination entre les années 1950 et 1970. Le vaccin fait d’ailleurs partie du carnet régulier de vaccination pour les enfants au Québec depuis des dizaines et dizaines d’années.

Malgré cette nouvelle alarmante, la Dre Valérie Lamarre, pédiatre spécialiste en maladies infectieuses à l’Hôpital Sainte-Justine de Montréal estime qu’il ne s’agit pas d’un risque pour le Canada, mais il faut évidemment rester vigilant et faire la promotion de la vaccination auprès des parents de jeunes enfants, rapporte Le Devoir.

« Nous allons voir ces cas apparaître de temps en temps. Réveillez les gens. Allez chercher vos vaccins, ces maladies sont évitables», lance notamment Dre Lamarre.