Vous êtes probablement au courant de cette réalité si vous magasinez présentement une maison, mais le marché immobilier actuel est en surchauffe! Il y a peu de propriétés en vente pour beaucoup d’acheteurs, ce qui crée inévitablement une surenchère trop souvent difficile à gérer pour les personnes qui souhaitent acheter.
Canal Vie se penche sur le phénomène avec une nouvelle production originale : Offre acceptée. Dans cette série de dix épisodes de trente minutes, six familles naviguent à travers le marché immobilier en surchauffe afin de trouver leur nouvelle propriété. On suivra les familles durant leurs recherches et les visites, et on aura un aperçu du stress et des émotions vécues par les acheteurs pendant tout le processus d’achat. La série débute le 13 avril et les émissions seront diffusées les mardis à 20h30. Vous pouvez voir la bande-annonce ici.
Si vous êtes plutôt fan de rénovations, Canal Vie propose une autre nouvelle série : Vie de Chalet. Avec cette série, on aura l’occasion de suivre la designer Emilie Cerretti et son conjoint aider des propriétaires de chalet à rénover certaines pièces de leur habitation secondaire. La série débute le 6 avril et les émissions seront diffusées les mardis à 20h. Vous pouvez voir la bande-annonce ici.
Vous trouverez plus d’informations sur ces émissions ici.
L’humoriste Peter MacLeod se lance en cuisine! Ce grand changement est une excellente nouvelle pour nous puisque cela nous donne l’occasion de goûter à de délicieux nouveaux produits de prêt-à-manger.
La nouvelle gamme de produits s’appelle Pete Authentique et sera vendue en exclusivité chez les épiciers Metro. Avec ce projet culinaire, l’humoriste et animateur souhaite faire découvrir aux Québécois.e.s son côté foodie. Pete Authentique, c’est tout d’abord quatre produits de style italo-québécois, soit une sauce à la viande (La Rassembleuse), une pizza congelée toute garnie extra bacon, une pizza congelée pepperoni et saucisse italienne et une huile d’assaisonnement épicée (La Ratoureuse).
J’ai eu l’occasion de goûter aux produits un peu avant le lancement officiel et miam! Les pizzas sont succulentes! J’ai surtout eu un coup de cœur pour la pâte des pizzas qui est le parfait entre-deux entre une croûte croustillante et une croûte épaisse. L’huile épicée a un bon goût pas trop piquant, ce qui est parfait pour relever les pizzas et les pâtes.
Peter MacLeod a élaboré les recettes lui-même, directement dans sa cuisine! Les produits contiennent des ingrédients d’ici et sont certifiés Aliments préparés au Québec. C’est donc une option parfaite pour encourager l’alimentation locale!
Vous pourrez trouver les produits Pete Authentique dès maintenant dans les épiceries Metro.
En 2001, le premier film de la franchiseEspions en herbefait son apparition dans les cinémas. Très bien reçu par la critique et le public, ce film a marqué toute une génération de jeunes, soit les milléniaux. Avec son scénario abracadabrant, le jeu des acteurs et l’esthétique générale du film, il va sans dire qu’Espions en herbe est un classique qu’on aime écouter encore et encore.
C’est spécial de constater que le premier film de la franchise a déjà vingt ans! Ça ne nous rajeunit pas! Depuis la sortie du premier film en 2001, il y a eu trois autres films, dont le dernier qui est sorti en 2011. Il y a aussi eu une série animée qui est sortie sur Netflix en 2018.
Malheureusement, les films ne sont pas disponibles sur la plateforme de visionnement en ligne, mais vous pouvez facilement les trouver sur YouTube si vous voulez vivre un petit moment de nostalgie et faire découvrir le film à vos enfants.
Les fans de hockey reconnaitront surement le nom de Phillip Danault.
Membre actuel des Canadiens de Montréal, Phillip Danault a grandi à Victoriaville. Pendant plusieurs années, il s’est entrainé à la maison familiale, ce qui a causé quelques petits dommages à la porte de garage des Danault!
Phillip Danault avait promis à ses parents de remplacer ladite porte un de ces quatre et c’est de cette anecdote qu’un livre écrit par Alain M. Bergeron et illustré par Amélie Dubois s’est inspiré.
Le livre est lancé en partenariat avec la Fondation Jasmin Roy Sophie Desmarais et les Éditions Druide. Pour chaque livre acheté, un don sera remis au Fonds Marie-Pierre et Phillip Danault, une initiative lancée par le joueur et sa conjointe.
Le Fonds finance des programmes scolaires et parascolaires pour la pratique sportive des jeunes.
L’ouvrage est sous forme d’album illustré. Les jeunes découvriront l’histoire de Phillip et sauront s’il a su tenir sa promesse ou non.
Un an a passé déjà. Un an depuis que tout.e.s, grand.e.s et petit.e.s, ont été renvoyés à la maison pour y rester. Bang : confinement.
C’était irréel. Les rues fantômes à l’heure de pointe. Les étalages vides dans les magasins. L’épicerie en ligne. Les files distancées à l’extérieur des grandes surfaces.
C’était du jamais vu. Le travail à distance, à la table de la cuisine. Les dossiers à revoir avec deux enfants sur les genoux. Les urgences qui pleuvaient à un rythme effréné. Les interrogations enfantines pendant un appel avec un supérieur. Les chicanes fraternelles pendant la réunion mensuelle. La concentration à temps partiel, l’oreille toujours à l’affût du moindre indice de bisbille.
C’était la solitude, les trous dans les habitudes. Les enfants désœuvrés à la maison. La cour arrière inaccessible, d’abord glacée, puis trempée. Le parc fermé. Les ami.e.s interdis, la famille aseptisée derrière l’écran. Les bricolages, les lectures, et surtout la marelle, tout le temps, parce que c’est tout ce qu’il y avait à faire dehors. Le jeu à retracer à la craie, inlassablement, après chaque averse. Mon Dieu qu’on a pu jouer à la marelle. Des heures et des heures de temps, entre mars et avril.
Puis, graduellement, la reprise. La réouverture des boutiques, des écoles, des garderies. Le retour des sports, des petits rassemblements. La fin du confinement. Enfin, presque. Parce que pour nous, les parents, le confinement n’a jamais pris fin. Jamais totalement.
On ne sait jamais, en se levant le matin, si chacun ira à l’école ou au travail. Chaque jour, ça peut aller dans un sens comme dans l’autre. On réorganise mentalement nos échéances professionnelles au moindre reniflement de notre progéniture. On tressaillit au moindre raclement de gorge. « Combien de jours de vacances me reste-t-il, déjà? » « Peux-tu prendre congé, toi, chéri? » On sursaute en voyant le numéro de l’école sur l’afficheur; on angoisse quand on reçoit un courriel de la garderie. Notre tour viendra, c’est certain : on ne sait juste pas quand. Et si c’était aujourd’hui?
Bien sûr, les mesures sont nécessaires. Bien sûr, il n’y a pas que les parents qui sont épuisés. Mais reste que la pandémie nous a joué un tour : en normalisant le fait que les parents travaillent avec des enfants dans les bras, elle a fait oublier à tout.e.s que ce n’était pas une option viable à long terme. C’est rushant. Ça use. Ça souffle sur la poussière accumulée sur les souvenirs. Et on se rappelle.
C’était un accroc dans le temps. Le ciel gris, maussade, comme un printemps normal. Les pistes cyclables prises d’assaut, faute d’autre destination. Les arcs-en-ciel dans les fenêtres, l’optimisme naïf, l’espoir parce qu’on n’a pas le choix. Ça a l’air loin, mais on s’en souvient.
C’était il y a un an, mais c’est aujourd’hui en même temps.
30Si votre enfant aime Arthur L’aventurier, vous serez ravi.e.s d’apprendre que deux spectacles virtuels ont été annoncés pour le week-end de Pâques!
À la suite du succès des spectacles virtuels de la relâche, Arthur L’aventurier a décidé de proposer deux autres séances pour les familles durant la fin de semaine de Pâques. Les spectacles virtuels feront voyager les jeunes au Costa Rica et en Australie par le biais de chansons entrainantes, de magnifiques images et de belles histoires.
Le rendez-vous est donné le 3 et le 4 avril à 10h. Pour le premier spectacle (3 avril), les jeunes voyageront au Costa Rica tandis que le spectacle du 4 avril sera sur les aventures du chanteur en Australie. Les spectacles sont très abordables : 15$ pour un et 20$ pour deux (plus taxes). Une rediffusion du spectacle sera disponible pendant cinq jours pour les détenteurs de billet. Durant les spectacles, les enfants pourront poser des questions à Arthur et demander leur chanson favorite. Ils courent aussi la chance de gagner un DVD et une peluche d’Arthur!
Faites vite, il n’y a que 200 billets disponibles!
Le Canada est un des pays qui gaspille le plus la nourriture, selon un nouveau rapport de l’ONU. Pourtant, avec un peu de planification et de cuisine, il est possible de réduire son taux de gaspillage alimentaire. Il est même possible de cuisiner avec nos retailles alimentaires afin de réduire encore plus notre production de déchets!
C’est dans cette idée qu’IKEA Canada a décidé de créer un livre mettant à l’honneur les retailles alimentaires. Le projet a été réalisé en collaboration avec dix chef.ffe.s nord-américain.e.s qui ont chacun.e proposé des recettes originales et créatives. Le livre Cuisiner avec les retailles permet donc aux familles canadiennes d’explorer le vaste monde des recettes zéro déchet.
« Au Canada, des recherches concluent que plus des deux tiers des résidus alimentaires auraient pu être consommés, affirme Johanna Andren, cheffe du marketing de IKEA Canada. Sachant qu’une telle quantité de déchets est produite dans la pièce la plus importante de la maison, nous avons entrepris d’encourager les Canadiens et les Canadiennes à donner une nouvelle vie aux restants de nourriture et de proposer des façons créatives de réduire le gaspillage chez soi. »
Les recettes du livre sont d’inspiration variées. L’ouvrage sera disponible gratuitement sur le site web d’IKEA et sur iBooks et Google Play Books. L’initiative d’IKEA s’inscrit dans la volonté de réduire le gaspillage alimentaire dans ses cuisines et d’aider les foyers canadiens à faire de même.
Vous trouverez plus d’informations sur ce livre et le projet d’IKEA ici.
La pandémie a eu beaucoup d’effets sur nous, et ce n’est pas que du négatif. On a pu ralentir, passer du temps en famille (ou en bulle), découvrir de nouveaux loisirs et j’en passe. On a aussi, dans plusieurs cas, revu notre définition de vacances. Beaucoup entendaient le mot vacances et pensaient à un voyage en avion dans le Sud ou en Europe. J’ai d’ailleurs été surprise d’entendre de plusieurs bouches qu’une grande partie de la population n’avait jamais pris de vacances au Québec, à faire le tour de la province. Bien que j’adore me promener à l’étranger, ce n’est pas possible présentement, alors je compte prendre mon sac à dos et me promener au Québec cet été (en respectant les mesures sanitaires bien entendu)!
Vous comptez probablement faire la même chose en famille et c’est ici que je vous présente mon sujet du jour: le Québec touristique présenté par des enfants. C’est aujourd’hui que la maison d’édition Québec Amérique publie 2 nouveaux tomes de la série documentaire SAVOIR. Les livres de cette série présentent des faits historiques et scientifiques sur une multitude de sujets, dont les régions du Québec.
Ce qui est génial c’est que pour chaque tome, on adopte la vision d’un enfant qui nous présente son coin de pays à l’aide de toutes sortes d’informations. Le premier nous présente la Gaspésie en passant par le Rocher Percé, l’agriculture et le parc éolien. Le second nous fait découvrir la région de Québec, le berceau de la civilisation française en Amérique.
C’est livres sont géniaux pour faire connaître à vos enfants notre belle province, ou encore pour les préparer à d’éventuelles vacances dans ces régions. Ils pourront alors partir à l’aventure en toute connaissance de cause!
La Fromagerie Victoria a décidé de participer au temps des sucres elle aussi avec une succulente poutine à l’érable disponible dans ses succursales. La poutine « L’Érablière » propose donc un savoureux mélange de sucré-salé avec du bon fromage en grains de la Fromagerie Victoria, du jambon, des saucisses cocktail, des oignons caramélisés et un filet de sirop d’érable. Miam!
La poutine est disponible pour un temps limité dans les succursales de la Fromagerie ou en livraison avec DoorDash. Pour les personnes qui résident en zone orange, il sera même possible de déguster la poutine directement en salle à manger!
Outre cette nouvelle poutine, la Fromagerie Victoria propose un menu diversifié incluant des sandwichs, des burgers, des hot-dogs et bien d’autres. Il est aussi possible de se procurer tout plein de succulents produits en boutique comme le fameux fromage en grains, des sauces, des soupes, des desserts et des petits plats préparés. Il y en a vraiment pour tous les goûts!
Visitez le site web de la Fromagerie Victoria pour en savoir plus sur les produits, le menu, et pour trouver où est la succursale la plus près de chez vous.
Je suis une personne plutôt angoissée d’emblée. Je crois que devenir parent, à la base, est un créateur d’inquiétudes. Mes plus grands moments d’angoisse ont pris forme en même temps que le deuxième embryon dans mon ventre. Lorsque j’ai ressenti les premiers symptômes de la grossesse, que la réalité du petit bâton à 2 lignes m’ait frappée pour la seconde fois, c’est là que je me suis dit: « Ah non, mais qu’est-ce qu’on vient de faire là! »
La machine à angoisse venait de décoller à plein régime. Je boucanais de questions sans réponses. Je revoyais mon frère, papa avant moi, exprimer ses peurs face à la venue de son 2e enfant. Ça résonnait comme une crainte d’échouer : « on a réussi à 99% avec la première, on ne réussira pas avec le 2e ». Je me disais que c’était une crainte qui n’avait pas lieu d’être. L’arrivée d’un autre enfant ne pouvait qu’améliorer les choses. J’ai compris plus tard ce qu’il essayait de me dire…
Je désirais cet autre enfant plus que tout au monde. J’aime être enceinte et j’ai apprécié ma grossesse. Au fil du temps, lorsque je ne pouvais plus accomplir mes plaisirs quotidiens avec ma grande et que je croulais sous la fatigue et le poids de mon gros ventre, la culpabilité me reprenait. Je m’en voulais de négliger mon premier enfant pour faire grandir l’autre en moi. La fatigue accentuait mon ressentiment.
Cet enfant-là, en moi, qui occupait mon corps et prenait mon énergie, je ne l’aimais pas vraiment. Je n’ai pas regretté sa conception non, mais je ne l’aimais pas vraiment. Je n’imaginais pas ma vie avec cet enfant comme je l’ai imaginé avec ma première. Chaque soir, au couché de notre grande, on se faisait un « câlin tout le monde » elle, papa et moi. Je n’arrivais pas à concevoir quelle serait notre routine quand j’aurais bébé au sein et que je manquerais le fameux « câlin tout le monde ».
Je craignais la réaction de ma fille. J’avais peur de la « gâcher » en lui imposant une petite sœur. Aujourd’hui, je sais bien que tout ça ne faisait aucun sens, mais à l’époque, c’est ce que je ressentais. Elle a réagi, cela va de soi. Elle qui a toujours été un petit moulin à parole, a cessé de parler pendant plusieurs jours, voir des semaines. Maintenant, sa meilleure amie, c’est sa petite sœur.
À l’hôpital, j’ai pleuré. J’ai pleuré parce que ma grande me manquait. J’ai pleuré parce que je ne connaissais pas ce bébé qui venait de naître. Une infirmière m’a dit ces mots qui m’ont fait sentir beaucoup moins seule et moins honteuse : « Quand j’ai eu mon 2e fils, je me sentais exactement comme toi. Maintenant, il a 7 ans et je n’imaginerais pas ma vie sans lui. »
Est-ce qu’on aime le deuxième enfant autant que le premier? Oui, mais peut-être pas tout de suite.
Mon bébé, tu as changé ma vie, tu l’as rendue meilleure. Jamais je n’imaginerais ma vie sans toi.
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