Parents séparés, on se souhaite tous de refaire nos vies. Je l’ai fait, mon ex aussi. Cela dit, les familles recomposées, ça veut aussi dire la fin de l’indépendance de chacun. Toutes les personnes impliquées sont interreliées et font partie d’un TOUT même s’il elles ne cohabitent pas nécessairement.
Chaque personne ajoutée à cette dynamique vient avec un lieu de résidence, un emploi et parfois avec des enfants et un ex. Certains facteurs sont également variables. De nos jours, qui travaille ou habite 25 ans au même endroit? Les gens évoluent, obtiennent des promotions, réorientent leur vie..
Dans mon cas, il faut trouver un fonctionnement pour mes enfants, mon chum, notre bébé, mon ex, sa copine, son enfant, son ex et moi-même. Un beau domino!
Tous ces gens doivent reconduire leurs enfants et arriver au travail à l’heure, se déplacer dans un temps raisonnable, sans transport excessif. Tous ces gens ont aussi droit à un lieu de résidence qui leur plaît, une conciliation travail-famille qui ne les mènera pas au « burn-out » et SURTOUT, personne ne doit payer pour les autres.
Il y a aussi les enfants. S’ajoute donc, à notre situation, le choix d’une école et de deux garderies. Les enfants ont droit à un environnement agréable, à un temps de transport raisonnable, à des activités parascolaires qu’ils soient chez papa ou maman. Ils ont le droit de s’enraciner, de se faire des amis, de vivre dans un environnement stable.
On a parfois l’impression de résoudre une énigme: cartes de la ville et du métro à la main. La gestion du quotidien devient alors bien compliquée. Il faut se parler, s’asseoir ensemble. C’est un exercice d’écoute et de conciliation. Les médiateurs conseillent l’indépendance des parents… Mon ex et moi, pendant l’école, on se parle tous les jours.
Il faut poursuivre le plan de travail sans ne prendre que le plus simple, construire une pancarte dont on vient d’apprendre l’existence, envoyer des objets à présenter, retourner les coupons arrivés chez l’autre. Il faut se laisser des notes, avoir un code. Il faut aviser l’autre de cuisiner 25 gâteaux, de penser au buffet d’Halloween… Demain? Penser d’envoyer des photos de familles… Il faudrait « tout le monde ». L’avertir que c’est « jouet de la maison ». Lui écrire… d’écrire que les enfants quitteront tôt. On fait nos comptes ensemble, on transfère.
On cherche les damnés accessoires via textos. La tuque… Elle est nulle part! Les bottes d’eau… TOUTES ailleurs.
Avec le temps, on développe des stratégies : listes et couleurs pour suivre les devoirs, imperméables voyageurs, textos avec photos des messages importants. Régulièrement, on se sépare les déplacements, même si les enfants ne dorment que chez l’un d’entre nous.
On implique les enfants aussi. Ça veut dire que mes enfants changeront probablement d’école l’année prochaine; pour ma fille, ce sera sa troisième école. Cette fois-ci, on essaie de positionner l’école près des transports collectifs. On a demandé aux enfants quelle est leur priorité et c’est de réduire les déplacements. Ok! Ils font partie de l’équation après tout.
Quels sont vos trucs pour tout bien organiser avec une famille recomposée?
Quand on travaille sur les Internets, on en voit vraiment de toutes les couleurs… On finit par se forger une carapace pour notre propre bien parce qu’on en viendrait vite à feeler tout croche chaque jour.
Parfois, nos collaboratrices d’amour trouvent ça difficile et je les comprends à 100%, parce que ce n’est pas le fun de livrer des parties de nos vies sous l’oeil public et se faire juger, voire insulter, pour ce qu’on écrit. D’ailleurs, notre belle Marilou a fait un super article sur le sujet très récemment.
Cette fois, c’est Alicia Moffett qui explique dans sa story Instagram qu’elle s’en fout de recevoir du hate, mais qu’elle ne tolère pas de méchanceté face à son enfant: « dans la vie le hate, ça ne m’affecte pas, je m’en fous complètement, mais là c’est la première fois que je vois un commentaire méchant sur Billie, pis j’ai l’goût d’me battre. »
Crédit vidéo: aliciamoffet/Instagram
Crédit vidéo: aliciamoffet/Instagram
Le temps des Fêtes, ça peut être difficile pour plusieurs familles… Les cadeaux, les repas, les congés… quand les sous et l’énergie manquent, les réjouissances de Noël ne sont pas nécessairement toujours au rendez-vous. C’est pour ça que plusieurs fondations font leur part afin d’aider les familles à vivre un temps des Fêtes moins stressant et plus heureux.
C’est le cas notamment de la Fondation Noël au Printemps qui invitera 140 familles à passer un merveilleux moment lors d’une grande célébration de Noël, le 1er décembre. Les familles qui ont été aidées par la fondation pendant l’année seront réunies afin de tisser des liens, s’amuser et profiter d’un succulent repas. Les enfants pourront faire tout plein d’activités et Père Noël sera aussi de la partie.
Pour aider à lever assez de fonds pour organiser ce dîner de Noël et aider les familles à l’année longue, la fondation a préparé une grande soirée réseautage avec un souper et des encans! Ça se déroule ce soir et c’est déjà leur 10e collecte de fonds de grande envergure!
Ce soir est le GRAND SOIR ? Le Souper Thématique – La magie de la forêt enchantée! ?? propose un cocktail réseautage…
Posted by Fondation Noël au printemps on Thursday, November 14, 2019
Toute l’année, les gens peuvent contribuer monétairement à la cause de la Fondation Noël au printemps, qui est d’aider les familles à faible revenu à assurer le bien-être des enfants atteints d’une maladie ou d’un handicap.
L’organisme compte aussi sur l’aide de la porte-parole Virginie Coossa pour faire rayonner davantage leurs actions!
Pour plus d’infos sur la fondation ou pour contribuer, cliquez ici.
La 42e édition du Salon du livre de Montréal approche à trèèès grands pas (ça débute le 20 novembre!) et on vous a proposé trois activités jeunesse dans l’article juste ici. Parmi toutes les activités proposées lors du Salon du livre, quelques-unes sont payantes et d’autres, gratuites. Afin de faire profiter des joies de la lecture au plus grand nombre, l’organisme Communication-Jeunesse s’est associé avec le Salon du livre pour offrir une trentaine d’activités gratuites pour les familles!
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Communication-Jeunesse oeuvre à faire connaître et apprécier la littérature québécoise et franco-canadienne destinée aux jeunes de 0 à 17 ans, c’est donc tout à fait logique que l’organisme propose plusieurs activités lors du Salon du livre! La programmation de Communication-Jeunesse comprend notamment un micro ouvert pour les jeunes, des animations littéraires à thématiques, des heures du conte, un yoga littéraire (!), des jeux de société et même la possibilité de rencontrer le Père Noël!
D’ailleurs, Communication-Jeunesse en profitera aussi pour présenter sa grande sélection de livres d’ici pour les jeunes pour la saison d’automne 2019!
Pour plus d’infos et pour la programmation complète, cliquez ici.
Comme plusieurs autres publications sur les réseaux sociaux, cette vidéo nous remplit les yeux de larmes. On like la vidéo et la partage, révolté.e, pour que nos contacts la voient à leur tour! On pense contribuer à notre façon en partageant de l’information et en sensibilisant les gens. Mais, nous sommes-nous déjà arrêté.e pour réfléchir plus loin que l’émotion d’un moment partagé en une fraction de seconde sur internet?
Born Free: Animated Short Depicts the Heartbreaking Reality of Lion Hunting
This animated short about lion hunting will absolutely wreck you ? (via NowThis Politics)
Posted by NowThis on Friday, October 11, 2019
Lorsqu’on voyage, le fait-on de façon responsable?
Balade à dos d’éléphant et photo avec un tigre en Thaïlande, nage avec les dauphins à Cuba, ce sont des souvenirs inoubliables pour nous, le visiteur, mais ça implique aussi une vie de souffrance pour les animaux.
L’éléphant sur lequel on se balade s’est fait entrainer à coups de bâtons sous sa queue, là où ça fait bien mal, pour le rendre docile. Séparé de sa famille, cet animal à la mémoire phénoménale vivra probablement toute son existence dans une dépression profonde jusqu’à son dernier souffle, après avoir accueilli de trop nombreux postérieurs de voyageurs en quête d’une photo instagrammable. (Source: Peta)
Le tigre sur notre selfie est drogué à longueur de journée, tous ses sens altérés pour le rendre dans un état second, l’instant d’un clic pour le voyageur, mais une vie loin de sa jungle natale pour lui. (Source: Smithsonian.com)
Le dauphin avec lequel nous avons nagé dans notre dernier tout-inclus, dont la peau est extrêmement sensible, subit le martèlement de centaines de mains humaines par semaine, séquestré entre les quatre murs de son minuscule habitacle, plutôt que de nager librement dans la mer. (Source: The Dodo)
Comment pouvons-nous changer les choses?
Comme consommateurs, nous avons le pouvoir de changer nos comportements en adoptant des pratiques touristiques responsables qui respectent le bien-être animal. Ce qu’il faut se rappeler quand nous sommes à l’étranger, c’est que les lois qui régissent les zoos, aquariums et centres touristiques sont bien différentes de celles du Canada. Soyons des voyageurs informés et faisons nos recherches avant de visiter un pays.
Par exemple, privilégier des sanctuaires qui réhabilitent les animaux blessés en vue de les relâcher ou bien faire un safari qui respecte l’habitat naturel des animaux. Le changement passe directement par nous, les visiteurs, suivant le principe de l’offre de la demande. Forçons les centres belligérants au bien-être animal à fermer leurs portes en renonçant à les visiter et en encourageant les organismes de défense des droits pour les animaux. Pour que les futures générations soient fières de nous, faisons plus que partager des vidéos; prenons action suite à une prise de conscience par rapport à notre rôle de consommateur.
En rafale: les signaux d’alarme d’un endroit à ne pas visiter:
- Les animaux sont arrachés de leur habitat naturel
- L’endroit vise le divertissement du touriste plutôt que le bien-être de l’animal
- Aucun engagement pour la protection des espèces au sein de l’organisme
- Le fait d’être en captivité engendre de grandes souffrances pour l’espèce
Pour en savoir plus, visitez le guide du voyage animal-friendly de World expeditions (en anglais).
Le 17 novembre prochain, c’est l’occasion de souligner la Journée mondiale de la prématurité et l’organisme Préma-Québec en profitera pour partager plusieurs témoignages d’adultes qui étaient auparavant de très grands prématurés.
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Cette offensive a été lancée dans le but de sensibiliser le public à la réalité des prématurés devenus adultes et aussi à déconstruire les idées préconçues en lien avec les séquelles possibles d’une naissance prématurée. Dans les faits, la grande majorité des prématurés (85%) s’en sortent sans séquelles. Les témoignages des adultes pourront éventuellement calmer les craintes des parents qui traversent actuellement cette épreuve.
L’organisme en profite également pour rappeler leur mission d’aider les familles avec les aspects financier et émotif liés au fait d’avoir un enfant prématuré.
Parmi les personnes qui témoignent, il y a notamment Ginette Mantha, la fondatrice et directrice générale de Préma-Québec, et son fils Vincent Lalumière, né à 31 semaines.
« Je profite de la Journée mondiale de la prématurité pour espérer sensibiliser le public et les nouveaux parents de prématurés à cette réalité, générer des conversations, inspirer et donner de l’espoir. J’en suis une preuve bien vivante », mentionne Vincent.
C’est une belle campagne remplie d’espoir que lance Préma-Québec et on vous invite à en savoir plus en cliquant ici.
Le fameux magasinage de Noël… Synonyme de bien des maux pour plusieurs, le shopping des Fêtes peut rapidement devenir une grande dépense. Plusieurs trucs peuvent être mis en place pour mieux gérer les achats, comme de s’imposer un budget plus ou moins strict pour l’ensemble de nos cadeaux.
On apprend via un article de TVA Nouvelles qu’en règle générale, les Québécois sont moins dépensiers que le reste du Canada, année après année. En 2019, les Québécois prévoient dépenser un montant total de 503$ en moyenne pour les cadeaux contre 792$ pour les Canadiens. Le chiffre pour les Québécois est légèrement plus élevé que l’an dernier, puisque les consommateurs de la province ont dépensé en moyenne 458$ sur leurs cadeaux.
Marc Fortin, président du Conseil canadien du commerce de détail au Québec avance que le revenu moyen et le niveau de taxation des Québécois pourraient être des facteurs d’influence quant au budget total des ménages pour les cadeaux de Noël.
Petit fait intéressant : les Québécois ont plus tendance à dépenser sur de l’alcool, de la nourriture, des livres et de la musique que les Canadiens!
En règle générale, les Québécois se sentent aussi moins stressés (49% se disent stressés) que les Canadiens (57%) face au magasinage des Fêtes.
Intéressant!
De notre côté, on se laisse encore jusqu’à décembre pour magasiner nos cadeaux. Est-ce qu’on est trop téméraires? Hihi!
Cette semaine, j’ai préparé mon fils de 5 ans a comment réagir si maman tombe par terre ou si une personne à la maison se fait mal et ne se réveille pas. Je suis à un moment de ma vie ou cette petite formation prend tout son sens.
Je n’avais jamais réellement eu peur de mourir, je n’y avais jamais vraiment pensé jusqu’au jour où je suis devenue maman. Cette pensée qu’il pourrait un jour m’arriver quelque chose qui me séparerait de mes trois amours m’effraie. En fait, depuis quelques semaines, j’ai peur, vraiment peur. Mon petit monde s’écroule parce que je réalise que du jour au lendemain tout peut changer, je réalise que la santé est loin d’être acquise.
Vendredi le 4 octobre était un jour comme les autres: une journée de travail qui se termine à 15:00 avec une soirée Netflix prévue une fois les enfants couchés. Subitement après dîner, j’ai quelque chose dans l’oeil et ce quelque chose me dérange VRAIMENT. Je me dis que c’est la fatigue et je quitte me coucher, reposer mes yeux. Les 72 heures qui ont suivi ont été angoissantes; clinique médicale, optométriste, urgence, ophtalmologue, neurologue, IRM du cerveau. Diagnostic: aucun pour le moment, tous les tests sont beau et, heureusement, j’ai un beau cerveau.
Mélange de soulagement, d’incertitude, d’anxiété, de frustration et de questionnements. Je ne peux pas m’empêcher d’imaginer le pire et une image me revient en tête sans cesse, celle de mes 3 jeunes enfants.
J’ai peur, tellement peur. Je suis maman et mon plus grand souhait est de voir grandir ma petite tribu, mais voir prend tout son sens quand tu perds partiellement la vue d’un oeil sans raison apparente. Puis, finalement, on m’explique que je devrai passer des examens au coeur; peut-être qu’un caillot est responsable et il faut s’assurer que cela ne réarrive pas.
Contre toute attente, au début de ma vie d’adulte, ça vient de me frapper en pleine face : rien n’est acquis, la santé n’est promise à personne.
Malgré tout, ma routine continue, mais il y a comme ce petit nuage au-dessus de ma tête qui me suit partout comme si une tempête pouvait arriver à tout moment. Puis, dans la pénombre qui soulage ma vue, je m’effondre. Et si Google avait raison?! Parce que Google a une multitude d’hypothèses pouvant expliquer le fait que j’ai une partie de mon oeil gauche qui ne voit plus.
Aussi, j’entends des histoires, des nouvelles, et je réalise que tellement de gens doivent passer par cette angoisse. Que ce soit la maman de la garderie avec un cancer du sein, mon amie qui a des ovaires polykystiques, une amie de la famille qui a fait un AVC, mon voisin qui a un problème d’oreille interne; on ne se sait jamais ce qui peut nous arriver. Moi qui pensais être à l’abri de tout ça avec mes 30 ans tout frais.
Certains soirs je me sens émotive, anxieuse et je me tourne vers l’homme que j’aime, les yeux remplis d’eau. Je lui ai même lancé un : «SI jamais il m’arrive quelque chose, tu dois finir l’album-photo de Billie, regarde dans mon agenda les rendez-vous de Léo, et n’oublie pas de réconforter Henri avec ma doudou. »
Ben oui, j’ai vraiment peur, pas une petite peur comme ma peur des abeilles, loin de là; je suis effrayée parce que je viens de réaliser que personne n’est à l’abri d’un problème de santé, d’une maladie et que la vie est si précieuse, si fragile.
Ce n’est peut-être rien de bien grave, je croise les doigts, mais ça fait réfléchir. Ça remet en question la façon donc je vais prendre soin de moi à l’avenir, la façon dont je vais savourer chaque petit moment que j’ai la chance de vivre avec mes enfants. Parce que la vie, au fond, c’est un privilège et d’avoir des enfants, c’est une méchante bonne raison de se battre.
Avez-vous des craintes semblables depuis que vous êtes une maman ou un papa?
On apprenait qu’aucun groupe représentant les personnes handicapées n’a été invité à parler lors de l’étude du projet de loi sur la réforme des commissions scolaires, ce que dénonce la Fédération québécoise de l’autisme (FQA):
« Nous n’avons pas été entendus, nous ne sommes pas les bienvenus. Il en est de même pour les groupes qui ont un intérêt pour les élèves handicapés ou en difficulté d’apprentissage puisqu’aucun n’a été invité ». La FQA, visiblement pleine d’inquiétude, a aussi ajouté:
« Est-ce que le ministre de l’Éducation a décidé d’ignorer les conclusions de la CDPDJ [Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse] et de laisser tomber ces élèves ». (Source: TVA Nouvelles)
Parmi la nouvelle structure prévue, seulement 1 personne sur 18 dans le comité sur la réussite scolaire devra avoir de l’expérience de travail avec les personnes handicapées. Une décision surprenante, alors que la population d’élèves avec un handicap ou en difficulté d’adaptation ou d’apprentissage représente 20%. (Source: Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse)
Cette nouvelle s’ajoute à celle de la semaine dernière, quand on apprenait le refus du gouvernement Legault de tenir une commission d’enquête sur les services offerts aux personnes autistes une fois l’âge de la majorité atteinte. (Source: La Presse)
En entrevue vendredi dernier, le gouvernement caquiste se défend et dit en faire déjà beaucoup pour les personnes autistes, en parlant notamment d’un projet pilote sur l’école à 21 ans. (Source: L’actualité)
Un enchaînement de décisions décevantes pour les parents d’enfants autistes ou en difficulté d’apprentissage.
En espérant un changement de cap du gouvernement…
Au cours de l’été dernier, alors qu’elle était enceinte de son premier enfant, la comédienne Mirianne Brûlé a partagé un premier texte sur TPL Moms. Elle se confiait alors sur son immense joie à l’idée de bientôt devenir maman.
Elle a par la suite continué de partager son expérience en abordant notamment ses dilemmes face à sa valise d’hôpital et les craintes qui la guettaient quelques semaines avant son accouchement.
Aujourd’hui, elle fait partie de la communauté des TPL Moms et continuera à dévoiler ici sa belle aventure maternelle.
On a donc voulu lui poser quelques questions pour vous permettre de mieux la connaître!
1.Décris-toi en quelques mots!
Une fille vraie, intense, curieuse, loyale, qui aime profiter de la vie et les échanges humains.
2. Depuis quand est-ce que tu lis TPL Moms?
Depuis que je suis tombée enceinte en décembre 2018.
View this post on Instagram3. Parles-nous un peu de ton quotidien de maman!
Ma fille a 2 mois. Je suis une maman gaga, je l’allaite et je suis en fusion avec elle. J’adore mettre de la musique et danser pour la faire rire. On a de grandes conversations de aheu-ouha-grrrou, son sourire fait fondre mon coeur et celui de papa. Je ne dors pas beaucoup et je trouve ça difficile par bouts, les petites nuits, mais je prends mon rythme petit à petit. J’apprends tous les jours.
Dans un mois, on part pour le Costa Rica (son papa habite là-bas et on a un resto là-bas) pour quelques mois; je suis excitée de cette nouvelle étape avec ma famille. Nous sommes revenus au Québec à 2 et nous allons revenir au Costa Rica à 3! ?
4. De quoi parleront tes chroniques avec TPL Moms?De mon expérience de nouvelle maman et de ma vie d’expat’ dans un autre pays avec un petit bébé.
5. Qu’est-ce qui te rend le plus heureuse?Les rencontres humaines, être entourée des gens que j’aime, la nature, partager des expériences nouvelles, voyager, manger. ?
6. Quel est LE conseil que tu aimerais donner aux mamans (et/ou aux papas)?Suivre son instinct. Ne pas se juger, faire du mieux qu’on peut et, surtout, ne pas se comparer. Chaque enfant est unique et chaque maman et papa l’est tout autant.
View this post on InstagramPour en savoir plus sur la vie d’expat’ de Mirianne et sa famille, gardez l’oeil ouvert!