Catégories
Art de vivre

Plus de garçons que de filles recevront un diplôme de l’École nationale de ballet du Canada cette année!

On le sait, il y a encore beaucoup de sexisme qui sévit dans le milieu du sport.

Certains sports, traditionnellement « masculins », discriminent encore les filles, et vice versa. Chez TPL Moms, on croit vraiment que les enfants (et les adultes aussi) devraient pouvoir pratiquer le sport ou la discipline de leur choix, au-delà des constructions sociales genrées.

Aujourd’hui, on a appris une belle nouvelle qui prouve que la société fait du chemin: cette année, et pour la première fois depuis sa fondation, l’École nationale de ballet du Canada à Toronto remettra plus de diplômes à des garçons qu’à des filles.

Pour êtres précises, la promotion de cette année comporte 16 garçons et 11 filles. 

On trouve que c’est très encourageant de constater que de plus en plus de garçons se sentent légitimes de passer des auditions dans des écoles de danse, et qu’ils sont suffisamment encouragés par leurs parents pour intégrer ces programmes. 

On le sait, beaucoup de jeunes garçons subissent encore de l’intimidation lorsqu’ils présentent un intérêt pour la danse classique, donc c’est beau de voir que le vent commence à tourner. 

Une nouvelle qui fait du bien!

Source: CBC News

Catégories
Art de vivre

Tim Hortons annonce le retrait des produits Beyond Meat

Depuis quelques mois, les produits Beyond Meat font sensation dans certains restaurants et dans les épiceries. Si vous ne savez pas ce que c’est, il s’agit de galettes faites à partir de protéines végétales, qui reproduisent le goût et la texture de la viande. 

On se rappelle que c’est A&W qui a popularisé le fameux Beyond Meat, il y a un peu plus d’un an. Puis, d’autres chaînes de restauration rapide ont suivi le pas, en proposant des choix végétaliens dans leurs menus, ce qui est très cool. 

Aujourd’hui, grosse nouvelle: la chaîne Tim Hortons, qui avait adopté les fameuses galettes en juillet dernier, a annoncé qu’elle allait retirer le produit de son menu pour la majorité de ses restaurants.

En fait, on apprend que, presque partout au Canada, les sandwichs déjeuners préparés à partir de ces fameuses galettes végétales vont être vendus jusqu’à épuisement des stocks et que c’est seulement en Ontario et en Colombie-Britannique que les sandwichs Beyond Meat vont être intégrés au menu permanent. 

Tim Hortons annonce aussi qu’ils vont attendre les commentaires des client.e.s avant d’évaluer si cette décision sera maintenue ou pas.

Si vous êtes friand.e.s de ces protéines alternatives, c’est donc le moment de faire entendre votre voix!

Source: CBC News

Catégories
Art de vivre

Un outil parfait en vue des élections fédérales

Même si le jargon politique n’est pas complexe en soi, la panoplie d’informations, de discours et de débats des chefs lors de la période électorale peut rendre compliqué la recherche et surtout, gruger beaucoup de temps.

Mais, c’est tout de même essentiel de s’informer et de pouvoir prendre une décision éclairée selon nos valeurs. C’est pour ça que j’apprécie beaucoup l’outil développé par Radio-Canada, car il réunit une bonne partie de l’information pertinente au même endroit et la présente de manière concise. Le comparateur de programmes permet de naviguer par thème ou par parti. Chaque thème, comme « Famille », « Habitation » ou encore « Changements climatiques » présente les grandes lignes et promesses de chaque parti.

Si on choisit plutôt de naviguer par parti, tous les thèmes sont décrits les uns après les autres pour chaque parti.

Capture d’écran/crédit Radio-Canada

Ce genre d’outil est vraiment indispensable! Vous pourrez le trouver ici

Connaissez-vous d’autres moyens de s’informer rapidement en vue des élections fédérales de 2019?

Catégories
Art de vivre

J’ai trouvé mon alter ego!

Il y a de ces rencontres qu’on ne s’attend pas à vivre, qu’on voit de l’extérieur, car certaines personnes de notre entourage y sont plongées, mais qu’on ne s’imagine pas vivre nous-mêmes? Il y a 3 ans déjà, j’ai fait une rencontre comme celles-là et encore aujourd’hui, j’ai peine à croire que le destin ait placé cet homme sur ma route. Pas que je ne croyais pas le mériter, mais trouver chaussure à son pied en amour, c’est parfois aussi difficile que de gagner le million au loto!

Sortant à peine d’une relation bizarroïde, basée sur le paraître et les non-dits bien plus que sur les sentiments humains, je me disais que les relations entre les hommes et les femmes étaient loin d’être celles que j’imaginais depuis que j’étais toute petite, que mon conte de fées où régnaient prince charmant et jolie princesse devait être relégué aux oubliettes! Je ne me voyais pas finir mes jours seule, mais j’avais décidé de prendre du temps pour moi, de revoir mes choix de vie ainsi que mes convictions.

Et puis, sans crier gare, ce gentil jeune homme est apparu dans ma vie et a ravivé la flamme de la relation idéale! Jusqu’à ce jour, je n’avais pas vu en lui l’homme qu’il est, me basant sur des idées préconçues que je m’étais faites de lui. À partir du moment où nous avons appris à mieux nous connaître et à faire confiance à l’autre, j’ai su que je pouvais à nouveau m’épanouir en couple et vivre mon bonheur à deux!

Au début, je me suis demandé ce qu’il pouvait bien me trouver. Ce que moi j’avais de spécial à ses yeux qui ferait qu’il n’irait pas chercher ailleurs. Puis, petit à petit, j’ai accepté qu’il m’aime pour ce que je suis, sans toujours chercher à comprendre et à justifier. J’ai aussi cessé de vouloir être une autre ou parfaite. Mes défauts et mon caractère font partie intégrante de qui je suis; c’est à prendre ou à laisser, bien que j’essaie sans cesse d’être une meilleure version de moi-même! Et c’est à partir de ce moment-là que j’ai su qu’il était le bon. Qu’il m’acceptait telle que je suis, avec mes forces et mes faiblesses, mes p’tites pattes-d’oie et mes bobos.

Bien sûr, il y aura toujours des détracteurs pour venir miner notre bonheur. Ceux qui jalousent notre amour et croient que ça ne durera pas…. À ceux-là je répondrai que je ne leur en veux pas, j’espère simplement qu’ils auront la chance que j’ai et comprendront ce que ça fait de réellement se sentir aimé.e pour ce que l’on est…

Encore aujourd’hui, il ne se passe pas une journée sans que je ne me dise que je suis chanceuse qu’il fasse partie de mon quotidien ainsi que de celui de ma fille. Sa bonne humeur, ses drôleries et son authenticité font de lui un être unique, sensible et attachant. Je ne me lasse pas d’être en sa compagnie, d’apprendre à le connaître un peu plus chaque jour. Son tempérament me calme, même si je ne suis pas quelqu’un de stressé de nature. Nous avons les mêmes valeurs et notre vision du futur abonde dans le même sens. Nous fuyons les chicanes et préférons nous parler, chose que j’apprends tranquillement à faire! Beaucoup plus difficile à faire que de balayer les soucis sous le tapis! Nous sommes deux êtres très émotifs et pouvons lire en l’autre quand quelque chose ne va pas. Avec le temps, nous pourrons certainement dire que nous nous connaissons aussi bien que si nous nous étions tricotés!

Maintenant plus que jamais, je réalise que l’amour ne peut s’acheter et c’est avec les petits gestes du quotidien que je mesure tout l’amour qu’il a pour moi. Oui, ça peut paraître banal de vider le lave-vaisselle ou de plier « un brassant ». Mais ça peut aussi être parce qu’on se préoccupe de l’autre, comme nous le faisons. Être à l’écoute de l’autre ne passe pas nécessairement toujours par la parole…. les gestes comptent aussi!

Alors à lui, l’homme qui un soir frisquet de février s’est mis à genoux pour demander ma main, je lui redis: il est l’homme de mon restant de vie! Je suis certaine que vieillir à ses côtés sera agréable! Les cheveux nous grisonneront, la peau nous plissera, mais les rides de rire que nous aurons aux coins des lèvres trahiront notre jeunesse de coeur! Et assurément, nous formerons le couple de grands-parents le plus cool qui soit!

Catégories
Art de vivre

Instagram éliminera les publicités de solutions « miracles » pour maigrir

On apprend aujourd’hui via ICI Radio-Canada qu’Instagram a décidé de resserrer les règles aux utilisateurs en limitant l’accès au contenu faisant la promotion de chirurgies esthétiques et de produits minceur! Le réseau social bloquera ce type de contenu aux gens âgés de moins de 18 ans, limitant ainsi l’influence que ce genre de publications pourrait avoir chez les jeunes! Facebook (qui a racheté Instagram il y a quelques années) appliquera aussi les mêmes règles!

Aussi, les publications qui proposent des solutions « miracles » dans l’optique d’une diète et qui sont associées à un code promotionnel seront tout simplement retirées de ces réseaux sociaux.

L’inquiétude se faisait sentir de façon significative depuis un bout de temps concernant Instagram et certaines de ses publications qui pourraient avoir un impact négatif sur la santé physique et mentale des jeunes, mais aussi des adultes.

« Nous voulons qu’Instagram soit un environnement positif pour tout le monde qui l’utilise. Cette politique s’inscrit dans nos efforts continus visant à réduire la pression que les gens peuvent parfois ressentir en consultant les médias sociaux » a expliqué Emma Collins, gestionnaire des politiques publiques pour Instagram, a ICI Radio-Canada.

Il y aura probablement moyen de contourner les règles (on demeure réalistes sans tomber dans le cynisme, disons), mais ça demeure une excellente nouvelle que Facebook et Instagram prennent ainsi position contre les contenus toxiques et mensongers.

Disons que c’est un pas dans la bonne direction pour que les réseaux sociaux soient un peu plus doux à consulter!

Catégories
Art de vivre

Greta Thunberg rencontrera la mairesse Valérie Plante

La Mairesse de Montréal, Valérie Plante, accueillera la jeune militante Greta Thunberg à l’hôtel de ville, le 27 septembre prochain, à l’occasion de la marche pour le climat. Selon La Presse, elle lui remettra à ce moment les clés de la ville!

Autre bonne nouvelle, Valérie Plante ira elle aussi dans les rues de Montréal et marchera aux côté des 300 000 personnes attendues cette journée-là.

 On se souvient en 2018, que Madame Plante avait exprimé le désir de faire de Montréal une ville carboneutre d’ici 2050. La Ville a depuis adhéré à la déclaration « Net Zero Carbon Buildings » afin de réduire l’empreinte carbone des bâtiments municipaux pour que d’ici 2030, celle-ci soit à zéro!

La mairesse, qui démontre une grande implication pour la cause de l’environnement, prendra également la parole le 23 septembre lors de l’ouverture du Sommet des Nations Unies pour le climat devant des politiciens et des acteurs engagés du monde entier ! Go Valérie, go!

Y’a de quoi être fièr.e.s de notre ville!

Catégories
Art de vivre

Lush fermera ses portes pour le climat

Une autre bonne raison d’aimer Lush! Dans l’équipe de TPL Moms, on aime beaucoup leurs produits, mais surtout les valeurs de l’entreprise. Depuis ses débuts, Lush offre son appui à différents organismes et de multiples causes. C’est même écrit noir sur blanc, sur leur site Web: « nous sommes une entreprise militante ».

Quand on a su que Lush fermerait ses portes le temps d’une journée pour participer à la marche pour le climat, le 27 septembre, on a été très impressionnées.

C’est une chose en tant qu’entreprise de se positionner sur tel ou tel enjeu et de donner des sous à un organisme? mais c’en est une toute autre d’arrêter l’intégralité de ses opérations commerciales pour une journée entière. En guise de soutien et afin de laisser l’occasion à ses employés de participer à la marche, Lush s’engage à fermer ses 250 boutiques, ses manufactures de Toronto et Vancouver, son siège social et MÊME son site Web lors de la journée du 27 septembre.

View this post on Instagram

Ce n’est pas rien? Dans une société où le capitalisme règne, qu’une entreprise de l’envergure de Lush dise « stop, on doit agir », ça a de l’impact. Le PDG de Lush en Amérique du Nord explique la décision de l’entreprise par cette belle citation :

 « En tant qu’entreprise impliquée depuis des années dans l’activisme environnemental, la décision de laisser nos milliers d’employé.e.s participer à cette manifestation nous paraissait évidente. Nous partageons tous cette planète; nous devons donc nous unir pour sonner l’alarme et dire aux politicien.ne.s que nous ne pouvons plus faire comme si de rien n’était. La crise climatique n’attend pas. Nous non plus. »

En plus, Lush donnera la parole à des militants pour l’environnement sur ses médias sociaux, en boutique et sur le site Web, du 20 au 27 septembre. L’entreprise a d’ailleurs partagé cette touchante vidéo sur son Instagram (en anglais) :

 En boutique, des petits guides seront remis aux clients afin de leur présenter 7 pistes de solution pour aider à lutter pour l’environnement. L’entreprise continuera aussi à faire des dons à des organismes caritatifs pour la préservation de l’environnement!

Bravo Lush, c’est tellement inspirant et on espère que d’autres entreprises vous emboîteront le pas!

Catégories
Art de vivre

J’aime changer les couches

J’ai un aveu de parent à faire: j’aime changer les couches.

Bon, on va se le dire, je préfère les couches pipi. Le caca, ça pue. Mais aller changer la couche de mes enfants, j’aime ça.

Je suis peut-être bizarre, mais si on enlève le fait que je suis en train d’essuyer des fesses, je trouve que c’est vraiment un beau moment.

Toute la journée, on court, on joue, on mange, on va au parc, on va faire des commissions, on fait la routine du dodo, on mouche des nez, on cherche une trentième collation à donner, on attache des souliers, on essuie des mains crottées, on essaie de convaincre notre enfant de ne pas rentrer une milliardième roche du driveway dans la maison (« non, mais maman, elle est orange! »); bref, même si j’adore le quotidien de ma petite famille, ça n’arrête pas.

Sauf quand on change la couche. Il me semble que quand on pose notre enfant sur la table à langer (ou toute surface plate qui fait la job), le temps s’arrête un peu. C’est un moment pour se faire des grimaces, rigoler, faire des blagues de pet. Un moment pour se regarder dans les yeux et se dire des mots doux. C’est beau et ça me fait plaisir.

À chaque changement de couche de ma plus grande, elle et moi trouvons toujours un moment pour rire fort, se faire des câlins et des becs puis se dire « je t’aime ». C’est devenu un petit moment privilégié. En prime, je peux jouer à « devine ce que l’enfant a mangé à la garderie ». #BlaguePasBlague

Quand c’est mon chum qui change la couche de notre fille, je les entends du salon rire aux éclats durant de longues minutes, c’est toujours beau dans mes oreilles.

Quand je change mon mini de quelques semaines, c’est un moment pour connecter avec lui. Le regarder dans les yeux, lui parler, lui faire des grimaces, aussi. Essayer de lui arracher un de ses premiers sourires.

Dernièrement, ma fille de deux ans et demi a finalement accepté de faire des pipis sur le pot. Mon chum et moi avons donc tenté, un beau samedi matin, de la mettre en bobettes. Trente minutes plus tard, après l’avoir changée suite à un pipi et l’avoir à nouveau changée suite à un caca, on s’est dit qu’elle n’était pas prête tout de suite. Elle a besoin d’encore un peu de temps.

Ça ne me fait pas de peine.

Dans notre société, les gens ont tendance à attendre impatiemment que leurs enfants atteignent la prochaine étape de leur développement, mais je ne sais pas ce qui presse. Ma fille n’a marché qu’à ses dix-sept mois. Ça n’a rien changé.

Alors, elle peut bien rester petite encore un moment, ma grande fille. Il n’y a vraiment rien qui presse. De toute façon, j’aime ça, changer sa couche.

Passez-vous un bon moment quand vous changez la couche de vos enfants?

Catégories
Art de vivre

Le syndrome du nid (ou quand la maison doit être parfaite)

J’ai toujours été très obsessive sur la propreté et le rangement. Je me rappelle que dès mon plus jeune âge, je m’amusais à laver et à ranger la maison. Lorsque je recevais un cadeau, jeter l’emballage était probablement la première chose que je faisais.

Cette obsession m’a bien sûr suivie à l’âge adulte. Tous mes proches connaissent ma manie de balayer mes planchers plusieurs fois par jour. Par contre, je déteste laver et ranger mes garde-robes et mes armoires. C’est un véritable calvaire pour moi.

Ou du moins, ça l’était jusqu’à ce que je devienne enceinte pour la première fois. Vers ma vingt-cinquième semaine de grossesse, j’ai été prise d’un fulgurant besoin de laver tous les recoins de mon appartement. Je dis bien TOUS les recoins.

En discutant de ma nouvelle passion autour de moi, j’ai appris que je souffrais d’un mal commun à plusieurs femmes enceintes: le syndrome du nid.

Ce « syndrome » pousse la femme enceinte à préparer le nid pour qu’il soit parfait pour l’arrivée du bébé. Certaines femmes en sont atteintes plus fortement, ce qui est mon cas.

C’est donc ainsi que je me suis retrouvée, à 37 semaines de grossesse, juchée sur une chaise à frotter mes armoires de cuisine de fond en comble. Mon mari n’étant pas très en accord avec mon nouveau passe-temps, je m’y adonnais lorsque j’étais seule à la maison. Je contemplais chaque armoire et garde-robe récurée avec un énorme sentiment de satisfaction.

Mon appartement était donc étincelant à l’arrivée de notre fille. Puisqu’elle avait finalement un syndrome génétique, qu’elle pleurait constamment et qu’elle ne dormait jamais, la propreté de notre nid n’a pas fait une grande différence dans nos vies. Mais, au moins, le ménage du printemps était fait.

Le même scénario s’est reproduit lors de ma seconde et de ma troisième grossesse. Nous avions désormais notre maison, donc la surface à laver était plus grande. J’ai alors fait appel à ma mère et à une amie de la famille pour m’aider à « préparer le nid ». Mes fils ont donc aussi eu droit à un nid impeccable à leur arrivée dans notre famille.

Le problème est qu’entre mes grossesses, cette envie de laver mes armoires et mes garde-robes disparait complètement. J’ai accouché de mon dernier bébé il y a 17 mois et c’est avec découragement que je constate le bordel et la poussière qui s’accumule depuis.

Il n’y aura pas d’autres bébés, donc probablement pas d’autres élans de me lancer dans mon ménage du printemps avec autant de joie qu’un enfant à Disneyland. Je devrai donc, très bientôt, prendre mon courage à deux mains et laver une armoire à la fois.

Avez-vous connu le syndrome du nid lors de vos grossesses?

Catégories
Art de vivre

Un guide informatif et réaliste pour les futurs parents!

Une maman s’est donné pour mission d’aider les femmes enceintes à naviguer à travers les angoisses et questionnements qui viennent, inévitablement, avec la grossesse. Elle-même mère de deux enfants, Julie Champagne avait remarqué, avant de se lancer dans l’écriture de son propre livre, qu’il y avait clairement un vide à combler en matière d’information relative à la grossesse au Québec.

« On est bombardés d’information. Il y a une dichotomie, particulièrement dans les ouvrages de grossesse : c’est soit des manuels très médicaux, de la gynécologie-obstétrique avec des conseils très rigoureux, ou à l’autre extrême, c’est 100 % humour. Avoir quelque chose entre les deux, je pense qu’on se retrouve plus là-dedans » a confié l’auteure à La Presse.

Crédit: Survivre à la grossesse et plus encore…/ éditions Parfum d’encre

Son livre Survivre à la grossesse et plus encore… met en lumière des réalités auxquelles plusieurs parents font face lorsqu’ils attendent un enfant, à travers des illustrations et des mises en scène humoristiques. Divisé en neuf chapitres, pour neuf mois de grossesse, le livre donne également les conseils médicaux nécessaires; suivis, choix du praticien, prescriptions médicales, etc.

Crédit: Survivre à la grossesse et plus encore…/Illustration par Ana Roy

La grossesse, c’est un sujet vieux comme le monde. Ou plutôt, c’est le monde qui est vieux comme la grossesse. Ah! C’est un sujet qui, avec les époques et les m?urs changeantes, mérite d’être souvent revu et discuté en toute transparence et en toute humanité! On pense vraiment que ce livre des éditions Parfum d’encre y ajoute une petite touche à la fois informative, drôle et sans prétention.

Vous pouvez aussi lire l’entrevue complète de Julie Champagne avec La Presse.