Connaissez-vous la Fondation pour enfants seulement (PES)? Pour notre part, on ne la connaissait pas beaucoup avant d’avoir plus d’informations dessus, mais la mission de cette Fondation nous a vraiment rejointes et on voulait vous en glisser un mot!
Ça fait déjà 5 ans que la Fondation PES organise la Promenade pour les petits, et cette année ça aura lieu le dimanche 22 septembre, au parc Pierre Elliot Trudeau, à Côte-St-Luc. Cette journée a été pensée par deux mamans qui voulaient redonner à l’Hôpital de Montréal après qu’elles aient eu des jumeaux prématurés. Depuis, l’événement a fait boule de neige et attire aujourd’hui plus de 150 familles!
View this post on InstagramOn comprend pourquoi, parce que l’événement a vraiment tout pour plaire aux familles. En plus de contribuer à une bonne cause et d’apprendre aux petits l’importance de la philanthropie, les familles qui s’inscrivent à la collecte fonds ont accès une journée de plaisir et d’activités! Des jeux de carnaval, des clowns et même un petit zoo seront disponibles sur place.
Pour participer à cette journée, il faut s’inscrire en famille ou de manière individuelle et amasser un minimum de 250$ pour la Fondation PES. Les fonds accumulés cette année serviront à équiper l’Unité de soins intensifs néonatals de l’Hôpital de Montréal de 46 nouveaux fauteuils inclinables spécialisés.
Quand on peut allier plaisir et contribuer à une bonne cause, on dit oui!
Plus de détails ici.
Quand on a lu cette nouvelle sur La Presse, ce matin, disons qu’on a été assez choquées. Voyons donc!
Certains parents et élèves ont appris à quelques jours de la rentrée qu’il n’y avait pas de place pour eux dans leur école de quartier. Une quarantaine d’élèves inscrits à l’école secondaire Saint-Luc ont dû changer d’établissement. Tout ça en devant attendre deux semaines, sans école, avant que les différentes écoles et la CSDM trouvent une solution.
Et on s’entend que la solution est loin d’être idéale? 40 enfants sont transférés à Honoré-Mercier, une école de Ville-Émard alors qu’ils résident pour la plupart dans Côte-Saint-Luc. Entre l’école Honoré-Mercier et Saint-Luc, il y a trajet de 25 minutes en auto, 45 minutes en transport en commun et ? 1h30 à pied! Sauf que le manque de place est tellement criant partout sur le territoire qu’Honoré-Mercier est la seule école qui pouvait accueillir les élèves de Saint-Luc.
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On a fait l’itinéraire entre les deux écoles, question de montrer la grande distance entre les deux. /Crédit capture d’écran Google Maps.
Devant la lenteur de la CSDM, plusieurs parents ont simplement choisi d’inscrire leurs enfants au privé ou dans des écoles anglophones, lorsqu’ils le pouvaient. Ce sont toutefois des dépenses et des démarches non prévues, qui peuvent tirer énormément de jus à des parents dans un moment qui est déjà épuisant (la rentrée scolaire n’est pas de tout repos).
On ne comprend pas qu’il y ait pu avoir un aussi gros laisser-aller avec la situation des commissions scolaires à Montréal. Ça fait des années que la sonnette d’alarme a été tirée et que les différents acteurs du milieu (profs, parents, directeurs.trices d’école) demandent que les écoles soient agrandies, que de nouvelles écoles soient bâties? Il y a eu quelques chantiers ici et là, oui, mais plus pour patcher les problèmes que pour apporter une solution sur le long terme.
Peu importe les raisons qui seront avancées, il n’y a aucune justification possible au fait que des enfants se sont vus privés d’école pendant 2 semaines.
Il faut que ça change!
Avez-vous vécu une expérience similaire lors de la rentrée de vos cocos?
C’est le mois de septembre et c’est la rentrée scolaire pour vos minis. Mais pour beaucoup d’autres mamans, c’est également la rentrée à la garderie. Car oui, il y a deux mois dans l’année où la plupart des nouvelles inscriptions en garderie subventionnée se font: juin et septembre. Et il n’y a pas si longtemps que ça, c’était moi, la maman qui appréhendait cette grande journée.
Quand mon plus vieux est entré à la garderie pour la première fois, j’ai failli mourir intérieurement. J’avais passé les 12 derniers mois collée sur lui en totale symbiose. J’ai adoré mon, ou plutôt mes, congés de maternité et je n’ai jamais eu d’angoisses liées au fait de rester à la maison. Au contraire, plus je suis avec mes enfants, mieux je me porte! Sans blague, j’ai une vie sociale assez active et même en congé de maternité, je ne me suis jamais sentie cloîtrée dans les murs de ma maison.
Mais voilà que le grand jour est arrivé, ce grand jour que je redoutais depuis quelques semaines: je ne recevrai plus d’argent du régime québécois d’assurance parentale. En français, ça veut dire que si je veux de l’argent, je dois retourner au travail.
Chanceuses sont celles qui peuvent et font le choix de rester à la maison avec leurs enfants. Comme d’autres mamans, je n’ai pas pu faire ce choix. Et pour celles qui angoissent et qui, comme moi, redoutent le moment d’entrer à la garderie, voici quelques points positifs à y envoyer vos enfants (il faut bien se convaincre!)
Le côté social
Vous êtes les meilleures et les plus belles au monde pour vos cocos. Et même s’ils sont habitués à votre mère, votre belle-s?ur, votre voisin, vos cousins, leurs cousins ou même le frère de la s?ur de l’autre voisin, il n’y a rien de mieux que de se faire des amis et de créer un lien d’attachement avec d’autres personnes. Et de vous à moi, c’est cute au boutte quand nos enfants se lient d’amitié avec d’autres minis.
La discipline
Garde à vous, votre enfant deviendra bientôt un terrible two. Il paraît qu’il fera des crises, des caprices et deviendra parfaitement égocentrique. Votre éducatrice sera bien outillée pour vous aider à passer à travers ces crises. Et lorsque notre coeur de mère a envie de céder, l’éducatrice, elle en a vu d’autres…
Attendre son tour
Si votre enfant est le troisième, vous savez qu’il a déjà appris ce principe. Mais si c’est votre petit premier, il a alors tout l’attention de maman, papa, grand-maman, papy et compagnie. Bref, il doit apprendre qu’il doit attendre son tour. Et quoi de mieux que la garderie pour lui apprendre ce principe?
La politesse et le partage
Encore là, s’il est votre unique enfant, votre petit apprendra à partager ses jouets avec ses autres amis. Et c’est une valeur que l’on veut inculquer à nos enfants. Tout comme la politesse, ça va de soi. Mais alors que je focussais beaucoup sur les « s’il vous plaît » et les « merci » de mon 4 ans, j’ai presque perdu connaissance quand j’ai entendu mon 14 mois me répondre merci. Le lendemain, son éducatrice me confirmait qu’il disait merci depuis quelques jours déjà…
La diversité
Même si je veux tout contrôler, je n’ai aucun contrôle sur comment ça se passe à la garderie. Ils font ce qu’ils peuvent avec les 10, 40 ou 60 enfants qu’ils ont. Et même s’il y a un cadre à respecter, chaque éducatrice a sa propre façon de fonctionner en plus de tous les enfants qui ont chacun leur façon de faire. Mes enfants sont constamment initiés à la diversité des savoir-faire, la diversité d’opinions et même la diversité culturelle.
Le lâcher-prise
Rendu au deuxième enfant, on oublie souvent toutes les notions qu’on avait si bien apprises dans notre Mieux Vivre. C’est pas rare qu’une maman ne se souvienne plus c’était à quel âge déjà qu’il fallait arrêter de donner des biberons. Bref, la garderie devient le parfait repère pour les amnésiques qui, comme moi, ont oublié les façons de faire. La garderie devient aussi le cobaye parfait des « premières fois avec bébé » que je n’ai pas envie ou pas l’énergie de commencer par moi-même. (Genre la première sieste sans la suce…)
Pour conclure…
Enfin, dites-vous qu’un jour, vous verrez du bon dans le fait d’envoyer votre enfant à la garderie. C’est certain qu’au départ, ça fait mal à notre coeur de maman, mais il vaut toujours mieux voir notre verre à moitié plein!
Une des figures les plus connues du mouvement végé et surtout végane, c’est Jean-Philippe Cyr. Avec sa chaîne YouTube, « La cuisine de Jean-Philippe » et son site Web, le cuisinier a déboulonné avec beaucoup d’humour plusieurs mythes sur le véganisme. Son premier livre a été un grand succès et on se doute que son deuxième livre rencontrera le même engouement!
Comme le nom l’indique (Mes grands classiques véganes), Jean-Philippe propose une centaine de nouvelles recettes reprenant des grands classiques, mais twistés à la végane! Un jambon de tofu à l’ananas? Oh que oui! Et pour rajouter sa petite touche humoristique bien à lui, Jean-Philippe Cyr assure que son livre est 100% sans kale et ponctue ses recettes de petites phrases funny !
Sans être nutritionniste, le cuisinier veut juste que les gens mangent bien, finissent leur assiette et ne se rendent pas nécessairement compte que c’est végane, parce qu’une « bonne recette, c’est une bonne recette, que ce soit végane ou pas. »
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Ce qui est aussi très bien avec ce nouveau livre, c’est que les recettes sont accessibles. Aucun ingrédient funky, introuvable en épicerie et qui coûte une beurrée, le cuisinier se concentre sur des recettes simples et rapides. Une formule très utile quand on a plusieurs bouches à nourrir!
Le livre est disponible en librairie et aux Éditions Cardinal.
C’est dimanche prochain (soit le 15 septembre) que la Bibliothèque et Archives nationale du Québec (BAnQ) organise une fête – La Journée verte – qui se déroulera dans Rosemont – Petite-Patrie et qui risque fort de plaire aux amateurs de botanique.
Beau temps, mauvais temps, toute la famille est attendue au 2275 rue Holt à Montréal de 14h à 17h pour profiter d’une belle panoplie d’activités tournant autour d’images d’archives de la BAnQ.
La BAnQn exposera en effet des affiches, des cartes postales et des étampes d’époque tout droit sorties de ses archives documentaires en plus d’offrir aux petits la chance de colorier des illustrations tirées des collections patrimoniales.
Les plus grands – et les parents – apprécieront la possibilité d’apprendre à fabriquer un herbier artisanal, d’en apprendre plus sur l’agriculture urbaine grâce aux Fermes Lufa et pourront découvrir l’art de la reliure et celle de l’impression d’images en relief sur une véritable presse typographique.
La coopérative MaBrasserie sera aussi de la partie pour préparer devant vous une bière à partir de houblon fraîchement récolté!
Wow!
Pour tous les détails de l’événement, consultez le site de la BAnQ.
Mon grand garçon va avoir 4 ans demain. Déjà. Je me souviens encore de l’excitation et de la fébrilité que nous avons ressenties lorsque la deuxième ligne rose est apparue sur le test. Après tant d’attente, enfin. Et pouf, nous avons cligné des yeux et il a déjà 4 ans.
Ça veut aussi dire que je célèbre mon quatrième anniversaire de maternité. De parentalité. Je réalise à quel point j’en ai appris des choses durant ces quatre années (cinq si on compte la première grossesse). J’avais envie aujourd’hui de faire un petit ramassis des leçons que j’ai apprises (parfois à la dure) durant ces premières années en tant que parent.
Les voici:
- C’est vraiment possible d’être fonctionnel.le avec peu de sommeil. En fait, la notion d’une bonne nuit de sommeil change énormément après l’arrivée des enfants. 6 heures de dodo entrecoupées de juste un réveil? Méga repos!
- Non, les coucher plus tard ne veut pas dire qu’ils vont se lever plus tard. Même parfois, pour une raison vraiment obscure, c’est l’inverse.
- Il faut TOUJOURS avoir des couches ou une paire de sous-vêtements de rechange, des lingettes et un sac dans la voiture.
- Les chansons des jouets restent prises dans la tête. Longtemps. On les fredonne en faisant la vaisselle. C’est normal.
- Un enfant, ça veut toujours des collations. Encore plus quand ils n’ont pas faim pour souper.
- Parlant de collations, ça ne sert à rien de les acheter en grande quantité au Costco. Parce que la minute que tu possèdes sa chose préférée en paquet de 44, il n’aimera plus ça.
- Un câlin, ça répare pas mal tout. Une crise, un bobo, un cauchemar, un petit accident. Le pouvoir du câlin est magique.
- Regarde ton enfant faire sa pirouette/ spectacle/ saut/ danse. Un enfant, ça ne se fatigue pas de dire « maman maman maman maman ». Regarde-le. Parce qu’on a la patience fine quand on devient parent.
- Du lavage, du lavage à l’infini. Je ne comprends pas encore comment de si petites choses peuvent provoquer autant de lavage.
- Tout le monde a une opinion sur tout. Et ça commence dès la grossesse. Mange ci, ne mange pas ça. Fais de l’exercice, mais pas trop. Laisse ton bébé pleurer. Laisse surtout pas ton bébé pleurer. Allaite-le jusqu’à 3 ans. Omg, tu l’allaites encore? Devenir parent, c’est aussi apprendre à filtrer les commentaires. Sourire et faire ses propres choix.
- Oh qu’on pleure. On pleure avec le bébé qui pleure, avec le grand qui se fait mal. On pleure de rage et de fatigue. On pleure de surplus d’émotions, de joie. On pleure quand le grand joue avec le bébé pis que c’est ben trop cute. On pleure en lisant des livres pour enfant, en regardant des films d’animation. Oh et regarder une petite série tranquille le soir? Si ça parle d’enfants = je pleure.
Mais au-delà de tout, la plus grande leçon que j’ai apprise, c’est à quel point être parent, c’est difficile. On se sent coupable, on se questionne. Je n’avais pas lu ça dans les livres de bébé. À quel point on les regarde dormir paisiblement le soir en se demandant si on a fait tout ce qu’il fallait durant la journée (… oui!). Si la fois qu’on a pogné les nerfs va les traumatiser à jamais ( ? non!). Si on a la bonne balance d’autorité vs laisser-aller (… probablement?) S’ils savent à quel point on les aime ( ? tellement!).
Qu’au travers tout cet amour qu’on a pour eux, on stress et on angoisse, on doute et on redoute. On les regarde grandir le coeur rempli de nostalgie et d’une fierté sans nom. Qu’ils sont la chose la plus difficile, mais oh combien aussi la plus belle qui nous soit arrivée.
Alors je vais regarder mon garçon souffler ses bougies et je vais essayer de ne pas trop cligner des yeux. Parce que je sais que ces doux moments de son enfance passeront en un coup de vent. Et qui sait quelles seront les prochaines leçons apprises sur ce chemin.
Je me souviens, quand j’étais jeune, j’avais 1 ou 2 livres de Jocelyne Robert. Dans ma vision d’enfant, je les trouvais un peu drôles, mais ils ont répondu à tellement de questions que je pouvais avoir sur la sexualité et surtout sur la puberté.
Jocelyne Robert est dans le paysage québécois depuis très longtemps, et elle beaucoup contribué à ouvrir la discussion sur la sexualité au Québec. Son plus récent ouvrage aborde un sujet difficile, mais nécessaire. D’ailleurs elle le dit elle-même dans l’introduction de son ouvrage :
« Moi qui ai toujours voulu présenter la sexualité sous les angles de l’épanouissement, du développement de la personne, de la célébration de l’être humain et de la dignité, j’ai longtemps résisté à écrire sur ce sujet douloureux. (?) Et puis, la troublante et grandissante demande des parents, le nombre effarant d’agressions sexuelles recensées. L’urgence pour les enfants d’avoir tous les atouts en main pour se protéger et enfin, l’inexprimable et durable souffrance observée chez les victimes m’ont convaincue de le faire »
Ouf.
Dans le livre « Te laisse pas faire », l’auteure aborde sans détour la notion d’abus sexuel, de pouvoir, d’autorité et de relation adulte-enfant de manière juste et claire. Le livre est construit autant pour les parents que pour les enfants. Il outille les parents pour les aider à bien construire une démarche de prévention et explique bien aux enfants que leurs limites sont valables et doivent être respectées par les adultes qui les entourent.
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Les Éditions de l’Homme
Quelle belle nouvelle! La municipalité de Sainte-Catherine, en Montérégie, a inauguré son premier parc à accessibilité universelle! Le parc Francis-Xavier-Fontaine a été réaménagé pour répondre aux différents besoins des citoyens en situation de handicap et a suivi plusieurs éléments proposés par les citoyens lors d’une grande consultation publique effectuée en 2016.
La mairesse de Sainte-Catherine, Jocelyne Bates a expliqué un peu le processus de réflexion derrière le nouveau parc :
« Du revêtement du sol aux modules de jeu, chaque détail a été choisi minutieusement en pensant aux jeunes citoyens vivant avec des handicaps, quels qu’ils soient. Nous souhaitions ainsi créer un endroit où ils pourront jouer et interagir avec d’autres enfants, où leur développement global sera stimulé et où tous pourront jouir d’un milieu de vie riche en expériences. »
Parmi les différents jeux et activités offertes au parc, on retrouve une bascule-mouche, une balançoire multiutilisateur, des panneaux tactiles, un ?uf oscillant, ainsi que des glissades accessibles par des rampes.
Quand on a reçu le communiqué sur l’ouverture du parc, on s’est questionnées un peu sur la situation actuelle en termes d’accessibilité au Québec. On a été contentes d’apprendre que la SEPAQ a comme objectif d’améliorer l’accès à ses sites aux personnes en situation de handicap dans un plan qui s’échelonne sur 3 ans, jusqu’en 2020.
On a aussi découvert un super outil développé par Kéroul, un organisme à but non lucratif qui vise à rendre le tourisme plus accessible. Leur outil, sous forme de moteur de recherche, permet de trouver des établissements d’hébergement et des sites et activités touristiques qui sont accessibles selon 4 critères : accessible en fauteuil roulant, partiellement accessible en fauteuil roulant, services aux personnes ayant une déficience visuelle et services aux personnes ayant une déficience auditive. L’outil de recherche est disponible ici (au bas de la page).
C’est important en tant que société de travailler à rendre nos parcs, nos activités et nos établissements plus accessibles!
L’écrivaine canadienne derrière le livre et la série à succès The Handmaid’s Tale a présenté à Londres, mardi dernier, Les Testaments, la suite tant attendue d’un roman qui a fait office de porte-étendard aux luttes féministes, et plus récemment au mouvement #MeToo.
Après 35 ans de réflexions et de questions fréquemment posées par ses fans, Margaret Atwood s’est finalement lancée dans la rédaction de ce deuxième Tome. Plusieurs évènements marquants, pour ne pas dire tragiques, ont eu un impact sur son ?uvre, comme on l’apprend dans Le Journal de Montréal:
« J’y pensais dans les années 90, puis le 11 septembre (2001) a changé. Vous ne vous souvenez peut-être pas, mais il était une fois (un monde) où il n’y avait pas de sécurité dans les aéroports… On est devenus plus craintifs », a exprimé l’auteure, également influencée par la crise financière de 2008 et la victoire du président américain Donald Trump en 2016.
Les Testaments raconte l’histoire de June, une femme qui tente de survivre dans un monde où les dirigeants, lors de cérémonies religieuses (et avec l’aide de leurs épouses), violent les femmes en âge de procréer (les « Servantes ») pour ensuite garder leurs nouveau-nés. On pourra suivre l’histoire à travers la narration de ses deux filles, issues de viols, et séparées de leur mère à la naissance. En parallèle, la s?ur de June, Lydia, 4e protagoniste tyrannique du roman, est membre du groupe Les tantes et chargée de maintenir soumises et rentables les femmes fertiles des communautés. Ce n’est qu’au fil des chapitres, que le lecteur découvre une femme au passé libre ainsi que toutes les étapes qui ont mené à sa métamorphose en monstre, forcée de s’endurcir dans un monde violent et contrôlé par des hommes.
Ce second livre a été sélectionné pour le Booker Prize 2019 et tout porte à croire qu’il deviendra rapidement un bestseller. Par ailleurs, son adaptation en série est déjà en cours!
Margaret Atwood, est sans l’ombre d’un doute une grande femme et une incroyable auteure qui contribue à lancer d’importantes réflexions quant aux droits des femmes en plus de contribuer à changer les mentalités.
Elle a d’ailleurs pris position sur le droit à l’avortement, lors de la conférence de presse annonçant la venue de son nouveau roman: « Seules les femmes devraient pouvoir voter sur ces questions », s’est-elle exclamée.
Amen!
On parle de plus en plus du fait qu’on doit adapter notre alimentation pour faire face à la réalité des changements climatiques. Mais bon, sans rentrer dans le débat, peu importe nos choix alimentaires, c’est bien d’avoir une alimentation diversifiée. Je m’intéresse au végétarisme et au véganisme depuis peu et comme je suis assez néophyte pour le moment, je cherche souvent de l’info accessible. Il y a une tonne de ressources en ligne pour les gens qui veulent en apprendre plus sur le sujet, mais quoi de mieux quand l’information peut nous être donnée et expliquée en face en face.
C’est pour ça que je trouve vraiment bien qu’il y ait un festival sur le véganisme, à Montréal! L’événement aura lieu le 21 et le 22 septembre, au Palais des congrès et offrira plein d’activités, de conférences et d’ateliers aux participants. C’est une bonne occasion pour parler de véganisme avec les enfants et aussi pour leur montrer le genre de produits qui peuvent être véganes (parce qu’il y a vraiment plus que la nourriture!).
[EXPOSANTS]On vous présente quelques exposants argent qui seront présents au festivalBKIND : propose des produits…
Posted by Festival végane de Montréal on Wednesday, September 11, 2019
Selon une des coordonnatrices du festival, une « grande place sera accordée aux façons de véganiser les repas des tout-petits » et c’est intéressant parce qu’on ne se doute pas nécessairement de toutes les possibilités de changer le genre de protéines qu’on met dans notre nourriture, tout en restant dans les guidelines de ce qui est nutritif.
On vous invite à aller voir la page Facebook ou le site Web de l’événement pour plus d’infos, comme la programmation et les activités disponibles.