Bruno Pelletier révèle combien il gagnait à ses débuts avec son ex

Crédit: Capture TVA

Avec mon caisse ouvert et ma guitare acoustique, et ma blonde Nathalie, à l’époque

Bruno Pelletier se trouvait sur le plateau de l’émission qui donne le ton au week-end, Ça finit bien la semaine.

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Dans le cadre de sa présence, il leur a raconté plus d’une anecdote — et certaines ne manquaient pas de surprendre!

Rappelons que dernièrement, il se trouvait également aux Enfants de la télé, où il a raconté un moment marquant — et cette fois beaucoup plus émouvant — de sa carrière passée.

L’ADISQ et Mario Pelchat!

Il s’agissait du jour où il a dû monter sur la scène de l’ADISQ, seulement quelques heures après avoir perdu sa mère, des confidences faites à la suite d’un extrait…

Le tout aux côtés de Mario Pelchat, deux grosses pointures du milieu à l’époque, qui allaient chanter leurs hits ensemble.

«C’est quelque chose qui nous a été proposé (…) Mario était vraiment d’accord, on voulait chanter les chansons l’un de l’autre. Ce n’était pas d’aller faire chacun son hit, c’était dans le vrai partage. Mais ce qui est arrivé aussi (…) c’est que ma mère est décédée la veille… et à ce moment-là, je n’étais pas bien du tout à l’ADISQ et il ne faut pas que ça paraisse. Et là, je regarde les images et ça ne paraît pas du tout», mentionnait-il, tout en dévoilant que Mario avait été génial à ce moment.

Le salaire des début de Bruno!

Mais revenons au moment de Ça finit bien la semaine, où il a abordé divers sujets, dont ses débuts à titre de chanteur, d’artiste.

Une époque bien moins populaire qu’aujourd’hui… oui, oui, où il chantait dans les petits coins de Québec, loin des projecteurs et de la reconnaissance qu’on lui connaît maintenant.

Le château Frontenac, avec son ex?

«Mes premières armes ont été au Château Frontenac, sur le parvis, avec mon caisse ouvert et ma guitare acoustique, et ma blonde Nathalie, à l’époque, qui jouait de la flûte. Puis on chantait du Harmonium, du Paul Piché. On ramassait des 25 cents à coups de 50-75 piastres en 1982. C’est quand même pas pire, on était super fiers de notre coup», livrait toujours avec fierté, plusieurs années plus tard, Bruno.

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On comprend que pour l’époque, à titre d’amuseur de rue… le salaire était plutôt bon!

Une chose est sûre : Bruno a fait du chemin depuis ces soirées à chanter sur le parvis.