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La belle histoire d’amour de Steph Carse

On a eu notre première date à Universal Studio

Un retour fracassant

Cette année, la cinquième saison de Chanteurs masqués fut un réel succès. Nous avons eu droit à des stars masquées derrière leurs costumes, toutes aussi fascinantes les unes que les autres. Et il ne faut pas oublier le volet vocal: plusieurs d’entre eux ont offert des performances véritablement inoubliables.

Mais comme dans toute compétition, il devait y avoir un gagnant à la toute fin

Le Cardinal?🐦


Et c’est le Cardinal qui a triomphé, sous lequel se cachait Steph Carse — une révélation qui a grandement réjoui les téléspectateurs!

Le chanteur, très bien-aimé au Québec et star derrière le Achy Breaky Dance, n’avait pas donné de nouvelles depuis quelque temps, puisqu’il réside désormais en Floride.

Nous étions donc très heureux de le retrouver sur scène, avec sa voix magnifique et puissante.

C’est dans le cadre de sa victoire que nous avons eu la chance de nous entretenir avec Steph, qui est fort sympathique soit dit en passant. Nous avons abordé bien des sujets avec lui, dont le fait qu’il est très heureux et impressionné par cette grande production qu’est Chanteurs masqués.

Une belle histoire d’amour❤️

Steph a d’ailleurs accepté de nous parler de sa belle histoire d’amour avec celle qui partage sa vie depuis 2017, Natasha.

« Notre histoire d’amour? On s’est rencontrés lors d’une soirée bénéfice où elle prenait la parole. Ma femme travaille dans le milieu des finances», ce fut donc leur première rencontre et, au premier regard, Steph a été ébloui.

La première date

La première date

C’est un mois plus tard qu’ils ont eu leur première date — et pas n’importe où !

Non, leur tout premier rendez-vous a eu lieu à Universal Studios, comme il le mentionne lui-même :

Un mois plus tard, on a eu notre première date à Universal Studio.

Leur amour est évident, et les amoureux aimeraient également accueillir un bébé. 👶

Une chanson d’amour!

Les tourtereaux chantent d’ailleurs ensemble sur une chanson de Céline Dion, L’amour existe encore, disponible sur YouTube — un duo qui témoigne de leur belle complicité.

Et d’ailleurs, sa femme a même appris le français spécialement pour cette performance, au combien magique !

N’est-ce pas magnifique?

Ce n’est pas le seul projet en cours, puisqu’il prépare aussi un tout nouvel album compilation, auquel s’ajoute un livre retraçant son parcours, ses débuts et l’évolution de sa carrière.

Quel bonheur de retrouver Steph Carse, à qui nous souhaitons beaucoup de succès… et un bébé avec sa femme Natasha! 💕✨

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Le plus gros défi qu’a dû surmonter Hélène Bourgeois Leclerc

Je suis très, très souvent déroutée…

Invitée récemment au balado Ouvre ton jeu de Marie-Claude Barrette, Hélène Bourgeois Leclerc s’est livrée sans détour sur plusieurs pans de sa vie.

Au fil de l’échange, une carte lui a demandé d’identifier le plus grand défi qu’elle ait eu à surmonter. La comédienne a alors livré un témoignage touchant sur sa vie familiale, marquée par plusieurs épreuves.

Serge Cloutier

La maternité: un beau défi complexe

«Le défi en lien avec la maternité. La maternité et la parentalité. Être un parent, pour moi, c’est un immense et magnifique et riche défi, encore à ce jour, puis je trouve que toutes les étapes en sont. Tu sais, je trouve qu’être parents c’est tellement confrontant et riche et étonnant et surprenant, mais tu n’es plus le centre de ton univers, soudain (…) La petite personne qui est là, tu ne la comprends pas tout le temps, tu n’es pas toujours d’accord, non plus (…) Tu es toujours en train de te demander: Je fais-tu la bonne affaire, je suis-tu en train de le fucker, je suis-tu en train de… je suis-tu trop, je suis-tu assez (…) Puis, pour moi, c’est un défi magnifique, mais je suis très intuitive, puis instinctive dans la vie (…) je sais où je m’en vais, puis comme mère, je suis très, très souvent déroutée (…) Je l’ai voulu, j’ai couru après, j’ai voulu des enfants (…)», confie-t-elle.

Capture YouTube @Marie-Claude Barrette

Attentes et réalité: le choc de la maternité

Questionnée sur ses attentes et sur la façon dont elle imaginait la maternité, elle a avoué avoir traversé cette période avec une certaine impression d’étouffement. Être souvent à la maison, privée de liberté, lui a pesé: elle trouvait ça parfois monotone. Elle avait besoin de bouger, de sortir, de sentir qu’il se passe quelque chose, bref de retrouver du mouvement dans son quotidien.

«Ça, puis, tu sais (…) je m’imaginais tomber enceinte facilement, puis moi j’ai fait plusieurs fausses couches avancées donc, je m’imaginais que ça allait être un peu comme tout le reste dans ma vie, c’est-à-dire: Quand tu veux, tu peux puis tu vas y arriver puis tout va bien aller (…) ça n’a pas été ça notre histoire, nous, de famille ou de couple (…)», explique la maman.

Capture YouTube @Marie-Claude Barrette

Comment elle a traversé ses deuils périnataux?

«(…) Avec un immense désarroi. Comme des deuils, que personne ne peut tant comprendre (…)», affirme l’invitée, tandis que Marie-Claude rebondit sur sa propre expérience et raconte à quel point les gens autour d’elle se montraient souvent maladroits face à ce deuil.

«J’ai eu des fausses couches (…) la plus avancée, c’était à quatre mois (…) ç’a tout été des petits deuils, mais à chaque fois, je me demandais surtout qu’est-ce que j’avais de pas correct (…) au début, c’était physique (…) il doit se passer quelque chose, mon chum puis moi. Tu sais, notre… Il y a quelque chose qui ne marche pas, je veux dire, physiquement, ça ne se peut pas, je tombe enceinte, mais il ne reste pas, donc là c’est devenu: Est-ce que mon chum et moi, dans le fond, on ne devrait pas être ensemble. C’est peut-être un signe de la vie qu’on ne devrait pas avoir d’enfants ensemble (…) Que je ne suis pas faite pour être mère, que je ne serais pas une bonne mère. Là, j’étais dans: La petite âme qui est venue trouver refuge dans mon ventre, elle n’a pas aimé ce qu’elle a trouvé, elle est partie (…) Je cherchais un sens, une réponse, je trouvais que ça ne se pouvait pas. J’en ai quand même fait beaucoup, j’en ai fait sept (…) c’est dur pour le corps (…) c’est parce que ça s’additionne (…) qu’est-ce que je dois comprendre de ça? (…) Les médecins, ils me disaient tous: Il n’y a rien à comprendre, ça arrive (…) tu ne manques de rien. Physiquement, tu as tous les nutriments, ton corps est en forme, en santé (…) finalement, on a eu Margot, quand j’avais 38 ans (…) Il y en a eu deux autres après Margot, puis, après ça, on a décidé d’aller en adoption. Parce qu’en réalité ce qu’on voulait, c’était de se bâtir une famille. Tu sais, de le porter ou de ne pas le porter, sincèrement, ce n’était pas ça l’enjeu. Puis, j’avais eu disons, la chance ou le privilège, de vivre une grossesse (…) J’en ai vécu une donc, la suite elle va se faire autrement (…) C’est un défi dans lequel je me suis lancée. C’est un défi que j’ai choisi de vivre, ce n’est pas un défi qui m’a été imposé du tout, du tout, puis, pour moi, ça fait toute la différence dans l’espèce de drame que ça peut être ou la difficulté que ça peut amener», témoigne Hélène.

Aujourd’hui, avec Margot et Oscar, sa belle famille est désormais complète.

Félicitations à elle pour ce magnifique témoignage, qui fera sans doute écho chez bien des gens. Nous lui envoyons beaucoup d’amour et lui souhaitons une suite remplie de bonheur et de douceur.

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Ce duo nostalgique fait son grand retour!

C’est avec un grand bonheur que je vous annonce…

François Massicotte et Sylvain Marcel ont formé un duo très apprécié dans la série 450, chemin du golf, au début des années 2000.

Voilà qu’ils seront de retour dans un projet commun très bientôt, qui risque de rallumer la flamme des Québécois nostalgiques.

Le Duplex

Ça va être telllllement le fun!

Humoriste vétéran, plus discret depuis quelques années, François Massicotte a récemment fait plaisir à ses abonnés en partageant une excellente nouvelle sur Facebook, une annonce qui a aussitôt semé l’enthousiasme et piqué la curiosité.

Après avoir fait rire des générations de spectateurs grâce à son humour fin, accessible et toujours teinté d’autodérision, il s’apprête à relever un nouveau défi sur scène, cette fois du côté du théâtre.

Dans sa publication, Massicotte a confirmé qu’il sera au cœur d’une toute nouvelle pièce intitulée Le Duplex, un projet qui promet déjà d’attirer l’attention. Pour l’occasion, il sera entouré d’une distribution solide et très appréciée: Sylvain Marcel, Valérie Blais et Sophie Faucher.

Ce quatuor d’artistes chevronnés réunit des talents qui brillent autant en comédie qu’en drame, laissant présager une œuvre vivante, rythmée et menée par une belle chimie de troupe.

«C’est avec un grand bonheur que je vous annonce que j’aurai l’honneur de partager la scène avec Sylvain Marcel, Valérie Blais et Sophie Faucher dans la pièce «Le duplex» qui a fait un gros hit à Paris. On se retrouve dès l’été prochain à l’Assomption et ensuite partout au Québec en 2026! Comme disait un certain Sylvain: Ça va être telllllement le fun! Un énorme merci à Eric Young et à la gang d’Entourage d’avoir pensé à moi», annonce François Massicotte.

Encore enveloppé de mystère quant à son intrigue complète, Le Duplex s’annonce comme une production où les petits riens du quotidien risquent de se transformer en grandes sources d’émotion et de fous rires, un terrain de jeu qui colle parfaitement à l’univers de Massicotte.

«Le Duplex, l’hilarante comédie de Didier Caron qui a triomphé à Paris, débarque au Québec pour la toute première fois! Avec Sophie Faucher, Sylvain Marcel, Valérie Blais et François Massicotte, préparez-vous à plonger dans une guerre de voisinage complètement hilarante, avec des manigances douteuses et des quiproquos savoureux. Au menu: une bonne dose de folie, des éclats de rire… et des voisins qui n’ont rien vu venir! La pièce, mise en scène par Charles Dauphinais, sera présentée en primeur dès juillet 2026 à L’Assomption, St-Hyacinthe et Québec, avant de partir en tournée partout à travers la province», partage l’équipe de production.

Une dynamique unique

La collaboration entre François Massicotte et Sylvain Marcel a surtout pris forme, et s’est renforcée, au fil de 450, chemin du golf.

Rappelons que Massicotte campait François, tandis que Marcel interprétait Sylvain, le voisin envahissant des premières saisons. Leur dynamique comique, ultra-naturelle à l’écran, a rapidement conquis le public.

Massicotte a d’ailleurs raconté que, dès l’audition de Sylvain Marcel, il avait éclaté de rire à sa toute première réplique, signe d’un instinct comique partagé et d’un fit immédiat entre les deux hommes.

Leur dynamique reposait sur un contraste qui fonctionne à merveille: Massicotte dans le rôle du gars normal, un peu dépassé, Marcel dans celui du voisin plus grand que nature.

Aujourd’hui, le fait qu’ils se retrouvent à nouveau dans la pièce Le Duplex est une belle nouvelle des plus nostalgiques.

Irez-vous voir ce nouveau projet? Et surtout, regardiez-vous 450, chemin du golf à l’époque?

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Sébastien Benoit s’excuse après une insulte maladroite

Je n’étais pas bien.

Fraîchement de retour sur les ondes de Rythme FM, après une pause causée par un virus, Sébastien Benoit s’est retrouvé derrière le micro de l’émission Les filles du lunch, où il assure un remplacement temporaire en compagnie de Maripier Morin.

Dans un segment aussi drôle que malaisant, il raconte avoir récemment insulté quelqu’un en laissant échapper un commentaire très maladroit sur son physique, une gaffe qui l’a aussitôt plongé dans l’embarras.

Une mise en contexte qui fait réagir Maripier

«Mon garçon jouait au soccer, soccer intérieur, samedi après-midi. Au même moment, j’apporte mon iPad parce que les Carabins de l’Université de Montréal, que j’adore au football, jouaient (…) Probablement que mon niveau d’attention était divisé entre le match de mon gars, plus les Carabins. Puis là, il y a un homme qui vient, que je connais (…)», met-il en contexte, avant d’être interrompu par Maripier, qui lance à la blague que ça n’a pas de bon sens de regarder une autre game que celle de son fils.

«Ton fils, il va consulter à cause de ça», lance-t-elle, pendant que Sébastien se justifie en précisant que son fils ne jouait pas tout le temps et qu’au moment de l’anecdote, il était sur le banc.

«Là, là, il y a un père d’un garçon qui connaît mon gars, il joue pour une autre équipe, OK. C’est un immigrant français. Câline, il t’a une tabarouette de shape, il est tough, il est musclé, tu sais, il a des tattoos», poursuit-il.

«Il est fait comme JP Perras», rigole Morin, avant que Benoit ne renchérisse en imitant son amoureux.

Une insulte aussi maladroite que malaisante

«Donc lui, pendant ce temps-là, pas mieux, il est sur son téléphone, puis il regarde un match de rugby. Parce qu’il y avait un match France-Australie de rugby (…) Il me parle du football canadien ou du football, tout ça. Moi, je parle du rugby, donc il me dit: Tu sais, le rugby c’est des vrais, c’est des vrais durs, ils n’ont pas d’équipement comme ce qu’on voit au football américain ou canadien. Puis, je ne sais pas si tu as remarqué, mais les joueurs de rugby, comme les gars qui font du combat ultime, souvent, ils ont des oreilles en chou-fleur (…) Donc là, moi, j’ai regardé les oreilles au gars en question, puis j’ai dit: J’imagine que vous avez joué au rugby pendant plusieurs années», raconte l’animateur.

«Oh non, non, non, non, non, tu n’as pas dit ça», s’exclame sa coanimatrice.

«Il me regarde et il dit: Je n’ai jamais joué, je fais juste être un spectateur attentif. Ah, bah, merci, mes oreilles sont niquées», lâche-t-il, tout en l’imitant.

«Ah, je suis morte en dedans», commente Maripier.

«Je n’étais pas bien», témoigne Sébastien.

«Mais là, je le regarde puis je fais: Bien désolé buddy, je ne sais pas. Bah j’avoue qu’elles ne sont pas très belles mes oreilles, mais je t’assure je n’ai jamais joué au rugby», ajoute-t-il.

«J’ai dit qu’il avait des oreilles en chou-fleur comme Georges Saint-Pierre (…)», déclare Benoit, découragé, tandis que Morin lui rétorque qu’à ce moment-là, il faut simplement assumer la gaffe.

Des excuses en ondes à la personne concernée

Affirmant qu’il allait sûrement le recroiser, Maripier l’a alors encouragé à lui présenter ses excuses en ondes, profitant de ce moment privilégié au micro pour rectifier le tir.

«Je vais le nommer par son nom, Thibault (…) Thibault, tu as le physique et la carrure d’un joueur de rugby. Selon moi, peut-être les oreilles, mais ce ne serait pas le cas. Je suis sincèrement désolé, je me suis mis les pieds dans la bouche», conclut le papa.

Ayayaye

Si cette histoire n’est pas qu’une simple invention pour faire rire les auditeurs, elle est vraiment savoureuse.

Et vous?

Et on parie que plusieurs s’y reconnaîtront: ce genre de moment où l’on ouvre la bouche un peu trop vite, avant même d’avoir pris le temps de réfléchir.

Vous est-il déjà arrivé de lâcher une insulte sans même vous en rendre compte?

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«J’étais vraiment malade»: Luc Poirier face à une épreuve extrême

Pas juste physique, mais très mentale...

Luc Poirier et sa famille se sont récemment offert une escapade au Mexique, et l’homme d’affaires en a profité pour ajouter un nouvel accomplissement à sa collection déjà bien garnie.

Il semble d’ailleurs réussir tout ce qu’il entreprend avec une détermination impressionnante, et sa plus récente publication en est une preuve de plus.

Une rude épreuve

Mon pire à vie.

Autant qu’il démontre prendre soin de ses affaires et de sa famille, Luc Poirier trouve toujours du temps pour se maintenir en forme. Passionné d’endurance, il participe à des compétitions Ironman depuis plusieurs années, une discipline exigeante qui demande autant de rigueur mentale que de préparation physique.

Son plus récent Ironman, complété au Mexique, s’est d’ailleurs révélé le plus difficile de sa carrière jusqu’à présent. Entre la chaleur écrasante, un parcours particulièrement éprouvant et les imprévus qui viennent toujours tester les limites des athlètes, il a dû puiser loin dans ses réserves.

«Iron Man Cozumel… Mon pire à vie. J’étais vraiment malade, mais je l’ai tout de même complété parce que j’ai pris l’habitude depuis toujours de terminer ce que j’entreprends. D’ailleurs, ça fait maintenant une dizaine d’Ironman que je complète, 3 ans après mes débuts. Avant ça, je n’avais jamais fait de sport d’endurance, à part le hockey à l’occasion et beaucoup d’heures au bureau… Comme quoi tout le monde peut commencer! J’étais tard dans ma quarantaine et, surtout avec de la volonté, je suis parvenu à insérer cette belle et saine compétition, pas juste physique, mais très mentale, dans ma vie. C’est devenu une pièce importante, un moment que j’attends toujours avec impatience et une communauté de gens passionnés que j’apprécie beaucoup», témoigne Luc Poirier sur son compte Instagram.

Fidèle à sa réputation de persévérance, il a su gérer l’effort, rester concentré malgré la fatigue, et franchir la ligne d’arrivée avec la satisfaction d’avoir relevé un nouveau défi.

Pour lui, ces épreuves sont autant une question de dépassement de soi que d’équilibre de vie: un rappel que, même avec un horaire chargé, la discipline et la constance peuvent mener très loin.

De quel défi sportif s’agit-il exactement?

Un Ironman est un triathlon longue distance considéré comme l’une des épreuves d’endurance les plus exigeantes au monde.

Il enchaîne trois disciplines sans pause: 3,8 km de natation en eau libre, 180 km de cyclisme sur route, puis un marathon de 42,2 km à pied.

Le but est de terminer l’ensemble dans un temps limite qui varie selon les organisations, généralement autour de 16 à 17 heures. Au-delà de la performance, l’Ironman demande une préparation de plusieurs mois: volume d’entraînement élevé, stratégie de nutrition et d’hydratation, gestion du rythme et adaptation aux conditions météo.

Pour beaucoup, c’est un défi personnel symbolisant la persévérance, la discipline et le dépassement de soi.

Félicitations à Luc pour ce bel accomplissement!