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Comme nous le savons, Mélanie Maynard n’a pas la langue dans sa poche, ce qui a résulté, surtout par le passé, en quelques petites querelles avec certains de ses collègues du milieu artistique, notamment avec Sébastien Benoit, Julie Bélanger et Patricia Paquin.

Cependant, cette fois, il ne s’agit pas d’une vieille chicane, mais bien d’un commentaire sans filtre qu’elle a lancé il y a plusieurs années.

Des paroles qui sont ressorties dans le cadre de son talk-show estival, alors qu’elle accueillait Marie-Claude Savard, laquelle a abordé, une fois de plus, le sujet de la chirurgie plastique, plus particulièrement le Botox. Rappelons que les deux femmes ne se sont jamais caché avoir eu recours à cet élixir de jeunesse.

C’est Marie-Claude qui a rappelé à Mélanie un ancien commentaire qu’elle lui avait fait au sujet du fait qu’elle avait parlé ouvertement de ses modifications esthétiques dans la trentaine.

«D’ailleurs, une fois, tu m’as dit ça, toi, Mélanie Maynard… Je t’ai croisée dans un événement, il y a, je ne sais pas si ce n’est pas 15 ans ou 20 ans: Pourquoi tu l’as dit, dont, ça ne paraît pas», lui rappelle l’animatrice de radio prenant un ton questionnable.

«Je t’avais dit ça?», lui demande-t-elle.

«Oui», ajoute Savard.

«Ah, je n’ai tellement pas de classe», répond cette fois Mélanie, qui semblait avoir l’air découragée.

Marie-Claude ne semble, par contre, pas lui en vouloir du tout aujourd’hui.

Et vous, auriez-vous trouvé cela insultant ?

C’est dans le cadre de l’émission estivale Sucré Salé que la collaboratrice Stéphanie Villeneuve a eu la chance de s’entretenir avec Rosalie Vaillancourt. Un moment fort intéressant autour de la van de voyage de l’humoriste.

L’animatrice de Sortez-moi d’ici! s’est d’ailleurs confiée sur un aspect de sa vie qui peut vite devenir maladif et addictif.

«Moi, c’est vraiment ma drogue, là, tu sais, c’est épeurant. Des fois, mon chum dit: Va voir tes amies, fais une activité avec tes amies. J’allais à Montréal voir mes amies, et après souper, j’étais comme: Ah, je rentre, je suis fatiguée. J’allais au Bordel faire des numéros (…) C’était obsédant.»

C’est ce que dévoile Rosalie, qui est véritablement accro à son travail et à sa carrière humoristique!

On se doute bien que faire rire lui apporte beaucoup de bonheur — autant qu’à ses adeptes, d’ailleurs.

Et vous, êtes-vous workaholique?

Marie-Claude Savard se trouvait aux côtés de Mélanie Maynard à l’émission Sucré Salé, dans le cadre d’une entrevue fort intéressante entre les deux femmes. Marie-Claude est revenue sur le fameux dossier du Botox et de la chirurgie plastique, elle qui avait révélé, il y a bien longtemps, y avoir eu recours.

Depuis qu’elle a confié avoir recours à des pratiques esthétiques, l’animatrice de radio se fait régulièrement crier des bêtises par monsieur et madame Tout-le-Monde. Et depuis la présentation de la série documentaire Beauté espérée, les insultes sont encore plus nombreuses.

Des commentaires méchants et réguliers à son égard continuent de lui être adressés. D’ailleurs, l’un des plus récents est particulièrement virulent, comme elle le dévoile.

«Ça dérange de manière intense, c’est comme la religion, la politique, ça polarise, ça rend violent. Ça fait qu’on a fait une série où l’on montre les opérations pour bien décrire ce que c’est, le sérieux de ça, puis je ne me suis jamais fait ramasser de même sur les réseaux sociaux (…) La semaine passée, je me suis fait traiter de charrue (…)», dévoile-t-elle, tout en ajoutant que maintenant, peu importe ce qu’elle fait, on lui catégorise l’étiquette du Botox.

C’est aussi, au cours de cette discussion de cœur à cœur, puisque rappelons que Mélanie Maynard a elle aussi eu recours au Botox, ce qu’elle assume depuis un certain temps, que les deux femmes ont confié qu’un facteur important pourrait expliquer toutes ces injures.

«Il y a tu aussi une jalousie des gens qui font: Aille, si quelqu’un le paierait à ma place, je le ferais?», demande et constate l’animatrice du talk-show estival.

«Voilà ! En fait, je pense que c’est la question économique qui blesse. C’est-à-dire: Si tu es riche, tu vas bien vieillir, si tu n’es pas riche, tu vas mal vieillir», lançait-elle sur ce constat.

Marie-Claude ajoutait, par ailleurs, que bien vieillir est un ensemble de facteurs et que nous vivons dans une société accés sur l’image.

Au finale Marie-Claude invite tout le monde à la bienveillance!

Anne-Élisabeth Bossé a récemment partagé une story dans laquelle elle dément une rumeur persistante voulant que Réal Bossé soit son père.

La comédienne a pris la parole sur Instagram, rappelant que ce n’est pas parce qu’une information circule sur le web qu’elle est forcément vraie.

«Mon père, ce n’est pas Réal Bossé. Je suis toujours super mal quand les gens m’obstinent sur qui est mon père parce qu’ils l’ont « lu sur internet ». C’est faux. Même si c’est « écrit sur internet »», tranche-t-elle, bien décidée à mettre fin aux spéculations.

Une clarification qui devrait faire taire les confusions… du moins, pour un moment!

Faisiez-vous partie de ceux qui pensaient qu’ils formaient un duo père-fille?

Guylaine Tremblay et Denis Bouchard étaient récemment de passage sur les ondes de QUB radio au micro d’Isabelle Maréchal dans le cadre de leur projet Fallait pas dire ça!, où ils se sont ouverts avec sincérité sur la relation fusionnelle qu’ils entretiennent depuis de nombreuses années.

Présentés comme un couple chouchou par l’animatrice, Denis a souligné que lui et Guylaine incarnent des couples à l’écran depuis 35 ans, énumérant les nombreux projets dans lesquels ils ont interprété des amoureux.

«Tu es ma relation la plus stable, finalement (…) la plus réussie, la plus stable (…)», lance Guylaine à la blague, ce qui pousse Isabelle à leur demander s’ils ont connu tous les conjoints et conjointes de l’un et de l’autre au fil des ans.

«Nos chums et blondes ont toujours été hyper compréhensifs de notre amitié, qui est particulière, faut le dire (…)», affirme la comédienne, après qu’elle et Denis eurent révélé avoir déjà donné leur avis sur les partenaires de l’autre, une fois les relations terminées.

Interpellés par Isabelle à ce sujet, les deux comédiens ont admis qu’à l’époque, ils n’auraient pas cru possible une véritable amitié entre un homme et une femme.

Plus tard, Isabelle a lancé à Denis la question qui pique la curiosité, soit s’il y a déjà eu du «bang bang bang» avec Guylaine?

«Jamais (…) avec Denis, il n’a jamais été question de séduction. Je te dirais que ç’a été tout de suite comme plus de l’ordre de la famille, comme une espèce de reconnaissance (…)», soutient Guylaine, alors que Denis compare leur relation à celle de cousins et cousines.

Toutefois, le duo partage plusieurs traits dignes d’un véritable couple: ils ont le même sens de l’humour, s’indignent des mêmes choses, rient aux mêmes blagues… et en prime, ils ont la même date de fête!

«On était dus, nous autres, pour se rencontrer (…)», lance Guylaine, en expliquant qu’ils se disent que, dans leur cas, le rapport amoureux ou intime est remplacé par la création.

Au fond, Guylaine et Denis sont peut-être les meilleurs exemples d’âmes sœurs… sans les bisous!

Et vous, croyez-vous à l’amitié entre un homme et une femme?