Celle qui nous divertit depuis de nombreuses années s’est notamment confiée sur ses enfants, mais aussi sur sa richesse.
Bien que Véro ait essayé de balancer sa vie entre la famille et le travail autant que possible, elle confiait, lors de son entrevue avec Geneviève Guilbault, ne pas avoir toujours eu l’impression d’être une bonne mère, ce qui peut entraîner des regrets. Rappelons qu’elle et son mari, Louis Morissette, ont trois grands enfants ensemble.
«Je pense que c’est parce qu’à un moment donné, il faut faire la paix avec ce qu’on est. Il y a des moments où j’avais l’impression que j’étais moins une bonne mère. Puis d’autres moments où j’avais l’impression que j’étais moins sur mon X au travail, parce que là, j’étais préoccupée par des trucs à la maison. Mais à la fin de l’année, à la fin d’une vie, admettons pour le projeter plus loin, je pense que je vais trouver que j’ai fait une pas pire job dans les deux (…)», confie Véro sur l’équilibre qu’elle a su et continue de bien gérer dans son quotidien.
Capture Télé-Québec
Ce n’est pas tout puisque la star a aussi abordé la question de l’argent dans le cadre, cette fois, d’un tête-à-tête avec Nathalie Petrowski, qui a voulu savoir ce qu’elle vendait aux gens, à son public qui l’adore.
Pour reprendre une partie des mots de la critique et journaliste, Véro a un horaire de premier ministre, un coiffeur, un styliste, elle utilise la location d’avion privé, une vie qui, au final, n’a pas de lien avec la plupart des messieurs et mesdames tout le monde.
«Est-ce que c’est du rêve que tu leur vends? (…)», veut savoir Petrowski.
Capture Télé-Québec
«Non, si je voulais vendre du rêve, je mettrais plus l’accent sur cet espèce de luxe-là dans lequel je vis. Moi, au contraire, je ne veux pas écœurer le monde avec ça. Mais en même temps, oui, je vis dans un certain luxe, mais pour vrai, ce n’est pas autant que ce que le monde pense. Puis souvent, je le dis à mon mari… Je trouve qu’on est chanceux parce qu’on élève nos enfants dans le confort, ils ne manquent d’absolument rien, mais ils ne sont pas déconnectés», témoigne Véro en ajoutant qu’elle a, oui, une femme de ménage, mais qu’elle fait des tâches normales au quotidien et qu’elle n’a pas toujours quelqu’un chez elle pour l’aider à tout faire.
Elle ajoute que le luxe et les moyens financiers dans lesquels elle vit n’ont pas empêché les épreuves qu’elle a vécues au fil du temps!
Capture Télé-Québec
Véro termine en mentionnant qu’elle ne vend pas du rêve, mais bien du divertissement; des moments légers pour le grand public!
«Oui, nous avons adopté notre premier petit chien, et nous allons l’accueillir le 13 octobre! On a tellement hâte, mais on est aussi un peu anxieux quant à la rencontre de nos chats avec le chien. Je me renseigne beaucoup sur sa race, et il est souvent mentionné qu’ils ont besoin de se dépenser énormément. Ça tombe bien, car je travaille de la maison, donc je pourrai jouer beaucoup avec lui», a partagé Noémie Marleau.
La petite bête n’a pas encore rejoint leur foyer, mais elle arrivera très bientôt, juste à temps pour le congé de l’Action de grâce!
Il s’agit d’une merveilleuse nouvelle pour le couple qui attend de relever ce défi avec impatience.
C’est lors de ce moment télévisé qu’elle a évoqué sa dyslexie, ainsi que sa relation avec Donald, l’homme qui partage sa vie depuis 40 ans.
La journaliste et autrice rencontre des défis quotidiens dans son écriture en raison de sa dyslexie, ce qui rend son métier plus difficile.
«Ta dyslexie, ça se vit comment aujourd’hui?», lui demande France.
«Ah, c’est terrible (…). Ça ne s’arrange pas avec l’âge, ça», témoigne Janette.
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Elle ajoutait, toutefois, avoir de l’aide grâce à son ordinateur qui lui propose des corrections de mots qui sont parfois plus difficiles pour elle, tels que cœur et Québec.
Un petit moment télévisuel signé Janette, qui démontre que le fait d’être dyslexique n’empêche pas de réussir dans la vie, et ce, même dans le domaine de l’écriture!
Un peu plus tard dans l’émission, elle a parlé de sa vie amoureuse avec son partenaire Donald, avec qui elle est en couple depuis de nombreuses années. Pour elle, un couple qui dure est un véritable miracle et il semble que les amoureux aient trouvé la recette du succès.
«C’est un miracle, un couple qui dure, mais ça vaut le coup de le tenter», témoigne-t-elle en précisant que les hommes et les femmes ne sont pas nécessairement faits pour vivre ensemble, notamment à cause des différences d’éducation liées au sexe.
Capture ICI ARTV
«Quand tu as la chance d’avoir quelqu’un qui est ton complément, qui n’est pas comme toi et qui t’apporte ce que tu n’as pas, c’est ça l’amour. Quelqu’un qui nous apporte ce qu’on n’a pas», ajoute Janette.
Elle dévoilait aussi avoir eu des périodes plus difficiles avec son amoureux, mais ils ont choisi d’aller consulter, ce qui a permis au couple de continuer et d’oublier les petits détails qui irritent parfois, et qui sont, au final, peu importants.
Capture ICI ARTV
Un moment parfait en compagnie de Janette, comme à l’habitude!
Lors du dernier épisode, les juges ont eu droit à une performance à laquelle peu s’attendaient, puisque celui qui allait chanter est monté sur scène, très stressé.
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Denis, infirmier de profession, a pris son courage à deux mains et a finalement passé l’audition. C’était son deuxième essai, car la première fois, il n’avait pas réussi à «passer la porte», comme il le confiait. L’une des raisons qui l’ont poussé à persévérer est la juge Anne Dorval, qu’il avait vue parler de la compétition dans une autre émission.
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Avec sa voix puissante, il nous a plongés dans son univers opératique et a ébloui tout le monde. Les émotions étaient aussi palpables dans la salle que chez nos juges.
Capture Noovo
Denis a ainsi reçu les éloges des quatre spécialistes de talents, ainsi que de grands «oui» de leur part!
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Ce n’est pas tout, car Anne, séduite par son histoire et son talent exceptionnel, a choisi d’appuyer sur le fameux et tant convoité bouton doré: le Golden Buzzer.
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Une excellente nouvelle pour le chanteur qui accède directement à la demi-finale et reçoit également une bourse de 3000$.
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Toutes nos félicitations à Denis et nous lui souhaitons la meilleure des chances pour la suite!
Alors qu’une enveloppe a été déposée aux maisons mixtes, celle-ci annonçait que Raphaël aurait la chance d’aller faire une activité de bateau dans les Mangrove avec la fille de son choix. Le candidat a, sans surprise, choisi Catherine L.
Lors de l’activité, Catherine L a directement parlé du sujet qui lui brûlait les lèvres. C’est-à-dire qu’elle a mentionné à Raphaël qu’il avait un côté séducteur avec plusieurs filles. Raphaël a tenu à la rassurer en lui disant qu’il allait arrêter de draguer Melek…
Pourtant, de retour sur la plage, Catherine L est revenue sur ses mots en lui disant qu’elle veut prendre son temps et qu’elle ne veut pas qu’il se ferme des portes lui non plus. En effet, elle est très indécise et se contredit dans ses propos. Selon elle, il y a une connexion avec Raphaël, mais elle a des doutes sur s’il s’agit de sa personne.
Attend-elle que d’autres garçons se pointent dans l’aventure? Une chose est sûre, Raphaël ne sait plus trop quoi penser de sa relation avec Catherine L. Il est de plus en plus sur les freins avec elle, car elle n’est jamais sûre de leur connexion quand ils parlent ensemble.
Finalement, nous avons également eu droit au premier french de la saison! Eh oui! C’est Aleksa qui a embrassé Kristina comme cadeau de fête alors qu’ils s’apprêtaient tous les deux à déménager de maisons.
Une scène du spectacle Yvon Deschamps raconte la shop, avec Elizabeth Duperré, David Savard et Sylvain Marcel
Elle est plus que venue, l’heure de célébrer dignement les immuables accomplissements du papa de nos humoristes, du grand Deschamps. Il a 89 ans. Il faut le remercier pendant que résonne encore à nos oreilles son rire aussi sonore que candide, ses gloussements uniques, rien qu’à lui, reconnaissables entre mille.
Plus que jamais, on prend collectivement conscience de sa valeur, à ce trésor comique-philosophe-critique de l’ordinaire et de ses contemporains comme seul le Québec a su en créer ou à peu près. On dirait qu’actuellement l’urgence se presse, on réalise que Deschamps n’est pas plus immortel que Ferland ou qu’un autre, les projets d’hommages s’accumulent et s’entrecroisent: le recueil Vraiment tout Deschamps… au complet vient de paraître en librairie, une série télévisée se mitonne sous le parrainage d’Alexis Durand-Brault (rapportait le quotidien La Presse l’an dernier), Philippe-Audrey Larrue-St-Jacques offre son coup de chapeau dans le balado Les mots d’Yvon Deschamps, sur OHdio, et d’autres rumeurs de spectacles en gestation se murmurent ça et là. Le Deschamps des beaux jours nous aurait probablement taquiné avec son sourire moqueur qu’il était temps qu’on se réveille.
Yvon Deschamps et Judi Richards à la première d’Yvon Deschamps raconte la shop, le mardi 24 septembre, au Théâtre Maisonneuve / Crédit : Serge Cloutier
Et il y a cette fresque, Yvon Deschamps raconte la shop, qui se dévoilait au Théâtre Maisonneuve, à Montréal. Qui ne constitue peut-être pas «l’hommage des hommages», mais qui s’avère incontestablement digne de la grandeur de son sujet. Une magnifique production, inventive, respectueuse, articulée autour de l’œuvre brute d’Yvon Deschamps, de ses textes marquants. Sur papier, Yvon Deschamps raconte la shop laissait craindre le pire: on présentait le tout comme un amalgame de jeu, de chanson, de danse, de cirque, dans un univers «rétrofuturiste» (ce dernier n’étant finalement pas si palpable). Mais, qu’est-ce que cet objet disparate allait bien pouvoir manger en hiver?, redoutions-nous.
C’était toutefois de sous-estimer la vision du concepteur et metteur en scène Jean-François Blais (En direct de l’univers, La Voix, galas ComediHa!) et, sans doute aussi, sa passion pour l’héritage de Deschamps, que de douter ainsi. La pièce de théâtre qu’il nous propose illumine les monologues du maître de brillante façon en les supportant de musiques (variées), de chorégraphies (soignées) et d’acrobaties (réussies). On ne se tanne jamais de les réentendre, ces numéros d’Yvon Deschamps, ces Unions, qu’ossa donne? et autres Le bonheur, mais ils sont ici mis en valeur autrement et superbement… et nous font réaliser que bien peu de choses ont changé depuis l’époque où Deschamps maniait encore sa plume.
Une scène acrobatique du spectacle Yvon Deschamps raconte la shop / Crédit : Serge Cloutier
Sur scène, un décor d’usine. Celui de la shop. Des blocs et des tonneaux blancs, d’immenses pièces de machinerie, une clôture, qui disparaîtra, puis reviendra. Et les travailleurs, tout en blanc aussi. Il y a le frondeur (David Savard), la rêveuse (Elizabeth Duperré), le mouton (Stéphane Archambault), le syndicaliste (Sylvain Marcel) et le contremaître (David-Alexandre Després, dans un rôle muet). Chacun aura, dans les deux heures trente suivantes, sa partition de Deschamps à réciter, selon la personnalité de son personnage, dans une habile distribution des mots. Les travailleurs racontent leurs splendeurs et leurs misères. Les monologues, ici, se répondent et deviennent parfois dialogues. Autour du noyau de protagonistes se meuvent les autres ouvriers, alias huit danseurs et deux acrobates, et trois musiciens par-dessus le marché.
Yvon Deschamps lui-même n’est pas dans le spectacle… Ou, plutôt, oui. Il apparait dans son écran en médaillon, un peu plus haut que l’action, dans des petits bouts de narration récemment filmés, où il brasse encore la cage de ses observations et de la douce ironie qui est la sienne, liant ainsi les tableaux entre eux. On n’a heureusement pas abusé du procédé; ce n’est pas un one-man-show d’Yvon Deschamps comme tel, après tout, mais on a ainsi une idée de ce que dirait l’homme s’il devait monter au micro du Bordel en 2024.
On a aussi trouvé façon d’insérer des références à l’univers de Charlie Chaplin, l’une des idoles de Deschamps, surtout au début, avec des directives adressées aux spectateurs en noir et blanc: «Applaudissez!»; «Êtes-vous en forme?»; «Plus fort que ça!»
Une scène d’Yvon Deschamps raconte la shop / Crédit : Serge Cloutier
La première vignette est celle du dur labeur. Celle d’Une job steady pis un bon boss et des Unions, qu’ossa donne?,où on se réjouit de la semaine de 54 heures de travail et d’une unique semaine de vacances par année, sans sécurité physique, sans sécurité d’emploi. Les artistes se déplacent en mouvements militaires dans une union – justement! – de gestes étudiés. Puis, il y aura Les filles, La noce de la fille du boss, L’argent, La paternité, Papa, Le boss est mort, Lock Out et l’inévitable Bonheur en fermeture. Avec tous ces bouts de phrases mémorables d’Yvon Deschamps qui ont imprégné notre mémoire collective.
À eux seuls, les acteurs, tous excellents, constituent une immense force d’Yvon Deschamps raconte la shop. David Savard insuffle un aplomb imposant à son séducteur frondeur qui se questionne sur le consentement dans Les filles (d’actualité, Deschamps, vous avez dit?) Mention spéciale à Elizabeth Duperré, dont la voix magnifie un peu tous les segments. En grande contemplative qui rêve d’un mariage fastueux comme La noce de la fille du boss, la comédienne des Moments parfaits et d’Avant le crash allie vulnérabilité et caractère. Elle est sans contredit la révélation du spectacle.
Yvon Deschamps entouré de Sylvain Marcel, Elizabeth Duperré et David Savard à la fin de la première médiatique d’Yvon Deschamps raconte la shop, le 24 septembre 2024, au Théâtre Maisonneuve / Crédit : Serge Cloutier
Dans chacune des parenthèses, une ou des chanson(s). Pas nécessairement de Deschamps. Yvon Deschamps raconte la shop est également, à petite échelle, une fleur à tous nos grands auteurs-compositeurs. Travailler, de Pagliaro, et Comme un million de gens, de Dubois, accompagnent le flot Dans ma cour. Il y aura aussi La vie de factrie (Clémence Desrochers), À hauteur d’homme (Vincent Vallières), La maudite machine (Pierre Flynn)… La prouesse circassienne romantique de main à main sur Sous les cheminées, de Richard Séguin, avec, encore, le timbre de Duperré pour rehausser le tout, est émouvante. La relecture de Cash City, du répertoire de De Larochellière, sonne un peu douteuse en filigrane de la diatribe sur l’argent, mais la plupart des arrangements sont harmonieux. Et on entend aussi, bien sûr, les On est content, Les fesses, Papa, Seul, Boum Boum, Le bonheur et Aimons-nous, toutes signées ou cosignées Deschamps.
Une scène du spectacle Yvon Deschamps raconte la shop / Crédit : Serge Cloutier
Yvon Deschamps raconte la shop incarne en somme l’illustre décret de jadis d’Yvon Deschamps (qui jaillit bien sûr rapidement dans l’enchaînement): «On veut pas le sawoère, on veut le woère!». Sous les ordres de Jean-François Blais, le petit monde d’Yvon Deschamps prend corps en chair et en os, réinventé, mais fidèle à l’original. C’est de toute beauté. Et on se surprend à réaliser, en écoutant ces doléances d’une maudite machine qui aurait avalé les salariés, en recevant les autoritaires: «Moé pis ma sœur, on veut de l’industrialisation!», aujourd’hui, à l’heure où l’intelligence artificielle nous fait craindre le pire, que les observations d’Yvon Deschamps étaient réellement, cruellement, et resteront, intemporelles.
Le spectacle Yvon Deschamps raconte la shop est présentement en tournée.
Des supplémentaires ont déjà été annoncées dans plusieurs villes.
Consultez le yvondeschamps.com pour plus d’informations!
«Oui. J’aimerais ça. Bien là, j’ai 36 ans, ma femme a 36, donc il faudrait qu’on fasse ça au plus cr*sse, mais chaque chose en son temps», avouait-il dans un premier temps.
Il semblerait d’ailleurs que ce ne soit pas seulement un projet prévu pour le futur mais que le couple soit présentement en tentative.
«On fait bing bing et je viens dedans et c’est good, là, mais on va voir… oups!», lançait-il, s’apercevant des mots qu’il avait employés pour parler du sujet.
Capture YouTube @HugoGirardSansLimite
Hugo a donc fait la même conclusion que nous et lui a demandé si ça allait arriver et s’ils travaillaient sur le projet.
«(…) Espérons-le (…) mais imagine que je suis… je ne sais pas moi (…)», lançait-il en voulant probablement parler d’infertilité.
Hugo lui a alors demandé si ça faisait longtemps qu’ils essayaient.
«Non, ça ne fait pas longtemps, donc je ne suis pas inquiet (…)», affirmait-il.
Nous souhaitons donc à Adamo et à sa conjointe que leur désir d’avoir un enfant se réalise si tel est le cas.
En décembre 2019, l’ex-candidate d’OD Bali, Alanis Désilets a dévoilé que son conjoint, Joël Giguère, lui avait fait sa demande en mariage. Deux enfants plus tard, le mariage aura finalement lieu le 12 octobre 2024.
En vue de cet événement tant attendu, Alanis a réalisé une séance photo avec son fiancé et a partagé les magnifiques clichés sur son compte Instagram.
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Vêtue d’une magnifique robe blanche courte ainsi que de bottes de cowboy de la même couleur, tandis que Joël porte un ensemble noir avec un chapeau de cowboy, les parents de Méo et Béa ont pris la pose dans un champ aux couleurs de l’automne.
Un peu plus tard, Alanis a partagé d’autres photos encore plus adorables, où leurs enfants, vêtus d’une robe blanche et d’un costard noir, les ont rejoints dans le champ.
Il s’agissait d’ailleurs d’une première importante pour celle qui, rappelons-le, a subi un AVC il y a quelques années et qui, bien qu’elle aille mieux, fait toujours face à certaines difficultés de langage.
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En effet, Josée allait vivre un beau moment télé, cette fois sans son mari Louis-Philippe pour l’aider, puisque, rappelons-le, ce dernier est toujours à ses côtés lors des conférences qu’elle donne, mais aussi des entrevues qu’elle accorde, afin de lui apporter un soutien.
C’est lorsque Véro a vu son amie arriver sur le plateau, avec qui elle aurait droit à un tête-à-tête, qu’elle a été agréablement surprise.
«Hey, attends, je pogne de quoi là. Je suis contente pour toi», lançait Cloutier, fière de voir le courage de Josée.
«Ben, j’ai rien fait encore», renchérit Boudreault avec humour.
Capture Télé-Québec
C’est par la suite que Josée a dévoilé avoir, en premier lieu, refusé cette offre, mais que pour Véro, elle a accepté puisqu’elle la trouve super avec tout le monde.
Capture Télé-Québec
Une entrevue qui s’est d’ailleurs déroulée à merveille en partie grâce à sa répartie hors du commun.
«Pour moi, c’est vraiment spécial et je suis vraiment contente», témoignait Josée en coulisses.
Béatrice Martin, ou Cœur de pirate, s’est fait connaître grâce à son titre Comme des enfants. Depuis, elle rayonne à travers le monde, mais travaille aussi à faire rayonner les talents québécois grâce à sa maison de disques Bravomusique.
Eh oui, Coeur de pirate s’est mariée lors d’une cérémonie extérieure intime, seulement quelques jours après son 35e anniversaire.
Béatrice portait une jolie robe blanche courte, ainsi que des gants et une très longue écharpe pouvant faire office de voile. Ses chaussures rouges offraient un bel accent de couleur. Son amoureux Marc portait, quant à lui, un bel ensemble classique noir, une chemise blanche et une cravate noire.
À la suite de la cérémonie, les invités se sont déplacés vers un chapiteau abritant une longue table pouvant les accueillir pour la réception. Les décorations de la table et les arrangements floraux semblaient simplement magnifiques.
D’ailleurs, les fleurs blanches et aubergines ne sont pas le type que l’on a l’habitude voir lors des mariages. Une belle touche unique!
Le repas s’est suivi d’une soirée dansante sous le joli chapiteau orange, la même couleur qui ornait les lieux de la cérémonie joliment éclairés. Vous remarquerez que c’est Anne-Marie Withenshaw qui a partagé cette story sur son compte Instagram. L’animatrice et sa famille étaient parmi les invités du mariage.