C’est lors du plus récent épisode de Ça finit bien la semaine que les animateurs Julie Bélanger et Jean-Michel Anctil recevaient Sarah-Jeanne Labrosse.
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Rappelons que la jeune femme vient tout juste d’accoucher de son troisième bébé — elle en a d’ailleurs parlé à l’émission.
En plus d’évoquer sa famille, elle a parlé de ses projets à venir, mais aussi de son couple qu’elle forme avec Marc-André Grondin. 💕
Rappelons qu’elle et son conjoint font des rénovations depuis quelques années. Ils ont d’ailleurs leur propre émission, Passion poussière.
Eh bien, c’est justement lors de cette discussion — rénos, bébé, vie de famille — que Jean-Michel a voulu savoir comment leur couple allait, rappelant à quel point les rénovations peuvent parfois mettre les amoureux à rude épreuve.
«Écoute, on s’est testés comme du monde, nous autres. Trois enfants en trois ans et demi, trois chantiers, ça va bien. Je pense à lui et je l’aime, ça va bien», lançait avec amour Sarah-Jeanne.
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Trois enfants!
Dernièrement, Sarah-Jeanne se trouvait à l’émission Pour une fois, où elle était l’invitée principale. Un passage à la télévision durant lequel elle a, une fois de plus, évoqué sa famille et le prénom de ses enfants — prénoms qui, disons-le, ont été énormément jugés, comme elle l’a elle-même mentionné.
Je me suis mise à me demander si mes enfants allaient se faire niaiser
D’ailleurs, à ce moment-là, elle était enceinte de son troisième enfant, dont on ne connaissait ni le nom ni le sexe.
Pour ceux qui se le demanderaient : le fils de Sarah-Jeanne se prénomme Lawrence, et sa fille s’appelle Léo. Quant au petit dernier, il s’agit d’un garçon prénommé Charlo, né tout récemment, comme elle l’a mentionné à Ça finit bien la semaine.
Une naissance qu’elle a d’ailleurs annoncée, rappelons-le, sur ses réseaux sociaux.
Avec mon caisse ouvert et ma guitare acoustique, et ma blonde Nathalie, à l’époque
Bruno Pelletier se trouvait sur le plateau de l’émission qui donne le ton au week-end, Ça finit bien la semaine.
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Dans le cadre de sa présence, il leur a raconté plus d’une anecdote — et certaines ne manquaient pas de surprendre!
Rappelons que dernièrement, il se trouvait également aux Enfants de la télé, où il a raconté un moment marquant — et cette fois beaucoup plus émouvant — de sa carrière passée.
L’ADISQ et Mario Pelchat!
Il s’agissait du jour où il a dû monter sur la scène de l’ADISQ, seulement quelques heures après avoir perdu sa mère, des confidences faites à la suite d’un extrait…
Le tout aux côtés de Mario Pelchat, deux grosses pointures du milieu à l’époque, qui allaient chanter leurs hits ensemble.
Mais revenons au moment de Ça finit bien la semaine, où il a abordé divers sujets, dont ses débuts à titre de chanteur, d’artiste.
Une époque bien moins populaire qu’aujourd’hui… oui, oui, où il chantait dans les petits coins de Québec, loin des projecteurs et de la reconnaissance qu’on lui connaît maintenant.
Le château Frontenac, avec son ex?
«Mes premières armes ont été au Château Frontenac, sur le parvis, avec mon caisse ouvert et ma guitare acoustique, et ma blonde Nathalie, à l’époque, qui jouait de la flûte. Puis on chantait du Harmonium, du Paul Piché. On ramassait des 25 cents à coups de 50-75 piastres en 1982. C’est quand même pas pire, on était super fiers de notre coup», livrait toujours avec fierté, plusieurs années plus tard, Bruno.
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On comprend que pour l’époque, à titre d’amuseur de rue… le salaire était plutôt bon!
Une chose est sûre : Bruno a fait du chemin depuis ces soirées à chanter sur le parvis.
Il a révolutionné le monologue humoristique grâce à son style unique mêlant satire sociale, ironie mordante et profonde humanité.
À travers des personnages naïfs ou candides, il abordait avec lucidité les enjeux majeurs de la société québécoise, notamment la pauvreté, la religion, la politique et les relations de pouvoir.
Yvon Deschamps, toujours un véritable emblème de l’humour québécois jamais oublié du public, s’apprête à revenir sur l’ensemble de sa carrière dans une entrevue exceptionnelle réalisée par Télé-Québec.
L’entrevue, réalisée au Théâtre Maisonneuve de la Place des Arts, un lieu avec lequel l’humoriste entretient un lien profond en raison des nombreuses représentations qu’il y a données, sera présentée le 28 novembre à 19h30, promettant une véritable montagne russe d’émotions.
Il s’est notamment ouvert sur un deuil important en lien avec sa carrière, qui n’a pas été un fleuve tranquille.
«Quand je me suis retiré, ça m’a pris deux ou trois ans pour me débarrasser de cette envie de faire de la scène. C’est comme une drogue! Quand je suis retourné sur scène [festival Juste pour rire en juillet 2023], j’ai oublié une chose: que ce soit la drogue, la cigarette ou l’alcool, quand tu arrêtes, tu arrêtes. Sur le coup, je n’ai rien réalisé. Puis, je me suis mis à rêver de retourner sur scène», révèle Yvon Deschamps lors de l’entrevue.
Ce centre communautaire a pour mission d’aider les personnes vulnérables ou en situation de précarité à acquérir des compétences favorisant l’autonomie, l’insertion sociale et l’intégration sur le marché du travail.
La fondation contribue aussi au financement de programmes éducatifs, culturels et sportifs destinés aux jeunes, aux familles et aux nouveaux arrivants, afin de renforcer le tissu social du quartier Centre-Sud.
«C’est avec une immense gratitude que nous vous annonçons que la soirée bénéfice de la Fondation Yvon Deschamps présentée par Tanguay a permis d’amasser, jusqu’à maintenant, un montant de 265 400 $! Un succès remarquable rendu possible grâce à la générosité et à l’engagement de tous les artistes, participants, donateurs, partenaires et bénévoles. Merci à Intact assurance et Québecor nos partenaires majeurs. Nous tenons à remercier tout spécialement Madame Marie-Berthe Des Groseillers, présidente te chef de la direction du groupe BMTC qui a assumé la présidence d’honneur avec cœur», a annoncé la Fondation en octobre dernier.
Portée par des valeurs d’entraide et de dignité, la Fondation Yvon Deschamps reflète l’engagement humaniste de l’artiste et son désir de redonner à la communauté.
Elle représente aujourd’hui un héritage durable, à l’image de son influence sur la société québécoise.
Ne manquez pas ce rendez-vous qui s’annonce des plus marquants.
C’est sur sa page Instagram que la personnalité publique a pris la parole, publiant une story dans laquelle elle met en garde ses abonnés et demande à toute personne ayant reçu une demande d’amitié en son nom de ne pas l’accepter.
«N’acceptez pas de demande d’amitié FB avec mon nom.. des trous-de-pet-pas-de-vie s’amusent à usurper des comptes, dont le mien», lance-t-elle, accompagnant son message d’un émoji qui traduit bien son émotion.
Un cri du cœur qui résonne sans doute chez plusieurs personnalités, alors que les cas de vol d’identité explosent sur les réseaux sociaux.
Le cas de Colette n’est d’ailleurs pas isolé, puisqu’elle n’est pas la seule à avoir dénoncé la situation.
Apparemment, un certain Dom faisait bien des ravages sur l’application de rencontres Tinder… sauf que ce Dom-là n’existait pas, toutefois pas avec ce visage-là! L’individu derrière le compte aurait tout simplement «emprunté» les photos de Guillaume Pineault pour créer un faux profil. Et pour couronner le tout, il aurait ajouté des infos complètement inventées, parce que tant qu’à usurper une identité, aussi bien le faire avec conviction!
«DOM 42… (Un autre tas de m*rde qui prend mes photos.) Gym souvent, chat, accro du texto (c’est bien me connaître, ça). Secondaire… cr*sse, j’ai passé tellement de temps à l’université… surf là-dessus, mon DOM», avait soupiré Guillaume, visiblement à bout de mots devant tant d’imagination… mal utilisée!
Une bataille bien engagée contre le fléau
De son côté, Marie-Claude Barrette a également sonné l’alarme. Exaspérée d’être la cible de fausses publicités liées à des investissements douteux et déterminée à défendre toutes les victimes, personnalités publiques comme citoyens piégés, elle s’est lancée dans une véritable lutte.
Pour mieux comprendre le fléau de l’usurpation d’identité, on vous recommande chaudement le documentaire Marie contre Goliath, animé par Marie-Claude Barrette. L’animatrice s’y donne pour mission de s’attaquer à ce phénomène grandissant et inquiétant. Elle y dénonce d’ailleurs comment elle-même a été victime d’une publicité mensongère utilisant son image pour la faire passer, à tort, pour promotrice de cryptomonnaie. Plusieurs autres personnalités y partagent aussi leurs propres expériences, souvent tout aussi troublantes.
Vous est-il déjà arrivé de vous faire usurper votre identité?
En effet, alors qu’elle et son coanimateur remplaçant, Tobie, se confiaient sur leurs plus grands regrets, Maripier Morin a révélé avoir un jour refusé les avances d’un célèbre chanteur connu mondialement, une situation qui, visiblement, la travaille encore par moments.
Mise au point avant de se lancer
«Pour de vrai, là, je vais parler de ce grand regret que j’ai dans ma vie, puis je mets ma vie d’en ce moment dans une bulle, donc je ne parle pas de mon union avec Jean-Philippe puis de mes enfants, ça, c’est comme… c’est un regret du passé, ok», met-elle en contexte.
«Mais c’est sûr que quand Chris Martin est venu me voir puis il m’a demandé si j’étais heureuse dans ma relation, dans laquelle il y avait déjà un petit peu d’eau dans le gaz, ok? Ça n’allait déjà pas tant super, méga top bien (…) puis lui, il n’était plus avec Gwyneth (…) free as a bird (…)», dévoile-t-elle, faisant s’exclamer son coanimateur.
«Voyons, moi, j’aurais pris Chris», s’indigne son collègue.
«J’ai l’impression que 100 % du monde auraient pris Chris (rires), puis c’est difficile de comme se taper sur la tête puis de faire comme: Ah mon Dieu, tu es tellement niaiseuse, tu es tellement conne (…) mais oui, tu sais, je me dis: Ça aurait été quoi ma vie si j’avais accepté cette invitation-là? Puis, on ne le sait pas, on ne le sait pas, on ne le saura jamais, ça ne donne rien de penser à ça», témoigne-t-elle.
Découragé de son refus, Tobie lui a alors lancé qu’elle savait pertinemment comment aurait été sa vie: remplie de voyages partout dans le monde, d’accompagnements en tournée et de séjours dans les plus beaux hôtels.
«Ouin, mais j’aurais-tu vraiment été heureuse», se demande Morin.
Réagissant à cette question, son collègue lui a alors rappelé que dans cette relation, elle était déjà malheureuse, ou en voie de le devenir, et que, dans ce contexte, ce n’aurait peut-être pas été un si gros pari.
Rythme FM
Un regret… qui n’en est plus vraiment un
«On ne le saura pas, je n’y suis pas allé», réitère Maripier.
«Je vis bien avec le fait que je n’ai pas sorti avec Chris Martin parce que j’ai deux beaux enfants avec Jean-Philippe Perras», conclut-elle sur le sujet.
Jean-Philippe peut maintenant respirer et dormir sur ses deux oreilles… Fiouuuu!
Après avoir lu cette révélation, pensez-vous qu’à sa place, dans le même contexte, vous auriez pris la même décision qu’elle?
Alors qu’ils rappelaient que leur invité avait travaillé à quelques reprises avec le comédien déchu et soulignaient que, lorsqu’une personne passe au micro de Bureau, ce n’est généralement pas bon signe, ils lui ont demandé comment il avait vécu son retrait et ce qu’il pense du phénomène de la cancel culture.
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Sa relation avec son ancien collègue
Il a d’abord affirmé ne pas avoir encore vu l’entrevue de son ancien collègue, avant de s’ouvrir davantage sur le sujet.
«C’est un bon ami. C’est un bon ami», affirme-t-il.
«J’ai continué de lui parler… pas assez à mon goût, mais je sais qu’il… tu sais, dans le sens qu’il a été au plus bas qu’il n’a jamais été, là (…)», témoigne Jason.
«Si on ne parle pas de son cas précis, mais on parle, mettons, de la cancel culture, je trouve qu’on a dépassé, mettons, les bornes, on est allé un peu trop loin. Mais tu sais, c’est comme n’importe quoi: je pense que c’est un balancier, puis que ça va revenir un petit peu, c’est normal. Il y en a peut-être que, justement, ils trouvaient qu’ils étaient trop de l’autre côté, donc là ils se sont battus pour que ça s’en aille à la bonne place, c’est normal que ça fasse des frictions. Moi, mon opinion par rapport à un peu tout ça, j’englobe, mettons, tu sais, la politique, tout ce qui se passe sur les réseaux sociaux, être catalogué à quelque chose, je ne suis pas vraiment… je suis quelqu’un de centre, j’ai toujours été comme ça (…)», poursuit l’artiste, qui explique sa mentalité par ses nombreux voyages à l’étranger, où il affirme avoir été témoin de la misère, de personnes prêtes à mourir pour leur religion et de profondes différences culturelles.
Il explique qu’Internet et les réseaux sociaux ont profondément changé notre manière de réagir et de vivre, puisque l’information circule désormais à une vitesse éclair et se retrouve accessible partout, en tout temps.
«(…) C’est ça, moi, que je suis tanné, c’est qu’il faut choisir un camp, il faut appartenir à un côté ou à un autre. C’est plate, mais la vie, ce n’est pas comme blanc ou noir, c’est beaaaucoup plus nuancé que ça. L’être humain est beaucoup plus complexe que ça. Puis moi, c’est ça que j’ai de la difficulté à naviguer, en ce moment, dans toutes ces affaires-là: les réseaux sociaux, les opinions, les affaires. C’est que oui, j’en ai des opinions, mais ça ne m’intéresse pas de la donner en ce moment, parce que j’ai peur, puis c’est plate, ça, donc je la garde pour mes proches (…) Ce n’est pas parce que des fois je pense que le gouvernement il crosse du monde, que je pense que la terre est plate (…) Il y a ça qui me tape le c*l, que je suis tanné, il y a beaucoup de haine (…) Ça n’intéresse pas le monde, les bonnes nouvelles (…)», confie l’invité.
Jason soutient plus tard qu’il ne prétend jamais avoir raison ni détenir la vérité, et qu’il demeure toujours prêt à écouter ce que les personnes qui l’entourent ont à dire.
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Mouvements de groupe?
Au fil de l’échange, l’un des animateurs du balado a souligné que, d’après ses années à recevoir des invités, il remarque que les gens sont désormais plus ouverts à exprimer leurs opinions et qu’ils ont moins peur de les partager.
«Il y a du monde qui se rend compte qu’ils font partie de la même gang aussi (…) puisqu’ils sentent le besoin de parler. Puis tout ce monde-là se parle, puis là ça fait une plus grande gang, donc cette gang-là devient un peu plus forte, donc ils ont moins peur de parler (…) c’est toujours un sentiment d’appartenance à quelque chose. La même affaire pour canceler la personne: il y a du monde qui va se ranger du camp de canceler une personne juste parce que d’autres le font, puis ils se sentent protégés par ça, puis ils se sentent bien par ça, mais ils n’ont pas recherché ou ils ne savent même pas pourquoi… c’est suivre la vague, puis c’est normal (…)», conclut-il sur le sujet.
Partagez-vous la vision de Jason Roy Léveillé sur le sujet?
Ariana Grande et Jeff Goldblum brillent sur le tapis vert ensorcelé lors de la première européenne de Wicked: For Good à Londres, au Cineworld Leicester Square. L’événement, attendu depuis des mois, a transformé le cœur du West End en un véritable royaume enchanté, où l’élégance, la magie et le cinéma ont fusionné sous les projecteurs. Voici les photos en direct du tapis rouge.
LONDON, ENGLAND – NOVEMBER 10: Ariana Grande attends the European Premiere of « Wicked: For Good » at Cineworld Leicester Square on November 10, 2025 in London, England. (Photo by Aimee Rose McGhee/Dave Benett/WireImage)LONDON, ENGLAND – NOVEMBER 10: Jeff Goldblum attends the European Premiere of « Wicked: For Good » at Cineworld Leicester Square on November 10, 2025 in London, England. (Photo by Aimee Rose McGhee/Dave Benett/WireImage)LONDON, ENGLAND – NOVEMBER 10: Cynthia Erivo attends the European Premiere of « Wicked: For Good » at Cineworld Leicester Square on November 10, 2025 in London, England. (Photo by Aimee Rose McGhee/Dave Benett/WireImage)LONDON, ENGLAND – NOVEMBER 10: Jonathan Bailey attends the European Premiere of « Wicked: For Good » at Cineworld Leicester Square on November 10, 2025 in London, England. (Photo by Aimee Rose McGhee/Dave Benett/WireImage)LONDON, ENGLAND – NOVEMBER 10: Ethan Slater attends the European Premiere of « Wicked: For Good » at Cineworld Leicester Square on November 10, 2025 in London, England. (Photo by Aimee Rose McGhee/Dave Benett/WireImage)LONDON, ENGLAND – NOVEMBER 10: Frankie Grande attends the European Premiere of « Wicked: For Good » at Cineworld Leicester Square on November 10, 2025 in London, England. (Photo by Aimee Rose McGhee/Dave Benett/WireImage)LONDON, ENGLAND – NOVEMBER 10: Jon M. Chu attends the European Premiere of « Wicked: For Good » at Cineworld Leicester Square on November 10, 2025 in London, England. (Photo by Aimee Rose McGhee/Dave Benett/WireImage)
«Des nouvelles de Béatrice Picard. Cher public, Il y a un moment que je ne vous ai pas donné de mes nouvelles. Le rythme est un peu plus lent qu’autrefois, et certains jours demandent plus de patience… mais ça va, et surtout, ça continue. Je prends chaque journée comme elle vient. Je marche vers mes 97 ans. Avec le temps des Fêtes qui approche, je repense aux merveilleux souvenirs avec Juliette Huot, surtout à ses cours de cuisine improvisés. Quelle chance! Ses éclats de rire me reviennent encore, comme une petite lumière qui réchauffe le cœur. Et pour ajouter un peu de joie dans mon quotidien, j’envisage d’adopter un petit chien. L’idée d’une petite boule de poils qui me tiendrait compagnie me fait beaucoup de bien. Qu’en dites-vous? Dans quelques semaines, je reviendrai vers vous pour vous annoncer un nouveau projet. Je suis aussi heureuse d’annoncer le retour du Salon des aînés de Saint-Jérôme pour septembre 2026. Nous annoncerons la nouvelle porte-parole bientôt. Une camarade de travail que vous aimez. Merci de penser à moi. Votre affection me touche et m’accompagne toujours. Avec douceur, Béatrice», partage-t-elle sur la page Facebook du Salon des aînés de Saint-Jérôme, en accompagnement d’une jolie photo d’elle en train d’écrire de belles cartes.
Amour, douceur et souhaits du cœur
Dans les commentaires, inutile de préciser à quel point les internautes ont été touchés de recevoir de si douces nouvelles de la grande dame. Les messages d’encouragement et d’affection ont afflué, témoignant de tout l’amour que le public lui porte.
Béatrice et Janette: ce qu’elles ont en commun!
On dit souvent que la passion, l’implication et le plaisir de créer contribuent à nous garder engagés, vivants et curieux.
Nous souhaitons un joyeux temps des Fêtes à Béatrice, l’arrivée prochaine d’un compagnon à quatre pattes qui saura lui offrir tout l’amour qu’elle mérite, et surtout une santé solide pour la suite.
Mais ce qu’il faut surtout retenir, c’est qu’elle prépare un nouveau projet dont nous avons très hâte d’entendre parler davantage…
Il nous a confié s’être lancé dans cette aventure avec un certain recul, mais surtout avec beaucoup de crainte.
«Moi, j’ai attaqué ce projet-là avec tellement de peur. Quand on m’a appelé pour me l’offrir, j’ai refusé. J’ai regardé après ça mon téléphone, puis ça a duré 30 secondes. Puis là, j’ai rappelé (…) Je l’ai vu comme une belle opportunité de me mettre en danger, quelque chose que je ne fais pas souvent. Puis ça n’arrive pas souvent aussi que la vie t’offre des projets qui te permettent de montrer une autre facette de toi», nous confie-t-il.
«(…) Je suis quelqu’un qui pense beaucoup à ce que les gens vont penser en général, qui ne se laisse pas beaucoup aller. Puis là, ça, c’était tout l’inverse. Fait que j’allais affronter toutes mes peurs, non seulement le fait que je ne chante vraiment pas bien dans la vie, et que ma peur première, c’est de faire du karaoké», poursuit le comédien.
«Vraiment, si tu m’avais demandé, ma plus grande peur, c’est de faire ça (…) jusqu’à ce que je commence à tourner, j’ai fait tellement d’anxiété», avoue Lou-Pascal, ajoutant s’être demandé pourquoi il avait accepté et s’être dit que ça n’avait «pas d’*sti de bon sens».
Finalement, lorsque le tournage a débuté, il s’est placé dans un tout autre état d’esprit, se rappelant qu’il était là avant tout pour avoir du plaisir. Il ne voulait surtout pas que les gens sentent qu’il était pris dans sa tête et souhaitait plutôt être entièrement présent au moment:
«Puis c’est ça que je pense qui en est ressorti, puis je suis vraiment agréablement surpris de tout ça.»
Étant donné que ce projet avait été pour lui une importante source d’angoisse, nous lui avons demandé comment il avait accueilli le visionnement.
«Je suis content que ce soit derrière. Je ne sais pas, même, si j’aurais la folie encore aujourd’hui de me dire: Ok, go, je le refais, je me rembarque là-dedans. Je l’ai fait, c’est fermé derrière moi, c’est accompli dans ma tête», affirme-t-il.
«Mais là, je suis content de le découvrir, puis c’est de bon goût, c’est drôle. Il y a des moments aussi culturels (…) On reçoit des entités, des *sti de monuments québécois, donc il y a des moments que c’est touchant (…) Il y a vraiment des beaux moments qui valent la peine d’être vus», soutient Lou-Pascal.
Un projet qui a finalement dépassé ses craintes:
«C’est ludique, c’est le fun, mais il y a quand même une dimension vraiment intéressante. Je suis content de faire partie de ça.»
«Il est sans faute là, Steph, il a toujours une répartie. Il a été bon parce que tout le long des tournages de STAT, j’essayais d’aller soutirer de l’information dans sa loge.»
«Des fois, je le voyais répéter ses textes, j’essayais de voir c’est quoi les tounes qu’il allait être, mais il n’a jamais voulu rien me dire, donc il a été très bon pour garder tout ça secret. Mais non, il a fait une super bonne job, je suis fier de lui, je suis fier de dire que c’est mon ami dans la vie, puis de pouvoir faire d’autres types de projets comme ça avec lui, c’est un privilège», conclut la personnalité à ce sujet.
Mot de la fin
Merci à Lou-Pascal Tremblay pour ce moment privilégié. Nous le félicitons d’avoir surmonté sa peur et nous vous invitons à découvrir ce nouveau projet, dans lequel le comédien dévoile une facette de lui que l’on voit trop rarement.
Billy Bob Thornton a fait sensation lors de la première londonienne de Landman, apparaissant au cœur d’un véritable défilé de célébrités venu célébrer cette nouvelle production très attendue. Sur le tapis, l’acteur oscarisé a été chaleureusement entouré de partenaires de jeu et d’amis de l’industrie, dont Ali Larter et Demi Moore, offrant une atmosphère à la fois glamour et électrique.
LONDON, ENGLAND – NOVEMBER 16: Demi Moore attends the « Landman » Season Two UK Premiere at Cineworld Leicester Square on November 16, 2025 in London, England. (Photo by Karwai Tang/WireImage)LONDON, ENGLAND – NOVEMBER 16: Billy Bob Thornton attends the « Landman » Season Two UK Premiere at Cineworld Leicester Square on November 16, 2025 in London, England. (Photo by Karwai Tang/WireImage)LONDON, ENGLAND – NOVEMBER 16: Ali Larter attends the « Landman » Season Two UK Premiere at Cineworld Leicester Square on November 16, 2025 in London, England. (Photo by Samir Hussein/WireImage)LONDON, ENGLAND – NOVEMBER 16: Kimberley Garner attends the « Landman » Season Two UK Premiere at Cineworld Leicester Square on November 16, 2025 in London, England. (Photo by Samir Hussein/WireImage)LONDON, ENGLAND – NOVEMBER 16: David Glasser attends the « Landman » Season Two UK Premiere at Cineworld Leicester Square on November 16, 2025 in London, England. (Photo by Kate Green/Getty Images)LONDON, ENGLAND – NOVEMBER 16: Olivia Cox attends the « Landman » Season Two UK Premiere at Cineworld Leicester Square on November 16, 2025 in London, England. (Photo by Neil Mockford/WireImage)LONDON, ENGLAND – NOVEMBER 16: Juliet Mayhew attends the « Landman » Season Two UK Premiere at Cineworld Leicester Square on November 16, 2025 in London, England. (Photo by Samir Hussein/WireImage)