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C’est maintenant connu de tous, le Pape François a son remplaçant comme chef de l’Église catholique et comme chef d’État monarchique du Vatican, soit Robert Francis Prevost, alias Léon XIV. Ce dernier a récemment été élu comme 267e pape par le Conclave.
Léon XIV est notamment connu pour une particularité qui n’a pas manqué de faire jaser sur la place publique: il est Américain. Plus précisément, il est natif de Chicago, en Illinois, ayant vu le jour le 14 septembre 1955 (69 ans).
Dans cette optique, un autre fait intéressant a été révélé, quant à un champ d’intérêt de Léon XIV: il est un amateur des White Sox de Chicago. Cette ville est reconnue pour être sportive, et visiblement, le nouveau Pape s’est imprégné de la dynamique de son patelin. Ceci dit, il a été clair, il n’est aucunement un amateur des Cubs, l’autre club de baseball de Chicago, comme les rumeurs le disaient.
« Je n’ai jamais été un amateur des Cubs. Je ne sais pas d’où ça vient, car j’ai toujours été un fan des Sox. Ma mère était une fan des Cubs, donc c’est peut-être ça, et mon père était un fan des Cardinals. » – Léon XIV
D’ailleurs, une capsule impliquant le pape circule sur le Web depuis son intronisation, alors qu’on peut le voir lors du premier match de la Série Mondiale de 2005, impliquant «ses» White Sox contre les Aeros de Houston, justement.
Rappelons que Chicago a remporté la Série Mondiale en quatre parties, cette année-là.
Décidément, certaines personnes verront le nouveau pape un peu plus «normal» qu’on pourrait le croire. Il est un être humain, après tout, donc il n’est pas étonnant qu’il ait plus qu’un seul champ d’intérêt à son bagage.
Depuis 1961, les amateurs de courses automobiles locaux ont la chance de voir le Grand Prix du Canada sous leurs yeux.
Dans les faits, depuis 1978, c’est la ville de Montréal qui accueille l’événement, soit sur le Circuit Gilles-Villeneuve, alors que le trajet passe de l’île Notre-Dame au milieu du fleuve Saint-Laurent.
Il s’agit clairement de l’un des événements les plus importants à chaque année au Québec, autant sur le volet sportif que social.
Ceci dit, l’avenir du Grand Prix pourrait être compromis, selon ce qu’on vient d’apprendre…
Apparemment, des clauses échappatoires seraient incluses dans le contrat entre la F1 et les promoteurs, et ce, à partir de 2029, même si le pacte initial a été prolongé jusqu’en 2031. De fait, en 2021, les décideurs avaient offert 51 millions de dollars à la F1, afin de s’assurer des éditions 2030 et 2031, alors que 12 millions de dollars ont été ajoutés à l’entente de base.
Néanmoins, l’édition de 2024 n’a pas été synonyme de succès, alors que la F1 a commencé à planifier son futur, en déplaçant le Grand Prix du Canada en mai, à partir de 2026, notamment. Les organisateurs et les fournisseurs ont tenté de relancer la F1 dans un processus de négociation pour allonger les festivités jusqu’en 2035, mais en vain.
On comprend donc que l’avenir de la F1 au Canada est plus nébuleux que jamais, compte tenu des récentes performances décevantes de l’événement en sol montréalais.
Le Canada pourrait-il donc subir le même sort que plusieurs autres Grands Prix? À souligner que le Grand Prix des Pays-Bas viendra à termes en 2026, tandis que celui de Belgique aura maintenant lieu à tous les deux ans à partir de 2027.
La F1 ajuste tranquillement ses pions pour se protéger d’un désastre financier, et ça en effraie plusieurs par chez nous, visiblement…
Souhaitons que l’année 2024 du Grand Prix ne soit qu’une erreur de parcours, tout simplement, et que celui de 2025 devienne un succès avec un grand «S»!



















































































