Convicted, Marine Le Pen decries a « political decision of the judiciary » and a ‘doomed day’ for French democracy

Catégories
Uncategorized

Un homme de 70 ans expulsé d’un match des Blue Jays à cause d’une casquette

Un partisan de 70 ans s’est fait sortir du Rogers Centre… pour une casquette.

Il s’agit de Dan Begley, un individu qui portait une casquette avec «Le Canada n’est pas à vendre» écrit sur celle-ci, faisant un clin d’œil aux nombreuses menaces d’annexe de la part du Président des États-Unis, à savoir Donald Trump.

Le règlement du Rogers Centre stipule qu’il est interdit de s’afficher avec de la marchandise politique durant un match des Blue Jays, pour ne pas déranger aux gens autour. Une employée sur place a donc été voir monsieur Begley, après 90 minutes de jeu, afin de lui demander de retirer sa casquette ou de la tourner à l’envers, certes, mais l’homme en question à refuser la demande polie de la demoiselle. Et 30 minutes plus tard, les membres de la sécurité ont escorté monsieur Begley jusqu’à la sortie, et ce, sans résistance de sa part.

« Elle était très polie, et elle m’a dit qu’il n’était pas permis de porter quelque chose qui a un message politique et que je devais la retirer ou la mettre à l’envers. J’ai dit non. » – Dan Begley

Le septuagénaire ontarien a visiblement fait un copier/coller sur Doug Ford, lui qui a fièrement porté le même genre de calotte, lorsque Trump a fait ses menaces au préalable.

À la suite de cet incident, les Jays ont fait parvenir des billets à monsieur Begley, dans le but de s’excuser de la situation, mentionnant aussi qu’il pourra dorénavant porter sa casquette durant les parties à domicile de son équipe préférée.

Disons que le traitement réservé à cet individu a créé un véritable tourbillon de réactions en soutien à son endroit, d’autant plus que le Canada est dans une situation précaire avec les Américains, donc tout le soutien sera nécessaire.

Cette situation de crise nord-américaine n’a pas fini de faire jaser…

Catégories
Uncategorized

Tom Brady révèle les vraies raisons de son départ des Pats

En mars 2020, l’ancien quart-arrière étoile de la NFL, Tom Brady, a pris l’étonnante décision de quitter son équipe de longue date, les Patriots de la Nouvelle-Angleterre.

Ainsi, le numéro 12 a profité de son autonomie complète, pour la première fois de sa carrière, afin de s’aligner avec les Buccaneers de Tampa Bay, après avoir passé 20 saisons avec les Pats. Brady et son fidèle acolyte sur les lignes de côté, Bill Belichick, ont remporté six championnats ensemble, rien de moins, donc il était légitime de se demander pourquoi cette association s’est arrêtée aussi brusquement.

Le légendaire QB, auteur de sept Super Bowl au total, a d’ailleurs révélé davantage de détails quant à sa sa séparation avec les Patriots, mentionnant une certaine tension entre Belichick et lui. Il a aussi fait référence à certains critères qu’il avait considéré jadis, avant de prendre une décision ultime.

« La réalité était qu’après 20 ans ensemble, une tension naturelle s’était développée entre la direction que Coach [Bill] Belichick et moi prenions dans nos carrières, et celle que prenaient les Patriots en tant que franchise. C’était le genre de tension qui ne pouvait être résolue que par une sorte de séparation ou par l’un de nous qui reconsidère ses priorités.

Ce que j’ai fini par faire, c’est une liste d’environ 20 critères que j’ai ensuite classés et notés sur une échelle pondérée de 1 à 3.

La présence de joueurs talentueux était notée à 3 en termes d’importance, par exemple, et les Bucs ont obtenu un 3 grâce à des gars comme Mike Evans et Chris Godwin. Il en allait de même pour l’entraîneur-chef. C’était aussi un 3 en importance, et Tampa a obtenu un 3 avec Bruce Arians. La météo les jours de match était un 2, celle des entraînements un 3. La rémunération financière était sur la liste, mais ce n’était pas en tête, ce n’était probablement même pas dans le top 10, et cela n’a certainement pas été noté comme un 3 en importance.

Au final, j’ai choisi Tampa, il y a presque exactement cinq ans maintenant, parce qu’en somme, ils ont obtenu une meilleure note que la Nouvelle-Angleterre sur ces vingt critères environ. Ce n’est pas beaucoup plus compliqué que ça. » – Tom Brady, via des propos traduits par TVA Sports

.

L’ancien choix au repêchage des Expos de Montréal (MLB) aura ultimement enfilé le chandail des Buccaneers pour deux campagnes, ayant touché le trophée Vince-Lombardi en 2021, alors qu’ils ont disposés de Pat Mahomes et des Chiefs, par une marque de 31 à 9.

Aux yeux de certains, malgré tout, Brady est toujours est considéré comme le «GOAT» de la NFL, soulignons-le, compte tenu de tous ses accomplissements en carrière!

10 conseils pour perdre de la graisse et 10 conseils pour augmenter sa masse musculaire

20 conseils pour vous débarrasser des courbatures

Voici les salaires des pilotes de F1

Les 15 joueurs les mieux payés de la MLB à l’aube de la nouvelle saison

Catégories
Uncategorized

Tiger Woods officialise sa relation avec Vanessa Trump

Plusieurs rumeurs circulaient depuis quelques jours à l’effet que le golfeur de renommée Tiger Woods était en couple.

Et c’est maintenant confirmé, Woods est en couple avec Vanessa Trump, 47 ans, l’ex femme de Donald Trump Jr., le fils du Président des États-Unis. Vanessa et Donald ont effectivement été mariés de 2005 à 2018, ayant notamment cinq enfants ensemble. D’ailleurs, ironiquement, leur fille Kai, 17 ans, devrait jouer au golf à l’université de Miami en 2026. Elle a donc un énorme point en commun avec le nouveau copain de sa mère, visiblement.

Et bien que Tiger Woods soit un individu très discret sur sa vie personnelle, c’est lui qui a annoncé la nouvelle, via ses réseaux sociaux, avec un petit texte affectif envers sa nouvelle conquête et des photos du couple.

« Il y a de l’amour dans l’air et la vie est plus belle avec toi à mes côtés! Nous nous réjouissons de notre voyage dans la vie ensemble. Pour l’instant, nous aimerions que les personnes qui nous sont chères restent dans l’intimité. » – Tiger Woods

https://twitter.com/TigerWoods/status/1903951000781701415

Woods, Eldrick de son vrai prénom, est âgé de 49 ans, lui qui a deux enfants avec son ex-femme, Elin Nordegren, avec qui il s’est divorcé en 2010, à la suite d’une polémique quant à l’infidélité du golfeur. Notons que les enfants de Woods, dont Charlie, fréquentent la même institution scolaire que Kai Trump.

On sait aussi que, selon les spéculations, Tiger Woods aurait une excellente relation avec le souverain américain, Donald Trump, eux qui ont joués ensemble à quelques reprises au golf, au fil des ans. Pour ce qui est de Vanessa Trump, en plus de Trump et Woods, elle a fréquenté l’acteur Leonardo DiCaprio, en 1998, donc elle n’en est pas à son premier rodéo avec des célébrités américaines.

Fini les rumeurs et spéculations, donc le couple peut maintenant vivre le grand amour sans se cacher!

Les 20 meilleures Porsche à travers l’histoire

Catégories
Uncategorized

Le Panama se paie les États-Unis dans un scénario hollywoodien à la CONCACAF

Une dose de satisfaction s’est emparée de l’Amérique Centrale, jeudi soir, quant à la demi-finale de la Ligue des Nations de la CONCACAF.

Le Panama a effectivement surpris les triple défendants en titre du circuit, les États-Unis, par le pointage de 1 à 0, alors que Cecilio Waterman a marqué lors de la quatrième minute de temps supplémentaire, soit la 94e minute. Le duel avait lieu en sol américain, soit au SoFi Stadium, en Californie, rappelons-le.

Ainsi, Waterman a récolté son 11e but sur la scène internationale avec le Panama, et ce, sur une passe de Adalberto Carrasquilla. Le plus fou dans tout ça? Il s’agissait du tout premier tir qui a atteint la cible pour le Panama, ce qui rend le tout davantage choquant pour la planète soccer. Le Panama aura donc rendez-vous avec le Mexique, dimanche, en finale de la compétition, à la surprise générale.

Waterman, un vétéran de 33 ans, s’est même permis une célébration incroyable, en retirant son maillot, avant de se ruer vers Thierry Henry dans les gradins, soit une légende du foot français, à qui il a fait un câlin. Henry est l’idole de Waterman, comme on l’a su après le match. Un moment magique!

Au termes de la joute, Waterman a révélé que cette victoire avait une signification particulière. Faisait-il référence au fait qu’il s’agit d’une victoire contre les USA, les antagonistes de l’Amérique, dernièrement, à cause d’un certain Président polarisant? Quoi qu’il en soit, Waterman avait une fierté, quant au fait de ramener la Coupe de la CONCACAF en Amérique Centrale.

« Beaucoup de bonnes choses me sont arrivées au cours de ma carrière, mais celle-ci est différente. Cette fois-ci, c’est incroyable.

C’est la troisième fois que nous nous trouvons dans cette situation. Cette fois, nous voulons faire ce cadeau au Panama. Nous voulons accomplir quelque chose pour eux, pour l’Amérique centrale ». – Cecilio Waterman, via Sportsnet

Soulignons qu’il s’agira d’une première fois où le trophée ne restera pas aux États-Unis, alors que le tournoi a vu le jour en 2019. Ceci étant, avec ce gain, le Panama vient de gagner pour une troisième fois consécutive contre les Américains pendant un contexte international.