Les premiers pas de Lewis Hamilton chez Ferrari n’ont pas été un synonyme de succès, malgré l’engouement autour de cette nouvelle association.
À la mi-saison, le septuple champion du monde a terminé au quatrième échelon à trois occasions depuis son arrivée chez la Scuderia. De fait, le pilote anglais n’a jamais fini une course sur le podium durant la première partie du calendrier 2025, lui qui occupe le 14e rang du classement des coureurs automobile en frais de points, ce qui l’a motivé à prendre les choses en main.
Compte tenu des difficultés de Ferrari depuis près de 20 ans malgré son énorme potentiel, Hamilton, bien qu’il soit fier de porter l’uniforme rouge, a confronté les dirigeants, afin d’apporter des correctifs majeurs aux voitures de l’écurie italienne.
Visiblement choqué de ses décevants résultats, Hamilton refuse catégoriquement de faire partie de cette tendance chez Ferrari, ayant rencontré John Elkann (Président), Benedetto Vigna (Président et directeur des opérations), Fred Vasseur (Directeur) et Loïc Serra (Directeur technique), dans l’optique que les choses changent.
Le principal artisan des discussions a d’ailleurs révélé avoir monté plusieurs dossiers avant la pause de mi-saison, quant aux enjeux structurels de son bolide, afin de challenger les patrons de son équipe.
Reconnu comme un gagnant depuis belle lurette, le quarantenaire n’a pas l’intention d’imiter les Kimi Raikkönen, Fernando Alonso et Sebastian Vettel, soit trois anciens champions du monde qui ont aussi connu des ratés chez Ferrari.
Le message est passé, donc place aux actions!
