




















C’est maintenant officiel, la compagnie Nintendo a enfin confirmé une date de sortie et un prix officiel, quant à la Nintendo Switch 2.
Dans les faits, ce nouveau jouet sortira dès le 5 juin 2025, et ce, pour un prix stratosphérique de 629,99 dollars (Canada), alors qu’elle offrira une toute nouvelle vision du gaming, grâce à ses méthodes de communication améliorée, nous promet-on.
Vous aurez ainsi deviné qu’il s’agit de la version moderne de la console Nintendo Switch originale, qui a révolutionné l’expérience du jeu vidéo et qui a vu le jour le 2 mars 2017. Notons qu’on parle ici d’une console qui peut autant être utilisée sur un téléviseur ou sur un écran portatif inclut avec la machine, alors que la version à venir possède un écran plus imposant et des couleurs plus nettes.
« La Nintendo Switch 2 est la prochaine étape du jeu à domicile qui peut être emporté en déplacement, basée sur huit années de jeu et de découvertes qui ont débuté avec la Nintendo Switch. Avec ses nouvelles fonctionnalités qui élargissent les possibilités en termes d’expériences de jeu, je crois fermement que la Nintendo Switch 2 représente un bond en avant dans notre chemin visant à faire naître des sourires sur les visages de celles et ceux qui interagissent avec Nintendo. » – Shuntaro Furukawa, président de Nintendo
La Nintendo Switch 2 inclura notamment deux manettes Joy Con 2, un support Joy Con 2, des Dragonnes Joy Con 2, une station d’accueil, un câble HDMI à haute vitesse, un adaptateur secteur Nintendo Switch 2 et un câble de recharge USB-C.
D’ailleurs, de nouveaux jeux pour cette plate-forme ont été annoncés, dont Mario Kart World, Donkey Kong Bananza, Kirby Air Riders, Hades II et The Duskbloods. Un forfait sera disponible pour acquérir le nouveau volet de Mario Kart, en compagnie de la console, pour la somme de 699,99 dollars (Canada), incluant un code de téléchargement pour ce titre, qui sera accessible le 5 juin, en même temps que la Nintendo Switch 2.
Des jeux sortis sur l’appareil de 2017 seront aussi proposés sur la version fraîche, dont Super Mario Party Jamboree, The Legend of Zelda: Breath of the Wild et Metroid Prime 4; Beyond.
Vraiment, on sent que cette invention plaira énormément aux amateurs de jeux vidéo, donc sauvegardez cette date et faites vos précommandes!
Pour voir l’annonce intégrale, via Nintendo Direct, voir le lien ci-dessous:
Un partisan de 70 ans s’est fait sortir du Rogers Centre… pour une casquette.
Il s’agit de Dan Begley, un individu qui portait une casquette avec «Le Canada n’est pas à vendre» écrit sur celle-ci, faisant un clin d’œil aux nombreuses menaces d’annexe de la part du Président des États-Unis, à savoir Donald Trump.
Le règlement du Rogers Centre stipule qu’il est interdit de s’afficher avec de la marchandise politique durant un match des Blue Jays, pour ne pas déranger aux gens autour. Une employée sur place a donc été voir monsieur Begley, après 90 minutes de jeu, afin de lui demander de retirer sa casquette ou de la tourner à l’envers, certes, mais l’homme en question à refuser la demande polie de la demoiselle. Et 30 minutes plus tard, les membres de la sécurité ont escorté monsieur Begley jusqu’à la sortie, et ce, sans résistance de sa part.
« Elle était très polie, et elle m’a dit qu’il n’était pas permis de porter quelque chose qui a un message politique et que je devais la retirer ou la mettre à l’envers. J’ai dit non. » – Dan Begley
Le septuagénaire ontarien a visiblement fait un copier/coller sur Doug Ford, lui qui a fièrement porté le même genre de calotte, lorsque Trump a fait ses menaces au préalable.
À la suite de cet incident, les Jays ont fait parvenir des billets à monsieur Begley, dans le but de s’excuser de la situation, mentionnant aussi qu’il pourra dorénavant porter sa casquette durant les parties à domicile de son équipe préférée.
Disons que le traitement réservé à cet individu a créé un véritable tourbillon de réactions en soutien à son endroit, d’autant plus que le Canada est dans une situation précaire avec les Américains, donc tout le soutien sera nécessaire.
Cette situation de crise nord-américaine n’a pas fini de faire jaser…
En mars 2020, l’ancien quart-arrière étoile de la NFL, Tom Brady, a pris l’étonnante décision de quitter son équipe de longue date, les Patriots de la Nouvelle-Angleterre.
Ainsi, le numéro 12 a profité de son autonomie complète, pour la première fois de sa carrière, afin de s’aligner avec les Buccaneers de Tampa Bay, après avoir passé 20 saisons avec les Pats. Brady et son fidèle acolyte sur les lignes de côté, Bill Belichick, ont remporté six championnats ensemble, rien de moins, donc il était légitime de se demander pourquoi cette association s’est arrêtée aussi brusquement.
Le légendaire QB, auteur de sept Super Bowl au total, a d’ailleurs révélé davantage de détails quant à sa sa séparation avec les Patriots, mentionnant une certaine tension entre Belichick et lui. Il a aussi fait référence à certains critères qu’il avait considéré jadis, avant de prendre une décision ultime.
« La réalité était qu’après 20 ans ensemble, une tension naturelle s’était développée entre la direction que Coach [Bill] Belichick et moi prenions dans nos carrières, et celle que prenaient les Patriots en tant que franchise. C’était le genre de tension qui ne pouvait être résolue que par une sorte de séparation ou par l’un de nous qui reconsidère ses priorités.
Ce que j’ai fini par faire, c’est une liste d’environ 20 critères que j’ai ensuite classés et notés sur une échelle pondérée de 1 à 3.
La présence de joueurs talentueux était notée à 3 en termes d’importance, par exemple, et les Bucs ont obtenu un 3 grâce à des gars comme Mike Evans et Chris Godwin. Il en allait de même pour l’entraîneur-chef. C’était aussi un 3 en importance, et Tampa a obtenu un 3 avec Bruce Arians. La météo les jours de match était un 2, celle des entraînements un 3. La rémunération financière était sur la liste, mais ce n’était pas en tête, ce n’était probablement même pas dans le top 10, et cela n’a certainement pas été noté comme un 3 en importance.
Au final, j’ai choisi Tampa, il y a presque exactement cinq ans maintenant, parce qu’en somme, ils ont obtenu une meilleure note que la Nouvelle-Angleterre sur ces vingt critères environ. Ce n’est pas beaucoup plus compliqué que ça. » – Tom Brady, via des propos traduits par TVA Sports
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L’ancien choix au repêchage des Expos de Montréal (MLB) aura ultimement enfilé le chandail des Buccaneers pour deux campagnes, ayant touché le trophée Vince-Lombardi en 2021, alors qu’ils ont disposés de Pat Mahomes et des Chiefs, par une marque de 31 à 9.
Aux yeux de certains, malgré tout, Brady est toujours est considéré comme le «GOAT» de la NFL, soulignons-le, compte tenu de tous ses accomplissements en carrière!