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C’est sur sa page Facebook que l’animatrice a partagé le cliché montrant Gabriel Marcotte devant son gâteau d’anniversaire, entouré des membres de sa famille.
«Impossible… 15 ans déjà! Bonne fête mon Gabou», lance la maman, visiblement émue de voir à quel point le temps file.
Un instant tendre qui témoigne de l’importance de la famille et du temps qui file trop vite.
Joyeux anniversaire à Gabriel, qui souffle maintenant ses 15 bougies!
Sur Instagram, la comédienne a dévoilé Charlotte, sa troisième petite-fille, une petite princesse qui inonde déjà sa famille d’amour et de bonheur.
«Charlotte… notre troisième petite-fille toute neuve… une autre qui va faire exploser mon coeur», lance la grand-maman.
Un véritable cadeau pour Josée, qui est très présente dans la vie de ses petits-enfants et qui aime partager de précieux moments de bonheur en famille.
Félicitations au fils de Josée pour cette magnifique petite cocotte, et tous nos vœux de bonheur à leur belle famille.
Pour annoncer le sexe de son enfant à venir, elle a partagé une vidéo attendrissante avec son aîné, Ozie, à qui elle demande si elle aura une petite sœur ou un petit frère
Ozie, visiblement enchantée à l’idée que sa maman soit enceinte, révèle alors avec sa petite voix adorable qu’elle aura… une petite sœur!
«Mes deux petites filles, l’une déjà dans mes bras, l’autre encore dans mon ventre…les amours de ma vie», lance-t-elle.
Une annonce faite par la grande sœur, qui rend le moment encore plus craquant!
Cassandra et son amoureux s’apprêtent donc à vivre un nouveau bonheur: devenir les heureux parents de deux petites princesses.
Félicitations!
Le prix d’un établissement d’enseignement supérieur peut être aussi surprenant que l’expérience vécue. Certaines écoles demandent des frais de scolarité annuels équivalents au coût d’une voiture de luxe, tandis que d’autres les maintiennent à un niveau si bas qu’ils paraissent presque irréels. Dans cette liste, vous découvrirez les deux extrémités du spectre des frais de scolarité et ce qui les distingue. Les frais de scolarité annuels mettent en évidence l’énorme diversité de l’enseignement supérieur américain. Commençons par les établissements les plus chers.
Claudia Dimopoulos, que vous avez découverte lors d’OD Martinique, attend son deuxième enfant et, qui dit grossesse, dit cravings!
C’est sur sa page Instagram que la maman a partagé sa recette de tacos au thon. En plein premier trimestre, elle mise sur une option à la fois savoureuse et santé: tout ce qu’il faut pour une maman qui veut faire le plein d’énergie.
«Déjà des cravings à mon 1er trimestre, j’adore créer des recettes différentes et délicieuses pour les satisfaire. Au menu aujourd’hui: tacos de thon. Délicieux, nutritif & PARFAIT quand la faim m’habite! 14 g de protéines par canne, 4 g de fibres pour me garder pleine et satisfaite! Que ce soit directement de la canne ou bien, ajouté à une recette, ça répond à mes cravingssss», lance-t-elle.
Comme on le sait, les femmes enceintes doivent faire attention à certains aliments, mais en marge de sa vidéo, Claudia rassure en précisant que le thon est tout à fait sécuritaire.
«Le thon est totalement sécuritaire pendant la grossesse avec modération, soit 2 à 3 boîtes par semaine. La compagnie applique également des normes très strictes en matière de tests de mercure, de sorte que les niveaux sont bien en dessous du seuil», affirme-t-elle.
C’est donc une excellente idée de repas, à la fois facile et savoureux, si vous partagez les mêmes envies que Claudia.
Quels sont, ou ont été, vos cravings de grossesse?
Alicia Moffet, que l’on retrouve à l’animation d’Occupation Double Chypre, arbore des looks qui, par leur originalité, ne font pas toujours l’unanimité.
Toutefois, si ses looks ne font pas l’unanimité, les mamans, elles, s’en inspirent pour coiffer leurs enfants.
En effet, l’animatrice a récemment partagé une story où elle dévoile une conversation avec une maman qui lui a envoyé la photo de sa petite coiffée de la même façon qu’Alicia lors d’un épisode.
«Je m’inspire de tes coiffures à OD pour coiffer ma fille pour la galerie», lance la maman.
Un message qui a visiblement réchauffé le cœur de l’animatrice.
Une coiffure tressée qui fait craquer autant les mamans que les tout-petits.
En marge de deux clichés où l’on aperçoit son ventre bien rond, enveloppé d’un chic manteau de fourrure noire devant un décor immaculé, elle s’ouvre sur le terme de «matrescence».
«Connaissez-vous le terme matrescence? Photo par Lilly – Maternity | Newborn Photographer – Blainville. La dualité entre être femme et être mère. Ce conflit intérieur et les transformations vécues par une femme qui navigue son identité féminine, ses désirs personnels et son nouveau rôle de mère. Je trouve que ces photos représentent bien ce concept. Un doux rappel qu’on peut intégrer son rôle de mère sans perdre sa propre individualité. Cela implique de reconnaître que «la femme avant» n’a pas disparu mais s’est transformée pour inclure ce nouveau rôle», lance l’inspirante ex-candidate de téléréalité.
Plusieurs femmes ressentent parfois l’impression de devoir oublier la femme pour laisser toute la place à la maman en elles. Elles doivent toutefois se rappeler que l’une ne va pas sans l’autre.
La maternité transforme, mais elle n’efface pas la femme: elle l’enrichit, en ajoutant une nouvelle facette à son identité.
Aviez-vous déjà entendu parler de ce terme?
C’était au tour de Marie-Josée Gauvin de se confier au balado Ouvre ton jeu, lors d’un tête-à-tête avec l’animatrice Marie-Claude Barrette. Elle y a abordé plusieurs facettes de sa vie, dont un événement déchirant lié à son parcours en maternité.
C’est en répondant à une carte lui demandant ce que la maternité lui avait appris que Marie-Josée a livré un témoignage bouleversant en évoquant la perte de son premier enfant.
L’animatrice confie que sa première grossesse ne s’est pas déroulée comme elle l’avait imaginée, elle qui aime toujours tout prévoir d’avance. Elle revient sur à quel point il a été déchirant d’apprendre que sa petite fille serait très malade et qu’elle allait décéder, avant de devoir ensuite traverser des fausses couches.
Douze ans plus tard, la maman, désormais plus douce envers elle-même, revient sur ce qu’elle ressentait à cette époque.
«C’était une quête de justice, je trouvais ça tellement injuste ce qui était arrivé, pour elle. J’étais tellement en tab*rnack et je le suis encore énormément. Donc je me disais: Ça ne peut pas être ça, je ne veux pas que sa vie ça soit la maladie, je veux que sa vie ça soit de la joie, je veux que ça soit du bonheur (…) C’était toujours une grande fête, nous autres: on a écouté Danse Lascive, on a dansé, on a tout fait. Si vous voulez pleurer, pleurez pas ici, on n’a pas le temps, nous autres, c’était de même. Puis tu sais, écoute Marie-Claude, aux funérailles, c’était: Vous vous habillez en couleur, personne d’habillé en noir ici. Je servais du vin, je servais du café Chemineaud. Puis aujourd’hui, je le… encore là je suis capable de me dire: Sois douce, tu le faisais parce que c’était ta seule façon que tu avais de survivre à ce moment-là (…) Puis tu sais, je le regarde pis je fais: Ouf, ça ne devait pas être reposant. Puis même moi, on dirait que ça… je suis encore fatiguée de ça (…)», se remémore-t-elle.
Tout ce que Marie-Josée souhaitait, c’était que sa petite fille s’en aille avec douceur, et c’est ce qui est arrivé.
Une épreuve qui a forgé la personne qu’elle est aujourd’hui, elle qui fait preuve de gentillesse, de courage, de force et de douceur.
