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La Maison Rose: Un refuge pour les personnes touchées par le cancer du sein

Chaque jour au Québec, 22 femmes apprennent qu’elles sont atteintes d’un cancer du sein. En ce mois d’octobre, mois de sensibilisation au cancer du sein, la Fondation cancer du sein du Québec (FCSQ) rappelle sa mission: soutenir, accompagner et redonner de la force à toutes celles qui traversent cette épreuve, ainsi qu’à leurs proches.

Et cette mission prend désormais vie dans un lieu bien réel: la Maison Rose, ouverte au printemps 2025 au cœur de Montréal.

Un havre de douceur et de solidarité

La Maison Rose, c’est un peu comme un grand câlin collectif pour les personnes touchées par la maladie. On y vient pour s’informer, échanger, respirer ou simplement se sentir comprise. C’est un endroit lumineux et humain, pensé pour accueillir sans juger, et pour offrir des ressources à chaque étape du parcours.

La Fondation a lancé officiellement sa programmation et ses services phares, notamment:

  • Soutien psychosocial et accompagnement par les pairs.
  • Aide financière directe pour alléger le quotidien.
  • Ateliers de mieux-être: yoga oncologique, groupes de discussion, clinique virtuelle.
  • Conférences sur la nutrition, l’image corporelle, la génétique, le retour au travail.
  • Ateliers d’onco-esthétique.

Bref, un espace pour se ressourcer dans le respect et la douceur. De nouveaux services viendront éventuellement s’ajouter à l’offre, notamment des ateliers d’écriture et de massothérapie.

Courtoisie FCSQ

«À l’image de la Fondation, la Maison Rose se veut un lieu où les femmes peuvent se déposer, être écoutées et accompagnées», souligne Karine-Iseult Ippersiel, PDG de la FCSQ.

Le combat continue

Malgré les progrès, plus de 8 000 femmes au Québec reçoivent un diagnostic de cancer du sein. C’est le cancer le plus fréquent et une cause de décès encore trop importante chez les Québécoises. D’où l’importance de poser des actions concrètes en société, et d’offrir des moyens aux femmes atteintes de trouver un certain réconfort.

Comment s’impliquer

Tout le mois d’octobre, la Fondation déploie des actions de sensibilisation pour rappeler l’importance de la mammographie et de l’autosurveillance.

Envie d’aider? Visitez le site, juste ici, pour découvrir comment contribuer à cette belle et importante mission.

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Lysandre Nadeau sur ses injections: «J’ai réglé ce problème-là»

Bin non, pourquoi que personne ne me l’a dit que j’ai l’air d’une c*lisse de poupée gonflable? Voyons!

La créatrice de contenu bien établie au Québec, Lysandre Nadeau, a récemment partagé quelques stories où elle confie avoir apporté un changement à son apparence: elle a fait dissoudre toutes les injections reçues par le passé.

Sur sa page Instagram, la maman de deux enfants a expliqué les motivations derrière ce choix, en précisant bien qu’il ne s’agit pas d’une décision définitive.

La procédure derrière ce changement

«(…) Hier midi, j’ai été me faire fondre toutes les injections que j’avais dans la face, puis c’est vraiment hot (…) J’ai payé mes traitements. C’est un genre d’échographie qu’ils te passent dans la face pour voir c’est où il reste du produit (…) Il m’en restait juste dans les lèvres, puis dans les joues, puis on a tout fait fondre. Là, c’est encore, clairement, enflé (…) D’ici deux semaines, je devrais avoir ma vieille face, mais à l’âge de 30 ans, c’est excitant! Je pourrai officiellement dire que: I’m a natural beauty», dévoile-t-elle, visiblement heureuse d’avoir tenté ce changement.

Attention aux mamans!

Elle en a profité pour rappeler aux mamans qui allaitent qu’il est toujours pratique d’avoir un peu de lait en réserve dans le congélateur.

Les raisons derrière ce choix

J’ai trouvé ça complètement inacceptable.

«(…) J’ai décidé de faire fondre parce que j’ai vu les premiers épisodes de la série Lysandre + Claude qui va sortir en février sur Crave. Puis, quand je me suis vu la face sous différents angles de caméra que je ne vois jamais… j’ai trouvé ça complètement inacceptable: Bien non, pourquoi que personne ne me l’a dit que j’ai l’air d’une c*lisse de poupée gonflable? Voyons! (rires) J’ai réglé ce problème-là», témoigne-t-elle.

Une décision qui n’est peut-être pas définitive!

«Hey, puis ne prenez pas ça comme un coming out de: all natural queen forever, ce n’est pas ça qui se passe là. Ça se peut vraiment que dans un mois, là, si je n’aime pas ça, je m’en fasse réinjecter, ok? Mettons ça au clair. Et puis non, ce n’est pas un trait sur le botox, puis ça se peut que j’aie un face lift à 45 ans, ok? (…)», réitère la créatrice de contenu.

Un témoignage sans filtre où Lysandre se montre totalement transparente avec ses abonnés et s’attaque à un sujet plus que jamais dans l’air du temps.

Avez-vous, vous aussi, déjà eu recours à ce type de traitements?

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