






Julie Le Breton était de passage au podcast Tout le monde s’haït, un épisode dans lequel elle a abordé plusieurs sujets forts intéressants.
À un moment, l’animatrice du podcast, Marylène Gendron s’est ouverte sur le fait qu’elle est attirée seulement vers des hommes étant beaucoup plus vieux qu’elle, des confidences qui ont poussé Julie à s’ouvrir sur le sujet.
«(…) Ces hommes-là qui sont avec des filles plus jeunes (…) Moi, ça me challenge vraiment beaucoup, que tous les gars de mon âge sont avec des filles beaucoup plus jeunes, donc après ça, c’est vraiment plus difficile pour moi de rencontrer des gars. Les gars ne veulent pas être avec moi, fin», lance-t-elle.
Elle explique ensuite que, selon elle, tous les hommes qui ont eu des enfants, qui se sont séparés, ne veulent plus être avec leurs pairs et désirent être avec des filles qui leur porteront un regard ascendant.
«(…) Parce qu’ils ont été comme abîmés dans leur masculinité d’une certaine façon, dans une relation (…) ce regard ascendant là (…)», réfléchit-elle, en expliquant qu’elle se demande donc s’il est encore possible d’être dans une relation égalitaire.
«(…) Ça semble très, très difficile (…) après ça, je pensais beaucoup aux gars et j’étais comme: Mais, il y a des filles, ce sont ces filles-là, elles tripent sur ces gars-là aussi, c’est filles-là de 28 ans sont avec des gars de 50 ans», continue Julie, en interpellant grandement Marylène qui dit vivre ce genre de relation depuis très longtemps.
L’animatrice explique donc qu’elle recherche un écart d’âge dans une relation puisqu’elle a le besoin de ressentir un sentiment d’admiration envers son partenaire, chose qu’elle ne ressent pas auprès des hommes de son âge.
Un peu plus tard, Julie s’est ouverte sur le moment où elle a pris conscience de ce phénomène.
«(…) Avant la pandémie j’étais en couple (…) il y a eu la pandémie et je me suis encabanée, j’étais en burn-out, j’étais en peine d’amour (…) J’ai comme l’impression qu’avant la pandémie j’étais comme début quarantaine et je pouvais encore être un objet de désir (…) Je suis sortie de la pandémie et c’était terminé! (…) C’était comme, soudainement, tu es passée de l’autre bord (…)», affirme-t-elle.
Elle explique que plusieurs parlent de ce phénomène en l’appelant l’invisibilité des femmes et qu’avant que ça lui arrive, elle n’y croyait pas vraiment.
L’animateur lui a donc demandé comment elle s’en était aperçue.
«(…) C’est clair, ce n’est plus… c’est bien niaiseux, ce n’est pas que je veux me promener dans la rue et me faire reluquer (…) mais, il n’y a plus cette affaire-là, il l’a, mais beaucoup moins, cette espèce de regard porté sur soi ou de… une espèce d’attention particulière ou un… juste de sentir la possibilité de la séduction c’est comme si pouf c’était disparu, comme une bulle qui avait éclatée et ç’a été vraiment challengeant (…)», explique-t-elle, en affirmant qu’elle ne pense pas avoir énormément changé et que ça a été un gros choc de constater que les hommes ne la voyaient plus de la même façon.
Julie affirme n’avoir jamais vraiment misé sur son apparence et croit que ça doit être extrêmement difficile pour les femmes qui ont toujours été valorisées par leur beauté de vivre ce phénomène.
«(…) Tu peux comprendre qu’elles deviennent dingos et qu’elles se mettent à intervenir de façon très radicale, parce que c’est quand même violent (…)», continue l’actrice, qui avoue que l’idée d’avoir des chirurgies lui est déjà passée par la tête, en plus à cause de son métier, elle se voit souvent dans des éclairages et des angles peu flatteurs.
Elle avoue d’ailleurs avoir récemment visionné un film dans lequel elle joue et avoir eu de la difficulté à se regarder.
«J’ai eu du Botox dans le front, la fameuse… parce que sinon j’avais tout le temps, tu sais, je suis super expressive, donc j’étais comme: J’ai tout le temps l’air d’être fâchée! Donc cette affaire-là, je l’ai calmée, je le calme parfois, si j’ai un tournage et tout (…)», avoue-t-elle en expliquant cependant qu’après, il est facile de tomber dans un cercle vicieux et d’exagérer, mais que pour sa part, elle s’est mis une limite mentale.
Elle raconte qu’elle a commencé les injections de Botox à 45 ans, en se disant qu’elle allait le faire le plus tard possible et que le jour où elle franchirait le cap, elle devrait être capable de l’assumer et de le dire.
Un entretien très intéressant et franc entre les animateurs et Julie qui a fait preuve d’une grande ouverture et de beaucoup d’honnêteté.
Un épisode qui fera certainement beaucoup de bien à plusieurs femmes dans sa situation.
Alanis Désilet et son amoureux de longue date, Joël Giguère, qui ont deux enfants ensemble, sont fiancés depuis quelque temps déjà, et leur mariage, comme nous le savions, approchait à grands pas.
Ce week-end, que les tourtereaux se sont finalement dit «oui» lors d’un mariage qui semble avoir été des plus magiques!
Alanis a d’ailleurs partagé de splendides clichés de cette journée inoubliable, à notre plus grand bonheur!
«forever and always», mentionne-t-elle.
Parmi les invités se trouvait, entre autres, son grand ami LP Lacroix, qu’elle a connu dans le cadre d’OD Bali, ainsi que sa conjointe!
«Belle journée pour célébrer de belles personnes! T’as finalement trouvé ton top 1 Alannnn!! Bravo les amis!👰🏾♀️🤵🏽♂️❤️», mentionne LP, sous cette publication, tout en faisant un beau clin d’œil à l’aventure OD.
Le 12 octobre 2024, une date qui restera certainement gravée dans le cœur de Joël, d’Alanis et de leur petite famille.
Toutes nos félicitations aux nouveaux mariés!
Clodelle Lemay s’est presque rendue à la finale d’Occupation Double Dans l’Ouest, mais avant de faire de la téléréalité, elle était également chanteuse et mannequin.
De passage au balado Audré dans l’entrée, l’ex du chanteur Claude Bégin s’est ouverte sur le monde du mannequinat ainsi que sur le trouble alimentaire qu’elle a vécu.
Étant mannequin à temps plein depuis 15 ans, Clodelle a affirmé que ce domaine lui avait amené une grande ouverture d’esprit, mais que malheureusement, il y avait plus de points négatifs.
«Je ne vais pas mentir, c’est un métier très demandant. Il faut tout le temps que tu fit dans un moule. Ce n’est pas les vêtements qui vont fitter la mannequin, c’est la mannequin qui doit fitter dans les vêtements, donc tu es constamment sous pression d’être très maigre. Il faut que tu sois très disciplinée, c’est vraiment un peu comme être un athlète dans un certain sens (…). C’est beaucoup de pression, autant que c’est le fun et que c’est enrichissant et que tu apprends plein de choses, mais ton plaisir est souvent mis de côté (…). Moi, avec le temps, sous pression, j’étais beaucoup plus jeune, j’étais très en demande, j’avais une grosse carrière et I was struggling avec le fait de toujours rester une image parfaite. J’ai développé de la boulimie assez jeune, de l’anorexie, c’était vraiment sous pression à cause du métier, et c’est une des raisons pour lesquelles j’ai arrêté», racontait Clodelle en s’ouvrant sur le milieu du mannequinat.
Elle a continué en disant qu’elle est contente de revenir dans le métier maintenant âgée de 30 ans et qu’elle a envie de développer une relation saine avec le mannequinat pour guérir quelque chose à l’intérieur d’elle.
«J’avais besoin de me retrouver, de me poser certaines questions: Qu’est-ce que je veux dans la vie? Et comment je veux être dans mon corps ? Ça m’a vraiment fait du bien de prendre une pause, mais je suis contente de recommencer. Je trouve qu’à 30 ans, c’est un bel âge, je me connais maintenant, je connais mes limites. J’ai guéri ce côté-là de moi qui avait des troubles alimentaires et même quand j’ai arrêté, j’ai viré de l’autre bord des troubles alimentaires dans le sens que j’ai commencé à beaucoup manger, mais je pense que ça m’a vraiment fait du bien, j’avais besoin de ça», continue-t-elle en expliquant ce qui l’a amenée à reprendre ce métier, maintenant plus âgée.
Caroline Néron était de passage au podcast Golf Le Monde animé par Daniel Melançon, un épisode dans lequel ils ont ensemble parlé de golf, comme le veut le principe du balado.
Vers le milieu de l’épisode, Caroline a avoué qu’elle avait déjà pensé, à l’époque, créer sa propre ligne de vêtements de golf puisqu’elle n’aimait pas vraiment ce qui était proposé sur le marché.
Daniel, qui désirait justement aborder ce sujet, a alors demandé à Néron ce qu’elle pensait de la mode féminine de 2024 dans le monde du golf.
«(…) J’aime quand même le look un peu conservateur, je trouve ça respectueux pour un sport qui le mérite (…)», lançait-elle, en ajoutant qu’elle devait cependant retourner en magasin afin de s’équiper à nouveau et de voir ce qui était maintenant en vente.
Daniel a donc renchéri en expliquant à Néron que la mode vestimentaire du golf n’est plus ce qu’elle était, surtout du côté féminin.
«(…) Actuellement, en 2024, il y a beaucoup, beaucoup de filles sur les réseaux sociaux qui utilisent le golf pour bien se vendre, mais de façon très sexy (…)», affirmait-il à la grande surprise de Néron.
L’animateur a donc donné quelques noms en exemples, (Grace Charis, Paige Spiranac) voyant que Caroline n’était pas du tout au courant de ce qu’il avançait.
«(…) C’est des filles qui jouent bien au golf, mais qui mettent tous leurs attributs physiques de l’avant (…)», continuait-il, en disant que plusieurs terrains de golf ne les accepteraient pas à cause de leurs petits shorts et de leurs décolletés très plongeants.
Caroline est restée bouche bée devant les propos de Daniel.
L’animateur lui a lors demandé si elle pouvait s’imaginer être comme plusieurs golfeuses connues, en «golfeuse sexy», sur les réseaux sociaux, lorsqu’elle était plus jeune.
«(…) J’avais vraiment beaucoup de respect pour ce sport, mais ça reste que je pense que d’emblée là dans ma jeunesse, ma vingtaine, j’aimais ça m’habiller sexy, mais pas trop là. Donc peut-être que oui, mais c’est sûr que mon chandail était souvent trop court (…) trop sexy, non, je ne pense pas que ça a sa place sur un terrain de golf, mais encore là si c’est assumé! (…)», répondait-elle.
«(…) L’exemple que je te donne, c’est que c’est des filles assurément talentueuses en affaires, talentueuses au golf et elles utilisent leur corps littéralement pour vendre une image et elles sont vues par des millions (…)», lançait Daniel, attisant une réaction positive de Néron qui affirmait, à ce moment-là, que la tactique était très bonne, alors pourquoi pas?
Alors là, un technicien a apporté un téléphone à Daniel pour qu’il puisse montrer à Caroline un exemple de ce qu’il expliquait.
Lorsqu’elle a eu la photo entre les mains, elle a semblé avoir immédiatement changé d’idée.
«(…) Non, non, ça c’est intense! Elle n’est pas en top de maillot sur le terrain de golf là quand même? Ce n’est pas son habit de golf ça là? (…)», s’interrogeait-elle en semblant être découragée.
Daniel lui a donc répondu que oui, il pouvait s’agir d’un haut de maillot.
«(…) Ben voyons! Ah oui? Tout à fait?», répondait-elle choquée par ce qu’elle venait de voir.
L’animateur lui a ensuite montré une autre golfeuse.
«(…) Hein? Tu as le droit de t’habiller de même? (…) c’est un peu intense, non, moi je trouve ça intense (…)», réfléchissait-elle, alors que de son côté Daniel affirmait qu’il ne croyait pas que la golfeuse en question serait invitée à Laval-sur-le-lac.
«(…) Non, mais moi ça je trouve ça trop intense, elle joue en brassière! (…)», lançait-elle.
Daniel a alors affirmé, une fois de plus, que ce phénomène faisait maintenant partie du golf en 2024.
«(…) Non! Ah! Ben non! Ben là, non! Non! (…)», laissait-elle échapper, visiblement découragée.
Daniel lui a donc demandé comment elle réagirait si sa fille Emanuelle lui disait qu’elle désirait jouer au golf en étant habillée ainsi
«Ben, non. (rires) Bien, c’est-à-dire, j’ai encore le droit de lui dire quoi faire, mais à un moment donné, je n’aurai plus le droit. Je trouve que c’est un peu (…) non, c’est un peu too much, ça n’a même pas rapport avec le golf d’être en grosse craque (…), mais camisole, moi j’aurais apprécié moi porter la camisole. (…)», lançait-elle, en affirmant qu’il ne s’agirait cependant pas d’une camisole décolletée.
Et vous, qu’en pensez-vous?
Les femmes devraient-elles pouvoir s’habiller comme elles le désirent lorsqu’elles pratiquent le golf ou devrait-il y avoir de la réglementation?
C’est du 16 au 22 septembre 2024 que se déroulera la semaine de la mode de Montréal alors que plusieurs créateurs, manufacturiers, détaillants et écoles se réuniront afin de célébrer la mode locale.
Des lancements de collections, des défilés, des visites d’atelier, des conférences et des événements de magasinage seront au rendez-vous toute la semaine au grand plaisir des fanatiques de mode.
D’ailleurs, le lancement de la quatrième édition de cette semaine festive commencera en force le 16 septembre de 17h à 21h à l’Atrium des Grands Ballets.
Le mercredi 18 septembre, rendez-vous au Musée McCord Stewart pour l’événement signature qui sera dédié à l’histoire de nos vêtements, tandis que le 19 septembre, Mennillo Designs fera défiler ses collections exclusives de l’automne 2024 et de l’hiver 2025.
Ne manquez surtout pas le 20 septembre, le marché collectif vintage et seconde main alors que cette soirée festive sera accompagnée de musique live et de boissons.
Finalement, Geneviève Borne, Heidi Hollinger et Rhodie Lamour défileront le 21 septembre et un DJ sera présent pour divertir les invités.
Cette semaine mode est idéale afin de découvrir les produits de nos créateurs d’ici et d’en savoir plus sur ce domaine incroyable!
«Cette semaine est unique de par l’exclusivité des marques locales. Il est essentiel d’inviter la population à encourager, mais surtout s’intéresser, au-delà de la mode d’ici, qui est complète et fait concurrence aux grandes marques d’ailleurs», a expliqué Vickie Joseph, présidente du conseil d’administration de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, fondatrice de V Kosmétik et co-fondatrice du Groupe 3737.
Pour en savoir plus, c’est juste ici!
Lysandre Nadeau partage quotidiennement du contenu sur ses réseaux sociaux, principalement en lien avec la maternité ou avec ses deux podcasts Sexe Oral et Parenthèses.
Toutefois, ce n’est pour aucune de ces raisons qu’elle a fait parler d’elle ce week-end. En effet, la maman a défilé durant le M.A.D. Festival et elle était complètement méconnaissable!
Longue tignasse méga-volumineuse aux teintes rose et verte, robe verte à tulle ornée de poissons rouges, chaussettes blanches montantes et sandales à poils; une délicieuse extravagance pour la collection Goldfish de Lakuachimoto.
Elle a aussi défilé avec une coiffure différente, un wet look qui lui allait à merveille.
En plus de vêtir Lysandre, le jeune créateur montréalais très prometteur a déjà habillé Gisèle Lullaby et même Nelly Furtado. C’est aussi lui qui a créé la pièce unique que porte Janette Bertrand sur la couverture du Elle Québec.
Un accomplissement de plus à cocher sur la liste de rêves de Lysandre!
Noémie Marleau d’OD Chez nous dévoile son excitant secret qui concorde parfaitement avec l’arrivée de la canicule.
Celle qui mijotait quelque chose depuis un petit moment et qui brûlait d’excitation face à ce mystérieux projet a enfin dévoilé de quoi il était question. Il s’agit de magnifiques… maillots de bain!
C’est en collaboration avec la compagnie québécoise Pearla Design que l’ex-candidate d’Occupation Double a pu créer sa propre collection et laissez-nous vous dire qu’elle a fait du sacré bon boulot.
«Secret is out! Ma collection de maillots avec Pearla Design est enfin dévoilée. Les designs ont été créés par moi, et chaque maillot est confectionné à la main par notre équipe. Voici Lucky Charm, un maillot romantique, un incontournable pour trouver votre âme sœur cet été!», lançait-elle en marge d’une photo du premier modèle intitulé, comme mentionné, Lucky Charm.
«Le deux pièces de la collection respirent la simplicité, la douceur et le calme. Laissez-vous charmer!», dévoilait-elle peu de temps après.
Wow!
Il est parfois difficile de se pavaner en maillot de bain dû à la pression corporelle que l’on se met régulièrement.
Cependant, on croit vraiment que ces maillots de bain pourraient vous faire sentir comme de vraies déesses et vous en êtes toutes!
Félicitations à Noémie pour ce beau projet.