Dubaï, dans un élan d’innovation technologique, a accueilli la toute première course de combinaisons à réaction, lançant une nouvelle ère passionnante de sports motorisés tout droit sortis d’un film de science-fiction.
La marina de Dubaï a servi de décor à la course de combinaisons à réaction, qui a vu des pilotes s’élancer dans le ciel à bord de ces combinaisons. Cette initiative témoigne de la réputation grandissante de Dubaï en tant que centre de sports extrêmes et de technologies de pointe.
Gravity Industries est à l’origine de l’organisation de cet événement inédit, cette entreprise est sous les feux de la rampe pour ses avancées dans le domaine des combinaisons de vol.
Dans le cadre du salon nautique de Dubaï, les pilotes portaient des moteurs à réaction dans le dos et sur les bras, ce qui leur permettait de contrôler leur vol comme dans un film de Marvel. Les combinaisons équipées de moteurs à réaction, d’une puissance de 1050 chevaux, peuvent atteindre une vitesse 129 km/h. Assez hallucinant!
Ce sport unique en son genre a permis aux participants de courir autour d’un circuit tracé sur l’eau à proximité du site de Skydive Dubai. L’endroit a été choisi non seulement pour la vue imprenable qu’il offre, mais aussi parce qu’il constitue un environnement plus sûr pour les pilotes à grande vitesse.
Les combinaisons, malgré les risques associés au fait de s’attacher à un petit moteur à réaction, sont considérées comme sûres et faciles à utiliser, même par des pilotes relativement inexpérimentés.
Après avoir réussi le parcours, le pilote britannique Issa Kalfon a fièrement brandi le trophée, qui avait symboliquement la forme d’un moteur d’avion en or. Un participant a déclaré qu’il s’agissait d’une sensation similaire à celle de voler dans un rêve, car on peut se déplacer au gré de ses envies.
Dubaï a des projets ambitieux pour redéfinir les transports et les divertissements. Cela ne s’arrête pas aux courses de combinaisons à réaction. L’intention de déployer des taxis volants a déjà fait la une des journaux.
La course, qui était la première du genre à Dubaï, et peut-être dans le monde entier, ainsi que le ciel lui-même, pourrait être remplie d’autant d’appareils de vol personnels sur les routes qu’il y a de voitures aujourd’hui.
Selon monsieur Browning, l’événement promettait «un drame et une excitation encore plus viscéraux que la Formule 1» et marquait probablement le début d’un nouveau chapitre passionnant du sport extrême, de la technologie et de l’art de l’impossible.
Ça, ça reste à voir!