Vous êtes à la recherche d’un camp de jour pour vos enfants et ces derniers aiment beaucoup jouer de la musique? Si vous habitez près de la région de Montréal, il serait intéressant de les inscrire au tout nouveau camp de jour de l’École du Rock, inspiré du film au même nom. L’école de musique rock a été fondée tout récemment par Patrick Mainville, un membre actif du milieu culturel montréalais. Il est possible de s’inscrire dès maintenant au tout premier camp de jour de l’école qui débute dès le 5 juillet dans les studios du Musicopratik, à Verdun.
« Le projet de l’École du Rock de Montréal est apparu comme la solution pour supporter ma communauté de musicien.ne.s qui se retrouvaient sans travail et sauver mon entreprise actuelle, les studios Musicopratik. Après l’isolement forcé causé par la COVID-19, je pense que les jeunes, en particulier, ont besoin se retrouver, de jouer et de s’amuser. Notre concept combine donc apprentissage et plaisir, avec des enseignants provenant de la scène musicale montréalaise. », explique Patrick Mainville, fondateur et directeur général de l’École du Rock de Montréal.
Les méthodes d’enseignement privilégiées par l’École du Rock visent à développer la concentration, la dextérité et l’esprit de groupe chez les jeunes. Le programme hebdomadaire comprend donc des activités axées sur l’univers du rock, des ateliers musicaux selon l’instrument de choix de l’enfant, des performances scéniques et filmées, un enregistrement professionnel et des baignades à la Plage urbaine de Verdun pour se changer les idées de la musique.
C’est vraiment une belle idée de camp de jour pour vos enfants qui aiment la musique! Le coût pour une semaine est de 400$ et cela comprend l’accès à un instrument si votre enfant n’a pas le sien. Il reste encore beaucoup de disponibilités, mais ne tardez pas trop à inscrire votre enfant!
Vous trouverez plus d’informations sur le camp de jour de l’École du Rock de Montréal ici.
Personne ne décide de fonder une famille dans le but de la voir éclater en morceaux quelques années plus tard. Jamais on n’imagine notre divorce au moment de dire oui à celui ou celle qui fait battre notre cœur. Et dans l’aveuglement de l’amour, on s’imagine même que si jamais nos chemins se séparent et que notre amour s’éteint, il restera assez de respect et de tendresse pour conserver une relation saine après la rupture. Mais dans tout ça, dans toute cette vie après la rupture, il reste ces enfants qui vivent avec des parents qui, non seulement ne s’aiment plus, mais bien souvent se détestent. C’est mon cas, et ce n’est pas moins triste parce que je suis une adulte, je vous l’assure.
Bien sûr, c’est possible de réussir sa séparation et j’ai d’ailleurs de beaux exemples autour de moi. Toutefois, c’est loin d’être le cas de mes parents et tout le monde en souffre: mes enfants, moi et même la famille élargie. Lorsque j’étais petite, j’ai vu mon père littéralement envoyer promener ma mère, l’empêcher de venir avec moi à l’hôpital alors que j’étais blessée ou malade sous prétexte que ce n’était pas sa semaine de garde. Pourtant, j’avais bien besoin de mes deux parents dans ces moments stressants. Outre ces épisodes plutôt isolés, avant de devenir moi-même maman, je ne vivais pas si mal cette situation. Je m’y étais habituée j’imagine et même si parfois mon cœur était déchiré, car je devais malgré moi choisir entre mes deux parents, règle générale tout se passait relativement bien.
J’avais cette utopie, que le fait de devenir grands-parents allait arranger les choses. J’avais cet espoir que mon père accepterait d’être en présence de ma mère, de la côtoyer de manière polie lors des fêtes d’anniversaires ou des événements importants de la vie de mes enfants comme les spectacles ou les compétitions. Mais non! Pourtant, ma mère n’a jamais rien eu à se reprocher dans la rupture. Aucun adultère, aucune méchanceté et surtout pas d’aliénation parentale. Je ne peux pas en dire autant de mon père. Alors pourquoi tant de haine ? Pourquoi cette femme qu’il a soit dit en passant aimée durant plus de 25 années est-elle soudainement devenue une pure étrangère ? Même pire, une ennemie, quelqu’un à détester, à éviter et fuir comme la peste ?
Crédit:Erik Mclean – Unsplash
Mes enfants ne sont pas proches de mon père, car bien qu’au départ je célébrais tout en double pour ne pénaliser personne, j’ai vite décidé de me choisir, de nous choisir nous, ma petite famille et mon conjoint. C’est épuisant de recevoir 2 jours de suite. C’est dispendieux d’acheter tout en double pour souligner les anniversaires et c’est tellement, mais tellement d’énergie que je n’avais plus. En fin de compte, c’est moi qui passe pour la fille ingrate maintenant. On me fait sentir que j’ai choisi ma mère, que je la préfère à mon père, car elle, elle est toujours présente quand c’est important. Pourtant, j’invite mes deux parents, toujours et sans exception. Ma mère ne pose jamais la question à savoir si mon père sera là, car peu importe, elle sera là. Quand je ne reçois pas des excuses bidon pour expliquer son absence, mon père m’offre tout simplement des sous-entendus qui me font comprendre que comme « mamie » sera là, « papi » restera chez lui! Et voyez-vous, à ça je ne m’habitue pas. Je ne m’y habituerai jamais ! Les années passent, mes enfants ne seront pas tous petits bien longtemps. D’ailleurs ils ont beau être mes bébés dans mon cœur, ils ont grandi. Ils ont grandi sans la présence de leur « papi » par sa propre faute, par son choix de se retirer. Il a choisi son orgueil, sa rancune plutôt que ses petits-enfants. Ça me brise le cœur.
Et je réalise que plus les années passent, moins il sait pourquoi il est en colère, mais moins il a envie d’être présent. Loin des yeux loin du cœur ? Le jour où il sera trop tard, j’ai peur qu’il nous quitte avec des regrets et du chagrin. C’est mon papa et je l’aime, mais je n’ai plus de mot pour le ramener à la raison.
Je dois vous partager un coup de cœur immense pour deux albums aussi magnifiques que d’actualité. Parce qu’il est important de montrer et d’expliquer l’histoire et le parcours des gens qui nous entourent quotidiennement. Tant pour développer l’empathie de nos enfants que pour transmettre des valeurs de bienveillance et d’acceptation. Voici deux albums jeunesse, deux histoires de vie et d’immigration qui parlent d’immigration et d’inclusion, publiés chez Bayard Canada. Des histoires qui pourraient facilement être celles des ami.e.s d’école…
Dounia de Marya Zarif
Crédit:Les libraires
« Dounia, c’est l’histoire d’une petite fille pleine de joie et d’imagination, de ses grands-parents, et de milliers de migrants. Lorsque la guerre éclate à Alep, en Syrie, Dounia doit partir en quête d’une terre d’accueil. La magie et l’amour lui permettront de poursuivre son chemin à la recherche d’une nouvelle maison où prendre racine. » – Bayard Canada
Un album aussi sensible que magnifiquement bien illustré. Mes enfants et moi nous sommes laissés toucher par l’histoire émouvante de Doumia. L’autrice y aborde avec délicatesse la guerre ainsi que la nécessité et l’urgence de quitter un endroit qui est le nôtre, notre pays. On suit les personnages à travers leur départ, leur voyage ainsi que leur arrivée en terre d’accueil. C’est une belle histoire pour aborder l’immigration ainsi que le parrainage des familles. L’album est écrit et illustré avec douceur, une douceur qui constate et apaise le sujet abordé par le livre. La lecture a plu à mes enfants de 7 et 9 ans.
De plus, « des pages en réalité augmentée, accessibles grâce à une application gratuite, permettront aux petits et aux grands d’explorer davantage certaines scènes marquantes de l’histoire. » – Bayard Canada
Une courtepointe pour Chehab de Caroline Auger et Jean-Luc Trudel
Crédit:Les libraires
« Après avoir fui la guerre, Chehab et son papa ont emménagé dans leur pays d’accueil. La petite fille appréhende son premier jour à l’école. Avec sa peluche Uruk, un chameau philosophe qui lui prodigue de sages conseils, Chehab se sent en confiance, mais en classe, elle ne comprend pas ce que disent les enfants. Leur curiosité à son égard et leurs rires la poussent à s’enfuir. À son retour, elle découvre une grande mosaïque composée des visages et des noms de ses petits camarades. En plein centre, il reste un seul carton à compléter : le sien. » – Bayard Canada
Ce livre s’adresse aux enfants un peu plus vieux. Ma grande de 9 ans adore cette histoire. On y rencontre Chehab, qui arrive et s’intègre dans un nouveau pays et une nouvelle école dont elle ne connaît ni la langue ni les traditions. L’album aborde aussi avec sensibilité et bienveillance les blessures et traumatismes qui peuvent habiter certaines personnes issues de l’immigration. Accompagnée de son enseignante et entouré d’ami.e.s de classe cherchant à la connaître, Chehab apprendra tranquillement à découvrir son nouveau chez elle.
Connaissez-vous l’entreprise Érable au fil du temps? Cette érablière familiale a été fondée en 2009 avec l’objectif de mettre en valeur les produits de l’érable et la versatilité de cet aliment de chez nous. L’Érable au fil du temps ne propose pas que du sirop d’érable, mais plutôt des tonnes de produits faits avec de l’érable et qui peuvent s’utiliser dans tout plein de recettes variées. L’entreprise a d’ailleurs lancé une campagne sous le thème de « L’érable, c’est bon tout l’temps! » afin de faire connaitre la versatilité de ce produit québécois.
Crédit:Érable au fil du temps
Afin de transmettre leur passion au plus de gens possible, Érable au fil du temps a lancé un chouette concours sur sa page Facebook. En participant, vous courez la chance de gagner un séjour en chalet ou un des paniers-cadeaux contenant des produits pour cuisiner avec l’érable. Le séjour en chalet vous permettra d’avoir une vue sur l’érablière et de faire des activités d’interprétation afin de découvrir les secrets de la fabrication du sirop d’érable de l’entreprise! C’est une chouette expérience pour les enfants qui sont curieux d’en savoir plus sur ce produit d’ici.
Pour participer, il faut se rendre sur la page Facebook d’Érable au fil du temps et de dire en commentaire quel est votre produit de l’érable préféré. C’est aussi simple que ça! Vous trouverez tous les détails du concours ici.
Pour en savoir plus sur Érable au fil du temps, cliquez ici.
Une grande fête de fin d’année pour les élèves du primaire a été organisée par le Grand défi Pierre Lavoie et Force 4 en collaboration avec le gouvernement du Québec. Appelée La Grande récré, cette célébration virtuelle se fera ce vendredi 18 juin dès 8h. Gratuite et accessible à tous.tes, La Grande récré sera webdiffusée sur un site web créé pour l’occasion.
L’événement festif sera animé par Julie Ringuette et Pascal Morrissette, et plusieurs vedettes participeront au déroulement de La Grande récré. La fête a été organisée afin de souligner le travail exceptionnel fait par les enseignant.e.s et les élèves durant une année qui a été tout sauf facile. Sous forme de rendez-vous télévisuel, La Grande récré durera une heure et présentera des prestations musicales de 2Frères, Émile Bilodeau, Roxanne Bruneau et Sarahmée, des minutes actives avec Valérie Chevalier et Kevin Raphaël ainsi que des prouesses scientifiques de Yannick Bergeron. D’autres personnalités publiques comme Pascal Barriault, Woody Belford, Simon Boulerice, Sam-Éloi Girard et Luc Langevin seront aussi de la partie.
« Les élèves et les enseignants du Québec ont eu une année scolaire qui leur a demandé de faire face à de nombreux défis et leur a demandé énormément de résilience, explique Pierre Lavoie.Ça nous fait un immense plaisir de leur offrir cette fête active qu’est La Grande récré! Et faire cet événement inédit en mode virtuel, c’est très bien, car ainsi toutes les écoles du Québec y ont accès. C’est notre façon de faire savoir aux élèves et aux enseignants que nous sommes présents pour eux et de leur dire merci. »
D’ici vendredi prochain, quatre vidéos peuvent être visionnées afin que les jeunes puissent apprendre la salutation officielle et la danse de La Grande récré. Ainsi, ils pourront participer activement à l’événement festif!
Vous trouverez plus d’informations sur La Grande récré ici.
Depuis quelques jours, mon deux ans refuse de prendre son bain ou sa douche. Ce n’est pas super facile quand il joue au parc et qu’il a de la terre jusque dans les oreilles. Après une investigation digne d’Inspecteur Gadget #90 j’ai compris que fiston avait peur qu’un loup sorte du robinet.
Comme parent, c’est souvent difficile de trouver, une solution a une peur irrationnelle d’un enfant si jeune. Malheureusement, je ne peux pas juste lui expliquer que c’est bien impossible qu’un grand loup passe dans un tuyau et sorte par un robinet. Cette peur est tellement présente, qu’il en parle dès qu’il arrive à la maison plusieurs heures avant l’heure du bain. Je n’ai pourtant aucune idée d’où vient cette crainte.
Dans les deux derniers jours, j’ai donc fait quelques tentatives pour faire disparaitre cette peur :
On a regardé dans le robinet et on n’a pas vu de loup. Cependant, cela ne l’a pas convaincu qu’il ne pourrait pas arriver plus tard.
On a soufflé sur la maison qui est en brique parce les loups détruisent uniquement les maisons de paille ou de bois #3petitscochons.
On a fait une préparation magique dans un vaporisateur. Malgré plusieurs pouche-pouche dans la douche, il avait toujours peur.
On a mis des dinosaures dans le bain, parce que tout le monde sait bien que les loups ont peur des dinosaures. Deux ans les trouve par contre trop petits contre un grand méchant loup.
En ce moment, j’en suis à prendre ma douche avec lui parce que c’est la seule chose qui fonctionne. Peut-être que dans les prochains jours, il va accepter de prendre sa douche pendant que je lui tiens la main à l’extérieur du bain. Puis tranquillement, je pourrai augmenter la distance. Je lui laisse du temps pour se défaire de cette peur.
Est-ce que vos enfants ont des peurs particulières ? Qu’avez-vous fait pour les faire disparaitre ?
Parc national de la Pointe-Taillon (c) Charles-David Robitaille
L’été dernier, nous avons passé une superbe semaine de vacances au Saguenay-Lac-Saint-Jean. Avec un jeune enfant de près de deux ans, je cherchais un endroit qui avait une offre famille intéressante et surtout diversifiée. Pas question de visiter sept mini-fermes durant notre séjour; on aime ça, mais avec modération! Le Saguenay-Lac-Saint-Jean est une destination tout indiquée. Voici donc quelques suggestions.
Centre de villégiature Dam-en-Terre
Crédit:Centre de villégiature Dam-en-Terre/Facebook
Lors de nos vacances, nous avons séjourné au site Dam-en-Terre à Alma. Pour nous, c’était l’hébergement idéal : condo avec toutes ses commodités, espace à l’extérieur pour y faire un feu et plusieurs activités offertes directement sur place. Le centre de villégiature Dam-en-Terre, qui a fait ses classes (j’y suis allée jeune enfant!), est aménagé autour d’une baie. Il donne accès à une très belle plage, à plusieurs modules de jeux et à une pataugeoire. Plus de 280 emplacements de camping sont aussi disponibles. La localisation est super, car il est facile de rayonner à partir d’Alma pour visiter différentes attractions de la région.
Nous avons adoré notre visite au Parc Mille Lieux de la colline. Le site est d’une taille raisonnable et propose des activités adaptées aux jeunes enfants. Balade en petit train, courses de voitures, village de maisons miniatures et jeux d’eau sont quelques-unes de ces attractions à ne pas manquer. En plus, le site est superbement aménagé avec ses nombreuses tables à pique-nique aux couleurs flamboyantes. Parfait pour l’heure du lunch! Une visite à ajouter à votre itinéraire, particulièrement si vous avez des enfants de deux à six ans.
Situé à une vingtaine de kilomètres du Parc Mille lieux de la colline, le kiosque d’Alex et Jennie offre une vaste sélection de fruits et de légumes. C’est l’endroit idéal pour se procurer gourganes et bleuets qui font la renommée de la région. Vos petits pourront aussi découvrir la mini-ferme ou encore se perdre en votre compagnie dans le labyrinthe aménagé en saison.
Crédit:Parc national de la Pointe-Taillon/Facebook
Le parc national de la Pointe-Taillon est le terrain de jeux parfait pour pratiquer différents sports nautiques et terrestres. Le réseau cyclable de 45 km qui sillonne le parc est parfait pour initier les petit.e.s au vélo. Le parc offre la location gratuite de vélo aux enfants de 17 ans et moins, sous réserve de disponibilité. De la plage, la vue sur le Lac-Saint-Jean est superbe. Il est aussi possible de se baigner et de louer kayak, pédalo et surf à pagaie. De jolis modules de jeux y sont aussi aménagés.
Pas besoin de présentation pour cet incontournable de la région. Le Zoo sauvage de Saint-Félicien se distingue par sa balade en train sillonnant l’habitat de différents animaux des grands espaces canadiens. Le site compte aussi sept secteurs à visiter à pied qui vous feront voyager de l’Asie orientale jusqu’à la toundra arctique. Prévoyez la journée pour vivre l’expérience complète.
Le Parc de la caverne du Trou de la fée offre une immersion en nature à la découverte du canyon de la rivière Métabetchouane. Si vous voyagez avec de jeunes enfants, optez pour le sentier de la caverne qui passe par un ancien barrage. Ce sentier se fait bien, mais un porte-bébé ou un sac de randonnée est nécessaire. Comme le site comporte certains défis techniques, cette attraction ne convient pas à tous les groupes d’âge. N’oubliez surtout pas d’apporter votre lunch, car la terrasse, tout près de l’accueil, surplombe le canyon et offre une vue magnifique. Veuillez noter qu’en raison de la Covid-19, la visite de la caverne n’est présentement pas possible.
C’est un coup de cœur voyage pour toute la famille, mais particulièrement pour mon petit bonhomme qui ADORE les roches! Cristal du Lac propose aux jeunes visiteurs de participer à une Prospection-Express sur leur site de Métabetchouan-Lac-à-la-Croix. Il suffit d’acheter l’un des sacs de minéraux en vente sur le site pour que les enfants se transforment en véritables chercheurs d’or. Vos minis auront beaucoup de plaisir à passer au tamis leurs trouvailles dans le grand bassin aménagé avec une chute d’eau. Une carte est aussi remise afin d’identifier les différentes pierres précieuses. Comme l’entreprise exploite un gisement de quartz à proximité, ils sont experts en la matière et pourront vous partager plusieurs faits intéressants. Si vous voyagez avec des adolescents, il est aussi possible de réserver pour une excursion à la mine en compagnie d’un guide et d’y faire une prospection.
Non loin de Cristal du Lac, à Saint-Gédéon, un arrêt s’impose à la Fromagerie et Boulangerie Médard. Durant notre séjour, nous y sommes allés trois fois! Difficile de résister aux délicieux produits et au comptoir à crème glacée!
Impossible de passer sous silence le Village historique de Val-Jalbert abandonné à la fin des années 1920 à la suite de la fermeture de la pulperie. Revivez cette époque en visitant quelques-unes de ses anciennes demeures, en plus du couvent-école et du moulin situé au pied de la chute Ouiatchouan. La visite est dynamique et très praticable avec de jeunes enfants. Nous avons particulièrement apprécié la balade en trolleybus et le spectacle immersif sur l’histoire du village.
Si un séjour au Saguenay-Lac-Saint-Jean vous tente, sachez qu’il est possible de faire quelques économies en vous procurant le Passeport Attraits. Celui-ci offre des rabais allant de 20% à 40% sur différentes attractions à travers le Québec. Vous pouvez découvrir les offres juste ici.
La plupart des organismes obtiennent de précieux sous pour leurs opérations grâce à des collectes de fonds en tout genre. Nous nous sommes récemment fait approcher pour découvrir une toute nouvelle collecte de fonds originale lancée par deux papas et comme la mission de cette collecte cadre bien avec ce que défend TPL Moms, nous nous sommes dit que nous allions vous en parler!
Les deux papas en question sont aussi deux frères : Frédéric et Jonathan Lucas. Les frères Lucas ont décidé de lancer le Défi Trombone Jaune afin d’amasser des sous pour la Fondation du Centre jeunesse de Montréal. La collecte débute officiellement le jour de la fête des Pères (le 20 juin) et se termine lors de la journée internationale de la jeunesse (le 12 août). L’un des deux papas a eu cette idée, car il a lui-même adopté des enfants de la DPJ et il sait à quel point les besoins sont criants pour les organismes qui œuvrent auprès de la jeunesse.
Le principe de la collecte est simple et amusant! Le 20 juin, les gens qui souhaitent participer sont invités à visiter le site Web du Défi Trombone Jaune et à prendre connaissance de l’objet offert au moment de la visite sur la page. Le tout premier objet de la collecte sera un trombone jaune, évidemment! Par la suite, les gens pourront échanger un objet de valeur supérieure au dernier objet échangé jusqu’au 12 août. Le 12 août, l’objet final sera vendu et les profits de la vente iront à la Fondation. Une firme comptable veille sur le déroulement des opérations afin que tout se déroule rondement.
« Un enfant qui vit des défis dans son milieu familial aura un parcours plus difficile, notre rôle est de leur faciliter ce chemin. C’est pour cela justement qu’on invite les entreprises et les individus à contribuer via le Défi Trombone Jaune, » dit Jonathan, cofondateur du Défi Trombone Jaune.
La Fondation du Centre jeunesse de Montréal vient en aide aux jeunes de la DPJ de la naissance à l’âge adulte. Parmi les gestes qu’elle pose, la Fondation finance des programmes, des frais de tutorat scolaire, des bourses d’études postsecondaires, etc.
Pour en savoir plus sur le Défi Trombone Jaune, cliquez ici.
La Maison Théâtre est à quelques jours de terminer sa saison de spectacles avant un grand retour en septembre et le dernier spectacle s’adresse aux tout-petits de 1 à 4 ans. Jusqu’au 20 juin, quelques représentations du spectacle Depuis la grève sont à l’horaire à la Maison Théâtre, mais ne tardez pas trop, car chaque représentation est faite de manière intime, devant un maximum de 30 personnes.
Depuis la grève est un spectacle pensé pour les tout-petits. Chaque représentation dure seulement 30 minutes, ce qui est le temps parfait pour l’attention parfois volatile de très jeunes enfants. Le spectacle aborde des thématiques qui rejoignent les enfants de cet âge, soit l’attente et l’éloignement. La mise en scène est douce et bien adaptée aux jeunes esprits.
Ce spectacle est une production de la compagnie Les Incomplètes. L’idéation et la mise en scène ont été faites par Josiane Bernier, Audrey Marchand et Laurence P Lafaille.
C’est définitivement un spectacle à découvrir avec vos minis!
Pour en savoir plus et pour réserver des billets, cliquez ici.
Si vous cherchez une belle activité inspirante à faire en famille, vous serez peut-être intéressé.e d’en savoir plus sur le Défi YMCA 2021. Ce défi a lieu de manière numérique du 1er au 22 juin et c’est l’occasion idéale de se fixer des objectifs en famille et de les réaliser tous ensemble.
En effet, le Défi YMCA invite les participant.e.s à choisir trois objectifs personnels qui viennent contribuer au mieux-être physique, mental et collectif. Il n’y a pas de limites ou de thématiques à respecter dans les objectifs, tout peut être une bonne idée comme prendre un cours de cuisine en famille, lire un livre d’un.e. auteur.trice autochtone, faire 15 minutes de sport par jour, etc.
En participant au Défi YMCA 2021, cela vous donne l’occasion de vous donner des objectifs tout en amassant des dons pour la Fondation des YMCA du Québec qui vient beaucoup en aide aux jeunes.
Il n’est pas trop tard pour prendre part au défi! D’ailleurs, une série d’outils numériques sont mis à la disposition des gens qui souhaiteraient participer. Pour prendre part au Défi YMCA, il faut simplement s’inscrire sur le site web, trouver vos trois défis et partager votre campagne de fonds avec votre entourage. Et qui sait, vous intégrerez peut-être de nouvelles habitudes de vie dans votre quotidien grâce à ce défi!
Pour plus d’informations sur la Fondation des YMCA et sur le Défi, cliquez ici.
